Dis maman ! Et Tariq Ramadan, T’as vu ce que dit son copain !
Second et dernier additif des deux derniers billets ... (Ils démystifiaient les paraboles de la Bible) Une méthode dimensionnelle permettant de résoudre le fameux problème de la quadrature du cercle ! ! !
A) [[[Internet : Tariq Ramadan: la solidarité au service du «séducteur»! - Le Temps
https://www.letemps.ch/opinions/2018/01/.../tariq-ramadan-solidarite-service-seducteu...
Il y a 2 jours - OPINION. Combien de personnes ont-elles été trahies par les agissements de Tariq Ramadan? Combien de victimes se réfugient-elles aujourd'hui dans le silence face au charismatique intellectuel? Stéphane Lathion, ancien ami du théologien genevois, en appelle à la responsabilité de chacun de ...]]]
*** LE TEXTE : Tariq Ramadan: la solidarité au service du «séducteur»! –Le Temps
OPINION. Combien de personnes ont-elles été trahies par les agissements de Tariq Ramadan? Combien de victimes se réfugient-elles aujourd’hui dans le silence face au charismatique intellectuel? Stéphane Lathion, ancien ami du théologien genevois, en appelle à la responsabilité de chacun de témoigner
Les accusations de viols portées contre Tariq Ramadan fin octobre 2017 ont eu l’effet d’une bombe. Figure médiatique, l’homme suscite autant la méfiance que l’admiration. Au sein des communautés musulmanes, ainsi que pour quelques intellectuels altermondialistes, il reste une référence.
Dans le sillage des révélations à l’encontre du producteur de cinéma américain Harvey Weinstein, l’affaire Ramadan a fini par rebondir à Genève, la ville où l’intellectuel a fait ses premières armes en tant qu’enseignant, qu’acteur politique et enfin en tant que religieux. Plusieurs femmes ont ainsi témoigné dans la presse du harcèlement sexuel dont elles auraient été victimes, il y a plus de trente ans de cela. Face à ces révélations, je ressens à mon tour un devoir de témoigner.
Dialoguer avec la mouvance Ramadan
Durant vingt ans, j’ai été un proche de Tariq Ramadan. Il m’a d’abord aidé, lorsque les choses étaient compliquées pour moi, à l’école; puis nous sommes devenus partenaire de sport, je l’ai ensuite soutenu dans des projets humanitaires, dans le cadre de l’association Coopération-Coup de main, par exemple. Lorsque j’en suis venu à m’intéresser à la question de l’intégration des musulmans en Europe, thème qui deviendra mon sujet de thèse, ma proximité avec lui et certains de ses proches va forcément influencer ma perception des réalités musulmanes en Occident.
Je connaissais son discours, je l’avais longtemps observé au quotidien défendre ses opinions. J’étais convaincu que si les pouvoirs publics européens voulaient trouver des pistes pour atténuer les tensions naissantes avec les populations musulmanes en Europe, c’était avec la mouvance Ramadan qu’ils devraient dialoguer. Il proposait un discours original au sein des communautés islamiques: «Etre un bon musulman, c’est être un bon citoyen.» Et longtemps, je n’ai pas perçu les incohérences du personnage.
Intimidation, culpabilisation, violence verbale
De façon inexplicable, il rompra tout contact lorsque je fus engagé à l’Université de Fribourg en tant que maître d’enseignement et de recherche, me couvrant alors d’insultes. C’est en tentant de comprendre pourquoi que je vais prendre connaissance d’une autre facette du personnage, jusque-là insoupçonnée. Peu à peu, par l’intermédiaire d’amis communs, me seront rapportés des témoignages de comportement envers les femmes en totale contradiction avec ses discours: l’homme vivait dans un mensonge permanent.
Ces éléments venaient corroborer les nombreuses rumeurs auxquelles je n’avais jamais voulu donner aucun crédit. De par mes activités au sein du Groupe de recherche sur l’islam en Suisse, je devais dès lors trouver un chemin entre le dégoût que j’éprouvais désormais envers l’ancien ami et les éléments positifs de son discours sur les transformations de la présence musulmane en Europe. Par honnêteté intellectuelle, je m’efforçais de ne pas mélanger sentiments personnels et travail.
Aujourd’hui, à la lecture des témoignages de ces femmes, et au regard du courage qu’il leur a fallu, je ne peux plus garder le silence sur mes propres interrogations
Puis ce furent des faits plus précis, plus violents, qui me furent rapportés lorsqu’il officiait toujours au Collège de Saussure, à Genève. Ce fut un choc, un sentiment de trahison. Mais que pouvais-je faire?
Un refus insupportable
Aujourd’hui, à la lecture des témoignages de ces femmes, et au regard du courage qu’il leur a fallu, je ne peux plus garder le silence sur mes propres interrogations. Les manœuvres utilisées contre ces femmes, d’anciennes élèves parfois, pour les faire taire, relève de la même logique d’accusation, d’intimidation, à laquelle je fus soumis au moment de notre rupture. A celles ou ceux qui lui résistent, ou refusent à un moment donné de le suivre, Tariq Ramadan répond par l’intimidation, la culpabilisation, la violence verbale. La mécanique est la même.
Publiquement, son discours est exemplaire. L’intellectuel brillant, engagé socialement, semble mesuré dans ses propos… En privé, il manipule, construit sa toile: combien de jeunes (garçons autant que filles) se sont-ils convertis sous son influence? Combien de filles (dont certaines mineures) se sont-elles laissé séduire par son discours?
A ceux qui se retranchent dans le déni
Aujourd’hui, je découvre que ses dérapages se sont produits dès le milieu des années 1980, au moment même où il organisait des actions humanitaires dans son école des Coudriers. Trente années de souffrances infligées à des femmes sans l’expression d’aucun remords. Combien de personnes se sentent-elles trahies parmi celles ou ceux qui ont travaillé avec lui, que ce soit dans l’humanitaire, à Genève, dans le secteur associatif islamique en France, en Belgique, à Québec ou à l’île Maurice? Pour tous ces collègues enseignants, la déception doit être immense, sans parler de ses anciens élèves. La vraie perversion n’est-elle pas là, abuser de son pouvoir d’enseignant pour séduire, manipuler et obtenir des faveurs sexuelles de ses élèves?
Pour maintenir le silence, Tariq Ramadan a pu compter sur de nombreuses «tolérances» ou lâchetés: d’abord de la part de sa hiérarchie au sein du Département de l’instruction publique, qui a minimisé (selon les termes mêmes d’un de ses anciens directeurs) les accusations portées à l’encontre du charismatique professeur de philosophie; ensuite dans les instances dirigeantes de l’Union des organisations islamiques de France qui connaissent depuis des années les mœurs sexuelles de Ramadan; parmi nombre de responsables associatifs dans le monde francophone enfin qui se retranchent dans le déni, au mépris de leurs coreligionnaires, en droit d’attendre un peu plus de probité de leurs leaders…
Je m’adresse aujourd’hui à ces personnes qui savent, ou devraient savoir, et ont la responsabilité de parler, comme ont eu le courage de le faire ces femmes brisées. Au-delà même du caractère pénalement condamnable ou non de ses actes, il est temps de dénoncer le comportement indigne de l’enseignant, de l’homme de foi, de l’intellectuel, de l’homme tout court.
N. B.) Cet article ne vous semble –t-il pas intéressant ? En plus, n’exonère-t-il pas les intellectuels qui se sont laissés berner (V. entre autres, Edgar Morin, Edwy Plenel) ?
N. B) Il ne s’agirait pas de trop charger la barque ou la mule ! Ni de vouloir noyer son chien en l’accusant de la rage !
B) La lecture des ouvrages du biologiste et philosophe pendant ses heures de loisir, Henri Laborit, reconnu et médiatique (1914-1995), écarté du Nobel pour anticonformisme, prix Lasker, indépendant puisqu’ayant réussi à installer son propre laboratoire vivant en commercialisant ses propres découvertes (Et pourtant non capitaliste ! ! !), peut-être plus connu du public à travers un film de François Resnais primé à Cannes en 1980 « Mon oncle d’Amérique), permet de mieux comprendre le mode de fonctionnement du cerveau (Les notions de foi, d'amour, etc.), de la société ; de son avenir aussi !
Par ex., « Biologie et structure », « Éloge de la fuite » (En livres format poche) permettent d’appréhender les « briques premières » sur lesquelles reposent nos sociétés !
À savoir : Les manques et les déséquilibres vitaux !
(À l’époque de sa parution, « La Nouvelle grille », plus volontariste, prétentieuse, m’était apparue plus aventureuse ... Je ne l’ai pas revisitée ! Peu importe, tout me semble joué !)
*** ! Dès l’arrivée de la Gauche, il avait proposé, sans aucune illusion, en souriant ironiquement, l’introduction dans les cours, dès l’école primaire, d’une information aussi succincte que pédagogique, qu’assimilable par des très jeunes esprits, du mode de fonctionnement du cerveau ! ! !
(La marche de notre société étant basée sur l’exploitation « toujours plus » habile des manques, frustrations, stress, passagers ; sur les addictions et notamment celle du « Toujours plus » ; cette acceptation gouvernementale aurait été l’équivalent de la mise en place du suicide programmé de la « Société de consommation » (Appellation datant du 20ième siècle, dépassée et remplacée par un terme plus direct, rapide : « Toujours plus » ! ! !
–À souligner une erreur : Vers 1970, C’est MacLean qui présenta l’hypothèse des 3 cerveaux (Cerveau reptilien, cerveau des émotions ou limbique ou mammalien, néocortex)
On s’est aperçu depuis que le dit centre des émotions avait été trop localisé, n’existait pas, devait être remplacé par la notion de réseau. On parle maintenant du second cerveau intégrant les intestins, le tube digestif, etc.)
*** Cette sorte de schématisation structurelle ne rentre pas en contradiction avec celle des jeux où il faut quelques gagnant(e)s et beaucoup de perdant(e)s, voire dans la proportion de la règle des 20/80 de Pareto.
(En passant, cette règle, fut d’abord seulement observée par un économiste et sociologue de la fin du 19ième siècle : Alfredo de Pareto ! Il constata l’existence d’un phénomène curieux : le rapport riches/pauvres dans les sociétés européennes voisinait toujours le rapport 20/80.
Plus tard, cette proportion fut validée lors d’expériences en physique des flux ..., puis mathématisée sous le nom de « Distribution de Pareto »)
Pour moi, en toute subjectivité, Les remarques d’Henri Laborit m’ont permis de construire un ou plutôt mon petit Univers !
Il est peut-être totalement faux, voire insensé !
Mais il a au moins le mérite de m’offrir la joie intellectuelle, chaque matin, en écoutant la radio, de comprendre toutes les nouvelles ! De ne jamais être étonné ! Voire de me dire : « +1 » (Ou « +2 ou + ou +n » ! ! !
(Amusant aussi : C’est ce qu’a l’impression de vivre le fou dans sa bulle ! Il est tout heureux à sa façon de pauvre d’esprit ! Et les cieux lui sont grand ouverts !)
Parce que je me doute qu’il ne faut tout de même pas trop abuser : je ne me contenterai pas d’indiquer l’adresse Internet mais livrerai aussi le plat prêt à être accueilli ou rejeté !
La vie ne serait-elle pas une sorte d’hyper jeu ?
Permalien : http://descommentaires.blog.lemonde.fr/2010/01/12/le-jeu-de-la-vie…te-d’hyper-jeu-2/
(Le masculin neutre sera de rigueur !)
Dans l’Occident moderne rationaliste (le prolongement de l’ancien judéo-christianisme mais rebâti souvent par symétrie : « L’homme créé à l’image de Dieu » est devenu « L’homme est un dieu en devenir »), le principe du tiers exclu ou binaire remplace le dualisme ; le « bien » s’apparente au « positif » qui déprécie le « négatif », alors que le sens du mot n’existe qu’avec (ou exige) sa négation comme les deux faces d’une pièce de monnaie classique (cliché bouddhiste !).
Si ce constat était accepté, d’autres questions pourraient se poser.
Quel est le moteur de la vie ? N’est-ce pas la « motivation » qui fait réagir ?
Sa composition ne serait-elle pas formée de « manques » et « déséquilibres » ?
(Voir au départ le « principe d’homéostasie » suivi par la moindre cellule)
Dans un vrai paradis sans le moindre besoin, des réactions, actions, mouvements, se manifesteraient-ils encore en provoquant de l’animation, des indices de vie ? !
L’être humain ou l’homo sapiens (h. s.) ne se retrouve-t-il pas plus ou moins livré à lui-même, dans des manques multiples, c. à d. dépourvu d’indications précises, dans le flou, voire parfois brouillard ou plus, obligé de commencer à l’aveuglette ou à tâtons, de pratiquer la méthode des essais et erreurs dans le but de « s’en sortir » au mieux ?
Dans ce contexte, n’est-il pas astreint à parier, miser, échafauder des tactiques ou stratégies pour tenter de « gagner », « réussir », « vaincre » ou « contourner », « dépasser », les obstacles qui se présentent sans cesse ? !
N’aura-t-il pas tendance, par peur de l’insécurité, de la mort, en sollicitant son néocortex imaginatif, à pousser plus loin son avantage passager et à chercher à consolider son acquis, à le protéger (conservatisme), avant de l’amplifier (en tombant dans la dépendance) « toujours plus » et en versant dans le capitalisme ? !
Les mots venant d’être employés ne configurent-ils pas l’espace des jeux ?
POURQUOI LA THÉORIE DES JEUX NE POURRAIT-ELLE PAS S’APPLIQUER EFFICACEMENT AU PREMIER DEGRÉ … ?
1) Quels sont les ingrédients d’un jeu qui fonctionne bien ?
-Les quelques gagnants ne cohabitent-ils pas pacifiquement avec la masse des perdants parce que liés par « l’espoir » de « s’en tirer par le haut » ?
-Si celui-ci vient à trop s’amenuiser, le jeu ne s’effondre-t-il pas de lui-même et un nouveau ne prend-il pas la relève ?
Succinctement, entre autres, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?
-Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir.
-Les résignés et soumis ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque).
-Les désabusés sont ou amers ou redimensionnés.
Dans tous les cas, quels que soient la situation, le talent des acteurs en compétition, le grand manège ne peut que tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence globale des participants ! Le principe de Pareto ou la règle (20 % / 80 %) est largement compatible avec ce scénario, le vérifie grosso modo ! La valeur de cette observation (d’abord concrète) d’économie de la fin du 19e siècle a pu être confirmée scientifiquement dans des problèmes de physique dynamique de flux … v. Internet)
(Vilfredo Pareto, économiste, vers 1900 observa qu’environ 20 % de riches profitaient de 80 % des ressources dans les pays modernes occidentaux. Jusque la fin du 20ième siècle, le PNUD affichait régulièrement le déséquilibre 20/80)
# Plus synthétiquement, ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du jeu ne se discriminent-ils pas de ceux qui se précipitent dans l’attente enfantine d’obtenir des récompenses ? !
## Pourtant, ces « bons joueurs » ne constituent-ils pas les éléments primordiaux ou indispensables de la structure ? Ne serait-il pas aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !
Il apparaît normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la découverte, de l’apprentissage, etc.
N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » de jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite dans l’après- vie ? !
En prenant du recul, sans doute. Mais peu importe !
C’est ce qu’on peut envisager mais qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre potentiel mental étant petites. Personnalisons-nous le miracle de l’Univers ou seulement des éléments d’une espèce (pour le moment la plus complexe) ? !
En 2005, une évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé n’a-t-elle pas révélé une différence d’environ 2 % nous identifiant (plus sérieusement) plutôt à des sortes de « bonobos boostés » qu’à ceux de la célèbre parabole (V. le début) ? !
S’il était utile d’insister, l’expression « La dignité humaine » ne pouvant être séquencée sans l’altération de sa signification, qui serions-nous ? ! Des hommes ou des h. s.? !
Fréquemment, les activations prédominantes du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par la force) et du cerveau des émotions à la quête du plaisir (par une démarche basée sur l’analogie !) ne bousculent-elles pas les analyses et les déterminations rationnelles néocorticales qui se transforment en velléités sans poids (comme la domestique d’antan devant son maître ou Seigneur et saigneur) ? !
Où se montre alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?
2) Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que « chef-d’œuvre » par la richesse, la diversité, le foisonnement de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l’acteur le plus doué ?
A remarquer encore que deux sous- jeux, le « Qui gagne perd » et le « Qui perd gagne », sont installés en permanence mais plus que incompris ! Ils étaient déjà évoqués dans le recueil de contes et légendes écrit au fil des années par des paysans bergers très intuitifs, voire géniaux (nommé Bible) …! Ils étaient surdoués mais ils n’ont tout de même pas été capables de prévoir que l’histoire (non pas du Père Noël, plus tardive, inventée par des parents …) de l’h. s. ressemblant à Dieu ferait florès pendant des millénaires, que ces soi-disant hommes se métamorphoseraient en adolescents attardés ou chroniques (ou adulescents) ! Quoiqu' ils aient programmé qu’ils demeureraient (sauf exception) aveugles et sourds et obtus jusqu’à ce que tout s’effondrât !
N. B. Des conseils bouddhistes laissent entendre qu’on avance d’échec en échec ; qu’apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir ; etc.
Lao-Tseu expliquait (approximativement) « L’homme qui parle ne sait pas, l’homme qui sait ne parle pas » !
Socrate notait ; « Je sais que je ne sais rien »
A chacun de conclure comme il le désire … Peu n’importe-t-il pas au second degré ? !
C. Q. F. D. ? ! Oui / Non ? !
De Xyzabcd ...
Ce texte se trouve aussi sur le blog.fr sous un autre titre
*** J’ai envie d’ajouter une hypothèse supplémentaire.
Chacun(e), en fonction du potentiel génétique de départ, aurait un parcours terrestre à effectuer.
Tout se passerait selon un rythme personnel.
Comme dans tout jeu, les différences pourraient être énormes ... Mais peu importerait, tout serait relativisé.
Dans le cas de conscience suffisante, le parcours prendrait fin lorsque la/le participant(e) aurait l’impression d’avoir, sinon tout compris, suffisamment assimilé les règles ou structures de la vie pour ne plus se sentir en manque, ne plus désirer « un plus », avoir légitimement envie d’accéder au « cycle suivant » ou « Après-vie » !
(Bien sûr, les « addict(e)s » du « Toujours plus » sont hors clous ! Devraient suivre un nouveau stage terrestre et se calmer !)
Sinon, en cas de décès, si elle/il avait toujours soif de la vie, elle se réincarnerait automatiquement jusqu’à ce que tout soit pleinement consommé et désamorcé !
Par exemple, les riches narcissiques, n’ayant rien compris, enferré(e)s dans leurs privilèges, reviendraient pour éprouver le ressenti des exploité(e)s ! Pour mieux « comprendre » en « allant au charbon » !
Il ne s’agirait pas de pénalisations ou de condamnations mais de parcours à effectuer dans la « compréhension », en activant le « néocortex » !
Et à chacun(e) selon son niveau, son potentiel génétique, son génome !
Évidemment, à moins d’être surdoué(e), il n’est pas facile pour une jeune personne de tout comprendre et relativiser d’un coup !
Mais, symétriquement, elle ne demande qu’à vivre « plus » pour découvrir ! « Il faut laisser le temps au temps » !
Quant aux trop énormes accidents génétiques, trop grands handicaps, cela reste un mystère (Pour moi) ...
Quelques bulles de Altermonde-sans-frontières