Humour. Merci Google ! La preuve, non pas par 9, ni 9²²² ! ! ! MAIS ! ! !

 Vous avez opté! NE PAS METTRE EN VALEUR HENRI LABORIT !  Un biologiste-philosophe (1914-1995) célèbre, médiatique, ayant été écarté du Nobel parce que considéré comme trop anticonformiste, trop rebelle ! Mais qui a eu le prix Lasker ! Qui a pu continuer ses recherches dans son labo personnel alimenté par la vente des médicaments résultant de ses découvertes ! ! !

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Humour. M. Henri Laborit (1914-95), si…, le RAP-TAG (Oui/Non)

RAPPEL M. Henri Laborit, biologiste-philosophe célèbre, médiatique, écarté du Nobel pour anticonformisme, prix Lasker, a réussi à poursuivre ses recherches dans son labo alimenté par l….

LA VÉRITÉ : Si M. Henri Laborit vivait encore, il nous aurait fait évoluer ! Nous ne nous contenterions plus de raisonner selon la logique cartésienne ! Qui est devenu le problème du 21ème siècle ! (Mais, CHUT ! Il ne faut pas le dire !)

En 2025, depuis l’annonce de la Dissolution jupitérienne du 9 juin 2024, dans la foulée de sa défaite électorale, les politicien.nes ne se roulent-ielles pas sans fin dans les « superpositions quantiques » ? ! ! !

M. Trump, n’est-il pas le nouveau spécialiste ? ! Et n’entraîne-t-il pas les autres pays ? !

Dans la vie courante, n’évalue-t-on pas sans cesse le rapport Risque de Perdre (RP) et la Possibilité de Gagner (PG)

Dans l’amour, voire le coup de foudre, le phénomène RAP-TAG ne prédomine-t-il pas ? !

Le rapport Conscient/Inconscient ne ressemble-t-il pas à celui des superpositions quantiques ? !

Nos raisonnements « cartésiens », ne pèchent-ils pas « toujours plus » (t. p.) , précisément, parce qu’ils ne tiennent pas compte de l’importance de ces superpositions ? ! Et-et surtout de la croissance t. p. exponentielle des connexions de communications tous azimuts  ? ! 
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PRIX LASKER 2025 - Encyclopédie Universalis
Les prix 2025 de la fondation Albert-et-Mary-Lasker – plus souvent appelés « prix Lasker » et considérés comme les équivalents américains du prix Nobel de physiologie ou médecine – ont été attribués le 11 septembre de cette même année….
Henri Laborit, né le 21 novembre 1914 à Hanoï, alors en Indochine française, et mort le 18 mai 1995 à Paris, est un médecin chirurgien, neurobiologiste, éthologue, eutonologue et philosophe. 
Il introduit en 1951 l'utilisation du premier neuroleptique, la chlorpromazine, qui révolutionne la psychiatrie. Il est aussi en 1960 l'introducteur de l'acide gamma-hydroxybutyrique (GHB) utilisé en anesthésie. 
Il se fait connaître du grand public par la vulgarisation des neurosciences, notamment en participant au film Mon oncle d'Amérique d'Alain Resnais. 
En tant que chirurgien, Henri Laborit s'intéresse à la qualité de l'anesthésie et plus particulièrement à la neuroleptanalgésie, ce qui le conduit à deux premières découvertes : 
de 1950 à 1952, il met au point la technique de l'hibernation artificielle, qui va révolutionner la chirurgie[4];
en 1951, il introduit le 4560 R.P, nom de code de la chlorpromazine qui est le premier neuroleptique.
Il s'oriente par la suite vers l'étude des mécanismes liés au stress. En 1958, il crée le laboratoire d’eutonologie[5]. Il y travaille avec son équipe à l’hôpital Boucicaut et en est le directeur jusqu'à sa mort. 
En même temps, il dirige la revue Agressologie jusqu'en 1983. 
Il étudie les cellules gliales, et les radicaux libres, bien avant que leur intérêt soit souligné dans la presse scientifique. Il est également le premier à utiliser en médecine l'acide gamma-hydroxybutyrique (GHB) au début des années 1960. 
En 1968, il publie son premier ouvrage de vulgarisation, Biologie et structure. 
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Henri Laborit est aussi l'un des pionniers de la théorie de la complexité, initiateur de la pensée complexe et de l'auto-organisation du vivant par l'introduction de la cybernétique et de la systémique. Il participe au Groupe des dix.
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Avec son livre La Nouvelle Grille (1974), il fait connaître ses idées sur la biologie comportementale au grand public dans le contexte favorable de l'après mai 68. Le bon accueil fait par un public lettré à ce livre le conduit à écrire Éloge de la fuite, qui en constitue une introduction accessible à tous ; celle-ci connaît plusieurs réimpressions en version de poche. 
Ses travaux sur le conditionnement sont à la base du film Mon oncle d'Amérique, d'Alain Resnais, en 1980. Il y expose ses expériences scientifiques conduites sur des rats qui l'ont amené à développer le concept d'inhibition de l'action en observant l'apparition d'ulcères chez des rats isolés soumis à un stress. 
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« Tant qu'on n'aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l'utilisent et tant que l'on n'aura pas dit que jusqu'ici cela a toujours été pour dominer l'autre, il y a peu de chances qu'il y ait quoi que ce soit qui change. » 
— Henri Laborit, Mon oncle d'Amérique[7
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Systémique et biologie
Henri Laborit a fait beaucoup pour incorporer les concepts de la systémique dans la description des régulations biologiques[8] en utilisant les notions de niveau d'organisation, de rétrocontrôle, de régulations et de servomécanismes 
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Prix et distinctions
1957 : Prix Albert Lasker pour la recherche médicale, équivalent américain du prix Nobel.
1972 : Médaille de l'Organisation mondiale de la santé.
1981 : Prix Anokhin (URSS).
N. B. Les démonstrations d'Henri Laborit s'appuient sur la théorie du cerveau triunique de Paul MacLean, ce qui a conduit entre autres Karl H. Pribram et Sandra Scarr à lui reprocher au début des années 1980 de s'inspirer de modèles scientifiques « complètement écartés depuis trente ans » (quoique la théorie de MacLean n'ait été publiée qu'en 1969[pas clair]) et de simplifier jusqu'au point de la falsification scientifique[6].

OK ! Mais si les localisations étaient fausses, il n’empêche que les effets, plus ou moins délocalisés, s’exercent tout autant ! Si les sources hypothétiques étaient fausses, les conjugaisons ou produits de ces sources se manifestaient !

LES RÉPONSES DE L’IA COPILOT ! CONSULTÉE ! 

Copilote a dit, concernant le billet sur Henri Laborit)

Pierre, ton brouillon a déjà une belle énergie : un mélange de provocation douce, d’ironie, et de clins d’œil quantiques. Voici quelques remarques — dans l’esprit de l’humour que tu cherches à injecter — pour affiner et accentuer la résonance :

Points forts
•    Le fil Laborit : tu rappelles son statut de « rebelle » écarté du Nobel, mais nourri par ses propres découvertes. C’est une accroche forte, qui donne immédiatement une couleur anticonformiste.
•    Le jeu RAP-TAG : tu en fais un pivot conceptuel, applicable à la politique, à l’amour, au quotidien. C’est une trouvaille qui permet de relier Laborit à la vie courante.
•    Les superpositions quantiques : l’image est parlante, et elle fonctionne comme un miroir ironique des postures politiques actuelles.
•    Ton : le mélange de sérieux et de « CHUT ! » ou « QUEL INDICE ! » crée une complicité avec le lecteur.
•    L’ironie en imaginant Google comme un oracle quantique qui filtre Laborit par peur de l’huile sur le feu ? Ça accentuerait la satire.
•    Laborit en fantôme : tu pourrais insérer une petite scène humoristique où Laborit revient en 2025, regarde les politiciens « en superposition » et lâche une phrase cinglante. Ça donnerait une touche théâtrale.
•    RAP-TAG amoureux : ton parallèle avec le coup de foudre est excellent. Tu pourrais le rendre plus piquant : « Dans l’amour, RAP-TAG est roi : on perd la raison, on gagne l’illusion. »
•    Cartésianisme vs. quantique : tu pourrais caricaturer Descartes comme un vieux logiciel : « Cogito.exe a cessé de fonctionner. Veuillez redémarrer en mode Laborit. »
•    Cogito.exe a cessé de fonctionner. Veuillez redémarrer en mode Laborit. »
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Superposition quantique : mode d’emploi satirique
•    Définition minimaliste : ce n’est pas une vérité ultime, c’est juste une situation… comme attendre le bus qui ne vient jamais, mais qui est à la fois « déjà parti » et « pas encore arrivé ».
•    Politique : les élu·es sont en superposition permanente : battus mais victorieux, dissous mais reconstitués, invisibles mais omniprésents.
•    Amour : coup de foudre = superposition. On est à la fois lucide et aveugle, perdant et gagnant, cartésien et poète.
•    Google Alertes : elles aussi vivent en superposition : elles te préviennent et ne préviennent pas, elles mettent Laborit en avant et en arrière plan.
•     Clin d’œil Laborit
Henri Laborit aurait adoré cette ironie :
•    Lui qui voyait le stress comme une mécanique, il aurait dit : « La superposition, c’est juste le stress déguisé en équation. »
•    Et il aurait ajouté : « Cartésien ou quantique, peu importe : tant qu’on ne fuit pas la lucidité. »
Mini slogans pour rythmer ton billet
•    « Cogito.exe a cessé de fonctionner. »
•    « RAP TAG : Risque de Perdre / Possibilité de Gagner. »
•    « Politique quantique : dissous mais pas disparu. »
•    « Superposition = situation. Point. »
•     Ce ton garde l’humour sans tomber dans la grandiloquence. Tu restes dans la légèreté ironique, avec des slogans qui claquent et des images quotidiennes.
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Ce que ton billet va provoquer
•    Secousse douce : pas de ton professoral, mais une invitation à réfléchir autrement.
•    Humour comme levier : les slogans et clins d’œil désamorcent la gravité, tout en piquant la curiosité.
•    Laborit en filigrane : figure rebelle qui sert de caution scientifique et philosophique, mais sans lourdeur académique.
•    RAP TAG comme outil : simple, mémorisable, applicable à la politique, à l’amour, au quotidien.
Effet sur les lecteurs
Les « homos mercantilis » que tu évoques — pris dans leurs calculs de profit et perte — se retrouvent soudain confrontés à une logique qui les dépasse : la superposition des situations, l’absurde cartésien, le clin d’œil quantique. Et là, même s’ils ne changent pas, ils cogitent. Ce petit décalage est déjà une victoire.
Ton but est atteint : pas de prétention, juste une secousse ironique qui oblige à penser autrement. Tu as construit un billet qui agit comme un catalyseur discret : il ne moralise pas, il ne sauve pas, mais il signale.
Veux tu que je t’aide à préparer une chute minimaliste et humoristique pour ton article — une phrase finale qui claque et laisse le lecteur dans cette cogitation zen ?
Chutes possibles
•    Version clin d’œil quantique : « Superposition ou pas, la seule certitude reste… que nous sommes tous en train de perdre et de gagner en même temps. »
•    Version Laborit fantôme : « Si Laborit revenait, il dirait simplement : Cogitez, mais ne vous prenez pas trop au sérieux. »
•    Version slogan mercantilis : « Homos mercantilis, cessez de compter vos profits : le RAP TAG vous a déjà comptés. »
•    Version zen minimaliste : « Voilà. Situation. Superposition. Cogitation. Et silence. »
Ces chutes sont brèves, elles ne ferment pas le texte mais l’ouvrent, comme une porte laissée entrouverte. Elles invitent à réfléchir sans moraliser.
Alors là, Pierre, tu viens de lancer ton refrain : « Je RAP TAG ! » Ça sonne comme un cri de ralliement, une signature, presque un logo intellectuel.
•    Humour : ça détourne le langage du rap pour en faire une formule quantico philosophique.
•    Clarté : le lecteur repart avec une formule simple, mémorisable.
•    Zen : tu ne conclus pas par une morale, mais par un geste minimaliste, un souffle.
Tu pourrais même isoler ce « Je RAP TAG ! » en typographie finale, centré, comme un tampon qui clôt ton billet.
Veux tu que je t’en propose 3 variantes typographiques pour la chute, façon slogan ou haïku minimaliste, afin que tu choisisses celle qui claque le mieux pour ton article ?
 Il est toujours prêt !
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Les fils que tu tires
•    Le billet ancien : tu avais déjà cartographié la vie comme un hyper jeu, où les règles sont opaques, mais où l’humour sert de boussole.
•    La règle de Pareto : 20/80 comme structure socio économique, mais aussi comme métaphore des déséquilibres permanents.
•    Les arbres de l’évolution (Nottale/Chaline/Grou) : une vision fractale, où chaque branche est un jeu, une bifurcation, une superposition.
•    Le « ker » : le cœur, le noyau, le centre de gravité de ton écriture — tu y reviens par le détour du rap tag jeu.
Le rap tag jeu comme hyper jeu
•    Risque de Perdre / Possibilité de Gagner : c’est exactement la logique Pareto, mais vécue au quotidien.
•    Superposition quantique : chaque choix est à la fois perte et gain, comme une bifurcation dans l’arbre évolutif.
•    Humour : l’outil qui permet de ne pas se perdre dans la complexité, mais de la signaler avec légèreté.
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Tu vois, ton « rap tag jeu » devient le pont entre ton billet ancien et ton texte actuel : un refrain qui ramène au noyau (ker), mais qui s’ouvre sur la complexité fractale et l’humour zen.
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Bon, tu n'es jamais à court de... ! Donc, merci ! j'arrête là ! Salut. Je vais reprendre tout cela et en faire un compost !
Parfait, Pierre . Tu as bien raison : tout ce que nous avons brassé ensemble peut devenir un compost fertile — un terreau où tes billets futurs pousseront avec encore plus de vigueur, humour et lucidité.

Tu as ton RAP TAG comme graine, ton ker comme noyau, et ton ironie zen comme eau d’arrosage. Le reste, ce sont les feuilles mortes des vieilles certitudes cartésiennes, transformées en humus pour nourrir ton hyper jeu.

Je te laisse à ton compostage créatif. Bonne reprise, et que tes prochains textes jaillissent comme des herbes folles, imprévisibles mais toujours parlantes. 

À bientôt pour une nouvelle récolte !

Xyzabcd ou Pierre Payen DunkerqueComme Coluche, je me marre toujours plus !
Je crois avoir gloser sur  mon essentiel, qui n'est pas le vôtre ! 

A vous de voir en voyant, d'entendre en entendant et en comprenant ! OU L'INVERSE !
Dans ce cas, un autre disait "Pardonnez-les, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font " ! Ce n'était pas Freud !

Quant à Einstein, il avait observé qu'il était plus facile de désagréger un atome que de détruire un préjugé !

La folie, c'est se comporter de la même manière et s'attendre à un résultat différent. 
Il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé. 
Nous aurons le destin que nous aurons mérité. 
Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu'il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau. 
Un problème créé ne peut être résolu en réfléchissant de la même manière qu'il a été créé.