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Un Maire est condamné par un procureur nommé par Nicolas 1er !

 

CECI EST ARRIVÉ SOUS LE RÈGNE DE NICOLAS 1er  UN MAIRE A ÉTÉ CONDAMNÉ

Ce Maire a été condamné parce qu’un procureur,  au nom de l’Etat, de M. Sarkozy,  a trouvé son geste, sa gifle,  inqualifiable.

N'aurait-il pas pu se contenter de lui dire : " Barre-toi, pauvre con" ou "Viens-ici, viens me le dire en face" (Comme font tous les gens forcément civilisés) ? ? ?

M, Sarkozy, en campagne puisque candidat, aurait soi-disant profité de l’occasion pour fustiger le gouvernement actuel et demandé « au nom du Peuple » un changement profond, voire sa mutation !

Il serait aussi en train de s’entourer de l’aide de Rama Yade  injustement (trouve-t-il) rejetée par le président actuel … POUR POUVOIR, S’IL EST ÉLU, REMETTRE LA FRANCE D’APLOMB !

Quant à M. Delebarre (Ex-ministre d’Etat, avant député du Nord et maintenant sénateur, maire de Dunkerque),  je présume que, comme pour le problème de l’amiante, il est monté au créneau !

« Ses cheveux ont blanchi en quelques jours »

Lorsque la reine Marie-Antoinette fut extraite de son cachot pour être guillotinée, la foule fut médusée : ses longs cheveux châtains étaient devenus blancs, en quelques jours.

C'est ce qui est arrivé à Maurice Boisard, maire de Cousolre, une petite commune du Nord. Sa vie a basculé lorsque cet honnête homme a été traîné devant un tribunal comme un vulgaire délinquant.

Le 24 août 2010, Maurice Boisard, élu de sa commune depuis trente ans, sans étiquette, surprend un jeune en train d'escalader le grillage entourant les bâtiments municipaux.

Ce grillage est tout neuf. Il a coûté 10 000 euros, une somme importante pour un village de 2500 habitants. L'attitude du jeune est d'autant plus suspecte que tous les jeunes de la commune savent qu'une clé est à leur disposition pour pénétrer dans les lieux.

Mais surtout, il se trouve que ce jeune est le chef d'une petite bande qui, depuis longtemps, empoisonne la vie des habitants.

Selon la presse locale, ils parlent fort, tard et traficotent sous les fenêtres. Les habitants se plaignent, à tel point que le Maire a été obligé de prendre un arrêté municipal interdisant les rassemblements à certains endroits du village, comme dans les pays en guerre ! (Nous sommes pourtant dans l'Avesnois, une région rurale réputée tranquille).

En rétorsion, les jeunes multiplient les provocations, insultes, bris de vitres, bouteilles d'alcool jetées sur la chaussée. Des tags agressifs maculent les murs de la commune un peu partout. Les vasques de fleurs sont piétinées. Les plaintes affluent au commissariat... qui est trop débordé pour réagir.

Le Maire organise alors un voyage pour les jeunes de la commune, espérant leur montrer sa bonne volonté.

Rien n'y fait. Le 18 juin 2010, le jeune chef de bande vient ouvertement provoquer le maire et rigoler pendant la commémoration avec les anciens combattants. Il se « met ostensiblement devant sa voiture lorsqu'il va chercher son petit-fils à la sortie de l'école communale » raconte le chroniqueur judiciaire du Monde.

La tension est d'autant plus forte dans la commune que le prédécesseur de Maurice à la mairie de Cousolre a démissionné en 2006 après avoir été battu à coups de manche de pioche pour avoir refusé un droit de stationnement à un forain.

Alors, ce jour-là, le maire décide de ne pas laisser passer. Il sort de la mairie et exige du jeune qu'il descende immédiatement du grillage, le menaçant de « l'emmener au poste ».

Devant une douzaine de copains, le jeune rétorque qu'il veut aller chercher un ballon « C'est pas toi qui va m'empêcher de faire ce que je veux ». « Il m'a insulté, m'a traité de 'bâtard' » raconte le Maire. Celui-ci décide de réagir et lui administre une gifle.

L'adolescent sort de ses gonds, les insultes pleuvent – "Fils de pute, je vais niquer ta mère, attends si t'es un homme, je vais te tuer". Mettant ses menaces à exécution, il cherche d'abord à le frapper à coup de poing, puis rentre chez lui, prend deux couteaux qu'il glisse dans ses chaussettes et revient sur la place de la mairie !!!

Il s'en faut d'un cheveu que l'irréparable soit commis : seule l'intervention de ses « copains » permet d'éviter le drame.

Quand les parents du jeune apprennent ce qui s’est passé, leur réaction est d'aller... porter plainte contre le Maire pour « violence ».

Et voilà que la Justice, parfois si peu pressée de défendre les citoyens, se saisit immédiatement du dossier. Maurice Boisard se retrouve au Tribunal, à la barre des accusés.

La scène est surréaliste : le Procureur Bernard Beffy l'accuse de s’être organisé pour pouvoir fanfaronner devant la Cour, faire parler de lui et se faire passer pour une « victime » !

Le journaliste du Monde raconte :

 

"Vous vouliez le tribunal, parce que vous vouliez une tribune !", lui lance le procureur. Il s'en prend avec la même agressivité aux élus – pour la plupart des maires sans étiquette de petites communes et d'autres, sympathisants ou militants du PS – venus soutenir leur collègue et à leur "corporatisme un peu primaire". Il ironise avec lourdeur : "On voudrait savoir, Cousolre, c'est Chicago des années 30 ? Heureusement que vous n'êtes pas maire de Montfermeil, Monsieur Boisard !"

 

Et la charge continue, sur le même ton.

 

Avez-vous mis en place un conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance ?

 

Mais on est une commune de 2 500 habitants..., souffle le maire.

 

Voulez-vous autoriser tous les maires de France à donner des gifles à leurs administrés, à rendre eux-mêmes la justice, à se voir confier des pouvoirs de shérif ?, poursuit le procureur.

 

A son banc, Maurice Boisard semble sonné. La voix du procureur résonne encore dans la salle : "Vous êtes quelqu'un de bien, et à 62 ans, vous êtes d'autant moins pardonnable de vous être laissé aller à un emportement contre un jeune de 16 ans, ces jeunes auxquels notre génération laisse si peu d'espoir... La jeunesse est insolente, turbulente, mais ce n'est pas une maladie !", tonne-t-il encore avant de requérir une peine de 500 euros contre le maire.

Deux semaines plus tard, la sanction tombe : le Tribunal a décidé d'aller plus loin encore que ne le réclamait le Procureur : non seulement il décide de condamner pénalement Maurice Boisart, qui se retrouve avec un casier judiciaire, mais il exige en plus qu'il verse 250 euros de dommages et intérêts au jeune voyou, et surtout de prendre à sa charge tous les frais de Justice !

L'assistance n'en croit pas ses oreilles. Maurice Boisart avait cru qu'il était de son devoir de « marquer une limite aux insultes à l’homme et à la fonction qu’il représente ».

Surtout, chacun réalise avec effroi que la Justice vient de retirer au Maire le peu d'autorité qu'il avait encore : « C'est une gifle qui coûte cher mais est-ce vraiment le plus important ? Si je suis condamné, les jeunes vont faire ce qu'ils veulent, les maires ne vont plus se retourner. On va faire jouer les assurances et puis c'est tout », déclare Maurice Boisart, ravagé. (La voix du Nord – 3 février)

Le constat est partagé par le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile : « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier ».

Mais surtout, ce que vous devez savoir, c'est qu'en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s'est exprimé publiquement pour défendre Maurice Boisart.

Aucune réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.

Le « jeune » va toucher son chèque, ses amis ricanent, Maurice Boisart est détruit. La fonction de Maire, en France, a perdu encore un peu de son prestige. D'autorité, il ne lui reste quasiment plus rien, et il est certain que, la prochaine fois qu'ils sont confrontés à des actes de vandalisme, l'ensemble des Maires de France se souviendront de ce qui est arrivé à leur collègue.

Tout ceci est inéluctable. Mais il reste un grand espoir :

L'affaire n'est pas tout à fait terminée. Maurice Boisart a fait appel.

Et cette fois, nous pouvons tout changer à ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures pour le soutenir.

Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

Nous pouvons faire en sorte que Maurice se sache soutenu par des centaines de milliers de Français, et manifester publiquement notre réprobation la plus totale contre cette Justice-là qui marche à l'envers et qui nuit aussi directement à la paix et à la bonne entente dans notre pays.

Notre mobilisation commune, si elle est massive, changera complètement l'état d'esprit de Maurice Boisart. D'homme seul, abandonné de tous, il passera au statut de héros d'une cause qui nous appartient à tous.

L'Institut pour la Justice vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Maurice Boisard, et à la faire signer par tout votre entourage.

Cela ne vous demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret de réparer, au moins partiellement, la bêtise et l'agressivité déplacée de ce fonctionnement-là de la Justice

S'il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu'ici, faites ce geste simple de signer la déclaration officielle de soutien au maire de Cousolre.

Alors merci de soutenir notre ami Maurice Boisart en signant maintenant la pétition (cliquer ici). C'est une question d'élémentaire justice et équilibre. C'est aussi une question d'honneur.

Un grand merci,

Laurence Havel
secrétaire nationale

Pour signer la pétition de soutien : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/

 

 

Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.f

(J’ai signé … : Un grand merci pour votre soutien !)

Grâce à votre signature, Maurice Boisart sera conforté de votre soutien et de celui de milliers de Français, choqués, comme vous par le fonctionnement de la Justice.

Pour amplifier notre mobilisation, n'oubliez pas de transmettre le message et la pétition à tout votre carnet d'adresse en leur envoyant le lien suivant : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/petition.html

Nous comptons sur vous pour le faire dès maintenant.


Vous pouvez aussi soutenir notre association si vous le souhaitez.

L'Institut pour la Justice ne reçoit aucune aide de l’Etat ni subvention ; notre force vient uniquement de nos bienfaiteurs et des dons qu’ils nous envoient librement pour :

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  2. préparer des réformes avec des juristes professionnels,
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Un grand merci pour votre aide.

Maire condamné pour avoir giflé un ado : Les élus en colère

Faits divers  France soir

Publié le 17 février 2012 à 19h25
Mis à jour le 17 février 2012 à 20h12

La condamnation vendredi du maire de Cousolre, dans le Nord, pour avoir giflé un adolescent rebelle en 2010 a suscité l'indignation de l'Association des maires de France et relancé le débat sur la responsabilité des élus.

Le maire de Cousolre pose aux côtés d'une trentaine d'élus venus le soutenir, devant le palais de justice d'Avesnes-sur-Helpe AFP/FRANCOIS NASCIMBENI

Un maire a-t-il le droit de gifler l'un de ses administrés ? A cette question, le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe a répondu non.

L'élu a, en effet, été reconnu coupable de faits de violence par personne dépositaire de l'autorité publique sans incapacité. Lors de l'audience, le procureur avait requis une amende de 500 euros. Maurice Boisart a également été condamné à 250 euros de dommages et intérêts, ainsi qu'au paiement des frais de justice de la partie plaignante. Il a maintenant dix jours pour faire appel.

L'élu se dit "très blessé"

Les faits remontent au mois d'août 2010. Maurice Boisart, 62 ans, avait alors giflé un adolescent de 16 ans, alors que ce dernier escaladait un grillage pour récupérer un ballon tombé dans un terrain communal. Selon le maire, qui a déjà été confronté au jeune homme à plusieurs reprises, celui-ci aurait proféré des menaces de mort après l'avoir insulté.

Dans son costume noir tranchant avec ses cheveux qu'il affirme blanchis à cause de l'affaire, Maurice Boisart est ressorti « très blessé » de la courte audience au cours de laquelle le juge a rejeté son argument de légitime défense. « Je me sens un peu lésé car je suis persuadé que j'étais dans le cadre d'une légitime défense. On va en discuter avec mon conseil municipal, mes amis, savoir si on fait appel ou pas, parce que je ne suis pas satisfait de la décision », a déclaré le maire. Le juge a relevé une disproportion entre les provocations et la réaction de l'élu dans cette affaire, qui a rapidement pris un tournant symbolique autour de la responsabilité des maires. Le maire de la commune avait précédemment refusé l'amende de 600 euros proposée dans le cadre du plaider-coupable, afin de bénéficier d'un procès public.

Les incivilités envers les maires se multiplient

La puissante Association des maires de France (AMF) a immédiatement apporté son soutien à Maurice Boisart. Dans un communiqué, le président Jacques Pélissard (UMP), dit craindre « que cette décision n’encourage les actes d’incivilités, d’insultes, voire d’agressions envers des maires. Celles-ci se multiplient depuis plusieurs années et sont, hélas, trop rarement suivies de poursuites pénales ».

Le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile, venu en soutien au tribunal, était également très remonté. « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier », s'est-il offusqué.

AVB (Amusez-Vous Bien) en attendant la fin de cette Civilisation religieuse ! L'arrivée d'une nouvelle Ere !

Intéressant : A consulter sur Internet "Les arbres de l'évolution" (De matheux et scientifiques ayant utilisé les fractales ...)

Voir aussi dans le journal du Monde du 29/02/12 : « Plus on est riche, moins on a de morale » ou sur Internet un article de titre : Une raison de plus pour prédire la fin de civilisation !

Xyzabcd !

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