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Mieux qu’un psy pour saisir la vraie personnalité de M. Hollande ! Les commentaires de SA COUSINE !

Quand la cousine de M. Hollande précise QUI EST M. HOLLANDE ! CE QU’IL A TOUJOURS ÉTÉ ! ! !

Tout de même ! Savoir que "LE CHANGEMENT", chez lui, C'EST JAMAIS ! Donc que sa promesse de rester "NORMAL" impliquait exactement le contraire de ce que les Sans-dents comprenaient, cela ne devrait-il pas les faire réfléchir un peu, pour une fois ? !

  • Il est resté effectivement « NORMAL » ! Et n’était pas fait pour être président !

Seulement pour manger du chocolat, s’amuser et faire des blagues ! ! !

TOUT N’EST-IL PAS CLAIR ? ! NE FAUT-IL PAS LE RENVOYER À SES PASSE-TEMPS ENFANTINS ? !

François Hollande : sa cousine dévoile le surnom que lui donne sa famille !

http://www.planet.fr/

Vacances en famille, surnom, relation avec sa mère…. Journaliste et cousine du président de François Hollande, Hélène Pilichowski a récemment raconté des anecdotes sur l’enfance et les débuts en politique de l’actuel président de la République. Découvrez ce qu’elle a dit. 

La cousine de François Hollande s’est récemment livrée à L’Opinion. Journaliste d’origine polonaise, Hélène Pilichowski a en effet fait quelques confidences au journal à propos du président de la République. Témoin privilégié de ses jeunes années, elle a ainsi raconté qu’ils se retrouvaient chaque été à Saint-Genix-sur-Guiers, en Savoie. "Nos grands-parents, qui étaient frère et sœur, nous emmenaient toujours en vacances ensemble", a raconté celle dont la mère, Gisèle Jacquignon, était la cousine germaine de celle du chef de François Hollande. "On l’appelait - et on l’appelle toujours – ‘le petit François’. Il était dodu, rigolo, toujours de bonne humeur, jamais un pet de travers, jouisseur, gourmand : avec lui, on ne pensait qu’à manger du chocolat en cachette ! Il aimait s’amuser faire de blagues", s’est souvenu la cousine du chef de l’Etat. Et celle-ci de souligner : "Pour lui, la vie était facile et tout le monde l’aimait".

Sa mère "était très fière de lui" mais…

A lire aussi –François Hollande : les femmes de sa vie

***  Autre confidence de la cousine de François Hollande : le regard que portait sa mère sur son parcours et son ascension politique. Nicole Tribert "était très fière" de son fils, "mais elle ne pensait pas qu’il aurait la stature pour être président", a assuré Hélène Pilichowski à L’Opinion. "D’ailleurs, après sa victoire, François Hollande n’avait pas convié sa famille à la cérémonie d’investiture, le 15 mai 2012. Ce qui avait beaucoup fait jaser", rappelle de son côté Closer.

En vidéo - Chez François Hollande, une Julie peut en cacher une autre

Pour lui, la vie est facile ! ! ! Il suffit d'attendre le soleil ! N'est-ce pas en résumé la structure de sa politique ? ! De son cerveau ? !

 ! ! ! ! ! ! ET IL VEUT CONTINUER ! IL SE SENT BIEN À L'ÉLYSÉE ! ! ! ! ! ! ! !

Pierre Payen (Dunkerque)

N. B. Les confidences des proches de ses comparses ne seraient-elles aussi révélatrices ? !

****** Alertes Google Humour : Humour. LA PREUVE ! Patapouf n'a pas changé depuis son enfance !

Le Club de Mediapart (Blog)

Tout de même ! Savoir que "LE CHANGEMENT", chez lui, C'EST JAMAIS ! Donc que sa promesse de rester "NORMAL" impliquait exactement le .

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Election-presidentielle-2012 - Actualite - Francois-Hollande-l ...

www.lejdd.fr/...presidentielle.../Francois-Hollande-l-inattendu-elu-president-de-la-Rep...

6 mai 2012 - En 2003, sa mère, Nicole Hollande, riait quand elle racontait à Michel Drucker que, petit, il disait "quand je serai grand, je serai président". .... Paris tout en étant comme un poisson dans l'eau en Corrèze, cette terre où, dit-il,

dinky toys, petits soldats et tombouctou hollande àu mali

odh-mauritanie.com/actualite-11359-dinky-toys-petits-soldats-et-tombouct...

poubelle des voitures et de petits soldats, François Hollande décide d'agir comme un Homme pour échapper aux rigueurs d' « un homme ombrageux, brutal .

POLITIQUE INFLUENCE PARENTS PSY NICE MATIN

La personnalité des politiques éclairée par celle de leur père

www.nicematin.com/.../la-personnalite-des-politiques-eclairee-par-celle-d...

11 janv. 2015 - Même les politiques ont un père (1) place la politique au cœur .... La politique était le moyen pour Marine Le Pen d'être avec le seul parent qu'il lui restait. ... Propos recueillis par Thierry Prudhon (tprudhon@nicematin.fr).

Pourquoi ils détestent Hollande - leJDD.fr

www.lejdd.fr/.../Les-ambitions-de-Hollande-agacent-au-sein-du-PS-3064...

30 avr. 2011 - Hollande n'a jamais été ministre, il a dirigé le PS pendant dix ans, mais Dominique Strauss-Kahn, ... Cécile Amar - Le Journal du Dimanche.

Hollande l’intellectuel ! ! !

La seule chose qu’il ait bien choisi ne serait-il pas, (V. après) « L’histoire de France pour les NULS »

Les “hollandais” en quête de théorie

02 novembre 2013 |  Par Lénaïg Bredoux et Joseph Confavreux

François Hollande, qui rechigne à théoriser sa ligne politique, est longtemps resté très éloigné des chercheurs et des intellectuels qui gravitent autour du parti socialiste. Un manque que certains de ses proches essaient aujourd'hui de pallier, au vu de la dégradation de la situation.

La scène a lieu fin juin, au palais de l’Élysée. Dans quelques jours, François Hollande s’envole pour Tunis où il a prévu de prononcer son premier discours dans le pays précurseur des printemps arabes. Il sait que chacun de ses mots sera scruté. En amont, il réunit une poignée de chercheurs et d’intellectuels spécialistes de la Tunisie pour une conversation à bâtons rompus d’une heure et demie. Autour de la table, Béatrice Hibou, chercheuse au CNRS et auteure d’un ouvrage de référence sur la Tunisie, le Franco-Tunisien Elyès Jouini, vice-président de l’université Paris-Dauphine, Jean-Pierre Filiu, professeur à Sciences-Po qui a passé plusieurs années à Tunis, Jocelyne Dakhlia, historienne et anthropologue à l’EHESS, l’historien Benjamin Stora, proche de François Hollande.

 « C’est la méthode François Hollande », raconte a posteriori Elyès Jouini qui, comme ses collègues, a trouvé le président « très à l’écoute ». « On a tous dit qu’il ne fallait pas dramatiser la situation. Que les débats sur la démocratie, c’est justement la démocratie. On a aussi dit qu’il ne fallait pas trop s’engager sur la question des Femen, on a parlé des féministes islamistes et que la déclaration de Valls sur le fascisme islamiste était une catastrophe. Sur tout cela, Hollande était compréhensif », témoigne un autre interlocuteur, qui a souhaité rester anonyme.

« Je suis frappé : quand il voit les chercheurs, cela se passe incroyablement bien et c’est une différence fondamentale par rapport au mandat précédent. Sarkozy ne faisait que parler à chaque déjeuner avec les intellectuels – quand il ne les tançait pas. Hollande écoute et rentre vraiment dans la discussion – même si je pense qu'il est plus naturellement en phase, à l'aise et demandeur avec des experts spécifiques qu'avec des intellectuels généralistes », explique Gilles Finchelstein, le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès. Ce que Jacques Julliard, éditorialiste à Marianne et historien des gauches françaises, confirme : « Il préfère, chez les intellectuels, un discours d’expertise plutôt qu’un discours de grandes idées. »  

François Hollande aurait-il changé depuis qu’il est à l’Élysée ? L’exemple de sa préparation au voyage en Tunisie fait, en réalité, plutôt figure d’exception. Le président traîne en effet, depuis de longues années, une réputation qu’il a lui-même alimentée d’un responsable politique peu friand de théorisation politique (lire notre enquête sur le “hollandisme”), se tenant volontairement à distance des intellectuels et des chercheurs. Premier secrétaire du PS entre 1997 et 2008, il se coupe totalement du monde universitaire. Ce n’est ni son univers politique, ni son univers personnel – ses amis appartiennent pour beaucoup à la fameuse promotion Voltaire de l’Ena.

Pour le député de la Nièvre Christian Paul, ex-président du Laboratoire des idées au PS, « dès 2012, on a vu le retour en force de la pensée technocratique, sans l’hybridation qu’on avait connue dans des cabinets de gauche précédents. » Mais, pour Alain Bergounioux, président du centre de recherches OURS et de la Revue socialiste, il faut nuancer : « Quand j’étais secrétaire à la communication dans les années 2003-2004, j’avais organisé les rencontres de Solférino et des petits-déjeuners de travail. Peu de secrétaires nationaux étaient présents, alors que Hollande venait toujours. Mais il est exact qu’il n’a pas le goût du débat théorique. » 

Martine Aubry, quand elle lui a succédé à la tête du parti, n’a pas manqué de le déplorer, tentant de renouer avec les chercheurs et les intellectuels proches des socialistes, au travers du Laboratoire des idées, animé par le député Christian Paul. Maire de Lille, elle se fait volontiers guide d’expositions d’art contemporain, et candidate à la primaire, elle avait intégré plusieurs chercheurs dans son équipe de campagne, tels que les économistes Daniel Cohen, El Mouhoub Mouhoud, ou Maya Beauvallet, le sociologue Michel Wieviorka, l’anthropologue Françoise Héritier, le généticien Axel Kahn ou le médecin et chercheur Jean-Claude Ameisen.

Dans l’organigramme de  la primaire de François Hollande, pas un seul n’y figure. En 2006, celui qui est encore premier secrétaire se met en scène avec sa compagne d’alors, Ségolène Royal, dans Paris Match. Il choisit de poser pour les photographes avec L’Histoire de France pour les nuls – un choix de communication révélateur du peu de cas que fait l’énarque pour les travaux des historiens. Un responsable socialiste se souvient aussi d’une anecdote qui a fait le tour de Solférino, celle d’un dîner dans des temps anciens chez le couple Royal-Hollande où le second avait lancé : « Tout a déjà été pensé. »

(Plus con que ce dit socialiste, ne meurt-on pas ? !

Six ans plus tard, Hollande est favori de la présidentielle – il est l’invité de la rédaction de Libération et questionné par les journalistes de différents services. « Il ne répond pas à Robert Maggiori qui lui demande quels penseurs inspirent ses lectures », raconte le quotidien. Et quand Libé lui demande : « Quelles sont vos références théoriques vous permettant d'avoir des avis sur les inégalités, la misère, etc. ? », le candidat du PS ne cite aucun chercheur ni aucun ouvrage.

Durant sa campagne, plusieurs de ses proches ont pourtant tenté de raccrocher leur champion aux universitaires pour enrichir la réflexion de ce qu’on appelle encore ironiquement le « club 3 % », c’est-à-dire le niveau de popularité d’alors de Hollande dans les sondages. « C’est à partir de Lorient (une rencontre de ses proches, en 2009, ndlr) qu’on se met à voir des chercheurs », raconte Rémi Branco, jeune pousse de la “hollandie”, devenu chef de cabinet adjoint du ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll. Avec quelques autres, il fait le “go-between” pour alimenter le programme du futur candidat à la présidentielle.

C’est, entre autres, de ces échanges entre Hollande et les chercheurs que naît l’idée de faire de la jeunesse une priorité. « Il voyait et connaissait des économistes… Moins les sociologues », raconte Branco qui souligne notamment le rôle de Cécile Van de Velde, sociologue à l’EHESS. « C’est avec elle que Hollande commence à bien réfléchir aux politiques de jeunesse », dit le conseiller. À la même époque, Martine Aubry travaille avec un autre jeune sociologue, Camille Peugny. Tous les deux n’ont pas la même approche et leurs nuances résument assez bien celles qui différenciaient les deux rivaux. « Hollande a rencontré Peugny une fois mais il défendait une approche très misérabiliste quand Van de Velde dit que les jeunes doivent travailler, s’ouvrir », se souvient Rémi Branco.

C’est aussi des rencontres du futur président de la République avec le monde universitaire que germe son projet (à la peine aujourd’hui) des contrats de génération. En l’espèce, c’est Anne-Marie Guillemard, spécialiste de l'emploi des seniors à Paris-Descartes, qui y a contribué. Et c’est avec Nicolas Duvoux, également maître de conférences à Paris-Descartes, que naît l’idée de la « garantie jeunes », évoquée par François Hollande dès juin 2011 et qui vient d’être instituée à titre expérimental.

À l’Élysée, le président de la République, comme avant son voyage à Tunis, a aussi régulièrement l’occasion de s’entretenir avec des chercheurs ou des intellectuels – Jacques Julliard l’a vu cet été, Marcel Gauchet également. « Il fait un déjeuner par mois en moyenne. Et pas seulement avec des économistes », explique un de ses collaborateurs, soumis à l’anonymat. Mais, sourit Jacques Julliard, « quel président ne reçoit pas les Marcel Gauchet ou Pierre Nora ? Je pense, très franchement, que c’est surtout cosmétique. »

Mais François Hollande reste rétif à théoriser plus avant son action politique et semble souvent prisonnier d’une approche au mieux « pragmatique », au pire technocratique depuis qu’il est à l’Élysée. « Hollande président récolte ce qu’il n’a pas semé quand il était premier secrétaire du PS. La stratégie de Hollande est restée de s’entourer de quelques conseillers avec des profils homogènes et de leur demander des recettes ponctuelles,dénonce Frédéric Sawicki, professeur en science politique à l’Université Paris 1. Ce gouvernement souffre du travail qui n’a pas été fait quand le PS était dans l’opposition, surtout lorsque Hollande était premier secrétaire. »

Pour une responsable socialiste proche de Martine Aubry : « À force de vouloir fermer à tout prix la parenthèse Aubry, les hollandais se sont pris cette fermeture dans la figure. Ce ne serait pas si grave s’il y avait un bouillonnement d’idées ailleurs, mais ce n’est pas le cas. » Au PS notamment, où le Lab, mis en place lors de la direction d’Aubry pour créer une porosité avec le monde de la recherche, est en état de mort cérébrale, le choix, rappelle Frédéric Sawicki, « a été fait de donner les rênes à quelqu’un qui n’est pas du tout un manipulateur d’idées ou qui ait une vision. Comme les ténors du PS, aujourd’hui au gouvernement, se tirent la culotte, personne ne semble porter un projet de société, à l’intérieur ou à proximité de ce pouvoir. »

Et du côté des ministres ?

Parmi ses proches et au gouvernement, ils sont pourtant nombreux à chercher à alimenter davantage leur vision du monde et leurs analyses politiques. Plusieurs ministres ont récemment publié un livre de réflexions, comme Vincent Peillon (Refondons l’école – pour l’avenir de nos enfants), Pierre Moscovici (Combats – pour que la France s’en sorte) et Arnaud Montebourg (La Bataille du Made in France). Christiane Taubira, ministre de la justice, demande régulièrement à son cabinet de veiller à ne pas surcharger son agenda pour qu’elle puisse continuer de consacrer quelques heures à la lecture – notamment de poésie.

Vincent Peillon, agrégé de philosophie et « intello » revendiqué, continue de lire tout ce qui sort sur l’éducation. Pour sa concertation sur l’école, l’été dernier, il a choisi une sociologue, Nathalie Mons, pour présider les débats. Au ministère de l’Éducation nationale, c’est aussi un professeur d’université, à Paris Est-Créteil, qui préside la « délégation ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire » pour laquelle le ministre a voulu « associer la connaissance scientifique et l'action ». Quand il a nommé de nouveaux recteurs, Peillon a aussi choisi de puiser pour partie parmi des universitaires reconnus comme les historiens Christophe Prochasson ou François Weil.

Stéphane Le Foll, le ministre de l’agriculture, et “hollandais” historique, a demandé à ses collaborateurs de lui organiser des rencontres avec des universitaires ou des essayistes, notamment des économistes comme Éric Heyer et Mathieu Plane à l’OFCE, Jean Pisani-Ferry, Luc Arrondel ou les journalistes d’Alternatives économiques Guillaume Duval et Thierry Pech. « À partir de janvier, il en a ressenti le besoin », raconte un de ses proches.

Un fonctionnement dont le premier ministre Jean-Marc Ayrault a fait une de ses marques de fabrique dès son arrivée à Matignon il y a dix-huit mois. L’ex-professeur d’allemand a nommé conseiller spécial un de ses amis, Jacques-Pierre Gougeon, universitaire de formation et spécialiste des relations franco-allemandes. C’est lui qui est officiellement chargé de faire le lien avec le monde intellectuel. Chaque mois, il organise un dîner en petit comité avec le premier ministre.

Le premier en juin 2012 était consacré à la situation économique, le deuxième à la « ville de demain », le troisième s’intitulait « La frontière a-t-elle encore un sens ? » avec Hubert Védrine, Pascal Boniface et Régis Debray. Lors d’un dîner consacré à l’état de la jeunesse française, les sociologues Olivier Galland et Anne Muxel ont, entre autres, été conviés à Matignon. Ayrault a également dîné avec Laurent Davezies, Hervé Le Bras et le géographe et président de l’université d’Orsay Pierre Veltz. En septembre, son rendez-vous mensuel était consacré à la diversité.

« Le premier ministre a toujours eu un lien particulier avec les milieux culturels et intellectuels. C’est un monde qui lui parle, explique Jacques-Pierre Gougeon, qui rappelle l’action de Ayrault à Nantes. En arrivant à Matignon, il a voulu maintenir ce lien. »

En dehors du gouvernement, plusieurs think-tanks de gauche essaient aussi de trouver leur place après dix ans d’opposition. C’est le cas de la Fondation Jean-Jaurès, sous la houlette de Gilles Finchelstein qui organise des rencontres régulières, off the record. « Ce sont des petits-déjeuners qui suivent la règle de Chatham House, où la confidentialité des propos garantit la franchise des débats, explique-t-il. On invite une soixantaine de politiques, d’universitaires, de hauts fonctionnaires, de membres de cabinets, de chefs d’entreprise, de syndicalistes à se réunir autour d’un invité principal pour un vrai moment d’échange. »

Les jeunes proches de François Hollande, conseillers à l’Élysée ou dans les ministères, ont aussi décidé de lancer leur propre structure, Du pain sur la planche, dont le lancement public a lieu mercredi 30 octobre. « Nous nous sommes constitués à La Rochelle fin août et nous nous réunissons toutes les semaines pour des entretiens avec des chercheurs ou des conseillers. Sur les retraites, nous avons notamment reçu le conseiller social de François Hollande à l’Élysée, Michel Yahiel », explique une des chevilles ouvrières du projet, Rémi Branco. Sur le FN, on a rencontré Joël Gombin et Antoine Jardin, jeunes politologues ayant travaillé sur le vote dans les quartiers populaires. »

L’équipe, également constituée d’Adrien Abecassis, conseiller diplomatique à l’Élysée ou de Delphine Chambonneau, au cabinet de Michel Sapin, espère défendre la politique de François Hollande mais aussi formuler des propositions sur l’égalité, l’Europe ou le travail, et retisser le lien avec les chercheurs. « Parce que c’est dangereux de rester dans les tunnels ministériels. Depuis un an, le lien avec les intellectuels s’est effiloché », explique Branco.  

Pas sûr toutefois que la conscience du danger suffise à modifier l’inertie des habitudes. Comme le souligne Frédéric Sawicki, « il existe certes des échanges, mais entre personnes et idées homogènes. On n’organise pas la confrontation, le débat, l’échange d’arguments ».

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RESUME DU 1er TEXTE

Les “hollandais” en quête de théorie

02 novembre 2013 |  Par Lénaïg Bredoux et Joseph Confavreux MEDIAPART !

François Hollande, qui rechigne à théoriser sa ligne politique, est longtemps resté très éloigné des chercheurs et des intellectuels qui gravitent autour du parti socialiste. Un manque que certains de ses proches essaient aujourd'hui de pallier, au vu de la dégradation de la situation.

Premier secrétaire du PS entre 1997 et 2008, il se coupe totalement du monde universitaire. Ce n’est ni son univers politique, ni son univers personnel – ses amis appartiennent pour beaucoup à la fameuse promotion Voltaire de l’Ena.

Martine Aubry, quand elle lui a succédé à la tête du parti, n’a pas manqué de le déplorer, tentant de renouer avec les chercheurs et les intellectuels proches des socialistes,

Un responsable socialiste se souvient aussi d’une anecdote qui a fait le tour de Solférino, celle d’un dîner dans des temps anciens chez le couple Royal-Hollande où le second avait lancé : « Tout a déjà été pensé. »

. « Il ne répond pas à Robert Maggiori qui lui demande quels penseurs inspirent ses lectures », raconte le quotidien. Et quand Libé lui demande : « Quelles sont vos références théoriques vous permettant d'avoir des avis sur les inégalités, la misère, etc. ? », le candidat du PS ne cite aucun chercheur ni aucun ouvrage.

Mais François Hollande reste rétif à théoriser plus avant son action politique et semble souvent prisonnier d’une approche au mieux « pragmatique », au pire technocratique depuis qu’il est à l’Élysée. « Hollande président récolte ce qu’il n’a pas semé quand il était premier secrétaire du PS. La stratégie de Hollande est restée de s’entourer de quelques conseillers avec des profils homogènes et de leur demander des recettes ponctuelles, dénonce Frédéric Sawicki, professeur en science politique à l’Université Paris 1. Ce gouvernement souffre du travail qui n’a pas été fait quand le PS était dans l’opposition, surtout lorsque Hollande était premier secrétaire. »

 N. B. Encore une suggestion Pourquoi ne pas l’appeler dorénavant “François Hollande-Peter” puisqu’il symbolise parfaitement LE PRINCIPE DE PETER ? ! Celui qui est devenu la NULLITÉ ²

 CETTE FOIS, j’ai vraiment envie de terminer par “J’EN AI PLUS RIEN À CIRER ...” ou “QUI VIVRA VERRA” !

 

 

 

 

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