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Une vision de la vie ou du séjour terrestre (À partir de l’année 2 000)

En cette période, m’analysant en tant que victime d’uns situation, je me suis dit que tout s’était passé comme si j’avais perdu dans une sorte de jeu inconscient.

Peu après, j’ai lu cet article du Nouvel observateur et j’ai pris conscience de la sorte de règle de Pareto.

Ce qui suit est une copie datant de 2011 de ce texte de l’année 2 000.

A) Le principe de Pareto. Les mathématiques de la fortune ou "Mettez 500 singes dans une salle des marchés..." 14 nov. 2011

  • (Un rappel parce que ces données me semblent intéressantes)

Trouvé dans le Nouvel Observateur 23/08/2000 ou en partie ...

1) Pareto

Dans la nature comme dans les activités humaines, dans la physique fondamentale comme dans l’économie de marché, bref, partout, on trouve en gros deux types de distribution statistique:

1) la courbe de Gauss, dite «en cloche», avec une très forte majorité autour de la moyenne;

2) la courbe en asymptote, où les valeurs extrêmes conservent une probabilité non négligeable.

Exemple du premier cas : la taille des individus adultes, qui doit se situer en moyenne aux alentours de 1,70 mètre.

Or au-dessous de 80 centimètres comme au-dessus de 2,5mètres on ne trouve vraiment personne.

Exemple du second cas : si le salaire moyen est, disons, de 8000 francs, on compte quand même pas mal d’exclus qui gagnent zéro franc, et un nombre non négligeable de riches qui empochent des millions, ou des milliards.

Une relative justice sociale voudrait au contraire que la distribution des revenus adopte un profil en courbe de Gauss, mais rien à faire :

déjà, voici plus de cent ans, l’ingénieur italien Vilfredo Pareto avait remarqué que dans tous les pays, à toutes les époques, 20% des individus possédaient environ 80% de la richesse.

Il ne s’agissait que d’une simple observation, un constat aussi inéluctable qu’inexplicable.

On ne savait pas pourquoi il en allait ainsi, mais on crut devoir s’y résigner : sous le nom de «principe de Pareto», l’injustice sociale fut promue au rang de loi naturelle, aussi inviolable que la gravitation universelle ou la vitesse de la lumière.

Mais (rêvons un peu) les choses pourraient changer.

Ceci grâce à Jean-Philippe Bouchaud, physicien spécialiste de l’état condensé au CEA, et à Marc Mézard, du laboratoire de physique théorique de l’Ecole normale supérieure.

Ces deux scientifiques viennent en effet de trouver l’explication du principe de Pareto.

Ceci en épinglant une certaine équation, très commune en physique théorique, qui régit aussi bien les champs de vitesse dans les écoulements turbulents, la distribution des polymères dans un gel que l’influence des impuretés dans un supraconducteur.

Or, à leur grande surprise, Bouchaud et Mézard ont réalisé que cette même équation – «très simple», disent-ils – régule aussi la distribution des richesses dans les sociétés humaines, et son degré d’inégalité.

Sur cette base, ils ont conçu un modèle mathématique assez rudimentaire, l’ont fait tourner sur ordinateur.

Et ont aussitôt retrouvé la distribution de Pareto : dans une population d’individus qui possédaient chacun la même somme au départ, la plus grande partie des biens matériels tombe toujours entre les mains d’une minorité.

Pourtant leur équation, très simple encore une fois, ne fait intervenir que le hasard.

Elle ne laisse aucune place à un éventuel talent de l’individu pour s’enrichir.

«Cela n’est pas nécessaire, puisqu’on arrive au même résultat», dit Bouchaud, ajoutant : «Mettez cinq cents singes qui gesticulent dans une salle des marchés. Aucun d’entre eux n’écrira jamais un poème digne d’Eluard, mais au bout d’un certain temps, il y en aura un aussi riche que George Soros. »

L’équation de Bouchaud et Mézard a fait l’objet d’une publication dans la revue spécialisée néerlandaise «Physica A», puis eut les honneurs de la une du célèbre hebdomadaire scientifique britannique «New Scientist».

Pour décrire les fluctuations de fortune de l’individu i, elle ne fait appel qu’à deux termes: la «fréquence des échanges» (chaque individu achète et vend, même si ce n’est que sa force de travail), et l’«écart-type des placements spéculatifs» (comment il emprunte ou place son argent).

La courbe asymtotique globale, qui combine tous les i pour décrire la répartition globale des fortunes, est fonction d’un certain facteur, collectif, exponentiel : E.

Lequel E, selon le principe de Pareto, varie entre 2 et 3 (c’est un fait d’observation: on n’a jamais relevé, dans aucune société, un E inférieur à 2 ni supérieur à 3).

Plus E est proche de 2, et plus la société est sauvagement inégalitaire (du genre 5% possèdent 95%).

Plus E s’approche de 3, et plus la société est relativement juste (30% possèdent 70%).

Un objectif de justice sociale consiste donc à hisser le coefficient E le plus près possible de 3

(La source ? Je ne sais plus))

 

2) Un complément " Mettez 500 singes dans une salle des marchés... " " Les mathématiques de la fortune "

... Il se trouve que, pour ce faire, il convient de multiplier les transactions.

Plus les individus ont des échanges nombreux et variés avec des partenaires diversifiés librement choisis, et plus la richesse se dilue.

On voit donc tout de suite que la libre concurrence, à l'inverse des monopoles et des intermédiaires obligés, joue en faveur de la justice sociale.

Du côté des emprunts et placements, il n'y a pas grand-chose à faire, dans la mesure où la fortune permet de multiplier les mises, donc les gains.

Et c'est ici que le hasard pèse le plus lourdement, car, «dans les placements boursiers, par exemple, il suffit d'avoir eu raison plusieurs fois par hasard pour s'enrichir vraiment beaucoup».

D'où le nécessaire rôle correcteur de l'impôt progressif sur le revenu et sur la fortune, dont nos deux scientifiques justifient mathématiquement le rôle socialement bienfaiteur.

Mais attention! il faut encore que l'impôt soit vraiment redistribué, sinon, même très fortement progressif, il ne fait que creuser les inégalités

. Ainsi, lorsque le produit de l'impôt sert à rembourser des emprunts d'Etat, ou à financer de gros contrats, il retourne aussitôt - considérablement augmenté par la contribution des moins riches - dans les poches des plus riches.

Tel que, mathématiquement très simplifié et presque caricatural, le modèle proposé par Bouchaud et Mézard constitue déjà un outil qui pourrait être précieux pour la saine gestion de l'économie.

Les deux scientifiques - à l'origine physiciens purs, et qui poursuivent d'ailleurs leurs recherches au CEA et à Normale sup - ont créé une société de services (Science Finance), que l'on peut consulter sur Internet (1), et qui, grâce à des travaux d'analyse de risques commandés par les banques, réussit à financer les recherches fondamentales de plusieurs thésards.

Jean-Philippe Bouchaud regrette toutefois le peu d'empressement des acteurs de l'économie à utiliser leurs modèles, venus de la physique théorique et des écoulements turbulents, des acteurs qui ont l'air de dire : «De quoi se mêlent-ils?».

«Parmi les économistes, dit Bouchaud, on n'aime pas la simulation, on préfère toujours les vieilles méthodes, jugées plus nobles, de la déduction pure et de la démonstration de théorèmes. »

Alors qu'on pourrait faire tourner des modèles empiriques, même simplifiés, puis les perfectionner, et enfin s'en inspirer pour prendre les bonnes décisions dictées par l'intérêt général.

Ah! Si Karl Marx avait été moins nul en maths, on n'en serait pas là...

(1) http://www.science-finance.com/ Fabien Gruhier Nouvel Observateur - N°1875 Copyright © 2000 Le Nouvel Observateur

Pierre Payen (Dunkerque)

B) De ce panorama j’avais déduit une autre approche du cycle de la vie :

[[[Si la vie était un « hyper-jeu » peu compréhensible, les ...

(C’est la recopie d’un texte de 2010 qu’on ne retrouvait plus facilement sur Internet, avec quelques modifications) (Le masculin neutre sera de rigueur !)

descommentaires.blog.lemonde.fr/2017/07/15/si-la-vie-est-un-hyper...]]]

La copie :

 

Si la vie était un « hyper-jeu » peu compréhensible, les ...

Si la vie était un « hyper-jeu » peu compréhensible, les bons/bonnes joueurs/euses y seraient indispensables ! (C’est la recopie d’un texte de 2010 qu’on ne ...

descommentaires.blog.lemonde.fr/2017/07/15/si-la-vie-est-un-hyper..

Si la vie était un « hyper-jeu » peu compréhensible, les bons/bonnes joueurs/euses y seraient indispensables !

15 juillet 2017, par PIERRE PAYEN

 (C’est la recopie d’un texte de 2010 qu’on ne retrouvait plus facilement sur Internet, avec quelques modifications)

 (Le masculin neutre sera de rigueur !)

Dans l’Occident moderne rationaliste (le prolongement de l’ancien judéo-christianisme mais rebâti souvent par symétrie : « L’homme créé à l’image de Dieu » est devenu « L’homme est un dieu en devenir »), le principe du tiers exclu ou binaire remplace le dualisme ; le « bien » s’apparente au « positif » qui déprécie le « négatif » ; l’esprit « + » l’emporte sur le corps ou la chose « – » !

Alors que le sens du mot suppose « l’altérité », n’existe qu’avec (ou exige) sa négation comme les deux faces d’une pièce de monnaie classique (cliché bouddhiste !).

Froid, grand, Dieu, bon au goût, chaud, petit, non-Dieu, mauvais au goût, vont de « pair » ! (Et non pas éventuellement par paire lors d’un rangement !)

Dommage que certains hommes (En fait nous ne sommes que des homo sapiens (h. s.) puisque les hommes vrais ne vivent que dans la dignité ou consacrent tout leur temps à lutter pour son établissement, au risque d’être tués par des gardes de sécurité dans les pays corrompus … Pour eux,  la dignité ne s’arrête pas à une  frontière comme les radiations de Tchernobyl !)

Si ce constat était accepté, d’autres questions pourraient se poser.

Quel est le moteur de la vie ? N’est-ce pas la « motivation » qui fait réagir ?

Sa composition ne serait-elle pas formée de « manques » et « déséquilibres » ?

(Voir au départ le « principe d’homéostasie » suivi par la moindre cellule)

Dans un vrai paradis sans le moindre besoin, des réactions, actions, mouvements, se manifesteraient-ils encore en provoquant de l’animation, des indices de vie ? !

L’être humain ou l’homo sapiens (h. s.) ne se retrouve-t-il pas plus ou moins livré à lui-même, dans des manques multiples, c. à d. dépourvu d’indications précises, dans le flou, voire parfois brouillard ou plus, obligé de commencer à l’aveuglette ou à tâtons, de pratiquer la méthode des essais et erreurs dans le but de « s’en sortir » au mieux ?

Dans ce contexte, n’est-il pas astreint à parier, miser, échafauder des tactiques ou stratégies pour tenter de « gagner », « réussir », « vaincre » ou « contourner », « dépasser », les obstacles qui se présentent sans cesse ? !

N’aura-t-il pas tendance, par peur de l’insécurité, de la mort, en sollicitant son néocortex imaginatif, à pousser plus loin son avantage passager et à chercher à consolider son acquis, à le protéger (conservatisme), avant de l’amplifier en tombant dans la dépendance de l’addiction « Toujours plus » (T. p.) ? ! C. à d. en versant par exemple dans le capitalisme (T. p. de profits), dans la fuite t. p. en avant de la recherche scientifique, donc du progrès rationnel, devant aboutir à la création  du « paradis terrestre »

Les mots venant d’être employés ne configurent-ils pas l’espace des jeux ?

POURQUOI LA THÉORIE DES JEUX NE POURRAIT-ELLE PAS S’APPLIQUER EFFICACEMENT AU PREMIER DEGRÉ … ?

1) Quels sont les ingrédients d’un jeu qui fonctionne bien ?

-Les quelques gagnants ne cohabitent-ils pas pacifiquement avec la masse des perdants parce que liés par « l’espoir » de « s’en tirer par le haut » ?

-Si celui-ci vient à trop s’amenuiser, le jeu ne s’effondre-t-il pas de lui-même et un nouveau ne prend-il pas la relève ?

Succinctement, entre autres, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

-Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir.

-Les résignés et soumis ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque).

-Les désabusés sont ou amers ou redimensionnés.

Dans tous les cas, quelle que soit la situation, le talent des acteurs en compétition, le grand manège ne peut que tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence globale des participants ! Le principe de Pareto ou la règle (20 % / 80 %) est largement compatible avec ce scénario, le vérifie grosso modo ! La valeur de cette observation (d’abord concrète) d’économie de la fin du 19e siècle a pu être confirmée scientifiquement dans des problèmes de physique dynamique de flux … v. Internet)

(Vilfredo Pareto, économiste, vers 1900 observa qu’environ 20 % de riches profitaient de 80 % des ressources dans les pays modernes occidentaux. Jusque la fin  du 20ième siècle, le PNUD affichait régulièrement le déséquilibre 20/80)

# Plus synthétiquement, ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du jeu ne se discriminent-ils pas de ceux qui se précipitent dans l’attente enfantine d’obtenir des récompenses ? !

## Pourtant, ces « bons joueurs » ne constituent-ils pas les éléments primordiaux ou indispensables de la structure ? Ne serait-il pas aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

Il apparaît normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la découverte, de l’apprentissage, etc.

N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » de jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite dans l’après- vie ? !

En prenant du recul, sans doute. Mais peu importe !

C’est ce qu’on peut envisager mais qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre potentiel mental étant petites. Personnalisons-nous le miracle de l’Univers ou seulement des éléments d’une espèce (pour le moment la plus complexe) ? !

En 2005, une évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé n’a-t-elle pas révélé une différence d’environ 1 % nous identifiant (plus sérieusement) plutôt à des sortes de « bonobos boostés » qu’à ceux de la célèbre parabole (V. le début) ? !

Fréquemment, les activations prédominantes du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par des réflexes automatiques) et du réseau des émotions (Il s’occupe de la mémorisation, du pilotage automatique, des conditionnements, de la quête du plaisir basique, etc.,  par processus analogique, en fonction des souvenirs plus ou moins agréables ou désagréables !) ne bousculent-elles pas les analyses et les déterminations néocorticales qui alors se transforment en velléités sans force (comme la domestique d’antan devant son maître ou Seigneur et saigneur) ? !

Où se montre alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

2) Par similitude, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que « chef-d’œuvre » par la richesse, la diversité, le foisonnement de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l’acteur le plus doué ?

À remarquer encore que deux sous- jeux,  le « Qui gagne perd » et le « Qui perd gagne », sont installés en permanence mais plus qu’incompris ! Ils étaient déjà évoqués dans le recueil de contes et légendes écrit au fil des années par des paysans bergers très intuitifs, voire géniaux (nommé Bible) …! Ils étaient surdoués mais ils n’ont tout de même pas été capables de prévoir que l’histoire (non pas du Père Noël, plus tardive, inventée par des parents …) de l’h. s. ressemblant à Dieu ferait florès pendant des millénaires, que ces soi-disant hommes se métamorphoseraient en adolescents attardés ou chroniques (ou adulescents) ! Quoique ! N’avaient-ils pas programmé qu’ils demeureraient (sauf exception) aveugles et sourds et obtus jusqu’à ce que tout s’effondrât !

(L’enterrement du Bilan de 2005 n’en est-il pas la confirmation ? !)

N. B. Des conseils bouddhistes laissent entendre qu’on avance d’échec en échec ; qu’apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir ; etc..

Lao-Tseu expliquait (approximativement) « L’homme qui parle ne sait pas, l’homme qui sait ne parle pas » !

À chacun de conclure comme il le désire … Peu n’importe-t-il pas au second degré ? !

C. Q. F. D. ? !   Oui / Non ? !

De M. Pierre Payen (Dunkerque)

Ce texte se trouve aussi sur le blog.fr sous un autre titre

*** J’ai envie d’ajouter une hypothèse supplémentaire.

Chacun(e), en fonction du potentiel génétique de départ,  aurait un parcours terrestre à effectuer.

Tout se passerait selon un rythme personnel.

Comme dans tout jeu, les différences pourraient être énormes … Mais peu importerait, tout serait relativisé.

Dans le cas de conscience suffisante, le parcours prendrait fin lorsque la/le participant(e) aurait l’impression d’avoir, sinon tout compris, suffisamment assimilé les règles ou structures de la vie pour ne plus se sentir en manque, ne plus désirer « un plus », avoir légitimement envie d’accéder au « cycle suivant » ou « Après-vie » !

(Bien sûr, les « addict(e)s » du « Toujours plus » seraient hors clous ! Devraient suivre un nouveau stage terrestre et se calmer !)

Sinon, en cas de décès, si elle/il avait toujours soif de la vie, elle se réincarnerait automatiquement jusqu’à ce que tout soit pleinement consommé et désamorcé !

Par exemple, les riches narcissiques, n’ayant rien compris, enferré(e)s dans leurs privilèges, reviendraient pour éprouver le ressenti des exploité(e)s ! Pour mieux « comprendre » en « allant au charbon » !

Il ne s’agirait pas de pénalisations ou de condamnations mais de parcours à effectuer dans la « compréhension », en activant le « néocortex » !

Et à chacun(e) selon son niveau, son potentiel génétique, son génome !

Évidemment, à moins d’être surdoué(e), il n’est pas facile pour une jeune personne de tout comprendre et relativiser d’un coup !

Mais, symétriquement, elle ne demande qu’à vivre « plus » pour découvrir ! « Il faut laisser le temps au temps » !

Quant aux trop énormes accidents génétiques, trop grands handicaps, reste un mystère (Pour moi) …

C) En l’année 2 000, j’avais aussi lu un livre qui m’avait semblé très intéressant

Consulter Internet à partir de : L'Hypothèse 2080 dans « Les arbres de l'évolution » (L. Nottale, J ... blogs.mediapart.fr/.../lhypothese-2080-dans-les-arbres-de-l-evolution-l-n...

Ou/et ; Les arbres de l'évolution - Des commentaires - Le Monde descommentaires.blog.lemonde.fr/.../les-arbres-de-levolutio...

A vous de voir si ....

EN PLUS, Il se fait qu’en 2005, l’enterrement du bilan concernant notre génome a montré que notre espèce est répétitive, non évolutive, « fractale », donc caduque ! (V. Darwin !)

Ceci a permis de valider l’hypothèse retenue dans les Arbres de l’évolution ! ! !

Il me semble avoir fait le tour des problèmes !

Bonne fin d’ère Xyzabcd ... !

 

 

 

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