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L’alimentation moderne, industrielle, peu coûteuse, non bio, qu’en penser ? !

 

Si on consulte les  études et résultats affichés, les poisons alimentaires ne sont pas absents mais redondants !

 

 Mais ne sont-ils pas acceptés dans un consensus général ? !  

 

 

 Pourquoi la dite Gauche et l’authentique Droite et les autres se rassemblent et se ressemblent-ils dans le SILENCE TOTAL ? !

 

 

 Dégagez, y’a rien à voir !)

 

 

 (Le masculin neutre sera employé)

 

 

 Par exemple, on pourrait être amené (si on était demeuré naïf) à se demander pourquoi les gens ne sont pas avertis qu’ils mangent ou touchent ou respirent, sans le savoir, des produits qui les empoisonnent à petit feu !

 

 

 Que la Droite et ses amis les producteurs capitalistes choisissent le silence, OK !

 

Que les « pauvres » s’éteignent rapidement, cela permettra de régler « positivement » les problèmes des retraites, des hôpitaux, des mouroirs, de la dette !

 

 

 Ce qui est nettement plus gênant, ne serait-ce pas que la dite Gauche, que les syndicalistes dits « humanistes », que les pseudo-révolutionnaires (Mélenchon, NPA), que les présumés Verts, que tous les autres, jouent totalement le JEU DE LA DROITE ? ! A ce niveau LE CONSENSUS N’EXISTE-IL PAS ?  !

 

POURQUOI ? !

 

 

N’est-ce pas « Elémentaire, mon cher Watson » ? !         

 

 

 

                                                              UN MENU … !

 

Des poisons dans l’assiette ! Ou « Nos poisons quotidiens » ! (Des informations trouvées sur Internet)

 

Une présentation des plus utilisés !

 

Le bisphénol A. Les phtalates. L'aspartame. Le formaldéhyde. Le triclosan. Le paraben. L’aluminium. L’oxybenzone. Les éthers de glycol. Les retardateurs de flamme bromés.

 

On sait que contrairement aux discours officiels, aux conclusions de l’EFSA (European Food Safety Authority), par exemple sur le Bisphénol A(Voir le lien  :   http://reseau-environnement-sante.fr - L'Agence européenne de sécurité alimentaire continue de nier la réalité écrasante des données scientifiques, émanant pourtant de plus de 600 études.  Ndlr. A priori, elle conclurait pareillement sur  les phtalates mais elle s’en ait bien gardée !),des tas d’additifs et d’éléments nouveaux (telles les nano particules traversant les parois des cellules) se trouvent dans la composition des aliments, des plastiques, des matériaux modernes (peintures, produits de nettoyage, cosmétiques ; agissent à moyen ou/et long terme comme des poisons.

 

En 2002, trois associations américaines de consommateurs lançaient un cri d’alarme : de nombreux cosmétiques, déodorants, shampoings, vernis et autres crèmes pour le corps, lotions après-rasage, contiennent des phtalates dangereux en raison de leur effet néfaste sur, entre autres, la fertilité masculine, le développement des fœtus et des bébés, mais aussi leur rôle dans certains cancers du sein. Multiples sont les produits de la vie quotidienne contenant des phtalates utilisés pour assouplir les plastiques durs de type PVC (polychlorure de vinyle). Ils se retrouvent par ex. dans les aérosols, couches pour bébés, jouets en plastiques, rideaux de douche, cuirs synthétiques, textiles imperméables ou enduits, bottes en plastique, revêtements de sols, matériels médicaux et hospitaliers (gants, poches, cathéters, tubulures, perfusions...), etc., etc. !

 

Sur A2, le 01/12/11, dans « Complément d’enquête sur - la stérilité masculine - », un chercheur expliquait que, par hasard, il avait découvert que la structure des phtalates ressemblait étrangement à celle du  paracétamol ! D'où les dégâts inconscients mais réels à "l'insu de son plein gré" ! Cela a été vérifié par celui-ci !

 

 

Quant aux récipients destinés à contenir des aliments ou des liquides, s'ils sont un peu souples et fabriqués à partir de PVC, méfiance... Le PVC est repérable par le logo ci-contre, qui correspond à son code de recyclage (portant le n°3). Pour les biberons, c'est le chiffre 7 qu'il faut traquer.

 

 

EN BREF, la chimie a totalement envahi les mondes de l’industrie et de l’agriculture. Résultat : on trouve des substances chimiques partout. Or environ 1 500 d’entre elles, présentes dans les objets de notre quotidien, sont reconnues toxiques pour l’homme (et l’environnement). Voir les allergies, la stérilité, les troubles neurologiques, les cancers, etc.

Si on  trouve sur Internet des tas de renseignements sur la toxicité, un livre « Notre poison quotidien » et  le film de même titrede Me Marie-Monique Robin (Une journaliste qui s’est spécialisée sur ce thème, qui intervient parfois à la TV) sont très intéressants (Je viens juste d’assister au film, d’acheter le bouquin, ne l’ai pas encore lu !)

 

Ci-joint quelques autres perturbateurs potentiels.

 

 

 L'aspartame, soi-disant inoffensif, est dangereux  (Il n'a été introduit qu'en écartant des résultats défavorables) ! (Un peu comme le "médiator". Voir le livre de Me Robin)

 

Des études mettent en évidence des effets sur le système nerveux. Alors consommer l’aspartame avec modération, varier les édulcorants, et manger moins de sucre !

 

Le bisphénol A (Rappel).Utilisé essentiellement pour synthétiser les polymères, le bisphénol A est l’un des produits chimiques de notre quotidien qui fait le plus polémique : présent dans la vaisselle en plastique, par exemple, il est reconnu toxique pour la reproduction et le développement du fœtus (contamination par ingestion mais également par la peau et les voies respiratoires). La France et le Canada ont même décidé d’interdire son emploi dans la fabrication des biberons. Choisir des produits en plastique dont l’emballage mentionne « sans BPA ».

 

Les phtalates (Rappel). Ils sont présents dans un grand nombre de produits de consommation courante, comme les emballages alimentaires ou les jouets. On les retrouve aussi dans les cosmétiques (utilisés comme agents fixateurs). Mais leurs effets néfastes sur la reproduction et le développement sont aujourd’hui prouvés, et ils pourraient être impliqués dans certains cas de cancer. Lire les emballages afin de les éviter, surtout si vous êtes enceinte. (Ndlr. A première vue, il n’y a pas d’emballages en plastique où il est mentionné « sans phtalates »)

 

Le formaldéhyde. Le formaldéhyde est un polluant intérieur qui a été classé comme « cancérigène certain » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) depuis 2004. Il provoque aussi des irritations des yeux, des voies respiratoires, et de la peau, et peut avoir des conséquences neurologiques. Mais comment y sommes-nous exposés ? C’est un composé volatile qui se dégage des colles au formol des panneaux de bois, des vernis pour parquets, ou encore des parfums d’intérieur. Comment l’éviter ? En optant pour du bois massif non traité labellisé FSC, ou des produits de classe E1, pour lesquels les doses sont très réduites.

 

Le triclosan. Savons, déodorants, dentifrices, ustensiles de cuisine, produits cosmétiques ou ménagers,… Quel est le point commun entre tous ces articles ? Le triclosan. Or ce composé chimique antifongique et antibactérien fait partie des perturbateurs endocriniens (qui modifient le fonctionnement hormonal et les capacités reproductives sur plusieurs générations). Il est également soupçonné d’entretenir des liens avec le cancer, et de gravement impacter les écosystèmes aquatiques : une fois rejeté dans les canalisations, il affecte durablement les cours d’eau, leur faune et leur flore (agent bioaccumulatif). A proscrire lors des achats ! Penser au bio, et aux produits éco-labellisés.

 

Le paraben. Voilà un conservateur que l’on croise dans 80 % des produits de beauté, dans nombre de boissons et d’aliments, ainsi que dans beaucoup de médicaments. Et pourtant, l’utilisation du paraben est sujette à controverse : c’est une substance allergène, et très probablement cancérigène (tumeurs du sein notamment). Sans compter sa possible implication dans la baisse de la fertilité. A fuir ! Acheter des cosmétiques « sans parabène » (ou « sans paraben »), qui contiennent souvent des huiles essentielles, et préférer les produits frais ou pauvres en conservateurs.

 

L’aluminium. Impossible de se passer de l’alu : ce métal allie longévité, résistance à la corrosion, malléabilité, ductilité, excellente recyclabilité, et faible densité. Il est ainsi largement sollicité dans la construction, l’automobile, l’aéronautique, l’électronique,… et pour l’élaboration des biens de consommation : boîtes de conserve, canettes, papier aluminium,… mais aussi produits de beauté (crèmes, rouges à lèvres, déodorants,…) et vaccins. Problème : sa nocivité pour les systèmes neurologique (Alzheimer) et sanguin (anémies) est aujourd’hui avérée. Recommandations : privilégier les déos et laits maternels sans aluminium, ne pas boire à la canette, et éviter le contact du papier alu avec les aliments.

 

L’oxybenzone. C’est un filtre ultraviolet très répandu dans les crèmes solaires. On peut aussi le trouver dans les crèmes hydratantes et les baumes pour les lèvres. Mais il faudrait le fuir : il provoque des allergies, agit sur l’équilibre hormonal des espèces vivantes (perturbateur endocrinien), et pollue ainsi santé humaine et environnement. Les écrans solaires bio sont amplement conseillés, surtout pour les enfants. Ou alors choisir des produits contenant des ingrédients minéraux non absorbés par la peau (oxyde de zinc ou dioxyde de titane).

 

Les éthers de glycol. Dans les peintures, les vernis, les encres, les colles, les détergents,… les éthers de glycol sont courants (utilisés notamment comme solvant et dégraissant). Ils sont même présents dans certains médicaments ou colorants pour cheveux. Mais attention : ils engendrent l’infertilité masculine et féminine et des troubles de la reproduction (notamment malformations), voire même le cancer (des études sont en cours). Vérifier que les peintures à l’eau ou les vernis à ongles acheté  ne contiennent par ces substances. Et opter pour les produits éco-labellisés.

 

Les retardateurs de flamme bromés. Il existe plus de 70 composés bromés employés pour prévenir la combustion et retarder la propagation du feu dans divers plastiques, textiles ou autres matériaux. On les intègre aux appareils électriques et électroniques, aux voitures, aux tapis et aux isolants. Le souci, c’est qu’on manque d’informations sur ces substances. Ce qu’on  peut affirmer, c’est que leur exposition chronique entraîne des perturbations du développement corporel et neurologique chez le rat. Et qu’elles affectent durablement les écosystèmes. Guetter donc sa présence !

 

Les nanoparticules pourraient perturber les fonctions cérébrales (Ajout personnel à ce répertoire, Article obtenu dans :  lequotidiendumedecin.fr 27/10/2011)

 

 Une étude publiée dans « Biomaterials », une revue du groupe Elsevier, suggère qu’une exposition chronique aux nanoparticules de dioxyde de titane (nano-TiO2) « pourrait entraîner leur accumulation dans le cerveau avec un risque de perturbation de certaines fonctions cérébrales ».

 

L’étude, disponible en ligne, a été réalisée par un groupe de chercheurs français du CEA et de l’université Joseph-Fourier de Grenoble. Grâce à un modèle cellulaire, utilisé par l’industrie pharmaceutique pour tester les candidats médicaments lors d’études précliniques, Émilie Brun et col. ont montré qu’une exposition aiguë et/ou chronique in vitro aux nano-TiO2 entraînait leur accumulation dans les cellules endothéliales cérébrales. Ces nanoparticules altèrent en effet la barrière hémato-encéphalique, structure essentielle pour la protection du cerveau, et provoquent une inflammation cérébro-vasculaire. Les chercheurs ont également observé une diminution de l’activité de la P-glycoprotéine, une protéine présente dans les cellules endothéliales et dont le rôle est de bloquer les toxines susceptibles de pénétrer le système nerveux central.

 

C’est en s’interrogeant sur les résultats d’une étude chez le rat qui avait montré que des nano-TiO2 instillées par voie nasale étaient détectées dans le cerveau, principalement dans l’hippocampe et le bulbe olfactif, que les chercheurs ont développé leur modèle. Comment des nanoparticules pouvaient-elles se retrouver dans le cerveau, alors que ce dernier est normalement protégé des éléments toxiques par la barrière hémato-encéphalique ? Le modèle qu’ils ont alors développé pour répondre à la question présente les principales caractéristiques de la barrière in vivo, y compris humaine, en associant deux types de cellules : des cellules endothéliales cultivées sur une membrane semi-perméable et des cellules gliales. D’où leur crainte d’un effet in vivo chez l’homme.

 

Les nanoparticules de dioxyde de titane sont produites à l’échelle industrielle et sont utilisées dans de nombreux produits, comme des peintures, des cosmétiques (protections solaires) ou des systèmes de dépollution (revêtements autonettoyants).

 

Dr L. A.

 

EN BREF

 

 - Les effets  se produisent toujours après un temps de latence !

 

- L'ancienne théorie presque linéaire reliant la quantité de la dose et l'importance de l'effet n'est pas toujours valable !

 

- Les effets cocktails sont bien plus délétères et toujours plus d'actualité !

 

- Les enfants naissent plus fragiles ....

 

- L’obésité est aussi favorisée par l’ingestion de certains mélanges …

 

- L’introduction des nano particules, plus récente, ne permet pas de  prévoir les conséquences délétères (ou non) au niveau des cellules pénétrées ! 

 

- Etc.

 

 

 Bons repas !

 

Cordialement.

 

N. B. N’êtes-vous pas d’accord avec la réponse : « Elémentaire, mon cher Watson ! » ? !

 

 

 Ne sont-ils pas « toujours plus » nombreux ceux qui  commencent  à se baser sur ce constat  pour souligner, écrire,  commenter,  affirmer qu’ils réorienteront leurs votes en conséquence ? !

 

 

End

 

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