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vie - Page 24

  • Une autre présentation du spectacle de la vie !

     

    (Le masculin neutre sera de rigueur)

    En schématisant au maximum, à la manière cartésienne ou binaire, Il y a des privilégiés, des riches, des défavorisés, des pauvres.

     

    [[[A noter que Pareto (un économiste de la fin du 19ième siècle) avait même pu observer que souvent, dans de nombreux pays occidentaux, 20 % de privilégiés bénéficiaient d’environ 80 % des ressources. Le bilan du Programme des Nations Unies pour le Développement  (PNUD), en 1999, indique : Les écarts pays riches/pays pauvres se creusent encore 20% de la population mondiale (des pays les plus riches) contrôle 86% du PNB. Depuis, cela empiré ! ! ! Voir Wissal SEGRAOUI    L’Economiste : 13-07-1999]]]

    -On constate que dans le règne animal, la loi du plus fort ou de la jungle régule la vie.

    -Pourquoi ne pas comparer ceux qui ne se préoccupent que de leur bien-être, de leurs intérêts personnels immédiats, au comportement des animaux dominants qui réagissent à partir de leur cerveau reptilien et cerveau des émotions (Ne bénéficiant pas du néocortex) ?

    -Echappons-nous aux champs d’investigations de Darwin ? ! Et à ses observations ? !

    L’expression « La dignité humaine » ne se traduit-elle pas en prenant exactement le contre-pied de la définition précédente ? !

    C. Q. F. D. (Oui / Non ? !)

    Ne reste-t-il pas à relire Darwin ? ! Notamment les notions de sélection naturelle, de « régulation naturelle » ? ! Oui ou peut-être !

     

    *Mais, on peut obtenir des informations beaucoup plus modernes, affinées, élaborées en utilisant l’apport des fractales, consignées dans l’ouvrage « Les arbres de l’évolution » (Hachette, 2000) de Laurent Nottale, Jean Chaline, Pierre Grou. Il suffit d’inscrire le titre du livre sur le serveur d’Internet pour obtenir le contenu de l’Hypothèse 2080 ! 

    Xyzabcd

  • La Société de consommation, la Société « Toujours plus » (T. p.), le cerveau des émotions !

     

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    Le « manque » et le « déséquilibre » et la « vie » n’iraient-ils pas de pair ? Ne seraient-ils pas des composants des motivations qui alimentent le moteur de la vie.

                (Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, d’action, de mouvement, d’animation, de vie) (Henri Laborit, -biologiste célèbre décédé en 1995- le voyait ainsi)

                N’est-on pas obligé de « respirer », « manger », donc tuer des plantes ou des animaux ?

                La gestion d’un milieu fermé n’implique-t-elle pas la manifestation effective des écosystèmes, c. à d. celle d’agents de dégradation, d’élimination avant des renaissances et parfois des évolutions, voire des mutations ? !

                Des êtres vivants, par définition, imparfaits, partiellement démunis, dans un milieu qui n’est pas spécialement accueillant ni hospitalier, n’ont-ils pas forcément tendance, dans l’espoir d’accéder à l’état de « bien-être » momentané, à la sécurité temporaire, à parier, miser ? A élaborer des tactiques, des stratégies pour vaincre les obstacles, les adversaires, pour ensuite consolider ces gains avec le risque de confondre les moyens et la fin, la forme et le fond, c. à d. d’être victime de l’addiction « T. p. » ?

                La Société de consommation ne s’est-elle pas installée puis épanouie sur ce constat ?

    Son ressort n’est-il pas l’exploitation tous azimuts et t. p. habile des « manques », frustrations, stress, du « cerveau des émotions » (qui, entre autres, est chargé de la quête des plaisirs basiques selon une procédure analogique et non pas analytique) via la proposition de plaisirs compensatoires s’étiolant dès que consommés et donc nourrissant le renouvellement de l’opération d’achat jusqu’à (dans l’idéal commercial) la tombée sous dépendance ? ! Parce que, précisément, les homo sapiens sont structurés mentalement de cette façon !

    La Société « T. p. » n’est-elle pas en relation directe avec la précédente ? !

    Ne commence-t-on pas par consommer, puis plus, puis (si on devient « accro »)           t. p. ? !

    Sur le plan intellectuel, la curiosité est à l’origine de t. p. de découvertes.

    Elle n’est pas encouragée par les religions traditionnelles où il s’agit de suivre d’abord des normes soi-disant divines, d’obéir, voire de se soumettre sans réfléchir (Islam = Soumission). Les Arabes qui étaient au Moyen-âge très performants en mathématiques et ailleurs se sont soudainement recroquevillés sur eux-mêmes, ayant pris subitement conscience qu’ils ne respectaient pas les lignes du Coran. Le cerveau des émotions procède exclusivement par analogie sa quête de sécurité ou de réconfort d’essence divine …

    Le néocortex, à l’inverse …, anticipe, imagine, compare, analyse, se plait dans l’abstraction, la symbolisation, etc. 

    Ne pouvant pas se contenter de la quasi nullité des progrès matériels, voire de régressions …, les dits rationalistes, un peu à la fois, bousculèrent les pouvoirs de l’Eglise et les paraboles premières, notamment celle du CH 9.6 Genèse : « L’homme a été créé à l’image de Dieu ». Mais ceux-ci, ne purent qu’opter pour le concept symétrique : « L’homme est un dieu en devenir » !

    Au fil des siècles, ce credo devint t. p. prometteur et conduisit à une dépendance similaire à la précédente : la politique rationaliste scientifique de la « fuite en avant » !

    Les catastrophes modernes n’ont pas tellement modifié le programme initial !

    Si depuis 2005 l’étude comparative de notre génome et de celui du chimpanzé a définitivement prouvé, sachant que la différence est voisine de 1 %,  que nous n’étions pas ce que nous espérions, le bilan a été soigneusement enterré dans un silence assourdissant.

    Au lieu de profiter de l’occasion, de positiver cette donnée, d’avancer dans la connaissance de soi-même, c’est l’idée de M. Sarkozy (« Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même »), énoncée avant le scrutin de 2007, qui triompha ! ! ! ! ! ! ! (Cette tendance à la répétitivité, à l’absence d’évolution, n’évoque-t-elle pas la structure « fractale » ? ! V. dans le livre « Les arbres de l’évolution » de Nottale, Chaline, Grou, l’Hypothèse 2080…  Hachette 2000 ou/et Internet ! ! ! )

                Est-il possible de soutenir que la pulsion « T. p. » n’est pas une véritable drogue qui conduit au suicide par over dose ? !

                Si on écoute des rationalistes tels Ms. Claude Allègre, Alex Kahn, le futur est tout tracé. Tout doit prochainement aller toujours mieux dans le meilleur des mondes et l’immortalité  n’est plus une fiction !

                Au contraire, si on s’attarde quelques instants sur l’économie, en particulier sur les dettes d’Etat, ne serait-ce que sur les budgets à allouer aux divers services de protection sociale et de maintenance du matériel technologique, en tire-t-on une conclusion identique ? !

                Plus fondamentalement encore, si notre croissance « t. p. » s’apparente superficiellement à la « croissance arborescente » des végétaux, la réalité ne réside pas aux antipodes ? ! Si l’une parie sur l’innovation individuelle, fait confiance au rationalisme humaniste pour qui « L’homme est un dieu en devenir », est le chef-d’œuvre de l’Univers qui doit construire le « paradis terrestre », l’autre n’est-elle pas le produit d’une sélection et adaptation portant sur des millions d’années ? ! Le rythme d’adaptation de la nature peut-il être maintenant violé en permanence ? !

    Dans le monde dit « libéral » tout repose sur la promotion de la nouveauté en dehors de la réelle observation du principe de précaution puisqu’il n’est pas question d’attendre pendant 10 ou 20 ans l’apparition d’effets différés éventuellement négatifs, toxiques !

    (Par ex., « le dioxyde de titane désormais présent partout… créera-t-il un nouveau « scandale de l’amiante » ? En pire... ? L’amiante et le dioxyde de titane « sont vraiment similaires et ont la même puissance » toxique, selon le Professeur Jürg Tschopp, Prix Louis-Jeantet de médecine 2008 » [Altermonde]

    La mise en forme des lois garde-fous exigeant un certain temps incompressible, les escrocs et prédateurs  pourront t. p. surfer dans un no man’s land !

    — Tant qu’une Société est fermée, cadenassée par des dominants munis de moyens coercitifs dissuasifs, tout stagne jusqu’à ce que l’ensemble explose [V. la « Révolution de 1789 » ou la « Révolution du jasmin » en 2011 en Tunisie !]

    — Le fait que t. p de jeunes se suicident, s’immolent, cela ne constitue-t-il pas un indice révélant un état de déséquilibre majeur ?

    — Le capitalisme ne pourrait-il pas être considéré comme une drogue ou être relié au fétichisme de l’argent (V. Freud) ? !

    Cette cohérence ne s’illustre-t-elle pas en une image : celle de l’écureuil se décarcassant en courant t. p. vite dans sa boîte cylindrique tournant autour d’un axe central ! Ou il finira par mourir exténué, ou la boîte se déglinguera !

    — Comment ne pas apercevoir le leurre alors que les dettes t. p. énormes des États ruineront t. p. l’exécution de leurs prétentions ? !

    — Comment la méthode Coué du début du 20e siècle peut-elle encore être pratiquée comme au 19e siècle ? !

    — Comment prétendre être capable de mener à bien des projets sophistiqués impliquant la physique quantique en se bornant à raisonner selon une logique cartésienne, binaire (Celle des « bonobos boostés » ou homo sapiens)

    Cette attitude ne ressemblerait-t-elle pas à celle de l’enfant -qui désire t. p. et sans limites, se faire plaisir en ne tenant pas du tout compte de la finitude, -qui est tout heureux de se lancer t. p. vite et imprudemment dans l’escalade des branches de l’arbre des sciences en les confondant avec les droites aussi virtuelles qu’idéales ayant la faculté de croître (Elles) continument et indéfiniment jusqu’à l’infini ou le ciel ou Dieu ? !

    La conclusion pourrait emprunter à la logique habituelle, aussi rassurante que rudimentaire ! Elle n’apporterait donc rien !

    Autant laisser le soin à chacun de déduire ou d’imaginer ce qu’il désire pour se faire plaisir au 1er ou 2ème degré !

    Est-ce que  ce « Jeu de la vie » où on débarque presque nu, où on doit adopter ses propres règles ou tactiques plus ou moins efficaces, où un enfant meurt de faim environ toutes les 5 secondes,  ne laisse pas entrevoir (Si tout n’est pas absurde) un après jeu ou après vie ? !

     Xyzabcd !

  • Une VISION DE LA VIE, du « JEU DE LA VIE » (Une mise à jour 2012)

     Il me semble que le « manque » et le « déséquilibre » et la « vie » vont de pair ; qu’ils sont les composants des motivations qui alimentent le moteur de la vie.

                (Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, d’action, de mouvement, d’animation, de vie) (Henri Laborit, -biologiste célèbre décédé en 1995- le voyait ainsi)

                N’est-on pas obligé (Le masculin neutre sera utilisé) de « respirer », « manger », donc tuer des plantes ou des animaux ?

                La gestion d’un milieu fermé n’implique-t-elle pas la manifestation effective des écosystèmes, c. à d. celle d’agents de dégradation, d’élimination avant transformation et renaissance ? !

                Des êtres vivants, par définition, partiellement démunis, dans un milieu qui n’est pas spécialement accueillant ni hospitalier, n’ont-ils pas forcément tendance, dans l’espoir d’accéder à l’état de bien-être momentané, à la sécurité temporaire, à parier, miser ? A élaborer des tactiques, des stratégies pour vaincre les obstacles, les adversaires, pour ensuite consolider ces gains ?

                Dans ce cadre assez flou, excepté pour ceux qui prétendent connaître le « sens de la vie » (Les « croyants », les idéologues, les fanatiques, les rationalistes), la route à suivre est-elle claire ?

    Ces structures n’évoquent-elles pas celles qui organisent les jeux ?

    Un jeu ne « marche-t-il pas bien » quand peu de gagnants cohabitent pacifiquement avec une grande masse de perdants parce que liés par « l’espoir » de s’en sortir avec un peu de chance ? ! (A noter, en passant, que le « principe de symétrie », plus scientifique, se faufile ! Par ex. le sens d‘un mot n’exige-t-il pas l’existence de sa négation ? ! Les termes froid et chaud, léger et lourd, naissance et mort, etc., ne vont-ils pas de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle ? !)

                Si la proportion des gagnants était  trop élevée et donc des rapports trop modestes ou si celle des perdants ruinait l’intérêt de la participation, le jeu ne perdrait-il pas toute crédibilité ? Tout ne s’effondrerait-il pas ? Un autre jeu, plus élaboré mais reposant sur les mêmes attraits et risques ne prendrait-il pas alors la relève ?

    Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

                Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir. Les résignés et soumis  ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque). Les désabusés sont parfois amers.

    A NOTER que dans tous les cas, quels que soient le talent ou/et la force des acteurs en compétition, le grand Manège ne peut tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence des participants !

    C’est ainsi que plus synthétiquement, (la maturité aidant), on différencie ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du Jeu de ceux qui se précipitent dans l’espoir plus enfantin ou « adulescent » d’obtenir des récompenses !

    Mais on est contraint de considérer que ces derniers constituent parallèlement les éléments moteurs du Jeu, sont indispensables pour la bonne marche de l’ensemble ! Qu’il serait aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

    Il semble normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la curiosité, de la découverte, de l’apprentissage, etc.

    ·         N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » du plaisir du jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite heureuse dans l’après- vie !

    ·         En prenant du recul, sans doute que peu importe !

    ·         C’est ce qu’on peut espérer mais ce qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre mental étant trop petites ! Serions-nous les chefs-d’œuvre de l’Univers ou seulement des éléments de l’espèce pour le moment la plus complexe, celle des homo dits sapiens (sages !), celle dont le génome se différencie de moins de 1 % de celui du bonobo ? !

     Des remarques ! 

    L’emploi du mot « homme » associé  au terme « dignité » est-il facile ? ! Bien souvent, ne constate-t-on pas que les activations :

    -du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par tous les moyens),

    -du cerveau des émotions qui recherche automatiquement (sans forcément passer par l’analyse du néocortex) le plaisir,

    sont prédominantes ?  Où se trouve alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

                Le sens du principe de Pareto (ou règle des 20 % / 80 %) :

    -qui a d’abord été introduit, fin 19ième siècle, par un économiste pragmatique ayant observé qu’en général 20 % de la population aisée d’un pays voisinait plus ou moins pacifiquement avec les 80 % plus pauvres,

    -qui a pu être validé en tant qu’opérateur s’appliquant dans la physique des fluides et flux (v. Internet), est-il suffisamment recherché et valorisé ? !

     Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que chef-d'œuvre par la richesse, la diversité, la multiplicité, de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l'actrice ou l'acteur le plus doué(e) ?

    Si on revient sur l’expression « Jeu de la vie », n’évoque-t-elle pas aussi parfois « L’enfer du jeu » quand on s’y accroche désespérément. Certains ne rêvent-ils pas d’immortalité       alors que tout est structurellement quasiment « cyclique » (entre les points ou moments de     rupture de la physique quantique …) ?  ! Presque comme dans la Bible mais à une symétrie près puisque les déchus étaient condamnés éternellement et ne pouvaient s’échapper !