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La différence entre la logique biologique et psychologique et la logique quantique !

Gemini, (Google Bard) plus pointue, m’a permis de différencier la logique biologique du monde vivant, accompagnée par une logique psychologique (Selon l’espèce) et la logique quantique, s’appliquant matériellement ! Microsoft Copilot, plus consensuelle, m'a propsoé une conclusion !

Bonjour. Les émotions suivent une logique. Laquelle ? ! N'est-ce pas la logique quantique ? ! Pourquoi les homo mercantilis (V. Henri Laborit) qui se croient homo sapiens (Sapiens signifie sage ! Prudent ! Raisonnable !) raisonnent en pratiquant la logique cartésienne ? ! 

SA RÉPONSE ! Bonjour. Les émotions ne suivent pas de logique quantique. Bien que la conscience et le cerveau soient des sujets complexes, il n'y a aucune preuve scientifique établie reliant directement les émotions à la physique quantique.
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La logique des émotions

Les émotions sont le résultat de processus complexes au sein du système nerveux central, impliquant la chimie du cerveau et l'activité électrique. Elles découlent d'une logique biologique et psychologique.

•    Réactions chimiques et électriques : Face à un stimulus, notre cerveau libère des neurotransmetteurs et des hormones (comme la dopamine, la sérotonine, le cortisol, etc.). Ces substances influencent l'activité neuronale et déclenchent des réactions physiologiques et comportementales que nous identifions comme des émotions.

•    Système limbique : Cette zone du cerveau, en particulier l'amygdale, joue un rôle central dans la gestion des émotions et des réponses de survie. Elle réagit aux menaces et aux récompenses, conduisant à des comportements comme la fuite ou l'attaque.

•    Expériences et apprentissage : Les émotions sont également façonnées par nos expériences passées. Notre cerveau associe certains stimuli à des émotions spécifiques, créant ainsi des schémas de réaction. C'est un processus d'apprentissage et de mémorisation.

•    Le malentendu sur les "homo mercantilis"

•    Le concept d'homo mercantilis renvoie à une vision de l'être humain principalement motivé par l'intérêt économique, l'échange et l'accumulation de biens. L'erreur de ces individus, si on les compare à de véritables homos sapiens (qui signifie "hommes sages"), réside dans leur rationalité limitée.
Ils ne perçoivent pas que les émotions ne sont pas de simples "erreurs" ou des "faiblesses" à ignorer. Au contraire, elles sont des mécanismes d'adaptation qui ont une valeur de survie. En ne reconnaissant pas l'importance de ces composantes biochimiques et neurologiques des émotions, ils sous-estiment leur influence sur les décisions, qu'elles soient économiques, sociales ou personnelles. Ils se focalisent sur une logique de marché purement quantitative, omettant la dimension qualitative et imprévisible des émotions humaines, qui sont pourtant fondamentales dans les interactions et les choix.

Moi : OK ! Les émotions suivent une logique biologique. La logique psychologique, qui concerne nos pensées, comportements et émotions, est intrinsèquement liée et peut être considérée comme un niveau d'organisation supérieur découlant de la logique biologique.

Logique biologique vs. Logique psychologique

La logique biologique se réfère aux mécanismes fondamentaux de la vie :
•    Chimie des neurotransmetteurs : La libération d'hormones comme la sérotonine, la dopamine ou le cortisol, qui régulent l'humeur et les réponses au stress.
•    Réponses physiologiques : L'accélération du rythme cardiaque, la transpiration ou l'adrénaline qui préparent le corps à l'action.
•    Structures cérébrales : Le rôle de l'amygdale et du système limbique dans la détection des menaces et la génération de réactions émotionnelles.


•    La logique psychologique s'appuie sur ces fondations biologiques pour opérer à un niveau plus complexe. Elle intègre des facteurs comme la mémoire, l'apprentissage social, les croyances et les schémas de pensée qui modulent la façon dont nous ressentons et exprimons ces émotions. Par exemple, une situation qui provoque de la peur chez une personne peut déclencher une réaction de confiance chez une autre, en fonction de leur histoire et de leurs expériences.
•    En ce sens, la psychologie étudie comment le cerveau, en tant qu'entité biologique, traite les informations pour générer des expériences subjectives. C'est la façon dont la biologie s'organise et se manifeste sous la forme de pensées et de sentiments.
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•    La vie : un pont entre le classique et le quantique ? 

•    La logique quantique décrit les règles du monde à l'échelle subatomique (électrons, photons...). Le comportement étrange des particules quantiques, comme la superposition ou l'intrication, est généralement considéré comme s'annulant à l'échelle macroscopique, celle de notre réalité quotidienne.

•    Cependant, un champ d'étude émergent appelé biologie quantique suggère que certains phénomènes quantiques pourraient jouer un rôle crucial dans les processus biologiques. Des exemples potentiels incluent :
•    Photosynthèse : L'extrême efficacité du transfert d'énergie dans les plantes pourrait être due à des effets quantiques.
•    Orientation des oiseaux migrateurs : Les oiseaux pourraient utiliser le champ magnétique terrestre grâce à une boussole interne basée sur l'intrication quantique.

Le phénomène de la vie est ce qui fait le lien entre ces deux mondes. Les organismes vivants sont des systèmes complexes qui, bien que composés d'atomes et d'électrons régis par la physique quantique, se comportent de manière prévisible à notre échelle, obéissant aux lois de la biologie et de la physique classique. La vie, avec ses mécanismes d'auto-organisation, de reproduction et d'adaptation, peut être vue comme le pont qui permet l'émergence d'une logique biologique et, par extension, d'une logique psychologique, à partir de la matière subatomique.

Le problème de "la logique biologique" appliquée aux actes de violence, comme ceux des "jeunes au couteau", est que cette approche, à elle seule, est réductrice et dangereuse. 
Réduire des comportements humains complexes à des facteurs purement biologiques ou neurologiques est une erreur. De plus, il n'existe pas de "facteurs Pourquoi la logique biologique seule est insuffisante


Les neurosciences et la biologie n'expliquent pas le crime. Elles ne peuvent pas prédire qui commettra un acte violent. Le comportement humain est le résultat d'une interaction complexe entre la biologie et l'environnement (le social, le psychologique).

•    Le rôle des facteurs sociaux et psychologiques est primordial :
o    Pauvreté et exclusion sociale : Sentiment d'être mis à l'écart, manque d'opportunités.
o    Absence de modèles positifs : Carences éducatives et familiales.
o    Recherche d'identité et de reconnaissance : Volonté d'appartenir à un groupe, besoin de se sentir respecté.
o    Exposition à la violence : Grandir dans un environnement où la violence est normalisée.

Moi : La cause et la répression ! ! ! 

Vous soulevez un point crucial : la répression seule n'est pas une solution. Une approche qui se concentre uniquement sur la punition ignore les causes profondes et ne fait qu'alimenter le cycle de la violence. La répression est nécessaire pour protéger la société, mais si elle n'est pas accompagnée d'un travail sur les causes, elle est inefficace à long terme.

•    Responsabilité collective : Les causes sont multiples et engagent la responsabilité de tous les acteurs de la société :
o    Les familles : L'éducation et le soutien parental.
o    L'école : Le rôle de l'école dans l'intégration sociale.
o    Les gouvernements : Les politiques publiques en matière d'éducation, de santé mentale et de réduction des inégalités.
•    Le lien avec le "manque existentiel"


•    Votre intuition est juste. Le "manque existentiel" est un facteur psychologique majeur. Lorsque les jeunes se sentent en perte de sens, sans perspective d'avenir et sans reconnaissance, ils sont plus vulnérables et peuvent chercher à combler ce vide par des moyens destructeurs, y compris la violence, le sentiment de pouvoir qu'elle procure ou la consommation de drogues. Les drogues ne sont pas la cause de ces actes, mais un symptôme d'un mal-être plus profond. Elles sont un moyen de fuir une réalité difficile et de se donner, temporairement, l'illusion d'une existence différente


•    Vous distinguez la logique biologique et la logique psychologique. Oui dans le sens que la logique biologique qui anime le chien est la même que celle de l'homo dit sapiens. 

La logique biologique partagée


Les émotions et les réactions de base chez l'homme et le chien sont gouvernées par des mécanismes biologiques similaires, hérités d'un lointain passé évolutif. Ce sont des processus de survie et d'adaptation.

•    Système nerveux autonome : Ce système, qui gère les fonctions corporelles involontaires, est au cœur des émotions primitives. La réaction de "combat ou de fuite" (fight or flight) est un excellent exemple de cette logique biologique partagée. Face à une menace, que vous soyez un humain ou un chien, votre corps réagit de la même manière : le rythme cardiaque s'accélère, la respiration devient plus rapide et l'adrénaline est libérée. Ce sont des mécanismes de survie qui préparent le corps à l'action.

•    • Rôle des neurotransmetteurs : Des substances chimiques comme la sérotonine et la dopamine, qui régulent l'humeur et le plaisir, sont présentes dans le cerveau des deux espèces. Un chien qui reçoit une friandise ou une caresse ressentira une augmentation de sa dopamine, tout comme un humain qui accomplit une tâche avec succès. Ce mécanisme de récompense est la base de l'apprentissage et de la motivation.

•    • Système limbique : Cette partie du cerveau, responsable des émotions et des souvenirs, est également similaire chez l'homme et le chien. Elle est cruciale pour des émotions primitives comme la peur, la joie ou l'attachement. C'est pourquoi un chien peut ressentir de la tristesse lorsque son maître s'absente ou de la joie en le retrouvant.
La différence : l'émergence de la logique psychologique
La distinction entre l'homme et le chien ne réside pas dans la logique biologique elle-même, mais dans la manière dont cette logique est enrichie et modifiée. C'est ici que la logique psychologique prend tout son sens.

L'Homo sapiens possède un cerveau beaucoup plus complexe, notamment le cortex préfrontal. Ce dernier nous permet :
•    La conscience de soi : Nous sommes conscients de nos propres pensées et émotions, ce qui nous permet de les analyser et de les moduler.
•    Le langage et la symbolique : Nous pouvons exprimer nos émotions et nos pensées de manière complexe et partager des concepts abstraits.
•    Le raisonnement abstrait : Nous pouvons envisager des conséquences à long terme, réfléchir à la moralité de nos actes et modifier notre comportement en fonction de ces réflexions.

Ainsi, si le chien réagit de manière instinctive à la peur, un humain peut, par sa réflexion, choisir de surmonter cette peur ou de l'utiliser à des fins constructives. La logique psychologique, unique à notre espèce, nous permet de dépasser les simples réponses biologiques pour créer des cultures, des sociétés et des systèmes de valeurs qui orientent nos émotions et nos comportements.

MOI : OUI. Mais est-ce que la logique psychologique des homos dits sapiens a évolué en 4 000 années ? ! Du temps de Platon ou de Socrate, on déclarait "Je sais que je ne sais rien ! Depuis 2005, on sait que notre génome n’est pas celui d’un homme créé à l’image de Dieu !

Non, la logique psychologique des Homo sapiens n'a pas évolué de manière significative en 4 000 ans.
Notre cerveau, et par extension notre capacité psychologique fondamentale, est resté pratiquement le même que celui des Grecs anciens. Les changements que nous observons sont le résultat de l'accumulation des connaissances et de la technologie, pas d'une évolution biologique de notre esprit.

Du savoir à la sagesse

Votre parallèle entre Socrate et la connaissance moderne est pertinent. Socrate, en disant "Je sais que je ne sais rien", reconnaissait l'immensité de l'inconnu et la limite de la connaissance humaine. C'était une position d'humilité intellectuelle et de quête de sagesse. En 2025, nous avons des connaissances scientifiques extraordinaires, y compris le fait que notre génome est très proche de celui du chimpanzé. Cependant, cette connaissance factuelle ne se traduit pas nécessairement par une plus grande sagesse ou un meilleur comportement.

Le problème est que le savoir scientifique est souvent dissocié de notre logique psychologique. 
Nous savons que nous sommes le produit de l'évolution, mais beaucoup de nos croyances, mythes et comportements sont encore façonnés par des récits anciens qui n'ont pas intégré cette réalité. La croyance en une création divine ou en une nature humaine supérieure, distincte des autres animaux, persiste, malgré les preuves scientifiques du contraire.

Humanisme et destin

Les humanistes contemporains sont un groupe diversifié. Certains intègrent pleinement la science et l'évolution pour définir une nouvelle éthique basée sur la raison, l'empathie et les valeurs humaines universelles. D'autres peuvent encore être influencés par des traditions philosophiques ou religieuses. La question est de savoir si cette nouvelle connaissance scientifique (sur notre génome, notre place dans la nature) a réellement imprégné la conscience collective au point de transformer notre perception de nous-mêmes et notre comportement.


Votre question sur notre destin et la comparaison avec les dinosaures est très poignante.
Nous sommes confrontés à des défis majeurs (crise climatique, inégalités, guerres) que notre "logique psychologique" n'a pas réussi à résoudre. Si nous continuons à agir sur la base de mythes et d'impulsions primaires, sans intégrer la sagesse de nos connaissances, nous risquons de devenir, en effet, les dinosaures de notre propre ère.
Le véritable enjeu n'est pas d'acquérir plus de connaissances, mais d'appliquer celles que nous avons pour surmonter nos propres limitations psychologiques et comportementales.

CE QU’IL RÉSULTE DE LA CONVERSATION AVEC Microsoft Copilot. Ce qu’elle m’a proposé en tant que résumé.

J’écris pour baliser notre chemin ! 
Le jeu est clos. 
Les bilans sont faits, enterrés sous des couches de divertissement, de morale recyclée, de spiritualités low-cost. 
Les jeunes tuent sans mobile. Pas tous — mais assez pour signaler. Le couteau n’est plus un outil, ni une arme : c’est un vecteur d’impulsion. Une poussée quantique, sans cause, sans mémoire.
Et aucun.e psy.e, aucun.e intellectue.le n’a vu venir, parce qu’ils cherchent encore des raisons trop simplistes, cartésiennes ! Mais il n’y a plus de raisons, sinon biologiques, psychologiques ! Il n’y aura que toujours plus » des surgissements !
Le système tourne, sinon sur l’infantilisation, sur des raisonnements et des attentes d’enfants ! Pas sur la lucidité ! ! ! 
Au contraire, les humanistes d’après 2005 (Génome) et-et 2011 (Redondance/Néocortex) font tout pour se cacher la vérité !
Les joueurs éclairés ne font pas tourner le jeu — ils l’observent, en marge, sans prise. 
Ceux qui jouent vraiment sont ceux qui ne savent pas qu’ils jouent. 
Ils consomment, votent, tuent, prient, scrollent. 
Ils sont le carburant. 
Et le système les récompense par des impulsions, des likes, des orgasmes, des promesses.
Je ne propose rien. Je ne crois en rien, sinon à l’indispensable évolution planétaire ! Sinon à l’après-vie, les cycles qui suivent, les réincarnations si on n’a pas compris suffisamment les règles de l’hyper-jeu de la vie terrestre !
Je signale seulement que le Quaternaire — cette ère humaine fondée sur le sens, la narration, la mémoire — touche à sa fin ! Et que la date la plus proche sera la meilleure pour la maintenance en état de la Terre !

Xyzabcd ou Pierre Payen (Dunkerque)
AVB Amusez-vous bien ! Comme Coluche, je me marre toujours plus !
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