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Politique - Page 134

  • Des tas de chrétiens, par leur vote, s’apprêtent à endosser le rôle de BOURREAU !

     

     

    Les monstruosités organisées par les papes « infaillibles » au Moyen-âge puis pendant l’Inquisition ne les ont pas dessillés !

    Demain ou après-demain, vous assisterez impuissant(e), à l’agonie prolongée de L’ÊTRE QUE VOUS AIMEZ LE PLUS … en fin de vie !

    -La crise économique et financière se sera amplifiée, telles les métastases caractérisant la Société « Toujours plus ».

    -Les hôpitaux, déjà surchargés, saturés, ne pourront plus du tout faire face.

    -Les centres de soins palliatifs seront exsangues faute de crédits de fonctionnement.

    -Monsieur Sarkozy se retrouvera pieds et mains liés par le contrat passé avec Me Boutin en échange de la consigne de vote adressée aux adhérents du parti des démocrates chrétiens.

    POURREZ-VOUS ALORS JOUER LES PONCE PILATE ? !

    ~ Il serait étonnant qu’il revienne à la raison !

    ~ Il se défausse à tout instant ! « Ce n’est pas de ma faute, c’est la crise ! » À tel point que les Guignol ont repris l’expression pour mieux le brocarder !

    Par ex., son Dieu ne lui a pas permis de prévoir la crise des subprimes de 2008 alors qu’en 2007 la bulle de l’immobilier enflait « toujours plus » aux USA ! Que tout le monde savait !

    ~ Il défie déjà les paroles bibliques sans aucun scrupule ! IL EST DÉJÀ JUDAS !

    Ev. s. st.-Luc ch. 6-24  « Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde »

    Ch. 6-25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim !

    Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes »

    Ch. 19.24 s. st.-Matt « Je vous le dis encore une fois : il est plus aisé qu’un chameau passe par le trou d’une aiguille, qu’il ne l’est qu’un riche entre dans le royaume des cieux »

    ~ Comme les papes « infaillibles » ont envoyé au bûcher des gens osant affirmer que la Terre n’est ni plate  ni le centre du monde, ont organisé les Inquisitions pendant des siècles en Espagne, comme il persistera dans son œuvre démoniaque …

    ~~ C’est lui qui a envoyé Me Boutin sur un plateau TV se sublimer en insultant (presque) Me Sébire qui venait d’écrire à M. Sarkozy pour lui demander le droit de mourir. Elle a affirmé sur RMC être «scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme» ! (V. Internet !)

    (Me Boutin est, sinon une sorcière,  une sorte de sous papesse vociférant au Parlement, se prenant pour un ange chez elle et donc aimant s’y déplacer nue <V. Internet : « A la maison, dans l'eau, ma philosophie c'est zéro vêtement. J'aime être nue, libre de mes mouvements. C'est mon côté direct. Et ça évite de se faire tailler des costards ! », dit-elle, interrogée par Frédéric Ferrer.>)

    ~~ C’est lui qui n’a eu qu’une hâte, se faire adouber à Rome par le pape accompagné par le futur prix Nobel de philosophie humoristique Jean-Marie Bigard !

    ~ C’est lui qui n’aime pas « La Princesse de Clèves » et qui n’a pas lu « L’Être et le néant » de J.-P. Sartre (L’athée existentialiste) ! Dommage !

    ~~ S’il avait au moins survolé cet ouvrage, il aurait pu prendre connaissance de la démonstration que « LA MAUVAISE FOI » conduit inéluctablement à l’attitude du « LÂCHE » et du « SALAUD » ! ET VOUS ? !

    LE COUPLE SARKOZY-BOUTIN, OÙ NOUS CONDUIRA-T-IL SI ON L’ENCOURAGE ? !

    La France désire-t-elle aussi une nouvelle BÉRÉZINA ? !

    Voir une appréciation de M. Sarkozy à partir de l’étranger, du Chili (Via un article de Courrier International)

    VU DU CHILI Sarkozy, c'est ta frivolité qui te perdra ! 

    Frivolité, manque de culture et un penchant pour la droite dure : voila ce qui rapproche Nicolas Sarkozy du président chilien Sebastián Piñera, estime un universitaire chilien. Des ressemblances qui sont autant de points faibles.

    04.05.2012  Gonzalo Bustamante El Mostrador   Courrier International

    Nicolas Sarkozy, dont le président du Chili, Sebastián Piñera, a dit après l'avoir rencontré qu'il lui avait donné une “leçon de leadership”, est sur le point d'être le deuxième président sortant de la Ve République à ne pas obtenir de deuxième mandat. S'il y avait une chose que la droite chilienne pourrait retenir de ce cours magistral en leadership, ce serait le danger de la frivolité.

    L'“hyperprésident” avait promis de rajeunir la vie politique française, de laisser derrière lui le gaullisme, d'insuffler “américanisation et modernité” à la droite française traditionnelle et à l'Etat. Jusqu'à présent, il n'a rien réussi de semblable. Même si sa gestion a obtenu des succès, son principal problème a été ce que le philosophe Raymond Aron avait reproché à l'autre président qui n'a pas été réélu, Valéry Giscard d'Estaing. “Président, vous manquez du sens tragique [de l'Histoire]”, lui avait-t-il lancé. Chez Sarkozy, ç'a été encore plus flagrant. Malgré ses qualités d'homme d'action, il a été frivole. Une fois qu'il s'est rendu compte de l'évidence de son défaut, il a réagi comme le font les frivoles : il s'est enfermé “en privé” pour regarder des films d'art et d'essai (rien moins que Dreyer), il se vantait de lire Dostoïevski et il s'est mis à fréquenter les connaissances du monde de la culture de son épouse, Carla Bruni.

    Il ne maitrise plus son ordre du jour

    Depuis qu'il s'est lancé en politique, Sarkozy a tranché par son style direct, par sa capacité à défier ses adversaires et à aller à contre-courant s'il le faut. Ajoutez à cela que personne ne doute de son intelligence ni de son habilité. Mais alors, me direz-vous, son manque d'idées et de culture n'a guère d'importance ! Eh bien, si. D'une part, la France est l'un des pays d'Europe qui a toujours attaché le plus d'importance à cet aspect chez ses gouvernants ; d'autre part, plus généralement, celui qui manque de culture peut avoir l'esprit d'initiative, mais il n'aura pas d'idées qui donnent un contenu à son action politique. La culture entraîne la capacité à affronter la complexité de la société.

    Devant son incapacité à définir une vision d'avenir pour la nation, Sarkozy, a dû recourir de plus en plus aux idées d'autrui. Aujourd'hui, intellectuellement, il n'est plus que l'ombre de son conseiller Patrick Buisson. C'est ce dernier, intellectuel enraciné dans la droite dure, qui définit aujourd'hui l'ordre du jour du sarkozysme.

    S'il perd, comme tout semble l'indiquer (même si un miracle final peut toujours se produire), ce sera davantage à cause de sa frivolité que des vertus de son très terne et médiocre adversaire.

    La culture du management plutôt que celle de la politique

    Pour sa part, notre droite, qui par la voix de Joaquín Lavín [ministre du Plan] et de Piñera a clamé son admiration pour Sarkozy, voue un certain mépris à la politique, à laquelle elle tente de substituer l'action de la technique. Depuis l'expérience malheureuse de gouvernement “administrativo-technique” de Jorge Alessandri [Président de 1958 à 1964] jusqu'à “Piñera, la nouvelle manière de gouverner”, en passant par “Büchi [ministre des Finances de 1985 à 1989] est notre homme” et “Lavín [actuel ministre de l'Education], vive le changement”, ils ont voulu remplacer la politique par la technique et le marketing.

    Dans cette optique, leur nouvelle fascination pour le ministre des Travaux publics n'a rien d'étonnant. Laurence Golborne est le Chilien de droite par excellence. Son activisme, son parcours atypique, son côté sympa avec sa guitare, son esprit d'entreprise, tels sont les succédanés de son manque de culture politique. C'est la poursuite de la culture du management par d'autres moyens. Dans ce milieu, il paraît donc presque naturel, ou du moins pas du tout bizarre, de passer du monde du marketing à la Moneda [siège de la présidence]. L'esprit de management et la volonté de technification de la politique revêtent pour la droite chilienne un caractère idéologique.

    Sarkozy, héritier d'une tradition politique parmi les plus riches qui existent, n'a pas pu échapper à la tragédie de la frivolité. La droite a obtenu plus de voix que la gauche, mais les anticorps produits par l'antisarkozysme paraissent les plus forts.

     

    AMEN !

     

    Xyzabcd

     

     

     

  • Des tas de raisons de voter Sarkozy et contre l’euthanasie !

     

     

    Personnel débordé, patients négligés : à Poissy, l’hôpital « part en sucette »

    Ramses Kefi | Journaliste SOS 02/05/2012 à 12h52   RUE 89

     


    ImprimerVictime d’une logique de réduction des coûts – encore plus criante en banlieue – voulue par la loi Bachelot, cet hôpital des Yvelines « fait flipper ».

     

    Mariam, 26 ans, jure qu’elle pourrait « balancer » des dizaines d’histoires sur l’hôpital de Poissy (Yvelines). Si elle était « friquée », elle ne mettrait pas les pieds dans « cette cour des Miracles ». Qu’elle irait se faire soigner à la clinique, « pour échapper à la descente aux enfers du public ».

    Elle raconte les cinq heures passées avec son père, en janvier dernier, aux urgences de Poissy :

    « C’est un vieillard. Le pauvre grelottait. On avait mis son lit près des toilettes, parce qu’il n’y avait plus de place. L’odeur, le froid étaient insupportables.

    On ne lui avait donné qu’un drap pour se couvrir. J’ai demandé des couvertures, on m’a dit qu’il y en avait pas. J’ai demandé d’autres draps, on m’a dit la même chose. J’ai gueulé, puis je me suis rendu compte que tout le monde s’en foutait. Cela paraissait presque normal. Cet hosto fait flipper. »

    « Une ambiance de mauvais polar »

    En 1997, l’hôpital de Poissy a fusionné avec celui de la ville voisine de Saint-Germain-en-Laye, formant l’une des structures hospitalières les plus importantes d’Ile-de-France : environ 4 000 personnes employées, 1 200 lits, pour un bassin de population de plus de 600 000 habitants. L’une des plus mal gérées et des plus tourmentées aussi. La première préoccupation des personnes rencontrées est d’éviter à tout prix cet établissement.

    En plus des énormes dettes et du déficit de l’établissement, un rapport de la Direction départementale des affaires sanitaires sociales (DDASS) a mis en lumière, en 2009, des malversations et des irrégularités dans l’attribution de marchés publics. Le point de départ de plusieurs enquêtes et d’un long feuilleton.

    Directeurs évincés, procédures judiciaires qui traînent, soupçons autour de politiciens locaux et, récemment, projet de déménagement de l’établissement dans la commune voisine de Chambourcy mis en suspens.

    Début 2011, Le Point décrivait un hôpital où « l’intérêt du patient passe en second », Le Parisien « une ambiance de mauvais polar » et « un gâchis ».

    « En sortant, tu ne sais pas si tu as été bien soigné »

    Le mot « gâchis » reviendra plusieurs fois dans la bouche de Mariam, qui ne veut cependant pas accabler le personnel dans son témoignage :

    « En regardant les aides-soignants, les infirmières et les médecins, on comprend qu’ils n’y peuvent pas grand-chose. Tu y entres et en sortant, tu ne sais même pas si tu as été bien soigné. »

    Lucile Cranney, infirmière et membre du syndicat SUD de l’hôpital, confirme : « Cet hôpital part en sucette. »

    Sur les urgences de Poissy, régulièrement pointées du doigt par les usagers, elle dira qu’elles sont à l’image de l’établissement :

    « Les locaux des urgences ne sont même plus adaptés puisqu’avec la fermeture pour raison économique de celles de Saint-Germain-en-Laye la nuit et les week-ends, nous devons tout assumer. Sans moyens humains et économiques supplémentaires. »

    Khadija, 52 ans, habite « dans le coin » depuis 1984. Opérée du pied en 2010, puis de la hanche en 2011, elle soupire :

    « Les médecins n’ont même plus le temps de communiquer, ni de vous expliquer correctement, car une seule chose les obsède : vous réexpédier chez vous par tous les moyens, parfois sans diagnostic.

    J’ai connu cet hôpital dans les années 80 et 90. Je peux dire sans trop m’avancer que les conditions pour les patients étaient meilleures. »

    Absentéisme et dépression chez le personnel

    Le récit de Florent, 29 ans, originaire de la commune voisine d’Achères, est le même. A quelques mots près :

    « C’était un week-end en début d’année. J’avais chopé la mononucléose. J’étais à bout. Je l’ai appris par mon médecin traitant le lundi, qui ne m’a pas cru quand je lui ai dit qu’à Poissy, le samedi soir, ils m’avaient prescrit du Doliprane et du repos.

    Le médecin qui m’a ausculté là-bas était plus crevé que moi. Il n’avait qu’une envie : que je dégage. »

    « Le personnel qui a des diplômes et qui peut se vendre ailleurs s’enfuit, sans vraiment être remplacé », glisse Lucile Cranney. La fuite du personnel, des compétences, mais pas seulement :

    « La politique du chiffre à court terme, c’est plus de contractuels, plus de CDD. Parmi les médecins aux urgences, beaucoup ne sont que vacataires. Le taux d’absentéisme est important, celui de dépression aussi. Les rapports avec la nouvelle direction sont très compliqués. [...]

    On a oublié les desseins premiers de l’hôpital. C’est devenu une entreprise comme une autre. On parle de santé là ! »

    « Les économies ne se font jamais au détriment des usagers »

    Si le nouveau directeur de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain, Yves Bloch, reconnaît une baisse du « personnel non qualifié », il refuse néanmoins de lier le malaise des patients et du personnel à la situation économique de l’établissement :

    « Tous les établissements doivent faire avec le budget serré, mais les économies ne se font jamais au détriment des usagers. Il est clair néanmoins que nous ne travaillons pas dans les conditions matérielles que nous voudrions, bien que notre ambition soit d’être toujours au niveau. »

    Il se projette vers 2014 et l’ouverture, hypothétique, d’un nouveau bâtiment, plus grand, plus adapté pour accueillir les urgences de Poissy. Dit que dans certains cas, l’urgentiste est dans l’impossibilité d’établir un diagnostic clair, « parce que les choses mettent parfois plusieurs jours à être visibles ». Qu’’il reçoit, parfois, des lettres de remerciements.

    Supprimer la loi Bachelot

    Je lui fais part de certains témoignages. Celui de Mariam notamment. L’histoire des couvertures :

    « Je ne nie pas les difficultés et m’en excuse d’ailleurs auprès des patients. [...]

    Sans remettre en cause les réclamations, il est vrai aussi que lorsque que quelqu’un vient aux urgences, il s’attend – et c’est humain – que l’on s’occupe de lui tout de suite. Il voit tout négativement, parce que son état l’y encourage. »

    En septembre 2011, un collectif regroupant usagers, personnel de l’hôpital et associations s’est formé pour la défense de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain. Il milite, entre autres, pour la réouverture 24 heures sur 24 des urgences de Saint-Germain-en-Laye et la suppression de la loi Hôpital, patients, santé et territoires de 2008, promulguée pour ramener l’hôpital public à l’équilibre budgétaire.

    « Demain, il n’y aura peut-être plus d’hôpital public »

    Fabienne Lauret, retraitée et membre du collectif, dénonce une volonté « très claire » de sacrifier « le public au profit du privé » et de booster l’activité des cliniques :

    « On met en concurrence les hôpitaux et on privatise les services les plus rentables de l’hôpital public. On ne prend ni en compte les besoins de la population, ni ceux du personnel.

    On est dans une logique de réduction des coûts complètement aveugle, décidée arbitrairement, sans aucune concertation. »

    Dans Le Courrier des Yvelines du 7 décembre 2011, les mots de Christian Lehmann, écrivain et médecin généraliste à Poissy, étaient plus durs :

    « Il est peut-être déjà trop tard. Demain, il n’y aura plus de médecine tournée vers l’individu, plus de médecine générale, plus d’hôpital public. Vous serez soignés comme vous avez été vaccinés contre H1N1. Un mélange d’étatisme et d’incompétence. »

    Banlieues : « Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire »

    Joselyne Rousseau et Josselyne Buruchian | Présidentes de l’Association des Professionnels Libéraux de Santé de Pierrefitte et de Stains


    Présidentes de l’Association des professionnels libéraux de santé de Pierrefitte et de Stains (Seine-Saint-Denis), nous dénonçons depuis douze ans les problèmes d’insécurité que rencontrent les praticiens de santé de proximité de ces villes. Ces violences, commises par des mineurs, souvent armés, aggravent de façon considérable la désertification médicale et para-médicale de nos communes, mettant en péril l’équilibre déjà précaire de la santé de proximité sur ce territoire.

    En 2011, ces deux communes ont perdu 10% de leurs professionnels de santé. Avec un médecin libéral pour 3 000 habitants (la moyenne étant de 1/1000), Pierrefitte est reconnue comme un véritable « désert médical ».

    Nous, professionnels de santé, sommes incontournables :

    • dans le maintien à domicile de patients présentant des pathologies complexes et des personnes âgées ou en fin de vie ;
    • dans l’alerte sur la résurgence de maladies graves (tuberculose, saturnisme) ou d’éventuelles épidémies locales ;
    • à l’heure où les urgences des hôpitaux sont engorgées, nous assurons un rôle de premier recours dans les situations sensibles et constituons de ce fait un facteur important de cohésion sociale.

    Les politiques se renvoient la balle

    Depuis novembre 2009, nous ne cessons d’interpeller les pouvoirs publics sur notre rôle sanitaire et social. En vain.

    En avril 2011, nous avons rencontré le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, qui nous a assuré que la désertification médicale n’était pas une fatalité et qu’il avait besoin que nous restions. Mais en dehors de ces bonnes paroles rien d’effectif n’a été entrepris.

    En juin 2011, nous avons rencontré le directeur de l’Agence régionale de santé, Claude Evin qui, hormis la création de maisons médicales ne nous propose rien de concret.

    En désespoir de cause, en janvier 2012, nous avons une nouvelle fois écrit au président Sarkozy... qui nous a renvoyés à Xavier Bertrand... qui nous a dirigés vers Claude Evin. La boucle est bouclée !

    Finalement, nous avons rencontré le 7 mars dernier, la conseillère technique de Xavier Bertrand. Que nous propose-t-on ? Encore et toujours des maisons pluridisciplinaires qui ne sont ni une solution rapide à mettre en place, ni une solution aux agressions. Cela ne résoudra en rien le problème des visites à domicile.

    Enfin elle nous a clairement annoncé que si nous ne voulions plus assurer notre mission, nous étions libres de partir. D’ailleurs, d’autres professionnels de santé étrangers n’hésiteraient pas à venir dans nos banlieues, nous dit-on. Expérience déjà tentée, or les dits professionnels ne sont pas restés pour autant sur leur lieu d’exercice.

    Parallèlement, nous avons contacté Jean-Marie Le Guen, responsable des questions de santé au Parti socialiste, qui nous a dirigés vers un responsable de son parti. Vérification faite ce responsable n’est pas connu en France !

    Lutter contre l’insécurité et la désertification

    Où se situe l’égalité dans l’accès aux soins tant demandée par tous les candidats politiques ? En douze ans, nous avons obtenu un carnet de sécurité, un numéro dédié à dix chiffres, un référent santé au commissariat que les professionnels de santé avertissent en cas d’agression.

    Tout cela est loin d’être efficient, notamment en prévention des agressions. Ce que nous réclamons :

    Pour assurer notre sécurité :

    • un numéro dédié à quatre chiffres ;
    • la mise en place de bips de sécurité en cas de danger ou d’agression ;
    • une vidéosurveillance à des points stratégiques afin de créer un maillage ;
    • un meilleur éclairage de nos communes (certaines rues sont de vrais « coupe-gorge »).

    Pour lutter contre la désertification :

    • des mesures fiscales pour maintenir le maigre tissu de proximité de santé libéral existant sur le territoire ;
    • la reconnaissance de nos agressions en accident de travail…

    Que deviendra dans un très proche avenir cette population laissée à l’abandon une fois que le tissu libéral de proximité aura définitivement disparu en raison de l’indifférence générale de nos « irresponsables politiques » ?

    Nos limites sont largement atteintes : il y a urgence ! L’hémorragie de professionnels de santé ne sera plus rattrapable ! Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire !

    Xyzabcd !

     

  • La Gauche arrive (de peu) à éviter le gain de la présidence ! OUF !

     

    La gauche est obligée d’avoir recours au spécialiste du timing : « Julien » (Dray) pour ne pas sombrer dans la crise, voire le tsunami économique, qui s’annoncent !

    Mais ce n’est pas une première !  Ils ont l’habitude ! Cela fait déjà 5 ans qu’ils évitent astucieusement, au dernier moment, de gagner le pouvoir !

    En 2012, toujours plus imaginatifs, le 28/04/12,  à environ une semaine du scrutin présidentiel du 6 mai, ils ont fait appel à un expert en horlogerie qui, en se forçant, en ameutant la presse, vient  de brillamment réussir !

    *** Comme la crise va forcément « toujours plus » s’intensifier, dans l’intérêt de la France, il sera effectivement beaucoup plus sain, positif, de se révolter contre un petit Napoléon que contre des Flanbis & cie !

    « Pataquès à l'anniversaire de Julien Dray : DSK était invité Le Monde.fr avec AFP  29.04.2012 »

    Le député PS Julien Dray a convié samedi soir dans un bar parisien Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici notamment, pour fêter son anniversaire mais sans les avertir de la présence de Dominique Strauss-Kahn parmi les convives, ce qui a provoqué leur départ.

    L'existence de cette rencontre a été révélée samedi soir sur Twitter par le journaliste du Point, Saïd Mahrane, qui a posté sur son compte deux photos, l'une DSK et l'autre de Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande.

    Le PS a indiqué que Julien Dray fêtait son anniversaire dans un bar de la rue Saint-Denis, mais n'avait pas prévenu les autres invités de la venue de l'ancien directeur général du Fond monétaire international.

    En l'apprenant Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici, directeur de la campagne de François Hollande, seraient repartis aussitôt et n'auraient « pas croisé » M. Strauss-Kahn.

    LA COLÈRE DE SÉGOLÈNE ROYAL

    « Dire que j'aurai rencontré Dominique Strauss-Kahn à cette occasion serait diffamatoire », a prévenu Mme Royal.

    « Je suis allée dans ce bar avec ma fille fêter l'anniversaire de Julien Dray, nos enfants sont amis, mais je ne savais pas que Dominique Strauss-Kahn était également invité.

    En l'apprenant, nous sommes tout de suite reparties et nous ne l'avons pas croisé », a-t-elle ajouté, en soulignant que M. Valls en avait fait autant.

    Elle a jugé  « inadmissible » que Julien Dray ne lui ai rien dit avant.

    Cette invitation intervenait à la veille du grand meeting parisien du candidat socialiste à la présidentielle.

     

    Le scénario est habile.

    -M. Dray étant né le 5 mars et DSK le 25 avril, la réunion prétexte a eu lieu le 28 avril !

    -Quant au bistrot, bien sûr, il devait se trouver forcément rue Saint-Denis !

    -Seul Dodo la Saumure manquait ... parce que occupé ailleurs ! Mais il était impossible de l’attendre.

    M. Dray, espère faire d’une pierre deux coups. Parvenant à prouver de nouveau qu’il est un expert de l'espace temporel, il souhaiterait, soi-disant, devenir ministre de l’intérieur ?

    LE COMBLE DE L’HISTOIRE VAUDEVILLESQUE !

    -M. Sarkozy ne manquera pas de les remercier en conséquence !

    -Et  la catastrophe économique ne faisant que commencer, il ne tardera pas à saisir le pétrin (ou ….) dans lequel il s’est plongé et où il risque de s’engloutir ! 

    Un peu comme l’insecte tout heureux de se délecter dans le miel avant de s’apercevoir qu’il est pris au piège, dans l’impossibilité de s’en dégager !

    Il ne terminera pas son quinquennat  dans le calme mais  dans des tensions et affrontements civils « toujours plus » délétères

    Xyzabcd !