Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

manques

  • Le « manque » nous conduit ! On préfère parler du « plaisir » !

    En 2013, en consultant Internet, on découvre très peu d’articles sur cette sorte de personnage masqué qui nous conduit inéluctablement dans l’inconscience la plupart du temps absolue ..., nous fait sauter dans ce cas quelquefois au dessus des barrières de la raison, jusqu’au crime

    Pourtant !

    1)      N’est-il pas difficile de réfuter que, sans aucun « manque », besoin, il n’y aurait pas de respiration, d’alimentation, de sommeil, de recherche de chaleur, de réactions, d’actions, de mouvements, d’animation, de vie ? 

    Peut-on rejeter le constat que nos comportements divergent selon nos manques ?  

    La moindre cellule vivante ne suit-elle pas le « principe d’homéostasie », ne se contente-telle pas d’essayer de maintenir son état de déséquilibre relatif (v. des manques) au dessus du seuil létal ?

    Les animaux, à partir des reptiles, dotés d’un « cerveau primitif »  dit reptilien, ne sont-ils pas munis d’un instinct de survie, de conservation (dans l’instant) et de reproduction (pour le futur) ?

    Les mammifères, en plus d’un cerveau reptilien, possèdent un cerveau ou d’un réseau neuronal des émotions qui, entre autres activités, (v. Internet), tente de combler, les manques de plaisir du 1er degré ? ! 

    Ne sait-on pas trop que les homo dits sapiens (Sages ! ! !) bénéficient d’un néocortex qu’ils utilisent parfois ? ! ! ! Eventuellement, donc ( !),  ils analysent en imaginant, en anticipant, en comparant, etc., arrivent à  abstraire, symboliser, structurer, se posent « toujours plus » (t. p) de questions, méditent, ne s’arrêtent pas au désir de t. p consommer, jouir, se faire plaisir au 1er degré… !

    En réalité, cette sorte d’excroissance corticale n’est opérationnelle que si elle est entraînée ! Sinon, elle se laisse rapidement bousculée, voire réquisitionnée par le cerveau ou réseau des émotions qui s’occupe du pilotage automatique, des conditionnements, du surmoi, de la quête du plaisir ou bien-être basique, etc..!

    On a esquivé la mesure de sa puissance en procédant a des tests, par ex. les QI …mais les résultats ne concernent que certaines directions de l’intelligence, spécialités …, notamment binaires !

    2)      Ne peut-on pas souligner que, si nous l’avions réellement conceptualisée, l’analyse de l’Histoire des manques aurait contribué à la démystification nos comportements ?

    Le manque de sécurité, la peur de l’insécurité, encore plus de la mort, ne sont-ils pas à l’origine de l’esclavage, des religions, puis du système d’exploitation de l’homo sapiens par l’homo sapiens ? N‘est-ce pas le cerveau reptilien qui gère cette préoccupation ?

     

    En bref, les manques et les déséquilibres ne forment-ils pas à la source des « motivations » qui alimentent le « moteur » de la vie ? !

    Tout ce qui se vit dans le monde vivant n’est-il pas en relation avec des « manques » (Superficiels ou primordiaux) à satisfaire, surmonter ou désamorcer, circonvenir ou assouvir, surpasser, dépasser, etc. ? !

    Si Henri Laborit (Un biologiste célèbre écarté du Nobel parce que insuffisamment normalisé, prix Lasker, philosophe pendant ses heures de loisir, 1914-1995) avait présenté une ébauche du « mode de fonctionnement » du cerveau, plus personne, plus aucun(e) spécialiste en neurologie ne vulgarise simplement ce mode d’emploi qui permettrait pourtant à tout(e) un(e) chacun(e) de mieux s’y retrouver et agir sans se faire piéger ! Mais ces mises en évidences ne seraient-elles pas susceptibles de mettre à nu le ressort qui anime notre société ? !

    (V. par ex. les ouvrages de Laborit « Éloge de la fuite » (En filigrane : fuite des normes), « Biologie et structure »)

    Les violences, agressions, délinquances, révoltes, suicides, etc., ne relèvent-ils pas du même déclic compensatoire ?

    3)      Le moteur de l’épanouissement de la « Société de consommation » , maintenant appelée directement par son addiction : la pulsion « T. p. » n’est-il pas l’exploitation t. p. intelligente, habile (À court terme !), envahissante, des manques et déséquilibres passagers, frustrations, stress, ressentis par le fameux cerveau ou réseau des émotions ? !

    Les effets de  cette  incitation continue, t. p. intense et agaçante, ne ressemblent-ils à s’y méprendre à ceux des drogues qui se développent avant de s’amplifier comme des métastases cancéreuses ? ! Ne sont-ils pas en train de faire sauter toutes les barrières ou interdits ou anciennes normes encore en vigueur ? ! Et n’est-ce pas seulement le début ? ! Tout n’est-il pas en train de commencer à progresser géométriquement ou exponentiellement ? !

    Comme les Services publics (Santé, Justice, Police, Enseignement, Sécurité et Protection sociales, Dignité, etc.) seront t. p. sans crédits suffisants, t. p. débordés, saturés, voire dévalorisés par réaction à des provocations et des excès divers(es), des phénomènes t. p. incontrôlables ne surgiront-ils pas, secrétés instinctivement par des gens n’ayant plus rien à perdre mais tout à gagner (Les raptags) en organisant des « coups » (délits et crimes) uniquement dans le but de vivre « bien » quelques mois avant de recommencer, quitte à se faire tuer par un Police totalement inefficace ? !

    4)    Pourquoi des historien(ne)s, des psychologues, des psychanalystes, des sociologues, des ethnologues, (V. des éthologues puisque notre génome ressemble à celui du chimpanzé à  ~ 1 % près ; du bonobo, à ~ 1,3 % !) n’ont-ils/elles jamais entrepris de livrer le bilan de cette recherche ? ! Ne se seraient-ils/elles jamais penché(e)s sur ces RACINES ? ! ! !

     Les intellectuel(le)s de l’establishment comme les politiciens n’ont-ils/elles pas toujours eu d’autres soucis matériels en tête, surtout les hommes ou les mâles ? !

    *Mais n’obtenons-nous pas les politiciens, la dite élite, que nous méritons ? !

    5)    Les manques sexuels n’ont pas été abordés ici ! N’en parle-t-on pas partout en se gardant bien d’y réfléchir sérieusement ? !

    Si, effectivement, ils sont permanents quoique souvent niés, en fait refoulés parce que, eux aussi, non démystifiés, toujours encadrés par les religions, ils sont, dans une proportion non négligeable (Freud n’a-t-il pas bâti la psychanalyse sur ce terrain ? !) à l’origine du « mode de fonctionnement » inconscient de cette société, presque du même genre ou brutalité ou bestialité que chez les animaux ! Ainsi, en France, en 2013, encore environ 75 000 viols sont déclarés annuellement parmi ~ 190 000 tentatives (Dont 1/3 dans l’entourage proche) ; une femme meurt tous les 2 ou 3 jours suite à des violences conjugales. L’affaire DSK en 2011, la mort de Marie Trintignant en 2003 fournissent d’autres témoignages.

    ***Il vaut mieux ne pas s’aventurer dans le monde musulman où des milliards de femmes sont à la merci des mâles, de la charia, des fatwas, des lapidations, du fouet, etc. si on ne veut pas être égorgé en tant que mécréant ayant offensé Allah ! Mais comme les animaux s’habituent à tout, les femmes après avoir été obligées d’accepter le port de la burqa, du voile intégral ou niqab, l’emprisonnement portable, la soumission soi-disant divine, l’entretien de la maison, la nourriture spécifique et première du maître dans le salon en tant que serveuse avant d’aller manger dans la cuisine, etc., ont fini par intérioriser cette pratique !

    Xyzabcd … !

    Un ajout, probablement inutile, pour éviter des reproches, des imprécisions … : n’aurions-nous pas prouvé récemment que nous étions définitivement fractal(e)s en enterrant le bilan de 2005 : celui sur ce fameux génome ? !)

    L’animal, devant l’obstacle, ne se pose pas beaucoup de questions mais réagit instinctivement.

    Il se défend ou il fuit si c’est possible ou, faute de moyen, ne bouge plus, se fixe en « inhibition ».

    Et nous-mêmes ? ! Ne suivons-nous pas ce genre de schéma comportemental ? !

    Mais à la différence d’eux, le néocortex anticipant et imaginant aidant, n’avons-nous pas tendance, par précaution et prudence,  à vouloir parachever nos démarches en cherchant à les améliorer, voire en cas de tombée en dépendance mentale, à t. p. accumuler idéalement des effets potentiellement « positifs » … ? !

    D’un côté, nous n’ignorons pas la facilité de devenir « accroc » au tabac, à la « bonne bouffe », à l’alcool, au chocolat, etc. !

    De l’autre, en l’absence (ou manque !) de réflexions et de méditations extrascolaires, les principes de la géométrie euclidienne où la droite croît indéfiniment jusqu’à l’infini, de la règle de proportionnalité arithmétique où il suffit d’ajouter, voire de multiplier, pour obtenir un une production t. p. « positive », ne se conjuguent-ils pas aisément dans l’optimisme béat aussi enfantin que cartésien et binaire !

     

    (En passant, Cette linéarité rudimentaire s’imprègne dans nos souvenirs de manière agréable, ne s’oppose pas mais valorise le principe « t. p. », devrait trouver un écho dans l’espace de la psychanalyse, dans le domaine « mâle » en contradiction avec la notion de cycle … Jamais on n’aborde en maths élémentaires la notion de cycle, de phase, de périodicité, de caducité, de discontinuité, etc. On évite l’image du raisonnement en rond dans un labyrinthe artificiel formant une sorte de cercle non vivant et une  forme idéalisée stérile. Peut-être que la désaffection de cette discipline par les femmes, les filles qui, au départ, sont aussi douées en maths que les garçons, s’explique en partie sur ces visions divergentes, sur un machisme sous-jacent …

    Loin de nous, l’observation pratique des principes d’équilibre de la vie ! OK !

    Pourtant si un corps dit humain est en équilibre à la température interne de 37 °, survivrait-il à 50° ou 20° ? ! Son existence ou survie est-elle compatible avec l’idée « Toujours plus » et « Toujours moins » ? ! Et avec l’objectif de faire « Toujours plus » avec « Toujours moins » de crédits, de ressources, de place, etc. ? !

    Le suicide par overdose n’est-il pas programmable ? !

    C. q. f. d. ? ! (Oui / Non ? !)

  • LE CERVEAU DES EMOTIONS un complément

     

    On trouvera de nombreux articles sur ce sujet Internet.

    (Vers 1970 MacLean introduisit la théorie des 3 cerveaux ou cerveau triunique.

    Henri Laborit diffusa celle-ci dans ses ouvrages (V. « Eloge de la fuite », « Biologie et structure », etc.), Koestler l’utilisa dans le  roman « Le Cheval dans la locomotive ». Depuis, sans que leurs rôles soient remis en question, leurs premières localisations sont apparues trop restrictives … Personnellement, je parle des 3 vecteurs reptilien, émotionnel, néocortical …)

    L’exploitation tous azimuts des « manques », déséquilibres, frustrations, stress, ressentis par le cerveau des émotions via la proposition « toujours plus » (t. p.)  intelligente, habile, subtile, de plaisirs momentanés compensatoires via l’achat et la consommation d’articles commerciaux, le renouvellement de cet acte jusque, dans l’idéal capitaliste, la tombée dans l’addiction « t. p. », le surendettement, etc. est le moteur de l’épanouissement de la « Société de consommation » devenue « Société T. P. »

    Si les rôles fondamentaux de ces trois cerveaux ou vecteurs sont connus, il est clair que notre Société et nos gouvernements, qui ne rêvent que de « croissance » pour diminuer les déficits des budgets, n’ont aucun intérêt à provoquer la publicité et la divulgation de ces données !



    Ce qui est intéressant de retenir aussi, me semble-t-il ! Ensuite, à chacun(e) de voir !

     

    Si on se contentait de valoriser la quête du « plaisir basique » (Ou bien-être ou sécurité) de manière à compenser « les manques », cette appréciation de plaisir recherché par le « cerveau des émotions » qui attribue des qualités à cet appareil, ne devrait-elle pas obliger « logiquement »  à s’incliner « positivement » devant ses multiples autres prestations ? !

    Ses débordements selon ses excitations et fantasmes (V. par ex. les conséquences de la non maîtrise de DSK, de Cantat, etc. !) ? !

    Eh non ! Bien sûr ! Voilà où le paradoxe éclate constamment !

    Les gens n’ont pas l’impression d’entrer en contradiction avec eux-mêmes !

    Ils ne peuvent pas avoir recours à la « logique » qui n’a pas de signification pour ce fameux cerveau (Dit aussi limbique ou mammalien : il équipe tous les mammifères) qui n’« analyse » pas mais procède uniquement par « analogie », c. à d. en fonction de ses souvenirs mémorisés positivement (Ou négativement) et accumulés dans sa boîte ou banque de données vitales …. ! ! !

    D’où le secret, pour beaucoup d’entre-nous du « bien vivre » : « S’efforcer de garder le bon côté des choses et d’oublier le mauvais » !

    TOUT N’EST-IL PAS DIT SUR NOTRE FAÇON DE VIVRE ? !

    Que vouloir ajouter légitimement ? !

    « Chacun(e) voit midi à sa porte » est une autre formule rapprochant …

    Impossible de franchir une frontière hermétique et puis, pourquoi « être plus royaliste que le Roi » ? !

    Il reste seulement, de loin, si possible, à observer les désagréments et mésaventures qui surviennent et parfois surgissent sans prévenir en assaillant « ces gens là » (Comme chantaient Brassens et Brel) ... qui ne savaient pas puisque leur Inconscient les empêchait de chercher …, d’analyser, d’anticiper …, de réfléchir !

    Mais à la différence des autres mammifères, ils râlent, protestent beaucoup, se sentent « victimes » !

    Il existe un plaisir du second degré qui ne ce cantonne pas à soi-même (corps) ou ses proches (copain(e)s, …) mais tient compte et associe « le prochain ». Il se ressent seulement dans une espèce d’harmonie plus large, voire universelle, transcendantale. Alors une sorte d’effet de résonance sublime le moment …

    C. Q. F. D. (Oui / Non) ? !

    Xyzabcd ...

    Cerveau des émotions, MacLean, Henri Laborit, Koestler, Eloge de la fuite, Biologie et structure, Le Cheval dans la locomotive, Manque, Manques, Déséquilibre, Déséquilibres, Logique, Vie, Plaisir, DSK, Cantat, Maîtrise, Fantasmes, Pulsions, Cerveau reptilien, Néocortex

  • L’Histoire du Père Noël ou/et son équivalent : celle du Paradis, ne se retrouvent-elles pas tapies et recherchées dans notre Inconscient d’ENFANT ? !

     

    Prouver le contraire serait-il réalisable ? !

    (… Le masculin neutre sera de rigueur)

    Si vous désiriez titiller un tout petit peu vos amis de Noël, ne pourriez-vous pas leur poser la question :

    Les religions ne se sont-elles pas construites sur l’image ou conte du « Paradis » accessible après la mort dans conditions  particulières ? !

    Sans lui, une religion serait-elle encore utile ? ! Quel serait son sens ? !

    Ce mode relationnel n’est-il pas précisément celui qu’emploient les parents ? ! Celui de la promesse : « Si …, alors … » ou encore la « politique de la carotte » (Avec ou sans bâton)

    Quant aux « athées », n’aiment-ils pas mettre en avant les mêmes présupposés dans la mesure, sans doute, où cela devrait leur permettre d’éviter tous les imprévus du type accidents, incidents, maladies, etc. ? ! (Mais avec quel succès !)

    ** La définition du « Paradis » n’est-elle pas plus que floue ? !

    À propos du « paradis » !

    Pour vous,  LE PARADIS, la carotte religieuse, KESAKO ? !

    Si jamais vous activiez votre néocortex, comment décririez-vous le « Paradis » ? !

    Des réponses m’intéresseraient

    En attendant, voici ce que j’entrevois …

    En supposant que le terme recouvre autre chose qu’un délire …, une distinction entre le « Paradis religieux » et le « paradis terrestre » promis par les rationalistes existerait.

    A) Dans le premier cas, faute de renseignements, il est difficile de s’avancer !

    Dans le contexte idéal mais respectant la structure de la vie telle qu’on la connaît, il n’y aurait plus aucun déséquilibre ou manque ! Nous ne dépendrions plus de l’air, ni de la nourriture, de la boisson, de la chaleur, du sommeil, etc.  !

    Alors, réagirions-nous encore inutilement ? ! Bougerions-nous ? ! Nous animerions-nous ? ! Vivrions-nous ? ! Les mots ne perdraient-ils pas leur intérêt ou utilité puisque tout irait toujours pour le mieux … ? !

    ~~~Vie et manques ne vont-ils pas de pair ? !

     Si les structures du Paradis étaient d’une dimension supérieure, impossible de savoir …

    B) Inversement, on peut imaginer ce que serait un paradis terrestre ! On ne serait pas déçu ! Mais pire … !

    Comme dans le cadre précédent, tout ne fonctionnerait-il pas selon les « 3 B » ? ! (Le Beau, le Bon, le Bien) !

    Au bout d’un certain temps, les mots « richesse », « imagination », etc., resteraient-ils encore significatifs ? ! 

    Aux « 3 B » pourraient d’abord succéder les « 3 TB » (Très …), OK !

    Mais, ensuite ? ! Les 3 TTB ? !

    Coluche ne parlait-il pas du « Plus blanc que blanc » en souriant et rigolant ? !

    Et tout ne tournerait-il pas en « eau de boudin » ou ne se terminerait-il pas, comme d’après la Bible, à vau-l’eau ? ! C. à d. en enfer paradisiaque puisqu’éternel ? ! En punition de Sisyphe mais à l’envers ? !

    En général, on évoque les diverses facettes divergentes d’un problème, d’une situation, les différentes interprétations possibles, voire antagoniques, voire l’effet de symétrie du miroir. Ici, quoique cela ne soit pas par « supersymétrie » (Terme de physique quantique hyper complexe réservé aux surdoués spécialistes), tout ne converge-t-il pas d’abord formidablement puis désespérément ? !

    N. B. Attention l’acronyme « 3 B » n’est pas univoque !

    Des gens pratiquent les 3 B (Bouffe, Boisson, Baise) et sont parfois considérés comme des Bonobos Boostés Baiseurs !

    ·         Feud ne notait-il pas que la métamorphose de l’adolescent en l’adulte passait par le meurtre symbolique du “’Père” ou l’émancipation des normes surannées, voire obsolètes ? !

    À suivre !

    Personnellement, je n’envisage pas du tout ce genre de scénario mais finalement : « peu importe » …  Dans les commentaires pourraient apparaître de nombreuses solutions échafaudées …

    N. B. Vous pourriez donc aussi expliquer à vos enfants :

    -que les personnes qui continuent à croire au Père Noël en vieillissant (Ou à son équivalent : le Paradis) sont beaucoup plus nombreuses que le prévoit le calcul mathématique binaire habituel … Ou qu’on ne devient pas adulte automatiquement avec l’âge !

    -Que les artistes revendiquent le droit de se présenter comme des « grands enfants »

    Xyzabcd…

     

     

    Bien sûr, il existe d’autres alternatives … La mienne, une parmi d’autres, a l’avantage d’aboutir sur une impression : La vie n’est qu’un Jeu hyper complexe … Nos petits cerveaux de dimension « n » ne peuvent en aucun cas accéder aux mystères de l’Univers qui sont d’une dimension supérieure … (En référence, se reporter à la démonstration mathématique concernant les espaces vectoriels et donc leurs dimensions …)

    [[[Pour les non initié(e)s, cet énoncé abstrait se décline tout simplement en une illustration accessible à tout un chacun :

    L’exercice propose de disposer 6 allumettes (figurant 6 segments de même longueur) sur une table plate illustrant un plan de manière à configurer 4 triangles équilatéraux ayant pour côtés ces 6 segments.
    Si on est obligé d'abandonner la recherche de ce problème sans solution dans le plan (qui est de dimension 2 : en bref, longueur, largeur) ; l'idée consistant à décoller, à se mouvoir dans l'espace traditionnel (de dimension 3 : en bref, longueur, largeur, hauteur), aboutit de suite à la construction d'une pyramide triangulaire de type équilatérale formée des 4 triangles souhaités.

    *N'est-il pas clair que l'organisme sans épaisseur se déplaçant sur un plan de dimension 2 ne peut pas avoir conscience de la notion de relief, inscrite seulement dans le système de dimension 3 ? ! Si vous viviez en dimension 5 (Largeur, longueur, hauteur, temps, vivant ou non) impossible de concevoir l’aménagement d’un espace de dimension supérieure !]]]

    Une fois sorti(e) du cycle de la vie terrestre, voire parfois de  « l’enfer du Jeu de la vie », je parie que tout devrait se rééquilibrer …

    La vie étant construite sur « les manques », la structure de Jeu ne s’impose-t-elle pas avec ses composantes : Peu de gagnants/beaucoup de perdants (Voir la distribution de Pareto plus connue sous la dénomination Règle des 20/80), voir aussi la théorie mathématique des jeux, le déterminisme chaotique (L’effet papillon), etc.) ? !

    N. B. Sans aller jusqu’au problème des dimensions, Freud n’a-t-il pas noté que la métamorphose de l’adolescence à l’état adulte (vrai !) passait par le meurtre symbolique du « Père », c. à d. par l’émancipation des normes surannées, voire obsolètes. Ce scénario n’est-il pas en train de s’ébaucher ? !

     

     

    Des personnes m’ont reproché mon abstraction ou le manque de clarté des propos, n’ont pas relié l’histoire du Père Noël et notre attitude habituelle, normale …

    Je vais tenter d’être plus concret !

    Ne peut-on pas admettre  (Rappel, comme Freud vers 1920 : principe de plaisir/principe de réalité) que nos actes sont tournés tout simplement vers la quête du bien-être ou plaisir ou bonheur, cette recherche pouvant emprunter à la démarche du rationalisme (Dite « logique » mais en  oubliant totalement que notre « logique binaire » n’est que rudimentaire,  c. à d.est  celle qui est appropriée au cerveau des enfants et des homo sapiens …) ? !

    A noter que, déjà, la logique du vivant ou de l’infiniment petit appelée « quantique » nous pose des tas de problèmes incompréhensibles ! Et, of course, il en existe d’autres mais bien plus complexes et donc inaccessibles (D’une dimension supérieure !)

    ***Globalement, croire ou souhaiter, espérer, etc., en quelque chose ne revient-il pas exactement, comme les gosses, à croire au Père Noël ? !

    Par ex. croire ou parier ou faire comme si (sans la moindre inquiétude, sans y penser) qu’il n’arrivera rien de grave dans 10 mn, ou demain lors d’une sortie ou dans un mois au ski, à la mer,  ou x ou y ou z, etc., ne revient-il pas à croire au Père Noël ? !

    -Tous les gens dits normaux ne vivent-ils pas de cette manière ? ! OUI !

    -Les autres ne sont-ils pas rangés parmi les pathologiques : les pessimistes, les dépressifs, etc. OUI !

    -Effectivement, ils se rendent malades parce qu’ils n’ont pas du tout compris les « règles du Jeu de la vie » mais surtout parce qu’ils jouent systématiquement « perdants » alors que dans tout jeu il y a les + et les -, etc. OUI !

    ---------- Mais cela dit, jouer toujours « gagnant » par optimisme n’est pas non plus la solution idéale ou du moindre risque !

    ---------- La preuve n’est-elle pas devenue plus qu’une preuve ? !  Une preuve² ? !

    ---------- Être intégré dans notre Société « Toujours plus (T. p.), cela ne consiste-t-il pas à faire t. p. confiance en l’avenir, au progrès, à foncer t. p. vite, avec les pollutions, le réchauffement du climat, la démographie en hausse, la baisse de la biodiversité, des matières premières, etc. comme le commandant du Titanic sur son navire insubmersible ? ! Droit vers le crash mondial et le changement d’ère ? !