Des tas de chrétiens, par leur vote, s’apprêtent à endosser le rôle de BOURREAU !
Les monstruosités organisées par les papes « infaillibles » au Moyen-âge puis pendant l’Inquisition ne les ont pas dessillés !
Demain ou après-demain, vous assisterez impuissant(e), à l’agonie prolongée de L’ÊTRE QUE VOUS AIMEZ LE PLUS … en fin de vie !
-La crise économique et financière se sera amplifiée, telles les métastases caractérisant la Société « Toujours plus ».
-Les hôpitaux, déjà surchargés, saturés, ne pourront plus du tout faire face.
-Les centres de soins palliatifs seront exsangues faute de crédits de fonctionnement.
-Monsieur Sarkozy se retrouvera pieds et mains liés par le contrat passé avec Me Boutin en échange de la consigne de vote adressée aux adhérents du parti des démocrates chrétiens.
POURREZ-VOUS ALORS JOUER LES PONCE PILATE ? !
~ Il serait étonnant qu’il revienne à la raison !
~ Il se défausse à tout instant ! « Ce n’est pas de ma faute, c’est la crise ! » À tel point que les Guignol ont repris l’expression pour mieux le brocarder !
Par ex., son Dieu ne lui a pas permis de prévoir la crise des subprimes de 2008 alors qu’en 2007 la bulle de l’immobilier enflait « toujours plus » aux USA ! Que tout le monde savait !
~ Il défie déjà les paroles bibliques sans aucun scrupule ! IL EST DÉJÀ JUDAS !
Ev. s. st.-Luc ch. 6-24 « Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde »
Ch. 6-25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim !
Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes »
Ch. 19.24 s. st.-Matt « Je vous le dis encore une fois : il est plus aisé qu’un chameau passe par le trou d’une aiguille, qu’il ne l’est qu’un riche entre dans le royaume des cieux »
~ Comme les papes « infaillibles » ont envoyé au bûcher des gens osant affirmer que la Terre n’est ni plate ni le centre du monde, ont organisé les Inquisitions pendant des siècles en Espagne, comme il persistera dans son œuvre démoniaque …
~~ C’est lui qui a envoyé Me Boutin sur un plateau TV se sublimer en insultant (presque) Me Sébire qui venait d’écrire à M. Sarkozy pour lui demander le droit de mourir. Elle a affirmé sur RMC être «scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme» ! (V. Internet !)
(Me Boutin est, sinon une sorcière, une sorte de sous papesse vociférant au Parlement, se prenant pour un ange chez elle et donc aimant s’y déplacer nue <V. Internet : « A la maison, dans l'eau, ma philosophie c'est zéro vêtement. J'aime être nue, libre de mes mouvements. C'est mon côté direct. Et ça évite de se faire tailler des costards ! », dit-elle, interrogée par Frédéric Ferrer.>)
~~ C’est lui qui n’a eu qu’une hâte, se faire adouber à Rome par le pape accompagné par le futur prix Nobel de philosophie humoristique Jean-Marie Bigard !
~ C’est lui qui n’aime pas « La Princesse de Clèves » et qui n’a pas lu « L’Être et le néant » de J.-P. Sartre (L’athée existentialiste) ! Dommage !
~~ S’il avait au moins survolé cet ouvrage, il aurait pu prendre connaissance de la démonstration que « LA MAUVAISE FOI » conduit inéluctablement à l’attitude du « LÂCHE » et du « SALAUD » ! ET VOUS ? !
LE COUPLE SARKOZY-BOUTIN, OÙ NOUS CONDUIRA-T-IL SI ON L’ENCOURAGE ? !
La France désire-t-elle aussi une nouvelle BÉRÉZINA ? !
Voir une appréciation de M. Sarkozy à partir de l’étranger, du Chili (Via un article de Courrier International)
VU DU CHILI Sarkozy, c'est ta frivolité qui te perdra !
Frivolité, manque de culture et un penchant pour la droite dure : voila ce qui rapproche Nicolas Sarkozy du président chilien Sebastián Piñera, estime un universitaire chilien. Des ressemblances qui sont autant de points faibles.
04.05.2012 Gonzalo Bustamante El Mostrador Courrier International
Nicolas Sarkozy, dont le président du Chili, Sebastián Piñera, a dit après l'avoir rencontré qu'il lui avait donné une “leçon de leadership”, est sur le point d'être le deuxième président sortant de la Ve République à ne pas obtenir de deuxième mandat. S'il y avait une chose que la droite chilienne pourrait retenir de ce cours magistral en leadership, ce serait le danger de la frivolité.
L'“hyperprésident” avait promis de rajeunir la vie politique française, de laisser derrière lui le gaullisme, d'insuffler “américanisation et modernité” à la droite française traditionnelle et à l'Etat. Jusqu'à présent, il n'a rien réussi de semblable. Même si sa gestion a obtenu des succès, son principal problème a été ce que le philosophe Raymond Aron avait reproché à l'autre président qui n'a pas été réélu, Valéry Giscard d'Estaing. “Président, vous manquez du sens tragique [de l'Histoire]”, lui avait-t-il lancé. Chez Sarkozy, ç'a été encore plus flagrant. Malgré ses qualités d'homme d'action, il a été frivole. Une fois qu'il s'est rendu compte de l'évidence de son défaut, il a réagi comme le font les frivoles : il s'est enfermé “en privé” pour regarder des films d'art et d'essai (rien moins que Dreyer), il se vantait de lire Dostoïevski et il s'est mis à fréquenter les connaissances du monde de la culture de son épouse, Carla Bruni.
Il ne maitrise plus son ordre du jour
Depuis qu'il s'est lancé en politique, Sarkozy a tranché par son style direct, par sa capacité à défier ses adversaires et à aller à contre-courant s'il le faut. Ajoutez à cela que personne ne doute de son intelligence ni de son habilité. Mais alors, me direz-vous, son manque d'idées et de culture n'a guère d'importance ! Eh bien, si. D'une part, la France est l'un des pays d'Europe qui a toujours attaché le plus d'importance à cet aspect chez ses gouvernants ; d'autre part, plus généralement, celui qui manque de culture peut avoir l'esprit d'initiative, mais il n'aura pas d'idées qui donnent un contenu à son action politique. La culture entraîne la capacité à affronter la complexité de la société.
Devant son incapacité à définir une vision d'avenir pour la nation, Sarkozy, a dû recourir de plus en plus aux idées d'autrui. Aujourd'hui, intellectuellement, il n'est plus que l'ombre de son conseiller Patrick Buisson. C'est ce dernier, intellectuel enraciné dans la droite dure, qui définit aujourd'hui l'ordre du jour du sarkozysme.
S'il perd, comme tout semble l'indiquer (même si un miracle final peut toujours se produire), ce sera davantage à cause de sa frivolité que des vertus de son très terne et médiocre adversaire.
La culture du management plutôt que celle de la politique
Pour sa part, notre droite, qui par la voix de Joaquín Lavín [ministre du Plan] et de Piñera a clamé son admiration pour Sarkozy, voue un certain mépris à la politique, à laquelle elle tente de substituer l'action de la technique. Depuis l'expérience malheureuse de gouvernement “administrativo-technique” de Jorge Alessandri [Président de 1958 à 1964] jusqu'à “Piñera, la nouvelle manière de gouverner”, en passant par “Büchi [ministre des Finances de 1985 à 1989] est notre homme” et “Lavín [actuel ministre de l'Education], vive le changement”, ils ont voulu remplacer la politique par la technique et le marketing.
Dans cette optique, leur nouvelle fascination pour le ministre des Travaux publics n'a rien d'étonnant. Laurence Golborne est le Chilien de droite par excellence. Son activisme, son parcours atypique, son côté sympa avec sa guitare, son esprit d'entreprise, tels sont les succédanés de son manque de culture politique. C'est la poursuite de la culture du management par d'autres moyens. Dans ce milieu, il paraît donc presque naturel, ou du moins pas du tout bizarre, de passer du monde du marketing à la Moneda [siège de la présidence]. L'esprit de management et la volonté de technification de la politique revêtent pour la droite chilienne un caractère idéologique.
Sarkozy, héritier d'une tradition politique parmi les plus riches qui existent, n'a pas pu échapper à la tragédie de la frivolité. La droite a obtenu plus de voix que la gauche, mais les anticorps produits par l'antisarkozysme paraissent les plus forts.
AMEN !
Xyzabcd