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présidentielle - Page 3

  • Des tas de raisons de voter Sarkozy et contre l’euthanasie !

     

     

    Personnel débordé, patients négligés : à Poissy, l’hôpital « part en sucette »

    Ramses Kefi | Journaliste SOS 02/05/2012 à 12h52   RUE 89

     


    ImprimerVictime d’une logique de réduction des coûts – encore plus criante en banlieue – voulue par la loi Bachelot, cet hôpital des Yvelines « fait flipper ».

     

    Mariam, 26 ans, jure qu’elle pourrait « balancer » des dizaines d’histoires sur l’hôpital de Poissy (Yvelines). Si elle était « friquée », elle ne mettrait pas les pieds dans « cette cour des Miracles ». Qu’elle irait se faire soigner à la clinique, « pour échapper à la descente aux enfers du public ».

    Elle raconte les cinq heures passées avec son père, en janvier dernier, aux urgences de Poissy :

    « C’est un vieillard. Le pauvre grelottait. On avait mis son lit près des toilettes, parce qu’il n’y avait plus de place. L’odeur, le froid étaient insupportables.

    On ne lui avait donné qu’un drap pour se couvrir. J’ai demandé des couvertures, on m’a dit qu’il y en avait pas. J’ai demandé d’autres draps, on m’a dit la même chose. J’ai gueulé, puis je me suis rendu compte que tout le monde s’en foutait. Cela paraissait presque normal. Cet hosto fait flipper. »

    « Une ambiance de mauvais polar »

    En 1997, l’hôpital de Poissy a fusionné avec celui de la ville voisine de Saint-Germain-en-Laye, formant l’une des structures hospitalières les plus importantes d’Ile-de-France : environ 4 000 personnes employées, 1 200 lits, pour un bassin de population de plus de 600 000 habitants. L’une des plus mal gérées et des plus tourmentées aussi. La première préoccupation des personnes rencontrées est d’éviter à tout prix cet établissement.

    En plus des énormes dettes et du déficit de l’établissement, un rapport de la Direction départementale des affaires sanitaires sociales (DDASS) a mis en lumière, en 2009, des malversations et des irrégularités dans l’attribution de marchés publics. Le point de départ de plusieurs enquêtes et d’un long feuilleton.

    Directeurs évincés, procédures judiciaires qui traînent, soupçons autour de politiciens locaux et, récemment, projet de déménagement de l’établissement dans la commune voisine de Chambourcy mis en suspens.

    Début 2011, Le Point décrivait un hôpital où « l’intérêt du patient passe en second », Le Parisien « une ambiance de mauvais polar » et « un gâchis ».

    « En sortant, tu ne sais pas si tu as été bien soigné »

    Le mot « gâchis » reviendra plusieurs fois dans la bouche de Mariam, qui ne veut cependant pas accabler le personnel dans son témoignage :

    « En regardant les aides-soignants, les infirmières et les médecins, on comprend qu’ils n’y peuvent pas grand-chose. Tu y entres et en sortant, tu ne sais même pas si tu as été bien soigné. »

    Lucile Cranney, infirmière et membre du syndicat SUD de l’hôpital, confirme : « Cet hôpital part en sucette. »

    Sur les urgences de Poissy, régulièrement pointées du doigt par les usagers, elle dira qu’elles sont à l’image de l’établissement :

    « Les locaux des urgences ne sont même plus adaptés puisqu’avec la fermeture pour raison économique de celles de Saint-Germain-en-Laye la nuit et les week-ends, nous devons tout assumer. Sans moyens humains et économiques supplémentaires. »

    Khadija, 52 ans, habite « dans le coin » depuis 1984. Opérée du pied en 2010, puis de la hanche en 2011, elle soupire :

    « Les médecins n’ont même plus le temps de communiquer, ni de vous expliquer correctement, car une seule chose les obsède : vous réexpédier chez vous par tous les moyens, parfois sans diagnostic.

    J’ai connu cet hôpital dans les années 80 et 90. Je peux dire sans trop m’avancer que les conditions pour les patients étaient meilleures. »

    Absentéisme et dépression chez le personnel

    Le récit de Florent, 29 ans, originaire de la commune voisine d’Achères, est le même. A quelques mots près :

    « C’était un week-end en début d’année. J’avais chopé la mononucléose. J’étais à bout. Je l’ai appris par mon médecin traitant le lundi, qui ne m’a pas cru quand je lui ai dit qu’à Poissy, le samedi soir, ils m’avaient prescrit du Doliprane et du repos.

    Le médecin qui m’a ausculté là-bas était plus crevé que moi. Il n’avait qu’une envie : que je dégage. »

    « Le personnel qui a des diplômes et qui peut se vendre ailleurs s’enfuit, sans vraiment être remplacé », glisse Lucile Cranney. La fuite du personnel, des compétences, mais pas seulement :

    « La politique du chiffre à court terme, c’est plus de contractuels, plus de CDD. Parmi les médecins aux urgences, beaucoup ne sont que vacataires. Le taux d’absentéisme est important, celui de dépression aussi. Les rapports avec la nouvelle direction sont très compliqués. [...]

    On a oublié les desseins premiers de l’hôpital. C’est devenu une entreprise comme une autre. On parle de santé là ! »

    « Les économies ne se font jamais au détriment des usagers »

    Si le nouveau directeur de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain, Yves Bloch, reconnaît une baisse du « personnel non qualifié », il refuse néanmoins de lier le malaise des patients et du personnel à la situation économique de l’établissement :

    « Tous les établissements doivent faire avec le budget serré, mais les économies ne se font jamais au détriment des usagers. Il est clair néanmoins que nous ne travaillons pas dans les conditions matérielles que nous voudrions, bien que notre ambition soit d’être toujours au niveau. »

    Il se projette vers 2014 et l’ouverture, hypothétique, d’un nouveau bâtiment, plus grand, plus adapté pour accueillir les urgences de Poissy. Dit que dans certains cas, l’urgentiste est dans l’impossibilité d’établir un diagnostic clair, « parce que les choses mettent parfois plusieurs jours à être visibles ». Qu’’il reçoit, parfois, des lettres de remerciements.

    Supprimer la loi Bachelot

    Je lui fais part de certains témoignages. Celui de Mariam notamment. L’histoire des couvertures :

    « Je ne nie pas les difficultés et m’en excuse d’ailleurs auprès des patients. [...]

    Sans remettre en cause les réclamations, il est vrai aussi que lorsque que quelqu’un vient aux urgences, il s’attend – et c’est humain – que l’on s’occupe de lui tout de suite. Il voit tout négativement, parce que son état l’y encourage. »

    En septembre 2011, un collectif regroupant usagers, personnel de l’hôpital et associations s’est formé pour la défense de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain. Il milite, entre autres, pour la réouverture 24 heures sur 24 des urgences de Saint-Germain-en-Laye et la suppression de la loi Hôpital, patients, santé et territoires de 2008, promulguée pour ramener l’hôpital public à l’équilibre budgétaire.

    « Demain, il n’y aura peut-être plus d’hôpital public »

    Fabienne Lauret, retraitée et membre du collectif, dénonce une volonté « très claire » de sacrifier « le public au profit du privé » et de booster l’activité des cliniques :

    « On met en concurrence les hôpitaux et on privatise les services les plus rentables de l’hôpital public. On ne prend ni en compte les besoins de la population, ni ceux du personnel.

    On est dans une logique de réduction des coûts complètement aveugle, décidée arbitrairement, sans aucune concertation. »

    Dans Le Courrier des Yvelines du 7 décembre 2011, les mots de Christian Lehmann, écrivain et médecin généraliste à Poissy, étaient plus durs :

    « Il est peut-être déjà trop tard. Demain, il n’y aura plus de médecine tournée vers l’individu, plus de médecine générale, plus d’hôpital public. Vous serez soignés comme vous avez été vaccinés contre H1N1. Un mélange d’étatisme et d’incompétence. »

    Banlieues : « Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire »

    Joselyne Rousseau et Josselyne Buruchian | Présidentes de l’Association des Professionnels Libéraux de Santé de Pierrefitte et de Stains


    Présidentes de l’Association des professionnels libéraux de santé de Pierrefitte et de Stains (Seine-Saint-Denis), nous dénonçons depuis douze ans les problèmes d’insécurité que rencontrent les praticiens de santé de proximité de ces villes. Ces violences, commises par des mineurs, souvent armés, aggravent de façon considérable la désertification médicale et para-médicale de nos communes, mettant en péril l’équilibre déjà précaire de la santé de proximité sur ce territoire.

    En 2011, ces deux communes ont perdu 10% de leurs professionnels de santé. Avec un médecin libéral pour 3 000 habitants (la moyenne étant de 1/1000), Pierrefitte est reconnue comme un véritable « désert médical ».

    Nous, professionnels de santé, sommes incontournables :

    • dans le maintien à domicile de patients présentant des pathologies complexes et des personnes âgées ou en fin de vie ;
    • dans l’alerte sur la résurgence de maladies graves (tuberculose, saturnisme) ou d’éventuelles épidémies locales ;
    • à l’heure où les urgences des hôpitaux sont engorgées, nous assurons un rôle de premier recours dans les situations sensibles et constituons de ce fait un facteur important de cohésion sociale.

    Les politiques se renvoient la balle

    Depuis novembre 2009, nous ne cessons d’interpeller les pouvoirs publics sur notre rôle sanitaire et social. En vain.

    En avril 2011, nous avons rencontré le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, qui nous a assuré que la désertification médicale n’était pas une fatalité et qu’il avait besoin que nous restions. Mais en dehors de ces bonnes paroles rien d’effectif n’a été entrepris.

    En juin 2011, nous avons rencontré le directeur de l’Agence régionale de santé, Claude Evin qui, hormis la création de maisons médicales ne nous propose rien de concret.

    En désespoir de cause, en janvier 2012, nous avons une nouvelle fois écrit au président Sarkozy... qui nous a renvoyés à Xavier Bertrand... qui nous a dirigés vers Claude Evin. La boucle est bouclée !

    Finalement, nous avons rencontré le 7 mars dernier, la conseillère technique de Xavier Bertrand. Que nous propose-t-on ? Encore et toujours des maisons pluridisciplinaires qui ne sont ni une solution rapide à mettre en place, ni une solution aux agressions. Cela ne résoudra en rien le problème des visites à domicile.

    Enfin elle nous a clairement annoncé que si nous ne voulions plus assurer notre mission, nous étions libres de partir. D’ailleurs, d’autres professionnels de santé étrangers n’hésiteraient pas à venir dans nos banlieues, nous dit-on. Expérience déjà tentée, or les dits professionnels ne sont pas restés pour autant sur leur lieu d’exercice.

    Parallèlement, nous avons contacté Jean-Marie Le Guen, responsable des questions de santé au Parti socialiste, qui nous a dirigés vers un responsable de son parti. Vérification faite ce responsable n’est pas connu en France !

    Lutter contre l’insécurité et la désertification

    Où se situe l’égalité dans l’accès aux soins tant demandée par tous les candidats politiques ? En douze ans, nous avons obtenu un carnet de sécurité, un numéro dédié à dix chiffres, un référent santé au commissariat que les professionnels de santé avertissent en cas d’agression.

    Tout cela est loin d’être efficient, notamment en prévention des agressions. Ce que nous réclamons :

    Pour assurer notre sécurité :

    • un numéro dédié à quatre chiffres ;
    • la mise en place de bips de sécurité en cas de danger ou d’agression ;
    • une vidéosurveillance à des points stratégiques afin de créer un maillage ;
    • un meilleur éclairage de nos communes (certaines rues sont de vrais « coupe-gorge »).

    Pour lutter contre la désertification :

    • des mesures fiscales pour maintenir le maigre tissu de proximité de santé libéral existant sur le territoire ;
    • la reconnaissance de nos agressions en accident de travail…

    Que deviendra dans un très proche avenir cette population laissée à l’abandon une fois que le tissu libéral de proximité aura définitivement disparu en raison de l’indifférence générale de nos « irresponsables politiques » ?

    Nos limites sont largement atteintes : il y a urgence ! L’hémorragie de professionnels de santé ne sera plus rattrapable ! Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire !

    Xyzabcd !

     

  • Votez ! ! ! L’avenir, la mort, dans la souffrance, sont programmés par nos politiciens

     

    Ils sont en train d’endosser les rôles des bourreaux du 21ième siècle « à l’insu de leurs pleins grés » ! Hélas !

    *** Voter pour la mort dans l’indignité au 21ème siècle ? ? ?

    ****** Un cas actuel concernant les soins palliatifs, Et les perspectives certaines !

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    J’ai une copine (55 ans, prof. de français, faisant moins que son âge, sportive) qui traîne un cancer du pancréas depuis environ un an, qui s’est présentée ce mardi à Lille pour continuer une chimiothérapie, qui a été diagnostiquée comme perdue et a été orientée vers un Centre de soins palliatifs (Zuydcoote)  qui ne pourra que l’accueillir mardi prochain.

    Rentrée chez elle, elle souffre. En plus, elle est allergique à la morphine !

    Elle est donc condamnée à souffrir une semaine avant de rentrer dans ce Centre où on va la prolonger en toute hypocrisie tout en tentant de lui administrer des calmants !

    Bien sûr, elle ne s’appelle pas M. Mitterrand et ne dispose pas d’un médecin intelligent (Dont le génome se différencie un peu plus de 1 % de celui du chimpanzé : voir le résultat de l’étude comparative de 2005 des deux génomes et son enterrement assourdissant aussi bien par les croyants que par les rationalistes !

    ~Eh oui, alors que croyants et rationalistes s’opposent traditionnellement … quoique se rassemblant à une symétrie près (« L’homme créé à l’image de Dieu » ayant été inversé en « L’homme est un dieu en devenir », le D étant réduit à d !), pour une fois, ils se sont retrouvés et ont décidé à l’unanimité que l’image de « l’homo sapiens » dégradée en celle du « bonobo boosté » était insupportable !

    ~~Et les candidats actuels désireraient que les gens sensés votent pour eux ? ! ! !

    ~~~ Voter pour des « bourreaux » du 21ème siècle ? ! ! !

    Et ce que les gens ne savent pas ou n’ont pas conscience, c’est que les cancers et autres maladies modernes vont se multiplier, provoqués par les additifs de l’alimentation industrielle. Il ya quelques mois on parlait du bisphénol A et des poisons alimentaires ou contenus dans les emballages ou dans les plastiques, aujourd’hui des phtalates, etc. !

    Les effets cocktails vont seulement se manifester …

    Comme la crise financière va seulement exploser, comme les simples crédits de maintenance en état vont plonger, les Centres de soins palliatifs  rappelleront prochainement  les mouroirs du 19ème siècle !

    Et Les inspirés de Dieu (M. Sarkozy, Me Boutin, M. Leonetti –l’expert en jésuitisme-, M Hollande –catho comme la plupart des responsables de la dite Gauche-) auront le culot de reprendre la phrase de M. Sarkozy (« ~ Ce n’est pas de ma faute si la crise de 2008 est arrivée » alors que dès 2007 la bulle de l’immobilier gonflait « toujours plus » aux USA.) : « Ce n’est pas de notre faute, on ne pouvait pas prévoir que la pollution alimentaire et environnementale allait se terminer comme celle de l’amiante ! »

    Xyzabcd Ou Pierre Payen (Dunkerque) puisque ce thème et sa conclusion sont aussi sérieux qu’inéluctables dans les toutes prochaines années à venir, la crise financière prenant la forme de l’iceberg du Titanic …!

     

    Voir aussi sur Internet « Les arbres de l’évolution » (De chercheurs : Nottale, Chaline , Grou)

  • À propos du problème de l’euthanasie !

     

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    Tous les contempteurs sont, comme tout un chacun, des homo dits sapiens (sages ! ! !) qui, sont conditionnés par leur culture.

    Leurs ancêtres, devant la peur de la mort, avaient éprouvé le besoin irrépressible d’essayer de se rassurer en inventant d’abord des dieux divers avant d’épurer et de se contenter d'un Dieu unique et tout puissant !

    *Ils n’ont pas du tout évolué !

     Il n’y a aucun rapport entre cette notion de Dieu et le mystère de l’Univers ... relevant seulement des « petites » limites de notre (petit !) cerveau !

    On peut donc être intellectuel, toubib, etc., et se croire investi d’une mission, celle de séparer  le « bien » du « mal » et parallèlement de combattre pour ce qu’on croit être la « vérité » (V. le dualisme, l’Inquisition -bénie par des papes !- et le système binaire !)

    Des textes continueront à fleurir tous azimuts tant que les homo dits sapiens caractérisant notre ère n’auront pas disparu !

    **Que demander à des êtres fractals (répétitifs, incapables d’évoluer mentalement) dont le génome se différencie d’environ 1 % de celui des chimpanzés ? !

    En 2005, le résultat de l’étude comparative de notre génome et de celui du chimpanzé fut enterré à l’unanimité par les croyants et les rationalistes ! L’image du « bonobo boosté » apparaissait inconcevable !

    C’était pourtant l’occasion exceptionnelle de  faire le point sur ce que nous étions réellement, d’évacuer les nombreux mythes tendant à nous définir, tel « L’homme a été créé à l’image de Dieu » (Genèse Ch. 9.6).

    En 2007, M. Sarkozy, avant son élection présidentielle, déclara à M. Onfray (philosophe à la mode) « Je n’ai jamais rien entendu d’aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même » (V. sur Internet Michel Onfray : Dans la peau de Nicolas Sarkozy) en toute impunité.

    Ni Me. Royal, ni les journalistes, ni les Français (e)s ne lui reprochèrent de se raccrocher à l’omniprésence et omnipuissance d’un « Dieu » comme les singes aux branches ! (Dans son esprit, il suffit d’écouter et de suivre son instinct et son intuition !)
    Effectivement, il ne mentit pas, gouverna ainsi ! Et avec quel succès ! Sauf qu’oser affirmer en 2011 : « Ce n’est pas de ma faute si la crise s’est déclenchée en 2008 » consiste aussi à dévaloriser ce Dieu (en tant que pièce centrale de l’architecture), à avouer qu’il a perdu son pouvoir et intérêt ! Dans ces conditions, pourquoi le réélire en 2012 ? !

    En 2011, l’affaire DSK aurait pu servir de catalyseur, libérer la parole des femmes, faire émerger l’influence dévastatrice et parfois délétère de la puissance du « cerveau des émotions » si elle n’est pas maîtrisée, à fortiori si les rôles des trois composantes du cerveau homo dit sapiens ont été délaissés puisque occultés (ou presque).

    Bizarrement, quels que soient les articles, notamment féministes, jamais la non maîtrise du cerveau des émotions, ne fut placée en exergue alors que celle-ci influence en permanence tous nos comportements, a été le ressort de l’épanouissement de la Société de consommation avant d’être en train de devenir « toujours plus » la raison de sa perte ou suicide !

    En 2012, Mr. Sarkozy risque d’être réélu !

    ***Une ère nouvelle pourrait se manifester avant la fin du siècle si on se référait à l’aboutissement d’une enquête statistique sur l’évolution à travers l’Histoire de la Terre entreprise par des chercheurs : L. Nottale, J. Chaline, P. Grou.

    Cette hypothèse, émise en l’année 2000, repose sur la supposition que l’homo dit sapiens soit fractal ! Pour obtenir plus de détails, il suffit de consulter Internet à l’adresse « Les arbres de l’évolution ».

    Ils se sont contentés d’émettre une hypothèse : si nous suivions les schémas évolutifs des dinosaures, des rongeurs, des chevaux, des primates, des échinodermes, des tremblements de terre, des krachs boursiers, etc., nous devrions rencontrer probablement avant 2080 la transformation la plus importante que toutes celles que l'homme moderne a connues depuis son apparition (c. à d. l’homo dit sapiens) ; ... les changements qui en découleraient pourraient affecter globalement l'arbre évolutif …

    ****Lorsqu’elle sera installée, le 1er droit de « l’homme vrai », qui aura parfaitement assimilé le concept de « cycle » (Omniprésent dans l’Univers mais toujours rejeté ou refoulé par le cerveau reptilien et son instinct de survie !), sera celui de disposer à sa guise de la durée de son séjour terrestre !

    A ce moment là, les expressions telles « La dignité humaine », « La vie est belle », « Le libre arbitre », prendront d’autres sens ! ! !

    Xyzabcd !