M. RETAILLEAU ! CELUI QUI SE MORD LA QUEUE en toute inconscience ! Comme son ex-maître De VILLIERS ! ! !

(Le masculin soi-disant neutre sera employé puisque ce texte s’adresse aux religieux !)

Ce Vendéen avait aussi, avant, comme maître : M. De Villiers ! 

A) Monsieur Retailleau affirme :  « NOTRE CORPS APPARTIENT A DIEU » ! DONC NON A L’EUTHANASIE !

Fort bien ! POUR lui et ses copains,/ines, C’EST DIEU QUI DÉCIDE DE TOUT !
(V. par ex. Me Christine Boutin !)

MAIS ALORS ! 
SI C’EST DIEU QUI REND MALADE UN CORPS, N’EST-CE PAS S’OPPOSER DIRECTEMENT A LUI (DIEU !) EN FOURNISSANT AU MALADE DES MÉDICAMENTS, EN L’OPÉRANT SI NÉCESSAIRE ? !

****** Il ne faut pas les prendre pour ce qu’ils ne sont pas ! SI VOUS LES INTERROGEZ, ILS VOUS RÉPONDRONT ! ******

J’INVITE LES LECTEURS A S’ADRESSER AUX MÉDIAS, A LES INCITER A POSER LA QUESTION A MS. RETAILLEAU/BAYROU/MACRON  ! ! (Ce qui n’a rien à voir avec celle de L’INQUISITION !)

Voire par un mail, à leur écrire directement (Ouvrir Internet, taper « Écrire au président » ou « Écrire au premier ministre » ou « Écrire au ministre de l’intérieur » !

PEUT-ÊTRE QU’ILS SE RACCROCHERONT A LA BRANCHE DU DIABLE !

OK ! MAIS SI C’EST LE DIABLE QUI EST LA CAUSE DE LA SOUFFRANCE, de L’AGONIE, D’UNE PERSONNE victime d’une maladie mortelle, sans rémission possible, POURQUOI LE LAISSER FAIRE ? ! DONC S’ASSOCIER A LUI ? ! DEVENIR SON COMPLICE ? ! 

EH OUI, mesdames et messieurs « Les riens » ou « Presque riens » CES MESSIEURS, méfiez-vous, SONT LES COMPLICES DES DIABLES ! ! ! 
QU’ON SE LE DISE ! 

QUANT A M. BAYROU qui, après avoir déclaré en 2024 qu’il venait juste d’apprendre l’existence de l’affaire BÉHARRAM, puis avoir avoué qu’il avait été prévenu vers 1995,  il ne mérite plus aucune observation, sinon : Qu’il se réincarne et morfle !

NOTRE JUPITER , lui, n’ayant jamais été aussi occupé, NOUS/VOUS INVITERA A S’ADRESSER A BRIGITTE !

B) Vous pourriez aussi leur demander ce qu’ils pensent du comportement de cet évêque ! 

****** Confession interdite : un prêtre défie la confession pour sauver une fille kidnappée et son père ******
 

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Confession interdite : un prêtre défie la confession pour sauver une fille kidnappée et son père
Publié le 12 août 2025 à 3h30·Écrit par Geliana Ordaz 

Guidé par sa conscience, le père Camilo dénonce les ravisseurs et met fin à cet enfermement.

Lors d’une messe dominicale, le père Camilo aperçoit un couple inconnu accompagné d’une fillette. Rien ne laisse présager un drame. Pourtant, une tension inhabituelle flotte autour d’eux. 
L’enfant garde les yeux baissés, ses mains sont crispées.

Cette attitude inquiète le prêtre. Après la cérémonie, il engage la conversation. 
Les adultes affirment élever la petite Élisa depuis la mort de son père. L’histoire paraît crédible, jusqu’à ce que l’enfant murmure : « Mon père n’est pas au ciel. »

Cette phrase déclenche un doute profond. 
Les jours passent et Élisa revient seule à l’église, toujours avec ce visage grave. 
Un après-midi, Camilo l’invite à se confier. Dans l’intimité de la confession, la vérité éclate : son père est vivant. Il se trouve enfermé dans la maison familiale, prisonnier de ses propres oncles.

Rafael, un riche chef d’entreprise, survit depuis des mois dans une pièce obscure du sous-sol. 
Les ravisseurs veulent s’emparer de sa fortune. 
Élisa vit sous la surveillance constante de ses geôliers. 
Camilo se retrouve face à un dilemme moral. 
Le secret de la confession le retient, mais l’idée de laisser cette famille à son sort lui est insupportable. 
Il promet à Élisa de ne pas révéler ses paroles… tout en cherchant un autre moyen d’agir.

Une enquête discrète mais déterminée

Les nuits suivantes, le prêtre lutte contre l’angoisse. Sa conscience l’empêche de dormir. Il choisit alors de vérifier par lui-même. 
Discrètement, il observe Hernán et Greta, les oncles d’Élisa. Il note leurs allées et venues, les visites suspectes et le comportement des deux hommes qui escortent toujours la fillette…… !

Xyzabcd ou Pierre Payen (Dunkerque)
 
C) POUR M. PHILIPPE DE VILLIERS (Donc probablement pour Ms. Retailleau/Bayrou/Macron) : AVANT, ON VIVAIT DANS L’HARMONIE !
CE QUI TIENT LES PEUPLES EN HARMONIE ET EN SÉCURITÉ, C’EST L’IDÉE DE FRONTIÈRE

(Je n’aurais pas découvert le passage qui suit si je n’avais pas entendu sur CNews un BEST DE M. DE VILLIERS OÙ IL SOULIGNAIT QU’AVANT, ON VIVAIT DANS L’HARMONIE  (Je présume que c’était : AVANT MAI 68 !)

[…] je pense que dans l’histoire de l’humanité, ce qui tient les peuples en harmonie et en sécurité, c’est l’idée de frontière. 
La frontière est une protection et un rêve. On rêve de la franchir pour aller voir ailleurs, mais elle est d’abord une protection. 
Aujourd’hui, la France, comme toute l’Europe, est en voie de décivilisation, parce que toutes les frontières ont été dévaluées ou supprimées. 
D’abord, bien sûr, la frontière au sens physique : le mondialisme a pour but de faire disparaître les communautés nationales et les patries charnelles et c’est en bonne voie. 
Mais à cela s’ajoute la disruption anthropologique, qui est en train de se produire en ses trois frontières. 
La barrière de l’espèce, la frontière entre l’animal et l’homme, est en train de sauter. 
Il vaut mieux être un panda de Beauval qu’un poupon de Juvisy. Bientôt l’animal aura un statut supérieur à l’être humain. 
La deuxième frontière est celle entre la vie et la mort, et là c’est le transhumanisme qui est à l’œuvre, repoussant toute forme de limite. 
La troisième est celle entre les sexes: avec le transsexualisme, nous serons bientôt tous des hermaphrodites.
Quand les Romains ont aboli le limes – la frontière entre l’Empire et le reste du monde – l’identité romaine s’est dissoute. 
Une société qui fait sauter toutes ses frontières n’a plus de limites, et l’illimitation est la caractéristique des peuples qui vont mourir. Et qui vont «mourir en s’amusant», comme on disait à Rome. […]

****** l parle de la frontière entre l’animal et l’homme ! Sauf qu’il ne sait pas (A l’insu de son plein gré !) qu’il n’est pas un homme, mais un « homo sapiens » qui n’a même pas été capable d’assumer les vérités de 2005 et 2011 ! ******

On a prouvé en 2005 que le matériel qui nous structure (Le génome) se différencie de celui du chimpanzé d’environ 1 % ! Depuis en affinant, on a réussi à proposer : entre 1 et 4 % !

En 2011, on a mis en évidence le mode de fonctionnement d’un système vivant stable : le néocortex !
Il est apparu qu’il ne pouvait perdurer, affronter les aléas de la vie que dans la « redondance », c. à d. qu’en disposant d’aides/auxiliaires de vie (Matière blanche, ADN non codant, etc.)

Il n’a pas signalé, lui l’intellectuel éveillé, que notre société vivant sous l’addiction « Toujours plus » (t. p.) vite tournait t. p. à flux tendu, au milieu de t. p. d’imprudences, sans plan B !

LA CERISE SUR LE GÂTEAU ! ! ! 
IL PRÔNE LES FRONTIÈRES COMME LES ANIMAUX CHERCHENT A MARQUER LEURS TERRITOIRES ! ! !

QUAND IL AFFIRME, QU’AVANT, ON VIVAIT DANS L’HARMONIE, IL VEUT SIGNIFIER AUSSI QU’AVANT MAI 68, « les vaches étaient bien gardées » ! 
« Chacun son métier et les vaches seront bien gardées » 

Voir aussi l’idée de « méritocratie », des premiers de cordée qui décident, gouvernent, exigent ; des riens qui exécutent, obéissent à leurs supérieurs en les remerciant de leur permettre d’obtenir leur pain quotidien !

Retailleau/De Villiers, du même tonneau ! Sauf que dans la Bible, il s’agit de l’amour du prochain ! Et aussi : « Qui es-tu, toi qui juges ton prochain ? » Jacques 4.12

QUI SONT-ILS ? ! 
LA PREUVE PAR 9 (Puisque c’est écrit, noir sur blanc) ! ! ! 

Év. s. st. Luc ch. 6.24 « Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde ! » ;

Luc ch. 6.25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim !  Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes ! » 

Luc ch. 18.25 « Il est plus aisé qu’un chameau passe par le trou d’une aiguille qu’il ne l’est qu’un riche entre dans le royaume de Dieu » ? ? ? 

Mais non !
N’est-il pas ajouté : 

St-Matt Ch. 13.13 : « C'est pour cela que je leur parle en paraboles : parce qu'ils voient sans voir et entendent sans entendre ni comprendre » (Ne différencie-t-il pas ses disciples et tous les autres , !)

Luc ch. 23.34 Et Jésus disait : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font »

AMEN !
Comme Coluche, je me marre toujours plus !
Xyzabcd ou Pierre Payen (Dunkerque)