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Blog - Page 110

  • DIEU vient de signaler à M. Sarkozy qu’il fallait sévir, notamment chez les pauvres !

     

    Il a déclaré en 2007, avant le face-à-face, devant M. Onfray (Le philosophe) : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ». (Voir Internet) Et bizarrement, personne n’a répliqué ! Ni Me Royal … !

    Ce qui signifie : Dieu indique le bon chemin ! Il suffit d’écouter son instinct et son intuition !

    Il a couru se faire adouber à Rome par le pape (En compagnie, bien sûr, probablement du futur prix Nobel de la littérature-philosophie-humour : M. J.-M. Bigard ! Même la sous papesse, Me Boutin -La Dame 9500euros et bombe atomique-, M. Luc Ferry -L’unique retraité miraculeux d’université n’ayant jamais exercé-, n’ont pas bénéficié de ce privilège !)

    ***Aujourd’hui, il a donné des ordres aux procureurs (Ou il leur a laissé entendre qu’il serait bien de … !) de « serrer » les petits délits qui sont « toujours plus » nombreux !

     « Fausses déclarations de vol de portables : deux nouveaux Boulonnais poursuivis »

    Jeudi 01.03.2012, 05:08 - La Voix du Nord

    En faisant ces fausses déclarations, les fraudeurs espèrent toucher l'assurance qui, souvent, ne fonctionne qu'en cas de vol.

    |  ESCROQUERIE |

    Voilà une arnaque qui a la cote depuis plusieurs mois. Les fausses déclarations ... de vol de téléphones portables se multiplient dans les commissariats et les brigades de gendarmerie. Deux nouveaux cas viennent d'être démasqués par les policiers boulonnais. Il s'agit d'une Boulonnaise, mère de famille, âgée de 20 ans et d'un Saint-Léonardois de 31 ans. Des personnes « ordinaires » qui n'ont jamais eu affaire à la justice. Elles ont porté plainte en déclarant s'être fait voler leur téléphone dans la rue. Mais les investigations ont prouvé que les faits n'étaient pas avérés. Les deux plaignants avaient probablement cassé leur portable et cherchaient à se le faire rembourser, certaines assurances ne couvrant que les « vols à l'arraché ».

    Poursuites systématiques

    Les deux fraudeurs ont été convoqués au commissariat et sont ressortis, pour la première, avec une mesure de « composition pénale » et, pour le second, d'une convocation devant le tribunal correctionnel. « Le parquet a décidé de poursuivre systématiquement les contrevenants, sans faire de rappels à la loi », prévient Barbara Wetzel, commissaire centrale de Boulogne.

    Car les fausses déclarations sont devenues monnaie courante face au coût élevé des smartphones et à leur relative fragilité. Mais les enquêtes qui s'ensuivent mobilisent inutilement les moyens de la police et de la justice. « Les réquisitions délivrées par le parquet coûtent cher », précise la responsable du commissariat. La justice doit en effet payer des droits d'accès aux données des opérateurs téléphoniques pour tenter de retrouver la trace du téléphone soi-disant volé.

    Mieux vaut le savoir : la dénonciation mensongère d'un tel délit est passible - en théorie - d'une peine de six mois de prison et de 7 500 E d'amende. Les contrevenants sont clairement prévenus dès lors qu'ils signent le document administratif destiné à bloquer le téléphone volé, au moment du dépôt de plainte. •

    De SYLVAIN DELAGE

    M. Sarkozy vient d’être encore trahi ! ET IL N’AVAIT PAS ENCORE LU « PLUS ON EST RICHE, MOINS ON A DE MORALE » (LE MONDE 29/02/12) !

    Eh oui, Son Dieu l’a donc encore trompé « à l’insu de son plein gré » !

    Cela étant, entre Riches et pauvres, M. Sarkozy et la Justice ont choisi et décidé de sévir ! Votez pour lui !

    Eh oui ! Ils sont pauvres et en plus ils trichent ! Scandaleux ! Mais où va-t-on ? !

     Xyzabcd

    N. B. Ne croyez pas que l'histoire de Dieu soit un épiphénomène !

     

    Même Guaino le dit : Sarkozy est brutal. Philippe Bilger - Blogueur associé | Mardi 3 Janvier 2012 à 18:01 | Marianne

    « Nicolas Sarkozy gère tout à l'affect. La contrepartie de l'affect, c'est la brutalité », a déclaré récemment Henri Guaino au Journal du Dimanche.

     

     

  • Un Maire est condamné par un procureur nommé par Nicolas 1er !

     

    CECI EST ARRIVÉ SOUS LE RÈGNE DE NICOLAS 1er  UN MAIRE A ÉTÉ CONDAMNÉ

    Ce Maire a été condamné parce qu’un procureur,  au nom de l’Etat, de M. Sarkozy,  a trouvé son geste, sa gifle,  inqualifiable.

    N'aurait-il pas pu se contenter de lui dire : " Barre-toi, pauvre con" ou "Viens-ici, viens me le dire en face" (Comme font tous les gens forcément civilisés) ? ? ?

    M, Sarkozy, en campagne puisque candidat, aurait soi-disant profité de l’occasion pour fustiger le gouvernement actuel et demandé « au nom du Peuple » un changement profond, voire sa mutation !

    Il serait aussi en train de s’entourer de l’aide de Rama Yade  injustement (trouve-t-il) rejetée par le président actuel … POUR POUVOIR, S’IL EST ÉLU, REMETTRE LA FRANCE D’APLOMB !

    Quant à M. Delebarre (Ex-ministre d’Etat, avant député du Nord et maintenant sénateur, maire de Dunkerque),  je présume que, comme pour le problème de l’amiante, il est monté au créneau !

    « Ses cheveux ont blanchi en quelques jours »

    Lorsque la reine Marie-Antoinette fut extraite de son cachot pour être guillotinée, la foule fut médusée : ses longs cheveux châtains étaient devenus blancs, en quelques jours.

    C'est ce qui est arrivé à Maurice Boisard, maire de Cousolre, une petite commune du Nord. Sa vie a basculé lorsque cet honnête homme a été traîné devant un tribunal comme un vulgaire délinquant.

    Le 24 août 2010, Maurice Boisard, élu de sa commune depuis trente ans, sans étiquette, surprend un jeune en train d'escalader le grillage entourant les bâtiments municipaux.

    Ce grillage est tout neuf. Il a coûté 10 000 euros, une somme importante pour un village de 2500 habitants. L'attitude du jeune est d'autant plus suspecte que tous les jeunes de la commune savent qu'une clé est à leur disposition pour pénétrer dans les lieux.

    Mais surtout, il se trouve que ce jeune est le chef d'une petite bande qui, depuis longtemps, empoisonne la vie des habitants.

    Selon la presse locale, ils parlent fort, tard et traficotent sous les fenêtres. Les habitants se plaignent, à tel point que le Maire a été obligé de prendre un arrêté municipal interdisant les rassemblements à certains endroits du village, comme dans les pays en guerre ! (Nous sommes pourtant dans l'Avesnois, une région rurale réputée tranquille).

    En rétorsion, les jeunes multiplient les provocations, insultes, bris de vitres, bouteilles d'alcool jetées sur la chaussée. Des tags agressifs maculent les murs de la commune un peu partout. Les vasques de fleurs sont piétinées. Les plaintes affluent au commissariat... qui est trop débordé pour réagir.

    Le Maire organise alors un voyage pour les jeunes de la commune, espérant leur montrer sa bonne volonté.

    Rien n'y fait. Le 18 juin 2010, le jeune chef de bande vient ouvertement provoquer le maire et rigoler pendant la commémoration avec les anciens combattants. Il se « met ostensiblement devant sa voiture lorsqu'il va chercher son petit-fils à la sortie de l'école communale » raconte le chroniqueur judiciaire du Monde.

    La tension est d'autant plus forte dans la commune que le prédécesseur de Maurice à la mairie de Cousolre a démissionné en 2006 après avoir été battu à coups de manche de pioche pour avoir refusé un droit de stationnement à un forain.

    Alors, ce jour-là, le maire décide de ne pas laisser passer. Il sort de la mairie et exige du jeune qu'il descende immédiatement du grillage, le menaçant de « l'emmener au poste ».

    Devant une douzaine de copains, le jeune rétorque qu'il veut aller chercher un ballon « C'est pas toi qui va m'empêcher de faire ce que je veux ». « Il m'a insulté, m'a traité de 'bâtard' » raconte le Maire. Celui-ci décide de réagir et lui administre une gifle.

    L'adolescent sort de ses gonds, les insultes pleuvent – "Fils de pute, je vais niquer ta mère, attends si t'es un homme, je vais te tuer". Mettant ses menaces à exécution, il cherche d'abord à le frapper à coup de poing, puis rentre chez lui, prend deux couteaux qu'il glisse dans ses chaussettes et revient sur la place de la mairie !!!

    Il s'en faut d'un cheveu que l'irréparable soit commis : seule l'intervention de ses « copains » permet d'éviter le drame.

    Quand les parents du jeune apprennent ce qui s’est passé, leur réaction est d'aller... porter plainte contre le Maire pour « violence ».

    Et voilà que la Justice, parfois si peu pressée de défendre les citoyens, se saisit immédiatement du dossier. Maurice Boisard se retrouve au Tribunal, à la barre des accusés.

    La scène est surréaliste : le Procureur Bernard Beffy l'accuse de s’être organisé pour pouvoir fanfaronner devant la Cour, faire parler de lui et se faire passer pour une « victime » !

    Le journaliste du Monde raconte :

     

    "Vous vouliez le tribunal, parce que vous vouliez une tribune !", lui lance le procureur. Il s'en prend avec la même agressivité aux élus – pour la plupart des maires sans étiquette de petites communes et d'autres, sympathisants ou militants du PS – venus soutenir leur collègue et à leur "corporatisme un peu primaire". Il ironise avec lourdeur : "On voudrait savoir, Cousolre, c'est Chicago des années 30 ? Heureusement que vous n'êtes pas maire de Montfermeil, Monsieur Boisard !"

     

    Et la charge continue, sur le même ton.

     

    Avez-vous mis en place un conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance ?

     

    Mais on est une commune de 2 500 habitants..., souffle le maire.

     

    Voulez-vous autoriser tous les maires de France à donner des gifles à leurs administrés, à rendre eux-mêmes la justice, à se voir confier des pouvoirs de shérif ?, poursuit le procureur.

     

    A son banc, Maurice Boisard semble sonné. La voix du procureur résonne encore dans la salle : "Vous êtes quelqu'un de bien, et à 62 ans, vous êtes d'autant moins pardonnable de vous être laissé aller à un emportement contre un jeune de 16 ans, ces jeunes auxquels notre génération laisse si peu d'espoir... La jeunesse est insolente, turbulente, mais ce n'est pas une maladie !", tonne-t-il encore avant de requérir une peine de 500 euros contre le maire.

    Deux semaines plus tard, la sanction tombe : le Tribunal a décidé d'aller plus loin encore que ne le réclamait le Procureur : non seulement il décide de condamner pénalement Maurice Boisart, qui se retrouve avec un casier judiciaire, mais il exige en plus qu'il verse 250 euros de dommages et intérêts au jeune voyou, et surtout de prendre à sa charge tous les frais de Justice !

    L'assistance n'en croit pas ses oreilles. Maurice Boisart avait cru qu'il était de son devoir de « marquer une limite aux insultes à l’homme et à la fonction qu’il représente ».

    Surtout, chacun réalise avec effroi que la Justice vient de retirer au Maire le peu d'autorité qu'il avait encore : « C'est une gifle qui coûte cher mais est-ce vraiment le plus important ? Si je suis condamné, les jeunes vont faire ce qu'ils veulent, les maires ne vont plus se retourner. On va faire jouer les assurances et puis c'est tout », déclare Maurice Boisart, ravagé. (La voix du Nord – 3 février)

    Le constat est partagé par le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile : « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier ».

    Mais surtout, ce que vous devez savoir, c'est qu'en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s'est exprimé publiquement pour défendre Maurice Boisart.

    Aucune réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.

    Le « jeune » va toucher son chèque, ses amis ricanent, Maurice Boisart est détruit. La fonction de Maire, en France, a perdu encore un peu de son prestige. D'autorité, il ne lui reste quasiment plus rien, et il est certain que, la prochaine fois qu'ils sont confrontés à des actes de vandalisme, l'ensemble des Maires de France se souviendront de ce qui est arrivé à leur collègue.

    Tout ceci est inéluctable. Mais il reste un grand espoir :

    L'affaire n'est pas tout à fait terminée. Maurice Boisart a fait appel.

    Et cette fois, nous pouvons tout changer à ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures pour le soutenir.

    Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

    Nous pouvons faire en sorte que Maurice se sache soutenu par des centaines de milliers de Français, et manifester publiquement notre réprobation la plus totale contre cette Justice-là qui marche à l'envers et qui nuit aussi directement à la paix et à la bonne entente dans notre pays.

    Notre mobilisation commune, si elle est massive, changera complètement l'état d'esprit de Maurice Boisart. D'homme seul, abandonné de tous, il passera au statut de héros d'une cause qui nous appartient à tous.

    L'Institut pour la Justice vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Maurice Boisard, et à la faire signer par tout votre entourage.

    Cela ne vous demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret de réparer, au moins partiellement, la bêtise et l'agressivité déplacée de ce fonctionnement-là de la Justice

    S'il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu'ici, faites ce geste simple de signer la déclaration officielle de soutien au maire de Cousolre.

    Alors merci de soutenir notre ami Maurice Boisart en signant maintenant la pétition (cliquer ici). C'est une question d'élémentaire justice et équilibre. C'est aussi une question d'honneur.

    Un grand merci,

    Laurence Havel
    secrétaire nationale

    Pour signer la pétition de soutien : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/

     

     

    Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
    www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.f

    (J’ai signé … : Un grand merci pour votre soutien !)

    Grâce à votre signature, Maurice Boisart sera conforté de votre soutien et de celui de milliers de Français, choqués, comme vous par le fonctionnement de la Justice.

    Pour amplifier notre mobilisation, n'oubliez pas de transmettre le message et la pétition à tout votre carnet d'adresse en leur envoyant le lien suivant : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/petition.html

    Nous comptons sur vous pour le faire dès maintenant.


    Vous pouvez aussi soutenir notre association si vous le souhaitez.

    L'Institut pour la Justice ne reçoit aucune aide de l’Etat ni subvention ; notre force vient uniquement de nos bienfaiteurs et des dons qu’ils nous envoient librement pour :

    1. informer et sensibiliser le grand public,
    2. préparer des réformes avec des juristes professionnels,
    3. défendre les victimes,
    4. agir auprès des décideurs politiques pour changer les lois.


    Ce dernier point, fondamental, nécessite notamment de développer un réseau d’experts, d’assurer une présence permanente auprès des médias et d’organiser des rencontres, groupes de travail et colloques.

    Un grand merci pour votre aide.

    Maire condamné pour avoir giflé un ado : Les élus en colère

    Faits divers  France soir

    Publié le 17 février 2012 à 19h25
    Mis à jour le 17 février 2012 à 20h12

    La condamnation vendredi du maire de Cousolre, dans le Nord, pour avoir giflé un adolescent rebelle en 2010 a suscité l'indignation de l'Association des maires de France et relancé le débat sur la responsabilité des élus.

    Le maire de Cousolre pose aux côtés d'une trentaine d'élus venus le soutenir, devant le palais de justice d'Avesnes-sur-Helpe AFP/FRANCOIS NASCIMBENI

    Un maire a-t-il le droit de gifler l'un de ses administrés ? A cette question, le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe a répondu non.

    L'élu a, en effet, été reconnu coupable de faits de violence par personne dépositaire de l'autorité publique sans incapacité. Lors de l'audience, le procureur avait requis une amende de 500 euros. Maurice Boisart a également été condamné à 250 euros de dommages et intérêts, ainsi qu'au paiement des frais de justice de la partie plaignante. Il a maintenant dix jours pour faire appel.

    L'élu se dit "très blessé"

    Les faits remontent au mois d'août 2010. Maurice Boisart, 62 ans, avait alors giflé un adolescent de 16 ans, alors que ce dernier escaladait un grillage pour récupérer un ballon tombé dans un terrain communal. Selon le maire, qui a déjà été confronté au jeune homme à plusieurs reprises, celui-ci aurait proféré des menaces de mort après l'avoir insulté.

    Dans son costume noir tranchant avec ses cheveux qu'il affirme blanchis à cause de l'affaire, Maurice Boisart est ressorti « très blessé » de la courte audience au cours de laquelle le juge a rejeté son argument de légitime défense. « Je me sens un peu lésé car je suis persuadé que j'étais dans le cadre d'une légitime défense. On va en discuter avec mon conseil municipal, mes amis, savoir si on fait appel ou pas, parce que je ne suis pas satisfait de la décision », a déclaré le maire. Le juge a relevé une disproportion entre les provocations et la réaction de l'élu dans cette affaire, qui a rapidement pris un tournant symbolique autour de la responsabilité des maires. Le maire de la commune avait précédemment refusé l'amende de 600 euros proposée dans le cadre du plaider-coupable, afin de bénéficier d'un procès public.

    Les incivilités envers les maires se multiplient

    La puissante Association des maires de France (AMF) a immédiatement apporté son soutien à Maurice Boisart. Dans un communiqué, le président Jacques Pélissard (UMP), dit craindre « que cette décision n’encourage les actes d’incivilités, d’insultes, voire d’agressions envers des maires. Celles-ci se multiplient depuis plusieurs années et sont, hélas, trop rarement suivies de poursuites pénales ».

    Le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile, venu en soutien au tribunal, était également très remonté. « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier », s'est-il offusqué.

    AVB (Amusez-Vous Bien) en attendant la fin de cette Civilisation religieuse ! L'arrivée d'une nouvelle Ere !

    Intéressant : A consulter sur Internet "Les arbres de l'évolution" (De matheux et scientifiques ayant utilisé les fractales ...)

    Voir aussi dans le journal du Monde du 29/02/12 : « Plus on est riche, moins on a de morale » ou sur Internet un article de titre : Une raison de plus pour prédire la fin de civilisation !

    Xyzabcd !

  • CE QU’ON NOUS A CACHÉ DEPUIS LE DEBUT DES TEMPS ! ! !

     

    Un petit pas pour l’homo sapiens, un grand pas pour le futur « homme vrai » !

     

    Enfin, une description objective des homo sapiens ! ! !

     

    *** Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouvé (Le Monde 29/02/12) ***

     

    ON LE SAVAIT MAIS LE VERDICT EST MAINTENANT SCIENTIFIQUE ! ! !




    Dans un climat politique où il est tant question d'opposition entre les " élites " et le " peuple ", voici une étude qui devrait faire couler beaucoup d'encre. Et pour cause : des chercheurs américains et canadiens documentent, dans l'édition du lundi 27 février de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel. C'est-à-dire, exprimé de manière un peu plus directe, que plus vous êtes riche, plus vous êtes susceptible de vous comporter de manière moralement lamentable.

    L'équipe américano-canadienne menée par Paul Piff (université de Californie à Berkeley) a quelques arguments. Les chercheurs ont mené pas moins de sept protocoles expérimentaux différents, qui concluent tous dans le même sens.

    " Cupidité "

    Le premier est simple : il s'est simplement agi de se poster à un carrefour et d'observer les véhicules pris en flagrant délit de refus de priorité. La deuxième expérience, très semblable, a quant à elle consisté à relever les situations dans lesquelles un piéton engagé sur un passage ad hoc se fait couper la route par une voiture. Dans les deux cas, les chercheurs ont classé les véhicules en cinq catégories, des épaves roulantes (groupe 1) aux berlines de luxe (groupe 5). Résultat : près de 30 % des véhicules du groupe 5 forcent le passage aux voitures prioritaires, un taux quatre fois supérieur aux groupes 1 et 2, et trois fois supérieur aux groupes 3 et 4. Corrélation quasi identique pour le respect dû aux piétons...

    Mais, direz-vous, ce n'est pas parce qu'on a une belle voiture qu'on est nécessairement riche. Ce qui n'est pas faux. Aussi, les chercheurs ont complété ces deux expériences par d'autres, menées en laboratoire. A chaque fois, une centaine d'individus ont été invités à prendre connaissance de divers scénarios ou situations : atteinte d'un objectif au prix d'une entorse à la morale, captation d'un bien de manière indue au détriment d'un tiers, mensonge au cours d'une négociation, caution d'une faute dans le cadre professionnel. Puis les participants ont rempli un questionnaire répondant à la question de savoir dans quelle mesure ils seraient prêts à reproduire ces comportements. A chaque fois, une corrélation entre le statut social des participants et leur capacité à enfreindre l'éthique est mise en évidence.

    Une dernière expérience a consisté à placer près de 200 personnes devant un jeu informatique de lancer de dés : une somme d'argent leur était promise si le score atteint après cinq lancers était élevé. Mais, bien sûr, le jeu était pipé et le score ne pouvait excéder 12 points. Ceux qui ont rapporté des scores supérieurs aux expérimentateurs ont donc triché. Même en tenant compte de nombreux paramètres comme l'ethnie, le sexe, l'âge, la religiosité, l'orientation politique, il n'y a rien à faire, " la classe sociale prédit positivement le fait de tricher ".A quoi tient ce lien entre hauteur sociale et bassesse morale ? En partie, répondent les chercheurs, " à une perception plus favorable de la cupidité ".

    Stéphane Foucart    

    1)      Au nom de quoi les parents, les professeurs, les décideurs, M. SARKOZY  ET  SES COPAINS  OU  AMIS  DE  30  ANS  (CHIRAC, BALLADUR,  VILLEPIN, WOERTH, COURROYE, ETC. ) pourraient expliquer sur un plateau TV ou ailleurs, en classe, aux enfants, aux adolescent(e)s, aux démuni(e)s, aux immigré(e)s, aux sans-papiers, aux Roms, etc. qu’il faut RESPECTER LES LOIS  ? !

     2)      En Tunisie, une étincelle a suffi pour que tout s’enflamme !

     3)      Ne faut-il pas être aveugle ou homo sapiens ( !) (Les politiciens le savent plus que quiconque mais évidemment jureront le contraire !) pour ne pas prévoir UNE INCIVILITÉ « TOUJOURS PLUS » (t. p.)  CROISSANTE !

     

    4)      La  Société « t. p. », ne s’est-elle pas retournée depuis 2011 en la Société « toujours moins »

     5)      L’expansion t. p. croissante des agressions dans les rues, les car-jackings, les home-jackings, etc., ne sont-ils pas programmés ? !

     6)      QUI PEUT, CE SOIR 28 février 2102, REFUSER DE CONSTATER QUE TOUT EST POURRI, À SAVOIR PRINCIPALEMENT LES POUTRES MAÎTRESSES ? !

     7)      Peut-être M. SARKOZY, sait-on jamais !

     8)      NE SERAIT-CE PAS UNE BONNE QUESTION À POSER A M. SARKOZY ET AUX AUTRES CANDIDATS ? ! 

     9)      NON ! Ils/elles répondront toutes et tous qu’ils/elles ne font pas partie de ces ripoux ! Qu’ils/elles passent leur temps à essayer de faire disparaître cette peste !

     10)  ILS/ELLES préciseront aussi que, personnellement, ils/elles ne fréquentent pas ce genre d’escrocs et de crapules !

     11)  C. Q. F. D. : Tout continuera à plonger ! Voir la fin de l’Empire romain devenu ingérable parce que trop étendu, sauf que les composantes violentes ne se limiteront pas aux homo sapiens mais embraseront tout l’environnement !

     12)  Puisque le Monde et évolutif (V. Darwin !) :

     pourquoi, si la décimation était suffisamment importante, une nouvelle Ère ne se dessinerait-elle pas ? !

    Par ex., vers les années 1950, via l’élimination d’environ 90 % de la population des lièvres et lapins suite à l’épidémie de la myxomatose, 10 % de survivants repartirent en pleine forme, immunisés ! Cela s’appelle une « régulation naturelle » !

    Ne sommes-nous pas seulement des animaux intelligents (Depuis 2005, on sait que notre génome se différencie de celui du chimpanzé de  ~ 1 %) ? !

     

    D’un autre côté, une étude mathématique confirmerait plutôt cette perspective !

    « Les arbres de l'évolution »  éd. Hachette Sciences - littératures 2000

    (Un résumé ou une présentation)

    Des chercheurs réputés (L. Nottale, J. Chaline, P. Grou) viennent de découvrir que des lois " d'échelle " universelles gouvernent peut-être l'évolution de la vie, de l'économie ou du Cosmos.

    Ils se sont contentés d’émettre une hypothèse : si nous suivions les schémas évolutifs des dinosaures, des rongeurs, des chevaux, des primates, des échinodermes, des tremblements de terre, des krachs boursiers, etc., nous devrions rencontrer probablement avant 2080 la transformation la plus importante que toutes celles que l'homme moderne a connues depuis son apparition (c. à d. l’homo sapiens) ; ... les changements qui en découleraient pourraient affecter globalement l'arbre évolutif …

    L. Nottale est un spécialiste des fractales et directeur de recherches au CNRS, J. Chaline est directeur de recherches en Biogéosciences de l’Université de Bourgogne, P. Grou enseigne les sciences économiques à l’Université de Versailles-Saint-Quentin

    Xyzabcd !