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Saviez-vous que les Marxistes trompaient depuis 2005 celles et ceux qui n’ont pas lu Marx ? ! ! !

La politique de Karl Marx repose sur le problème du « conditionnement » (Sous-entendu : l’homme est un dieu en devenir vivant dans la dignité !)

Ce matin, je me suis adressé à de nombreux médias et autres pour leur demander de faire le point sur le problème du « conditionnement » !

Ce qui suit est une copie du billet publié dans mon blog relié à Mediapart.

Humour. Je n’avais pas lu Karl Marx ! Il explique presque tout ! ! !

  • 30 sept. 2017  1115 billets
  • Par Monkeyman
  • Blog : https://blogs.mediapart.fr/monkeyman/blog
  • Je publie toujours sur 2 ou 3 blogs en changeant les titres (Le premier est géré par Mediapart), le second dépend du journal Le Monde  (J’ai déjà été censuré « n » fois alors qu’accepté par Mediapart et Hautetfort ! Par ex. je ne publierai pas sur celui géré par Le Monde bien trop conformiste !)

Sauf qu’il n’a pas conscience d’être idéologisé ou conditionné par la culture judéo-chrétienne ! UNE PROPOSITION ! M. PLENEL, sortez des textes de Marx et commentez-les en profitant de l’apport du 21ième siècle !

  • Et comme il ne s’agit pas de vous demander l’impossible ... Les lectrices/teurs décideront ...

(Je vais présenter cette même demande aux  médias auxquels je suis abonné ! Mais en pure perte de temps !)

Que les internautes écoutent par exemple  Le fin mot de l'infoRaphaël Enthoven (Europe1)

La prestation du 28/09/17 : On manipule comme on veut les gens qui se croient libres

Voir la vidéo ...  « Ce n'est pas la conscience qui détermine la vie mais plutôt la vie qui détermine la conscience »

D’autres extraits tirés de : « Toupie.org : site sans publicité ni pistage »

 1) "Le comportement borné des hommes en face de la nature conditionne leur comportement borné entre eux."
Karl Marx - 1818-1883 - L'idéologie allemande

[[[Moi : Si cette phrase était authentique, je la considérerais réaliste, correcte.

En 1ière position se situe le comportement borné de l’homme.

A son époque, parce que conditionné(e)s par la culture judéo-chrétienne, les gens confondaient encore LOGIQUEMENT « homme vrai » (Vivant dans la « dignité humaine ») et « homo sapiens » vivant légitimement sans aucun scrupule, gène, dans l’indignité, puisque son génome se différencie de 0,6 % de celui du chimpanzé ! Cette position a été licite jusque 2005 !]]]

2) "Les peuples n'ont pas élu leurs gouvernements pour que ceux-ci les "offrent" au marché. Mais le marché conditionne les gouvernements pour que ceux-ci leur "offrent" leurs peuples. Avec la mondialisation libérale, le marché est l'instrument par excellence de l'unique pouvoir digne de ce nom, le pouvoir économique et financier. Celui-ci n'est pas démocratique puisqu'il n'a pas été élu par le peuple, n'est pas géré par le peuple, et surtout parce qu'il n'a pas pour finalité le bonheur du peuple."
José Saramago, écrivain portugais - Le Monde Diplomatique, octobre - novembre 2005

3) "Émerveiller pour séduire, rien de plus facile avec la cible idéale des chercheurs en marketing, à savoir : les enfants - on parle de psycho-séduction infantile. L'un de ces experts, M. Clyde Miller, explique l'importance de s'adresser spécifiquement à eux : "Cela prend du temps, oui, mais, si vous comptez rester dans les affaires assez longtemps, songez à ce que cela peut signifier de profits pour votre firme si vous pouvez conditionner un million ou dix millions d'enfants qui seront un jour des adultes dressés à acheter votre produit comme les soldats sont dressés à avancer quand ils entendent commander : "En avant, marche !""
Pour fidéliser ces nouveaux clients, l'idée a été d'intégrer, au sein du magasin, des jeux, des participations ludiques. De manière à inscrire dans leur mémoire émotionnelle cette atmosphère joyeuse qu'ils essaieront, une fois adultes, de revivre en consommant. Cinquante ans plus tard, ces pratiques font les beaux jours d'Ikea ou encore de McDonald's."
Frank Mazoyer - Consommateurs sous influence : l'irrésistible perversion du besoin, Le Monde diplomatique, décembre 2000

[[[Moi : Oui mais ! Il confond lui aussi homme et homo sapiens !]]]

4) "Chasser le gogo qui est en chaque citoyen, faire en sorte que ceux qui n'utilisent pas (ou trop peu) leur citoyenneté se réveillent, refusent les conditionnements aliénants et exigent de vivre autrement, c'est en cela que consisterait la révolution dans une République qui nous propose les moyens de la citoyenneté."
Jacques Testart - Le Mur, le vélo et le citoyen – 2006

Description de ce bouquin (Extrait d’Amazon.fr)

Présentation de l'éditeur

Jacques Testart pousse ici un cri de colère : quand les plantes génétiquement modifiées ne tiennent pas leurs promesses, quand leurs risques ne sont pas sérieusement évalués, quand les critiques sont systématiquement discréditées, que reste-t-il de la science ? Quand les entreprises qui diffusent les innovations pèsent fortement sur les commissions d'experts et les décideurs politiques, quand sont proposés des simulacres de concertation alors que tout est déjà décidé, que reste-t-il de la démocratie ? Il n'empêche, les innovations s'accélèrent, au nom de la modernité (" on n'arrête pas le progrès "), de la science (" tout est sous contrôle "), et de l'urgence (" on risque d'être en retard "). Et, le plus souvent, contre l'avis des populations. Il est pourtant possible de donner aux citoyens les moyens de produire un jugement éclairé, à l'exemple de la conférence de citoyens : un groupe de personnes, neutres, accepte de recevoir une formation complète et contradictoire avant d'élaborer ensemble un avis. Ainsi, la population pourrait-elle influer sur le choix des grandes orientations, notamment scientifiques. Légaliser cette procédure est la meilleure voie pour échapper au destin qu'imposent les forces économiques dominantes et ainsi appuyer sur les freins du vélo de la croissance tous azimuts. Avant qu'il ne soit dans le mur.

Biographie de l'auteur

Jacques Testart est biologiste, auteur de la première fécondation in vitro humaine en France (Amandine est née en 1982). Se définissant comme un critique de sciences, c'est un acteur incontournable des débats sur les implications sociales de la technoscience.

[[[Moi : ce chercheur, surdoué, est avant tout idéologisé « humaniste »

Il a donc enterré comme ses collègues et « gens cultivés » le Bilan 2005 concernant notre génome ! Pour lui, l’homme est l’homme et ne peut pas être un  « 0,6%+ » ! ! !]]]

5) Autre article pioché sur Internet. « Le déterminisme social »

 17 mai 2017  christophegirerd@yahoo.fr

 On peut parler d’inconscient social (et donc de déterminisme social) pour désigner la façon dont, chez Karl Marx, la conscience a été décrite comme manipulée de l’extérieur par des forces socio-économiques que la conscience ne contrôle pas et qui conditionnent ses productions mentales.

Marx appelle cela la « conscience de classe ». 

Le sujet n’est pas conscient ou  n’exerce pas sa connaissance d’une façon indépendante ou solitaire, mais il se trouve placé sous la dépendance de conditions sociales particulières que Marx appelle les « rapports de production » c’est-à-dire les rapports économiques des propriétaires des moyens de production (capitalistes) à ceux qui ne possèdent que leur force de travail pour vivre (prolétaires).

Notre conscience serait donc déterminée de l’extérieur par notre appartenance à une classe sociale et par les intérêts qui sont ceux des membres du groupe.

Pour une sociologie (science de la société) fondée sur le marxisme, toute société se trouve traversée par ce que Marx a décrit en termes de « lutte des classes ».

Ces conflits opposent la classe possédant les moyens de production à celles qui en dépendent et qui vendent leur force de travail à cette classe sociale possédante. De telles luttes ont trois enjeux selon    rx :

  • Dans une économie capitaliste, il s’agit d’assurer l’exploitation économique des salariés (figure contemporaine du prolétaire d’hier).
  •  
  • On les contraint à vendre leur force de travail dans des conditions telles que la consommation de cette force de travail puisse dégager du profit pour les propriétaires des moyens de production. (Moi : Cela pourrait s’énoncer : On les contraint à la  « prostitution mentale » pour gagner leur pain quotidien ... Ce qui n’a rien à voir avec les passes (La location de la voix) de Fabrice Lucchini sous la gestion de l’entreprise « CULTURA » avant chaque rentrée scolaire contre rétribution ! ! !)
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  • Un deuxième enjeu des luttes des classes est d’assurer aussi pour la classe économiquement dominante, la domination politique, sous la forme d’une main mise sur l’Etat : l’appareil d’Etat se trouve compris ici comme l’instrument (« superstructure ») dont se sert la bourgeoisie pour consolider, par le droit par exemple, les rapports de production dont elle bénéficie (« infrastructure économique » de la société).
  •  
  • Un dernier enjeu réside dans la conquête des consciences elles-mêmes, à travers la lutte des « idéologies ».
  • Il s’agit pour la classe économiquement et politiquement dominante, de s’affirmer aussi comme idéologiquement dominante en inculquant sa propre idéologie (celle où s’expriment ses intérêts de classe) aux autres classes.
  • A cette fin, un vaste processus de conditionnement idéologique passe notamment par un contrôle de l’Etat sur les appareils idéologiques (l’école, la presse, les médias…).
  •  De cette lutte idéologique doit résulter selon Marx, qu’  « à chaque époque l’idéologie dominante se trouve être l’idéologie de la classe économiquement et politiquement dominante » (L’idéologie allemande, 1845).
  • Bref, si toute conscience (comme conscience de classe) est une fausse conscience ou conscience faussée (par l’intérêt), la conscience des classes désavantagées est doublement fausse conscience : faussée par la déformation que fait subir au réel sa propre mise en perspective du monde par ses intérêts, la conscience des exploités l’est plus encore à travers son envahissement par l’idéologie  de la bourgeoisie.
  • Autrement dit par la façon  dont la classe économiquement et politiquement dominante se donne également les moyens d’exercer aussi une domination idéologique. L’aliénation économique comprise dans l’exploitation de la force de travail se parachèverait donc par une aliénation idéologique : la conscience faussée croit être l’auteur des idées et des valeurs qu’elle imagine se donner à elle-même, alors qu’en réalité elle les reçoit d’une autre conscience, celle de la classe dominante.

En mettant en lumière cette soumission inaperçue et mystificatrice d’une conscience à une conscience située tout autrement qu’elle dans les rapports de production, la théorie marxiste de l’idéologie ouvre la voie au thème d’un « inconscient social ».

[[[Moi : Ce marxiste n’est-il pas avant tout idéologisé, conditionné « humaniste » ? !]]]

La plupart des politicien(ne)s ne sont-ils/elles pas de ce calibre, formaté(e)s de cette manière ? ! C. à d. « HUMANISTES » ? !

Donc, ne pédalent-ils/elles pas tous/toutes dans la semoule ou/et choucroute ? 

******* Jusqu’à la fin  de cette ère religieuse, of course et heureusement, avant qu’il ne soit trop tard, que la Terre soit rendue définitivement inhabitable, stérile, telle Mars? ! (Nettement avant la fin de ce siècle !)

C. q. f. d. !

Pierre Payen (Dunkerque)

Bonne fin d'ère.

Retenu dans las Alertes Google rubrique « Humour »

Humour. Je n'avais pas lu Karl Marx ! Il explique presque tout ! ! !

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