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intelligence - Page 8

  • XYZ, ABCD Humour. Numérisation, déshumanisation, pour faire quoi ? !

    1) Par souci de rentabilité ! De compétitivité !

    Oui mais !

    Que se passerait-il en cas de panne, de cyber-attaque planétaire ? !

    Et que penser de l’enterrement du bilan de 2011 concernant le mode de fonctionnement dans la durabilité du néocortex dans la « REDONDANCE » ? !

    (V. Internet, ..., les 80 % de matière blanche à première vue secondaire, voire inutile ; les 90%  d’ADN non-codant appelé « poubelle » !)

    (Ne sont-ce pas les mêmes intellectuel(le)s cartésien(ne)s qui ont enterré le Bilan de 2005 montrant que notre génome se différencie de celui du chimpanzé de 1% ? !)

    En bref, nous qui ne sommes que des chimpanzés « boostés », nous affirmons, décidons, décrétons  (Dans la logique cartésienne rudimentaire apprise à l’école, of course !) être capables de défier et dépasser les lois de la Nature ! ! !

    D’un autre angle de vue ou perception, sous un référentiel plus psychologique, cette prétention, présomption, n’évoquent-elles pas la mentalité de l’adolescent(e) ? ! Et l’irresponsabilité ? !

    L’observation de Freud sur la métamorphose de l’adolescent(e) en adulte (mental(e)) est-elle fausse ? !

    Ne passe-t-elle pas par le meurtre symbolique du Père dépositaire des anciennes normes devenues obsolètes, bloquant toute évolution ? !

    Notre civilisation religieuse ne connaîtrait-elle pas ses dernières décennies ? !

    Les islamistes ne sont-ils pas en train de préparer une fin d’ère, donc aussi une renaissance plus néocorticale, via quelques mutations génétiques ? !

    2) Pour être plus heureux/euse ! Et dans un « plus » d’amour !

    -Sauf qu’on démontre chaque jour que nous sommes des algorithmes vivants !

    -Que le dit « amour à deux ou/et quelques un(e)s » (Proches, famille, etc.) n’a rien à voir avec la « notion d’amour néocortical » qui s’oriente vers le « prochain » (Les autres ...), donc la solidarité, l’aide des plus faibles ou/et handicapé(e)s !

    Seul le  néocortex « activé ! » permet de comprendre que fort(e)s et faibles, que gagnant(e)s et perdant(e)s, vont de pair, c. à d. ne peuvent pas être dissocié(e)s, exister séparément !

    Comme il faut du « non-chaud » ou « froid » pour que le « chaud » ait un sens ; du « grand » pour que le « petit » soit une réalité ; comme il n’y a pas de riches sans non-riches ou pauvres ! (Qu’on exploite ou pas selon qu’on soit animal ou humain !)

    *** Ou bien, on se contente d’une vision animalière, fondée sur la loi de la jungle ou du plus fort, ou bien on s’élève au dessus des 1%+, en tenant compte de l’analyse du néocortex !

    Dans ce cas, voir les structures « humaines » du Jeu de la vie ! Le terme « humaine » allant de pair avec « dignité » dans l’expression « Dignité humaine » !

    3) Ne serait-ce pas inutile de s’appesantir plus !

    Tout n’est-il pas joué ? ! Et non pas pour le mieux et le pire mais le pire et le mieux (Comme dirait Jupiter 2017) ? !

    Si l’arrivée du FN au pouvoir aurait pu avoir l’avantage de précipiter cette fin d’ère, d’éviter  que celle-ci se déclenchât trop tard, alors que la Terre trop polluée fût définitivement rendue inhabitable, stérile, telle Mars 2, ne soyons tout de même pas trop pessimistes !

    Le règne de Jupiter, face à des « Riens » (La traduction 2017 des « Sans-dents » !), n’a peut-être pas fini de nous étonner ! D’émerveiller au second degré les écologistes non « humanistes » mais « terristes » !

    ******* M. Mélenchon ne pourrait-il pas aussi s’y employer !

    En désespoir de cause, si, nonobstant les conséquences du  changement climatique (Les catastrophes naturelles détruisant notamment les infrastructures, la faillite des États et les crises économiques, les nouvelles maladies, l’incapacité d’adaptation de l’agriculture toujours plus (t. p.) dévastée, les flux migratoires t. p. incontrôlables, les incivilités t. p. meurtrières, etc.), tout persistait à vivre, les futurs robots dotés d’un intelligence artificielle, bien plus rationalistes que nous, ne seraient-ils pas contraints de nous éliminer ? !

    Ces allégations vous semblent plus qu’imbéciles : OK ! No problem ! All right !

    Comment notre ancienne Société de consommation du 20ième  siècle s’appelle-t-elle dorénavant ? !

    Ne serait-ce pas plus rapidement, directement, vite, par son addiction « T. p. » ? !

    Quelle est la fin programmée d’un(e) drogué(e) ? !

    Ne serait-ce pas le suicide par overdose ? !

    En outre !

    Dans cette  ou notre optique, est-ce que les logiques quantique et biologique, les  seules qui s’appliquent efficacement dans le Monde de l’infiniment petit, donc dans le Monde du vivant, ont leur place légitime ? !

    Ets-ce que la théorie mathématique déterministe du chaos, la théorie mathématique des jeux, la distribution de Pareto (V. la loi 20/80), le problème de la quadrature du cercle, des dimensions mathématiques, des fractales, sont évoqué(e)s ? !

    Amen ! AAEEEGGGGExplosions Nouvelle ère !

    Pierre Payen (Dunkerque) ou Xyzabcd !

    N. B. 1) «Pénibilité», le mot de trop pour l’Elysée

    Billet   http://www.liberation.fr/

     

    Par Grégoire Biseau, Rédacteur en chef adjoint France — 11 juillet 2017 à 20:36

    Le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, lors d'un discours devant les syndicats du site l'usine du fabricant nucléaire en difficulté Areva, au Creusot, dans l'est de la France, le 2 mai 2016 Photo PHILIPPE DESMAZES. AFP

    • «Pénibilité», le mot de trop pour l’Elysée

    «Ce qui n’est pas nommé, n’existe pas», avait averti le psychanalyste Jacques Lacan. C’est ainsi que le compte pénibilité, cette mesure phare du quinquennat de François Hollande qui permet à des salariés exposés à des métiers «pénibles» de partir plus tôt à la retraite ou de bénéficier d’une formation, change de nom. Le Premier ministre veut l’appeler désormais «compte de prévention».

    Rien de grave, pourrait-on dire. Pas de quoi fouetter un chat ou pousser un cri dans un éditorial enflammé. Puisque derrière la disparition du mot, le dispositif demeure, même s’il est largement raboté après les coups de butoir du Medef. Mais alors pourquoi changer de nom ? En pleine campagne présidentielle, devant les représentants de la CPME, Emmanuel Macron avait déclaré : «Je n’aime pas le terme [de pénibilité] donc je le supprimerai. Car il induit que le travail est une douleur.»

    A l’époque, la phrase était passée comme une lettre à la Poste. Elle avait juste provoqué des sourires d’aise du patronat. Comme la promesse de la suppression d’une mesure qualifiée d’«usine à gaz». Macron était sincère. Pour lui, le travail est nécessairement, ontologiquement «libérateur». L’homme s’épanouit au travail. Un point, c’est tout.  (Moi : Fillon n’aurait-pas pu dire la même chose ? ! Et de prendre le travail de sa Penelope en exemple ? !)

    Il y avait dans ce diktat du candidat à la fois un inquiétant désir de puissance (Moi, président, j’ai le pouvoir de renommer ce qui ne me convient pas) et un étrange déni de réalité. Qui plus est pour un chef d’Etat qui revendique sur tous les tons que son action est guidée par le seul «principe de réalité».

    Oui, Monsieur le président de la République,

    aujourd’hui, le travail peut être associé à une «douleur».

    Oui, des dizaines de milliers de Français souffrent au travail.

    Et ils sont même en forte progression : le volume de maladies professionnelles a augmenté de 4 % en moyenne par an entre 2005 et 2012, principalement à cause de la croissance régulière des troubles musculosquelettiques, due à l’intensification du travail répétitif.

    Certes, cette frange de la population s’invite rarement sur les plateaux de télévision.

    Elle ne publie pas non plus de tribunes dans la presse.

    Elle a l’habitude de serrer les dents en silence. Une souffrance qui cache une profonde inégalité entre les Français.

    Selon une étude de décembre 2016 de la Dares, la quasi-totalité des salariés du régime général victimes de maladie professionnelle sont des ouvriers (73 %) ou des employés (23 %).

    L’espérance de vie d’un ouvrier est toujours de six ans inférieure à celle d’un cadre.

    Alors avant de vouloir changer la réalité, l’homme politique a au moins la responsabilité de nommer correctement les choses.

    Le mot «pénible» avait cet immense mérite : celui de rendre hommage à cette France qui se lève, souvent très tôt le matin, la boule au ventre, le dos en vrac ou les articulations douloureuses.

    Grégoire Biseau Rédacteur en chef adjoint France

     

       

     

       

    N. B. 2) Le babouin, agresseur sexuel

    Le Monde 12 juillet 2017

     

    Autant le dire d'emblée : cette chronique ne prête pas à sourire, pas davantage à s'émerveiller. Ce bref voyage aux sources de la violence sexuelle risque plutôt de désoler les amoureux des bêtes en général, des singes en particulier. Une équipe de primatologues français et anglais a mis en évidence, chez les babouins chacmas de Namibie, un phénomène qui, selon eux, " pourrait bien se trouver répandu à travers les sociétés de mammifères " : l'intimidation sexuelle. Pour les humains, l'affaire semblait inscrite au cœur des violences conjugales. Dans un article, publié dans la revue Current Biology, les scientifiques constatent que nos cousins les plus proches n'échappent pas à ce comportement exécrable.

    De quoi s'agit-il exactement ? Pas de viol, qui implique une contrainte immédiate. Ni de harcèlement, qui impose que l'acte sexuel survienne juste après les violences. L'intimidation suppose une " décorrélation temporelle ". En clair : le mâle fait subir à une femelle coups et morsures, dont il recevra les bénéfices plusieurs heures ou jours plus tard. " C'est ce qui explique qu'alors que les babouins sont un modèle majeur de l'écologie comportementale, nous soyons passés à côté ", souligne Elise Huchard, chercheuse au CNRS (Montpellier).

    Il y a douze ans, la primatologue avait longuement suivi un groupe de chacmas de -Namibie, et décrit leurs choix d'accouplement. L'espèce ne manque, il est vrai, pas d'atouts. Alors que les deux sexes multiplient les partenaires, un mâle dominant monopolise 70  % des naissances. S'il laisse, en temps normal, ses concurrents copuler à l'envi, le mâle alpha devient exclusif quand approche l'ovulation des femelles. Une -situation facile à repérer : les organes sexuels de dame chacma présentent alors d'impressionnantes et écarlates turgescences.

    Elise Huchard avait constaté l'existence de violences directes, pas d'intimidation. C'est la publication, en  2007, d'un article sur la contrainte sexuelle chez les chimpanzés, mettant en évidence la fameuse décorrélation temporelle, qui l'a incitée à reprendre, en  2013 et 2014, avec sa collègue Alice Baniel, une série d'observations. " La période était beaucoup plus agitée, les violences beaucoup plus nombreuses ", souligne-t-elle.

    Nombreuses et dirigées. Les mâles épargnent, en effet, les femelles allaitantes ou -enceintes et concentrent leurs morsures et leurs coups sur les femelles réceptives. Avec, pour ces dernières, un coût particulièrement élevé : 78 % de leurs blessures identifiées ont été infligées par un mâle. Et un -cycle menstruel sur deux s'accompagne de telles exactions. Pour les mâles, la récompense est manifeste : les agresseurs augmentent considérablement leur chance de -monopoliser la femelle agressée.

    Mais est-ce bien de l'intimidation ? Les scientifiques ont suivi le comportement des primates après les agressions. Dans les vingt minutes suivantes, aucune augmentation des accouplements n'est constatée. Exit, donc, le harcèlement. Les chercheurs ont également observé les femelles après la copulation et guetté les coups. " Nous voulions voir si le phénomène ne s'apparentait pas à une punition, par exemple par un dominant jaloux ", explique Elise Huchard. Là encore, ils n'ont rien vu de notable. " Le mâle attaquera plutôt l'autre mâle ", précise la primatologue. Les -femelles privilégiaient-elles juste les caïds, agressifs en général et pas seulement envers elles ? Non : il apparaît qu'aucun bonus n'est accordé aux mâles bagarreurs.

    L'équipe d'Elise Huchard va poursuivre ses investigations. Comprendre les variations -entre couples (plus ou moins violents), étudier la compétition entre femelles. Et étendre ses recherches à d'autres espèces de mammifères. Les primatologues sont notamment -associées à un projet sur la cœrcition sexuelle au Brésil. Leur objet d'étude : les humains.

    Nathaniel Herzberg

     

     

    N. B. 3 A croissance exponentielle, ennuis imminents

     

     

    Une légende des Indes raconte que le roi Belkib promit une récompense à qui lui proposerait une distraction inédite. Satisfait par le jeu d'échecs présenté par le sage Sissa, le souverain l'interrogea sur ce qu'il souhaitait en échange. Sissa dit au roi de poser un grain de riz sur la première case de l'échiquier, deux sur la deuxième, quatre sur la troisième, et ainsi de suite en doublant le nombre de grains à chaque case, et -réclama l'ensemble des grains déposés sur la 64e et dernière case du jeu. Le roi accorda cette récompense sans se douter que tous les royaumes de la Terre mettraient des siècles à produire la quantité de riz correspondant à la récompense demandée. L'ampleur phénoménale d'une quantité doublée 63 fois de suite avait complètement échappé au souverain. L'humanité est en train de vivre dans le réel les conséquences de la fable du roi -Belkib. Voyons pourquoi.

    De nombreux phénomènes physiques, chimiques ou biologiques mettent en jeu une grandeur dont la variation est proportionnelle à elle-même. En démographie ou en économie, le cœfficient de proportionnalité se nomme " taux de croissance " et s'exprime habituellement sous forme d'un pourcentage : un taux de croissance de 7 % par an signifie que la grandeur est multipliée par 1,07 chaque année. Quelle durée faut-il attendre pour qu'elle soit doublée ? Un petit calcul montre que, si le taux de croissance annuel n'est pas trop grand, disons inférieur à 10 %, la durée de doublement s'obtient grâce à une règle simple : exprimée en années, elle est à peu près égale au quotient de 70 par le taux de croissance. Ainsi la durée de doublement d'une grandeur ayant une croissance annuelle de 7 % est voisine de 70/7 =  10 ans.

    Propriété difficile à saisir

    S'intéresser au doublement d'une grandeur, et à la durée pour le faire, permet de mieux saisir les propriétés d'une croissance régulière. D'abord, comme dans la fable, une -série de doublements conduit à un accroissement gigantesque de la grandeur concernée en quelques durées de doublement. Ensuite, dans une suite de doublement, la dernière valeur est (quasiment) égale à la somme de toutes les valeurs précédentes. Appliquée à la consommation, cette propriété signifie qu'avec un taux de croissance de 7 % par an la consommation des dix dernières années (la durée de doublement) dépasse celle de toutes les décennies qui ont précédé ! Si cela vous semble difficile à croire, votre surprise est identique à celle du roi Belkib : le cerveau humain semble difficilement saisir les propriétés d'une croissance exponentielle.

    C'est même une de nos plus grandes lacunes car la croissance exponentielle de notre consommation des ressources naturelles est au cœur de nos difficultés actuelles. L'humanité est dans la situation d'une colonie de bactéries dont les besoins doublent régulièrement. Initialement insouciantes, elles s'imaginent que tout va pour le mieux sous prétexte qu'elles ne prélèvent qu'une fraction des ressources de leur boîte de culture. En réalité, dès que la colonie occupera la moitié de sa boîte, elle saturera son espace vital en une ultime durée de doublement bien qu'elle dispose encore de l'équivalent de tout ce qu'elle a consommé dans le passé.

    Le rythme d'une croissance exponentielle est tel qu'il n'est nullement nécessaire d'avoir une estimation précise du volume des ressources pour faire une estimation fiable de la durée au bout de laquelle elles -seront épuisées. Du coup, croire que la solution à tous les problèmes passe par une croissance renouvelée en permanence est un leurre qui oublie que la Terre est un système fini, que notre croissance exponentielle épuisera beaucoup plus vite que nous l'imaginons. Il existe des lois qui ne se -votent pas à l'Assemblée, contre lesquelles nul n'aura raison et dont l'ignorance peut conduire à de graves ennuis.

    Roland Lehoucq

    © Le Monde 12/07/17

     

     

    * * * ! ! ! Voir aussi : RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE La Terre sera inhabitable... plus tôt que vous ne le pensez http://www.leprogres.fr/

    Chaleur étouffante, famine, océans acides... Les 8 scénarios catastrophe échafaudés par les scientifiques ont de quoi faire peur. Car, si rien n'est fait, certaines parties de notre planète ne seront plus habitables dès la fin de ce siècle.

    • Le 11/07/2017
  • XYZ, ABCD Humour. Et si le Jeu du « Qui perd gagne » revenait toujours plus (t. p.) à la mode ? !

    Plusieurs points de vue cohabitent pacifiquement ou non !

    Quelques notations trouvées dans la Bible.

    « Bienheureux les pauvres d’esprit, parce que le royaume des cieux est à eux » (Chap. 5.3 du Sermon de la montagne)

    5-6 Bienheureux ceux qui sont affamés et altérés de la justice, parce qu’ils seront rassasiés.

    5-10 Bienheureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, parce que le monde des cieux est à eux.

    Celui qui aime la justice et qui veut vivre dans un esprit d’attachement à la justice doit s’attendre à être persécuté. L’apôtre Paul affirme en 2Timothée 3.12 que ceux qui cherchent à vivre avec piété et droiture connaîtront inévitablement la persécution. Or, tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus-Christ seront persécutés.

    Quant aux gagnants apparents dans une optique matérialiste, à quoi doivent-ils s’attendre ? !

    (Le masculin est ici privilégié puisque à l’époque, les hommes dominaient !)

    Ev. s. st.-Luc : -ch. 6.24  « Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde ! » ;

    -ch. 6.25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim !  Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes ! » ;

    Luc -ch. 18.25 « Il est plus aisé qu’un chameau passe par le trou d’une aiguille qu’il ne l’est qu’un riche entre dans le royaume de Dieu » !

    Etc.

    Sur un autre versant règnent les rationalistes depuis le 18ième siècle

    Ils ont copié, à une symétrie près, la parabole chrétienne : « L’homme est un dieu en devenir, le D étant ravalé en d, etc. !)

    La politique de la fuite t. p. en avant vers l’installation du paradis terrestre via le progrès scientifique bat t. p. son plein !

    Les transhumanistes sont persuadés que l’espérance de vie peut être prolongée, que les progrès scientifiques permettront de vivre continuellement en bonne santé ; qu’à la limite, on pourra changer les pièces ou parties déficientes tout en assurant l’immortalité !

    Implicitement, cela signifie aussi que l’homo sapiens est le chef d’œuvre de l’Univers, que la loi de complexification de Darwin est devenue obsolète ! Comme la voiture de 2017 n’a plus aucun intérêt à être changée par des nouvelles moutures !

    Le grand chef de cette école ou secte est Laurent Alexandre. Il a récupéré des benêts de pseudo philosophes qui n’entravent rien !

    L’un a été complice du second assassinat de Socrate par le candidat Sarkozy en 2007 pour obtenir un poste. Comme il faut bien vivre, il tente actuellement sa chance en tant qu’auteur de BD philosophiques pour les jeunes ! (V. la fin)

    Plus sérieusement, n’est-ce pas eux qui ont rejeté le Bilan de 2005 concernant notre génome, c. à d. le résultat consignant l’existence d’une différence de 1% entre le nôtre et celui du chimpanzé ? !

    Inutile de s’appesantir plus ! Pour eux un type de caractéristique « 1%+ » fait leur affaire !

    Une donnée moins cartésienne, plus statistique, plus quantique ou/et biologique !

    [[[V. sur Internet : Le hasard : la cause d’un tiers des cancers | Medisite

    En plus des facteurs environnementaux et héréditaires, de simples erreurs aléatoires lors de la division des cellules pourraient expliquer de nombreux cas de ...

    www.medisite.fr/a-la-une-le-hasard-la-cause-dun-tiers-des-cancers...]]]

    *** Et si le hasard, non pas au sens de la pièce lancée atterrit sur une face ou l’autre, mais en tant que détermination incompréhensible par nos petits cerveaux parce que dépendant de trop de paramètres (V. La théorie mathématique déterministe du Chaos), jouait un rôle aussi fondamental que mystérieux? ! 

    A chacun(e) de décider !

     

    J’avais présenté sur mon blog en 2010 un petit article : La vie ne serait-elle pas une sorte d’hyper jeu ?

     

    (Le masculin neutre sera de rigueur !)

    Dans l’Occident moderne rationaliste (le prolongement de l’ancien judéo-christianisme mais rebâti souvent par symétrie : « L’homme créé à l’image de Dieu » est devenu « L’homme est un dieu en devenir »), le principe du tiers exclu ou binaire remplace le dualisme ; le « bien » s’apparente au « positif » qui déprécie le « négatif », alors que le sens du mot n’existe qu’avec (ou exige) sa négation comme les deux faces d’une pièce de monnaie classique (cliché bouddhiste !).

     Si ce constat était accepté, d’autres questions pourraient se poser.

    Quel est le moteur de la vie ? N’est-ce pas la « motivation » qui fait réagir ?

    Sa composition ne serait-elle pas formée de « manques » et « déséquilibres » ?

    (Voir au départ le « principe d’homéostasie » suivi par la moindre cellule)

    Dans un vrai paradis sans le moindre besoin, des réactions, actions, mouvements, se manifesteraient-ils encore en provoquant de l’animation, des indices de vie ? !

    L’être humain ou l’homo sapiens (h. s.) ne se retrouve-t-il pas plus ou moins livré à lui-même, dans des manques multiples, c. à d. dépourvu d’indications précises, dans le flou, voire parfois brouillard ou plus, obligé de commencer à l’aveuglette ou à tâtons, de pratiquer la méthode des essais et erreurs dans le but de « s’en sortir » au mieux ?

    Dans ce contexte, n’est-il pas astreint à parier, miser, échafauder des tactiques ou stratégies pour tenter de « gagner », « réussir », « vaincre » ou « contourner », « dépasser », les obstacles qui se présentent sans cesse ? !

    N’aura-t-il pas tendance, par peur de l’insécurité, de la mort, en sollicitant son néocortex imaginatif, à pousser plus loin son avantage passager et à chercher à consolider son acquis, à le protéger (conservatisme), avant de l’amplifier (en tombant dans la dépendance) « toujours plus » et en versant dans le capitalisme ? !

    Les mots venant d’être employés ne configurent-ils pas l’espace des jeux ?

    POURQUOI LA THÉORIE DES JEUX NE POURRAIT-ELLE PAS S’APPLIQUER EFFICACEMENT AU PREMIER DEGRÉ … ?

    1) Quels sont les ingrédients d’un jeu qui fonctionne bien ?

    -Les quelques gagnants ne cohabitent-ils pas pacifiquement avec la masse des perdants parce que liés par « l’espoir » de « s’en tirer par le haut » ?

    -Si celui-ci vient à trop s’amenuiser, le jeu ne s’effondre-t-il pas de lui-même et un nouveau ne prend-il pas la relève ?

    Succinctement, entre autres, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

    -Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir.

    -Les résignés et soumis ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque).

    -Les désabusés sont ou amers ou redimensionnés.

    Dans tous les cas, quels que soient la situation, le talent des acteurs en compétition, le grand manège ne peut que tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence globale des participants ! Le principe de Pareto ou la règle (20 % / 80 %) est largement compatible avec ce scénario, le vérifie grosso modo ! La valeur de cette observation (d’abord concrète) d’économie de la fin du 19e siècle a pu être confirmée scientifiquement dans des problèmes de physique dynamique de flux … v. Internet)

    (Vilfredo Pareto, économiste, vers 1900 observa qu’environ 20 % de riches profitaient de 80 % des ressources dans les pays modernes occidentaux. Jusque la fin  du 20ième siècle, le PNUD affichait régulièrement le déséquilibre 20/80)

    # Plus synthétiquement, ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du jeu ne se discriminent-ils pas de ceux qui se précipitent dans l’attente enfantine d’obtenir des récompenses ? !

    ## Pourtant, ces « bons joueurs » ne constituent-ils pas les éléments primordiaux ou indispensables de la structure ? Ne serait-il pas aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

     Il apparaît normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la découverte, de l’apprentissage, etc.

             N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » de jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite dans l’après- vie ? !

             En prenant du recul, sans doute. Mais peu importe !

             C’est ce qu’on peut envisager mais qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre potentiel mental étant petites. Personnalisons-nous le miracle de l’Univers ou seulement des éléments d’une espèce (pour le moment la plus complexe) ? !

    En 2005, une évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé n’a-t-elle pas révélé une différence d’environ 1 % nous identifiant (plus sérieusement) plutôt à des sortes de « bonobos boostés » qu’à ceux de la célèbre parabole (V. le début) ? !

    S’il était utile d’insister, l’expression « La dignité humaine » ne pouvant être séquencée sans l’altération de sa signification, qui serions-nous ? ! Des hommes ou des h. s.? !

             Fréquemment, les activations prédominantes du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par la force) et du cerveau des émotions à la quête du plaisir (par une démarche basée sur l’analogie !) ne bousculent-elles pas les analyses et les déterminations rationnelles néocorticales qui se transforment en velléités sans poids (comme la domestique d’antan devant son maître ou Seigneur et saigneur) ? !

             Où se montre alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

    2) Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que « chef-d’œuvre » par la richesse, la diversité, le foisonnement de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l’acteur le plus doué ?

    À remarquer encore que deux sous- jeux,  le « Qui gagne perd » et le « Qui perd gagne », sont installés en permanence mais plus qu’incompris ! Ils étaient déjà évoqués dans le recueil de contes et légendes écrit au fil des années par des paysans bergers très intuitifs, voire géniaux (nommé Bible) …! Ils étaient surdoués mais ils n’ont tout de même pas été capables de prévoir que l’histoire (non pas du Père Noël, plus tardive, inventée par des parents …) de l’h. s. ressemblant à Dieu ferait florès pendant des millénaires, que ces soi-disant hommes se métamorphoseraient en adolescents attardés ou chroniques (ou adulescents) ! Quoiqu’ils aient programmé qu’ils demeureraient (sauf exception) aveugles et sourds et obtus jusqu’à ce que tout s’effondrât !

    N. B. Des conseils bouddhistes laissent entendre qu’on avance d’échec en échec ; qu’apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir ; etc..

    Lao-Tseu expliquait (approximativement) « L’homme qui parle ne sait pas, l’homme qui sait ne parle pas » !

    A chacun de conclure comme il le désire … Peu n’importe-t-il pas au second degré ? !

    De M. Pierre Payen (Dunkerque) ou Xyzabcd

     

     

    *** Un ajout..., une hypothèse supplémentaire.

    Et si chacun(e), en fonction du potentiel génétique de départ,  avait un parcours terrestre à effectuer ? !

    Tout se passerait selon un rythme personnel.

    Comme dans tout jeu, les différences pourraient être énormes ... Mais peu importerait, tout serait relativisé.

    Dans le cas de conscience suffisante, le parcours prendrait fin lorsque la/le participant(e) aurait l’impression d’avoir, sinon tout compris, suffisamment assimilé les règles ou structures de la vie pour ne plus se sentir en manque, ne plus désirer « un plus », donc serait prêt(e), légitimement, à accéder au « cycle suivant » ou « Après-vie » !

    (Bien sûr, « l’addict(e) » du « Toujours plus » serait en dehors des clous ! Devrait suivre un nouveau stage terrestre et se calmer !)

    Sinon, en cas de décès, si elle/il avait toujours soif de la vie, elle se réincarnerait automatiquement jusqu’à ce que tout soit pleinement consommé et désamorcé !

    Par exemple, les riches narcissiques, n’ayant rien compris, enferré(e)s dans leurs privilèges, reviendraient pour éprouver le ressenti des exploité(e)s ! Pour mieux « comprendre » en « allant au charbon » !

    Il ne s’agirait pas de pénalisations ou de condamnations mais de parcours à effectuer dans la « compréhension », en activant le « néocortex » !

    Et à chacun(e) selon son niveau, son potentiel génétique, son génome !

    Évidemment, à moins d’être surdoué(e), il n’est pas facile pour une jeune personne de tout comprendre et relativiser d’un coup !

    Mais, symétriquement, elle ne demande qu’à vivre « plus » pour découvrir ! « Il faut laisser le temps au temps » !

    Quant aux trop énormes accidents génétiques, trop grands handicaps, reste un mystère (Pour moi) ...

    Ils entrent dans la configuration des mathématiques, dans les options de la Combinatoire des différents éléments mais ? !

    Pourquoi de tels handicaps ? De telles souffrances ?  Un tel enfer terrestre ?

    That is the question !

    Ce qui est sûr, c’est qu’à 72 ans, estimant m’être bien tiré des problèmes rencontrés, je ne voudrais pas renaître ! Que dés l’adolescence, pour rien au monde je n’aurais voulu enfanter !

    Qu’à cause de cette vision de la vie parfois horrible, je suis devenu prof de math de collège avant de profiter, lorsque les CDI furent créés, lorsqu’il n’y avait pas encore de Capes de documentation, de la recherche de volontaires pour devenir (Suite quand même à un entretien au rectorat !) documentaliste ...

    Il se fait que M. Sarkozy, quelques semaines avant le scrutin présidentiel de 2007, a proclamé devant M. M. Onfray (philosophe à la mode) « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même » (V. sur Internet  Michel Onfray : Dans la peau de Nicolas Sarkozy ) (En clair, la traduction n’est-elle pas du type : C’est Dieu qui nous conduit. Il suffit d’écouter ses messages, donc son instinct et ses intuitions ? !)

     

     

     

     

  • XYZ, ABCD Humour. Ce qui est vrai pour la conduite d’une voiture serait faux pour celle de la vie ! ! !

    N’est-il pas préférable de connaître au mieux la structure  d’un véhicule si on désire s’en servir efficacement ? !

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