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Humour. Quel est le cerveau des « shooters », jeunes tueurs … ? ! 

N’AVONS-NOUS PAS LES DIRIGEANTS QUE NOUS MÉRITONS EN TANT QU’HOMOS MERCANTILIS ? ! QUE MOUTONS ? ! QUE FERVENT.ES DES PRESTATIONS CARTÉSIENNES (Y A QU’A !) DES BARBUS et autres DE CNEWS ? !


De FRANCE INFO : À peine majeurs, déjà tueurs. Un mois après l'assassinat de Mehdi Kessaci, le 13 novembre dernier, les auteurs sont toujours recherchés. Étaient-ils expérimentés ? Toujours est-il que le recours aux tueurs à gages est un phénomène qui inquiète les autorités, d'autant plus que les tueurs sont parfois très jeunes et souvent bon marché. Ce phénomène a notamment été mis en lumière par l'arrestation d'un jeune homme près de Marseille, en 2023.
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Il s'agit de Matéo, 18 ans, devenu tristement célèbre après une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, où il se filme, en voiture, cagoule sur la tête, fier de tuer.

"J'vais enchaîner les contrats, frérot […] sur la vie de ma mère je suis en train de m'envoyer sur un contrat, je suis en train de rigoler", peut-on l'entendre dire dans cette vidéo.

Ces mots résonnent chez les policiers qui ont interrogé Matéo après son arrestation pour un double assassinat, à Marseille en 2023.

Sa froideur et son détachement ont frappé le psychiatre qui l’a examiné pendant sa garde à vue.
Dans son expertise, le spécialiste décrit un garçon qui "ne laisse transparaître aucune vibration" et qui est "verrouillé sur le plan émotionnel".

Durant la consultation, Matéo laisse bien échapper quelques larmes mais il se ressaisit rapidement "car supportant mal cet aveu de faiblesse".

Un garçon dont le psychiatre perçoit l’égocentrisme, l’absence de sentiment de culpabilité ou d’empathie. Il évoque aussi "une orgie narcissique".

Aujourd'hui, Matéo est soupçonné de sept assassinats, lors des premiers mois de 2023, pour le compte de la DZ Mafia.

Des garçons inexpérimentés

Tous les suspects arrêtés n'ont pas ce même niveau de détachement.

Mais il y a une constante chez ces jeunes, l'absence de frontière au moment du recrutement et du passage à l’acte.

Une grande partie refuse de se soumettre aux expertises psychiatriques.

Mais, dans leurs auditions, certains semblent rapidement regretter, prendre conscience de ce qu'ils ont fait, selon l'impression des enquêteurs.

"Nos enquêtes nous laissent le sentiment que ces individus ne se rendent pas compte de la gravité de leurs actes et de ce qu'ils prennent, aux victimes, à l'environnement des victimes et aux proches des victimes.

Prendre une vie humaine pour eux n'a pas de sens. Ils ne se rendent pas compte. 

On a l'impression qu'ils vivent dans un monde parallèle, en quelque sorte", explique le commissaire Christian Sivy, sous-directeur de la lutte contre la criminalité organisée à la direction nationale de la police judiciaire basée à Nanterre.

"Nos enquêtes nous laissent le sentiment que ces individus ne se rendent pas compte de la gravité de leurs actes et de ce qu'ils prennent, aux victimes, à l'environnement des victimes et aux proches des victimes."
Commissaire Christian Sivy, sous-directeur de la criminalité organisée à la police judiciaire
à franceinfo

Cela semble être le cas d’un autre garçon, 18 ans également quand en 2022, il entre dans un bar à chicha de l'est parisien avec un complice et, pistolet à la main, abat un trentenaire.

Il racontera aux enquêteurs n'avoir jamais manipulé d'arme jusque-là, avoir eu le bras tétanisé et avoir fermé les yeux au moment de tirer, jusqu'à ce que son chargeur se vide, parlant d’une "grosse bêtise" et d’avoir "foutu sa vie en l’air".

Il s'agit donc de garçons souvent inexpérimentés, ce qui implique une autre conséquence, précise Christian Sivy : "Ce sont des individus souvent très déterminés, ce qui participe bien évidemment à leur dangerosité.

Ce sont des individus qui sont assez peu expérimentés, notamment au niveau du maniement des armes ce qui multiplie le risque de victimes collatérales, le risque de troubles importants à l'ordre public lors du passage à l'acte."

Des auteurs parfois âgés de 14 ans

En 2024, un garçon de 14 ans, en chemin vers un possible assassinat, abat le chauffeur de VTC qui s'est rendu compte qu'il transportait un adolescent armé.

La douleur est incommensurable pour la famille de la victime, dont les enfants avaient quasiment l'âge du tireur, et qui attend le procès avec beaucoup de questions. "Comment a-t-il pu en arriver là ?

Qu'est-ce qu'il s'est passé dans la vie de ce jeune garçon pour se retrouver à être mis en cause dans un drame pareil ?, relate l'avocate de la famille, Anne Santana-Marc.

Néanmoins, c'est quelque chose qui ne va pas les soulager pour l'instant, même s'ils ont hâte de mettre un visage sur ce mineur qui est mis en cause."

Un tueur à gage de 14 ans ne représente pas la majorité des cas, mais cela arrive.

En novembre, dans la Drôme, un adolescent, lui aussi âgé de 14 ans, a été arrêté après une tentative d'assassinat.
Il a été interpellé par le Raid dans le Airbnb où il s'était caché.

D'après les statistiques de la police judiciaire, dans les meurtres et tentatives de meurtres liés au narcotrafic, un suspect sur quatre a moins de 20 ans et un sur dix est mineur.

Les réseaux sociaux, agence d'intérim

Ces jeunes tueurs à gages ont deux motivations principales : soit la volonté d'intégrer une organisation criminelle et de gravir les échelons, soit, tout simplement, l'appât du gain, l'argent.

Sauf que le montant promis pour ceux qu'on appelle "les sicaires" a tendance à baisser.

Récemment, à Clermont-Ferrand, un garçon de 18 ans est soupçonné d’avoir abattu un trafiquant local, pour environ 5 000 euros. 

Le suspect a répondu à une annonce sur Snapchat.

"L'intérêt des commanditaires est de créer des écrans en quelque sorte, entre eux et la victime, bien évidemment, pour essayer de rendre son identification pour les services de police plus difficiles, plus compliquée." 
Commissaire Christian Sivy
à franceinfo

Le recrutement se déroule le plus souvent sur les réseaux sociaux.

La main-d’œuvre n’est pas infinie mais elle est nombreuse, de la chair à canon.

Pour le commissaire Christian Sivy, le marché fonctionne comme une agence d'intérim, avec des contrats à réaliser et un maître mot pour les commanditaires, parfois depuis leur propre cellule de prison : "cloisonner".

"Dans la majorité des cas, ils ne connaissent pas le commanditaire. Ils ne connaissent pas la ou les victimes.

Et parfois, ils ne connaissent même pas en fait, leurs complices, que ce soit le guetteur, celui qui va fournir la logistique, le véhicule volé, l'armement…, précise le policier.

Et puis l'autre intérêt c'est d'avoir recours à une main-d’œuvre qui va être assez facilement malléable, assez facilement remplaçable et qui va être rémunérée finalement à un niveau qui est relativement faible au regard de la gravité des faits qui peuvent être commis."
"Malléables", c'est ainsi que ces jeunes tueurs à gages sont décrits par les policiers qui enquêtent tant bien que mal sur ces "shooters".

Ces garçons peuvent traverser la France et attendre une semaine cloîtrés dans un appartement le "top feu" leur indiquant de passer à l'action.

Et cela demande un travail de titan à la police, qui peut s’appuyer parfois sur l’amateurisme de certains, pour identifier les auteurs et les commanditaires, avec un défi de taille : prévenir les "narchomicides", ce qui suppose notamment un gros travail de veille sur

les réseaux sociaux.

"Ce n'est pas facile, admet le commissaire Christian Sivy, mais c'est également un axe de travail aujourd'hui qu'on explore, qu'on investit par là encore des enquêteurs spécialisés qui vont travailler sous des conditions d'anonymat et qui vont essayer d'identifier ces 'offres d'emploi', si je peux me permettre l'expression, pour identifier les commanditaires et encore une fois, prévenir ces passages à l'acte."

Est-il inconcevable qu'un homo mercantilis, puisse affirmer, par ex. à 17 ans : « Quoi que vous fassiez, je vous xyz ? ! " ? ! NON !

Ou encore, à 65 ans, Quoi que vous disiez, votre corps appartient à Dieu ! Plutôt mourir que de laisser partir quelqu’une, tranquillement, sous euthanasie ! NON ! 


ILS NE PEUVENT PAS COMPRENDRE, parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font, parce que leur génome se différencie  plus de 1 % que de 4% de celui du chimpanzé, QUE NOTRE CERVEAU NE SUIT PAS LA LOGIQUE CARTÉSIENNE (Elle ne peut pas prendre en compte l’Inconscient, les conditionnements, les gènes) MAIS LA LOGIQUE QUANTIQUE (Ou la logique biologique/psychologique/quantique !)

D’OÙ DES SUITES, SANS FIN, DE DÉRAPAGES, D’ERREURS, DE PROMESSES NON TENUES, ET PIRE !

Macron, Ju^pter, Humour, Rap-tag, Esclavage, Vengeance, Exploiteurs, Exploités, Soumis, Rebellion, Vengeance, LE CÔTÉ AMUSANT, noterait COLUCHE en SE MARRANT TOUJOURS PLUS (T. P.), N’EST-CE PAS QUE T. P. D’HOMOS NON SAPIENS (SAGES), MERCANTILIS,  CONSTATENT QUE NOUS SOMMES T. P. GOUVERNÉ.ES PAR DES « ZOZOS » T. O. zozos ! C. à se mordant t. p. la queue ? !
 
! ! ! ! ! ! Hier Jupiter s’est déplacé à Marseille, a cramé plus de 10 000 € (Avion) pour sortir : EURÊKA ! J’AI TROUVÉ ! 500 €

L’AMENDE au lieu de 200 € si on est pris en train de se droguer !

« J'en ai ras-le-bol d'avoir des jeunes qu'on pleure et dans des quartiers d'avoir d'autres gens qui considèrent que c'est festif d'aller acheter de la drogue », a martelé le président.

QUELLES SONT LES VOLONTÉS DES CAPITALISTES et DES POLITICIENS ? !

N’est-ce pas le pouvoir, la domination, le fantasme du lion mâle alpha ? !
Ou/et l’appât du gain ? ! 

Hésitent-ils à jeter leurs exploité.es dans l’intention de gagner plus ? !
A briser des grèves ou protestations dans la violence extrême ? ! (Surtout dans les siècles précédents)

LES CERVEAUX DES CAPITALISTES ET LES POLITICIENS, NE SONT-ILS PAS SEULEMENT ORGANISÉS SYMÉTRIQUEMENT ? !

LES CERVEAUX DES MACRON, POUTINE, TRUMP, SONT-ILS EN TRAIN DE T. P. S’HUMANISER OU L’INVERSE ? !

Si vous hésitez, lisez l’article d’Internet et vous serez alors obligé.e.s de voir en voyant, d’entendre en entendant et de comprendre ce qu’est le cerveau de M. Macron ! Et ce qu’il aurait pu devenir dans un autre environnement, puisque génétiquement programmé (V. son Inconscient, quand il se lâche !)

alnas.fr › actualite › politique › je-les-ai-bien-bais-je-leur-ai-mis-profond...
« Je les ai bien bais*** ! Je leur ai mis profond ! » : Emmanuel Macron ...

Je leur ai mis profond !' » Selon Gala, l’entourage privé d’Emmanuel Macron confirme cette face cachée du président, loin de l’image lisse qu’on lui connait. « Ce n’est pas le gendre idéal, loin de là. 

N’oubliez pas non plus qu’il a enchanté, par sa vision philosophique réelle, Alain Minc, de Jacques Attali ! ! ! ! ! !

PLUS GLOBALEMENT ENCORE, N’AVONS-NOUS PAS LES DIRIGEANTS QUE NOUS MÉRITONS EN TANT QU’HOMOS MERCANTILIS ? ! QUE MOUTONS ? ! QUE FERVENT.ES DES PRESTATIONS CARTÉSIENNES (Y A QU’A !) DES BARBUS et autres DE CNEWS ? !

Xyzabcd ou Pierre Payen (Dunkerque)


N. B. Depuis 1992, documentaliste de collège ZEP (Défavorisé), à la périphérie de Dunkerque, D'USINOR (ArcelorMittal), L'EXPRESS avait accepté de publier un article signalant QUE SI LES ADULTES les laissaient dépérir, ils deviendraient des rap-tags (Des Rien A Perdre, mais des Tout A gagner) !

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Cela ne fait que commencer ! Il a fallu 33 ans ! MAIS depuis cette année, C'EST DÉFINITIVEMENT PARTI !

Les laissé.es pour compte se vengeront ! Comme d'autres colonisé.es, sous d'autres formes (V. la dérivation d'une religion !) ! ET T. P. ! ! !

La MORALE de L’HISTOIRE d’une CIVILISATION CONSTRUITE SUR L’INJUSTICE, L’ESCLAVAGE, ne sera-t-elle pas : ELLE DEVRA PÉRIR SOUS LA VENGEANCE DES OPPRIMÉES, DES SOUMIS.ES, DES RIENS, (En reprenant le langage vrai de Jupiter : des baisé.es, des enculé.es, des sales cons/connes !) SE RÉVEILLANT T. P. ! N’ayant plus r. à p, mais t. à. g. ? !
 
 
•    Macron, Ju^pter, Humour, Rap-tag, Esclavage, Vengeance, Exploiteurs, Exploités, Soumis, Rebellion, Vengeance,

 

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