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euclide

  • Les mathématiques traditionnelles, scolaires, sont machistes (Inconsciemment) ? !

     

    La Reine de la géométrie euclidienne (Euclide, est un mathématicien de la Grèce antique, souvent désigné comme le « père de la géométrie », Il n’existe aucune source directe sur la vie d’Euclide. Si on admet la chronologie donnée par Proclus, Euclide, vivant entre Platon et Archimède et contemporain de Ptolémée Ier, a vécu vers 300 avant notre ère), est la « droite » linéaire qui fonce, trace sa ligne, se conduit comme un Roi ou Empereur expansionniste voulant croître « toujours plus » (t. p.)  et indéfiniment jusqu’à l’infini !

    Le cercle, plus compliqué, quand il est étudié, à quoi est-il associé ?

    Si la Terre, le soleil, la Lune, etc., fournissent de belles illustrations significatives, les notions de cycle, de périodicité, de caducité, de vie sont-elles retenues en priorité ? !

    La discontinuité n’est-elle pas passée par-dessus bord ou cachée dans un coin, à l’ombre, au profit de son opposée virtuelle : la continuité ? ! Il est vrai que si elle n’existe pas, son utilisation est beaucoup plus simple, surtout avec des enfants !

    L’arithmétique est-elle présentée plus intelligemment ?

    N’incite-elle pas, via les additions, multiplications, proportionnalités, à créer des mondes aussi merveilleux qu’irréels ? !

    *Quand et où  explique-t-on en maths que cette « linéarité » n’est qu’un « truc » aimé par le cerveau des enfants mais totalement inutilisable dans la vie réelle puisque ne correspondant pas aux lois de la vie, donc ne pouvant que provoquer des catastrophes ? ! 

    Si ces évidences étaient enseignées, ce qui supposerait que les enseignant(e)s soient lucides sur ces registres, ce qui n’est pas du tout le cas ( !), est-ce que les élèves, une fois adultes, pratiqueraient volontiers la politique de « La fuite t. p. en avant » et t. p à « flux tendu » ? !

    EN BREF, ce qui est remarquable, n’est-ce pas qu’en l’absence (ou manque !) de réflexions et de méditations, les principes consacrés à l’école : la géométrie euclidienne où la droite croît indéfiniment jusqu’à l’infini, la règle de proportionnalité arithmétique où il suffit de multiplier pour obtenir une production t. p. « positive », se conjuguent aisément dans l’optimisme béat aussi enfantin que cartésien et binaire !

    D’autres, qui se pensent les plus « futés », qui ne sont pas « nés de la dernière pluie », optent en connaisseurs, en historiens aguerris, pour la théorie de la périodicité des modes, des crises, etc., en accord avec celle de  « l’éternel recommencement », au nom de la « continuité » !

    Les lois de l’évolution et de complexification de Darwin ne les intéressent pas puisqu’ils sont convaincus qu’ils sont les meilleurs, que nous sommes (eux compris, of course !) les « chefs-d’œuvre de l’Univers »

    (En passant, Cette linéarité rudimentaire s’imprègne dans nos souvenirs de manière agréable et  ne s’oppose pas mais valorise le principe « t. p. ». Elle devrait trouver un écho dans l’espace de la psychanalyse puisque on n’aborde jamais, lorsqu’on introduit les maths à l’école primaire, la notion de cycle, de phase, de périodicité, de caducité, de discontinuité, etc. On évite pareillement l’image du raisonnement en rond dans un labyrinthe artificiel formant une sorte de cercle non vivant et une  forme idéalisée stérile où on peut s’enliser et se perdre désespérément jusqu’au bout sans s’apercevoir qu’il suffirait de faire un pas de côté pour quitter la boucle !

    *Je viens seulement, par association d’idées, de prendre conscience que, peut-être, la désaffection des filles et des femmes pour les maths (Qui au départ, en 6ième,  sont aussi douées en maths que les garçons) prend sa source dans les situations qui viennent d’être commentées.

    EN CONCLUSION : Loin de nous, l’observation pratique des principes d’équilibre de la vie ! OK !

    En notant qu’un un corps dit humain se sent « bien », est en « équilibre », lorsque sa température interne voisine 37 °, qu’il ne survivrait pas à 50° ou 20°, ses conditions d’existence ou de survie sont-elles compatibles avec les applications du  « T. p. » et/ou « Toujours moins » ? !

    Le suicide d’un ensemble drogué,  par overdose, n’est-il pas programmable ? !

    (Pour les plus curieux/euses, voir sur Internet « Les arbres de l’évolution » de L. Nottale, J. Chaline, P. Grou)

    Xyzabcd…

     

  • Le « manque » nous conduit ! On préfère parler du « plaisir » !

    En 2013, en consultant Internet, on découvre très peu d’articles sur cette sorte de personnage masqué qui nous conduit inéluctablement dans l’inconscience la plupart du temps absolue ..., nous fait sauter dans ce cas quelquefois au dessus des barrières de la raison, jusqu’au crime

    Pourtant !

    1)      N’est-il pas difficile de réfuter que, sans aucun « manque », besoin, il n’y aurait pas de respiration, d’alimentation, de sommeil, de recherche de chaleur, de réactions, d’actions, de mouvements, d’animation, de vie ? 

    Peut-on rejeter le constat que nos comportements divergent selon nos manques ?  

    La moindre cellule vivante ne suit-elle pas le « principe d’homéostasie », ne se contente-telle pas d’essayer de maintenir son état de déséquilibre relatif (v. des manques) au dessus du seuil létal ?

    Les animaux, à partir des reptiles, dotés d’un « cerveau primitif »  dit reptilien, ne sont-ils pas munis d’un instinct de survie, de conservation (dans l’instant) et de reproduction (pour le futur) ?

    Les mammifères, en plus d’un cerveau reptilien, possèdent un cerveau ou d’un réseau neuronal des émotions qui, entre autres activités, (v. Internet), tente de combler, les manques de plaisir du 1er degré ? ! 

    Ne sait-on pas trop que les homo dits sapiens (Sages ! ! !) bénéficient d’un néocortex qu’ils utilisent parfois ? ! ! ! Eventuellement, donc ( !),  ils analysent en imaginant, en anticipant, en comparant, etc., arrivent à  abstraire, symboliser, structurer, se posent « toujours plus » (t. p) de questions, méditent, ne s’arrêtent pas au désir de t. p consommer, jouir, se faire plaisir au 1er degré… !

    En réalité, cette sorte d’excroissance corticale n’est opérationnelle que si elle est entraînée ! Sinon, elle se laisse rapidement bousculée, voire réquisitionnée par le cerveau ou réseau des émotions qui s’occupe du pilotage automatique, des conditionnements, du surmoi, de la quête du plaisir ou bien-être basique, etc..!

    On a esquivé la mesure de sa puissance en procédant a des tests, par ex. les QI …mais les résultats ne concernent que certaines directions de l’intelligence, spécialités …, notamment binaires !

    2)      Ne peut-on pas souligner que, si nous l’avions réellement conceptualisée, l’analyse de l’Histoire des manques aurait contribué à la démystification nos comportements ?

    Le manque de sécurité, la peur de l’insécurité, encore plus de la mort, ne sont-ils pas à l’origine de l’esclavage, des religions, puis du système d’exploitation de l’homo sapiens par l’homo sapiens ? N‘est-ce pas le cerveau reptilien qui gère cette préoccupation ?

     

    En bref, les manques et les déséquilibres ne forment-ils pas à la source des « motivations » qui alimentent le « moteur » de la vie ? !

    Tout ce qui se vit dans le monde vivant n’est-il pas en relation avec des « manques » (Superficiels ou primordiaux) à satisfaire, surmonter ou désamorcer, circonvenir ou assouvir, surpasser, dépasser, etc. ? !

    Si Henri Laborit (Un biologiste célèbre écarté du Nobel parce que insuffisamment normalisé, prix Lasker, philosophe pendant ses heures de loisir, 1914-1995) avait présenté une ébauche du « mode de fonctionnement » du cerveau, plus personne, plus aucun(e) spécialiste en neurologie ne vulgarise simplement ce mode d’emploi qui permettrait pourtant à tout(e) un(e) chacun(e) de mieux s’y retrouver et agir sans se faire piéger ! Mais ces mises en évidences ne seraient-elles pas susceptibles de mettre à nu le ressort qui anime notre société ? !

    (V. par ex. les ouvrages de Laborit « Éloge de la fuite » (En filigrane : fuite des normes), « Biologie et structure »)

    Les violences, agressions, délinquances, révoltes, suicides, etc., ne relèvent-ils pas du même déclic compensatoire ?

    3)      Le moteur de l’épanouissement de la « Société de consommation » , maintenant appelée directement par son addiction : la pulsion « T. p. » n’est-il pas l’exploitation t. p. intelligente, habile (À court terme !), envahissante, des manques et déséquilibres passagers, frustrations, stress, ressentis par le fameux cerveau ou réseau des émotions ? !

    Les effets de  cette  incitation continue, t. p. intense et agaçante, ne ressemblent-ils à s’y méprendre à ceux des drogues qui se développent avant de s’amplifier comme des métastases cancéreuses ? ! Ne sont-ils pas en train de faire sauter toutes les barrières ou interdits ou anciennes normes encore en vigueur ? ! Et n’est-ce pas seulement le début ? ! Tout n’est-il pas en train de commencer à progresser géométriquement ou exponentiellement ? !

    Comme les Services publics (Santé, Justice, Police, Enseignement, Sécurité et Protection sociales, Dignité, etc.) seront t. p. sans crédits suffisants, t. p. débordés, saturés, voire dévalorisés par réaction à des provocations et des excès divers(es), des phénomènes t. p. incontrôlables ne surgiront-ils pas, secrétés instinctivement par des gens n’ayant plus rien à perdre mais tout à gagner (Les raptags) en organisant des « coups » (délits et crimes) uniquement dans le but de vivre « bien » quelques mois avant de recommencer, quitte à se faire tuer par un Police totalement inefficace ? !

    4)    Pourquoi des historien(ne)s, des psychologues, des psychanalystes, des sociologues, des ethnologues, (V. des éthologues puisque notre génome ressemble à celui du chimpanzé à  ~ 1 % près ; du bonobo, à ~ 1,3 % !) n’ont-ils/elles jamais entrepris de livrer le bilan de cette recherche ? ! Ne se seraient-ils/elles jamais penché(e)s sur ces RACINES ? ! ! !

     Les intellectuel(le)s de l’establishment comme les politiciens n’ont-ils/elles pas toujours eu d’autres soucis matériels en tête, surtout les hommes ou les mâles ? !

    *Mais n’obtenons-nous pas les politiciens, la dite élite, que nous méritons ? !

    5)    Les manques sexuels n’ont pas été abordés ici ! N’en parle-t-on pas partout en se gardant bien d’y réfléchir sérieusement ? !

    Si, effectivement, ils sont permanents quoique souvent niés, en fait refoulés parce que, eux aussi, non démystifiés, toujours encadrés par les religions, ils sont, dans une proportion non négligeable (Freud n’a-t-il pas bâti la psychanalyse sur ce terrain ? !) à l’origine du « mode de fonctionnement » inconscient de cette société, presque du même genre ou brutalité ou bestialité que chez les animaux ! Ainsi, en France, en 2013, encore environ 75 000 viols sont déclarés annuellement parmi ~ 190 000 tentatives (Dont 1/3 dans l’entourage proche) ; une femme meurt tous les 2 ou 3 jours suite à des violences conjugales. L’affaire DSK en 2011, la mort de Marie Trintignant en 2003 fournissent d’autres témoignages.

    ***Il vaut mieux ne pas s’aventurer dans le monde musulman où des milliards de femmes sont à la merci des mâles, de la charia, des fatwas, des lapidations, du fouet, etc. si on ne veut pas être égorgé en tant que mécréant ayant offensé Allah ! Mais comme les animaux s’habituent à tout, les femmes après avoir été obligées d’accepter le port de la burqa, du voile intégral ou niqab, l’emprisonnement portable, la soumission soi-disant divine, l’entretien de la maison, la nourriture spécifique et première du maître dans le salon en tant que serveuse avant d’aller manger dans la cuisine, etc., ont fini par intérioriser cette pratique !

    Xyzabcd … !

    Un ajout, probablement inutile, pour éviter des reproches, des imprécisions … : n’aurions-nous pas prouvé récemment que nous étions définitivement fractal(e)s en enterrant le bilan de 2005 : celui sur ce fameux génome ? !)

    L’animal, devant l’obstacle, ne se pose pas beaucoup de questions mais réagit instinctivement.

    Il se défend ou il fuit si c’est possible ou, faute de moyen, ne bouge plus, se fixe en « inhibition ».

    Et nous-mêmes ? ! Ne suivons-nous pas ce genre de schéma comportemental ? !

    Mais à la différence d’eux, le néocortex anticipant et imaginant aidant, n’avons-nous pas tendance, par précaution et prudence,  à vouloir parachever nos démarches en cherchant à les améliorer, voire en cas de tombée en dépendance mentale, à t. p. accumuler idéalement des effets potentiellement « positifs » … ? !

    D’un côté, nous n’ignorons pas la facilité de devenir « accroc » au tabac, à la « bonne bouffe », à l’alcool, au chocolat, etc. !

    De l’autre, en l’absence (ou manque !) de réflexions et de méditations extrascolaires, les principes de la géométrie euclidienne où la droite croît indéfiniment jusqu’à l’infini, de la règle de proportionnalité arithmétique où il suffit d’ajouter, voire de multiplier, pour obtenir un une production t. p. « positive », ne se conjuguent-ils pas aisément dans l’optimisme béat aussi enfantin que cartésien et binaire !

     

    (En passant, Cette linéarité rudimentaire s’imprègne dans nos souvenirs de manière agréable, ne s’oppose pas mais valorise le principe « t. p. », devrait trouver un écho dans l’espace de la psychanalyse, dans le domaine « mâle » en contradiction avec la notion de cycle … Jamais on n’aborde en maths élémentaires la notion de cycle, de phase, de périodicité, de caducité, de discontinuité, etc. On évite l’image du raisonnement en rond dans un labyrinthe artificiel formant une sorte de cercle non vivant et une  forme idéalisée stérile. Peut-être que la désaffection de cette discipline par les femmes, les filles qui, au départ, sont aussi douées en maths que les garçons, s’explique en partie sur ces visions divergentes, sur un machisme sous-jacent …

    Loin de nous, l’observation pratique des principes d’équilibre de la vie ! OK !

    Pourtant si un corps dit humain est en équilibre à la température interne de 37 °, survivrait-il à 50° ou 20° ? ! Son existence ou survie est-elle compatible avec l’idée « Toujours plus » et « Toujours moins » ? ! Et avec l’objectif de faire « Toujours plus » avec « Toujours moins » de crédits, de ressources, de place, etc. ? !

    Le suicide par overdose n’est-il pas programmable ? !

    C. q. f. d. ? ! (Oui / Non ? !)

  • Sur l’euthanasie comme sur le reste, que prouvent, à coup sûr, les dites réflexions de nos soi-disant surdoué(e)s, intellectuel(le)s, philosophes, DÉCIDEURS ? !

    Sur l’euthanasie comme sur le reste, que prouvent, à coup sûr, les dites réflexions de nos soi-disant surdoué(e)s, intellectuel(le)s, philosophes, DÉCIDEURS  ? !

    (Le masculin neutre sera employé)

    Chut ! Le silence est de rigueur ! Il n’est pas encore question chez eux, dans l’Establishment,  d’ouragans ou de tornades! Ils ne connaissent pas encore ! (Mais rassurez-vous, cela ne va pas tarder ! Et cela prendra même la forme du plus grand tsunami imaginable !)

    M. Sarkozy ! M. Hollande ! Leurs conseillers ! Les médecins !  Les scientifiques ! Etc. !

    Leurs néocortex seraient a priori ou d’après certains tests très développés ! ! !

    Eh oui ! Comment en douter !

    Les faits ne seraient-ils pas là, incontournables ? !

    L’exemple le plus symbolique ne se situerait-il pas au niveau de la notion de « cycle » ? !

    Qui peut éviter d’observer ces mouvements répétitifs ? !

    Les phénomènes de la respiration, de  l’alimentation, du sommeil, de la lumière, de la chaleur, des saisons, du Cosmos, etc., sont-ils négligeables ? Peut-on ne pas en tenir compte ? Les défier et s’en affranchir ? ! Voire les dépasser ? !

    En conséquence de quoi, la priorité absolue pour tous ces gens qui nous guident, nous gouvernent, ne devrait-il pas être [[[outrepassant les envies du cerveau des émotions des enfants et des adolescents toujours enclins à chercher « toujours plus » (t. p.) de plaisirs, puisque n’arrivant pas encore à distinguer (Le néocortex n’étant pas suffisamment et solidement structuré) la différence entre le « principe de plaisir » et le  « principe de réalité »]]] l’aménagement au mieux de chaque phase du parcours ou séjour terrestre, notamment des deux dernières : la vieillesse ou la préparation à l’entrée dans le cycle suivant : l’après vie ? !

    Entre la qualité « humaine » et la quantité ... ... ..., devrait-il y avoir photo ? !

    Est-ce ainsi que les homo dits sapiens vivent ? !

    l faudrait des pages et des livres et plus d’une vie pour détailler plus mais ne serait-ce pas aussi vouloir brûler les étapes en tentant de bousculer le temps ? !

     

    Deux cas flagrants illustreront le hiatus ou l’abîme existant entre l’homo dit sapiens et l’homme vrai.

    1) 2005, dans l’ère prochaine, sera considérée comme la date de référence attestant notre caractéristique « fractale »

    Les résultats d’une étude comparative entre notre génome et celui du chimpanzé révéla (Ou confirma !) une différence voisine de 1 % !

    L’occasion de nous évaluer objectivement était offerte ! Les croyants et les rationalistes, pour la 1ière fois communièrent un instant et décidèrent à l’unanimité d’enterrer ce bilan inconcevable remettant totalement en cause la célèbre pierre angulaire de notre civilisation judéo-chrétienne-musulmane ayant deux faces symétriques : « L’homme a été créé à l’image de Dieu » et « L’homme est un dieu en devenir » (Le D étant ramené à d !)

    Au lieu de prendre plus conscience de nous-mêmes, d’atterrir, de prendre nos marques réelles avant de repartir d’un meilleur pas, notre caractéristique « fractale » a pris le dessus ! (C. à d. la tendance à la répétitivité en l’absence d’évolution)

    2) Au 21ième siècle, en 2012, en France, Il faut mieux être un chien d'une bonne famille pour mourir correctement (Ou dignement ... dans le sens de l'expression « Dignité humaine »)

    Effectivement, même si on est décrété hyper intelligent, si finalement la puissance du cerveau reptilien (V. l’emprise de l’instinct de survie), et celle du cerveau des émotions (V. entre autres, les conditionnements) dominent, le néocortex est si perturbé qu’il ne peut assimiler la notion de « cycle » !

    Cette argumentation sera plus que contestée par tous ceux qui croient en Dieu, qui prétendent savoir que notre vie n’appartient qu’à Dieu, qui ont remis en cause la démonstration scientifique annihilant la valeur des textes du recueil de contes et légendes appelé Bible ? ! (Par ex. M. Sarkozy, M. Hollande !)

    La majorité des médecins (pourtant des scientifiques !) prétendent avoir prêté serment (Celui d’Hippocrate) pour mieux se défiler … mais n’ont encore jamais proposé (Alors que ce problème est ouvert depuis des décennies !) l’abolition de cette procédure des siècles passés !

    Etc. !

    Trois remarques amusantes

    A) En 2007, les Français n’ont-ils pas voté à plus de 50 % pour M. Sarkozy qui, quelques semaines avant la date du scrutin et celle du face-à-face avec Me Royal, a déclaré lors d’un entretien avec M. Onfray : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ».  (Voire « stupide » ou « con », avant la correction de mise en page. V. Internet)

    Dommage que personne ne l’ait interpelé ! Il aurait été obligé d’expliquer que c’était DIEU qui guidait les humains, qu’il suffisait donc de suivre son instinct et son intuition !

    *Comment est-il possible d’élire une personne qui affirme que le meilleur moyen d’utiliser un appareil hyper sophistiqué consiste à improviser, à ne pas lire le mode d’emploi ? !

    B) Jacques Attali, un personnage hyper doué

    Messieurs Mitterrand, M. Sarkozy, M. Hollande, l’ont consulté en quête de conseils lucides et éclairants

    Il a publié dans l’Express du 3 septembre 2012 : « Cent milliards  de naissances » et dans Slate.fr : « Jacques Attali: Cent milliards.

    Aucune méditation sur la notion de cycle n’apparaît !

    Sa conclusion est sans bavure !  « L’humanité commence. N’en gaspillons rien. » ! ! !

    C) Tous ces rationalistes incriminés sont restés apparemment aux principes de la « géométrie euclidienne » avec ses droites idéales « croissant » dans la continuité, indéfiniment, jusqu’à l’infini !

    La plupart revendiquent leur « cartésianisme » binaire ! En conséquence, Ils ne peuvent pas saisir le monde de l’infiniment petit où seule la mécanique quantique s’applique, donc le monde du vivant !

    Comme des gosses ou des « adulescents », ils jouent t. p. aux apprentis sorciers en espérant installer un jour le « paradis terrestre », l’immortalité !

    Exit le concept de « cycle » ! Même dédain concernant leur dimension mentale !

    Avec un génome se différenciant de 1 % de celui du chimpanzé, ils envisagent de pouvoir un jour comprendre et domestiquer l’Univers ! Et ils refusent d’admettre qu’ils sont en train de saccager la planète !

    Ils rêvent d’une croissance, d’un progrès, t. p. rapides et positifs alors qu’ils travaillent aussi t. p. à flux tendu et sans observer suffisamment le « principe de précaution » (Combien d’années attendre les effets négatifs ? !)

    Ils n’ont tiré aucune leçon des découvertes récentes concernant l’importance fondamentale de la matière blanche (entourant la matière grise) jadis jugée ne servant à rien, ni de celle de  l’ADN déclaré  à 90 %  « poubelle » et permettant de réguler le bon fonctionnement de l’ensemble !

    Ils refoulent l’idée que le fonctionnement d’une société  à flux tendu soit à la merci du moindre blocage ! Qu’un pays puisse se retrouver demain totalement paralysé si les centres de communication électroniques étaient hors d’usage … (Ne suffirait-il pas qu’une éruption volcanique du Soleil dépassât les seuils adoptés pour que tout s’arrêtât, pour parler comme M. Sarkozy ? !)

     

    EN RÉSUMÉ !

    Il ne suffit donc pas d’être instruit, toubib, ministre, président, pour être conscient de ces évidences !

    LE RÉSULTAT ne coule-t-il pas de source ? !

    Cette espèce n’a-t-elle pas fait son temps ? ! Ne se conduit-elle pas comme les autres animaux selon la loi de la jungle seulement améliorée, d’où le règne de la monarchie puis du capitalisme …
    N’avons-nous pas notre place « entière » dans la théorie de l’évolution de Darwin ? !

    Avant qu’elle n’ait réussi à saccager la planète, ne disparaîtra-t-elle pas et ne laissera-t-elle pas la place à d’autres moutures plus « néocorticales » ? !

    Pour terminer, une observation de Freud concernant le passage à l’état « adulte » banalisera le processus actuel : 2005, n’a pas été  l’occasion de nous émanciper, de devenir « adulte » en tuant symboliquement le « Père » … !

    Si vous êtes curieux, en consultant sur Internet « Les arbres de l’évolution », vous découvrirez l’hypothèse 2080 s’appliquant uniquement aux entités « fractales » ! ! !

    La révolution, la vraie, n’ayant pu s’organiser « à froid », la mutation surviendra à chaud et entraînera un moment de discontinuité relative ou partielle …

    Dans l’ère prochaine, le premier droit de  « l’homme vrai » sera celui de l’aménagement de son séjour terrestre …

    Quant à la fin de cette civilisation, quand l’horizon ou l’avenir sera suffisamment bouché, les démunis t. p. nombreux, ceux qui n’ont plus Rien À Perdre mais Tout À Gagner (Les RAPTAGS) en organisant des coups, passeront à l’action dans la barbarie complète au milieu d’une Police plus que dépassée … !

     

    Sous la forme d’une boucle qui se referme en un cercle :

    Quoi de plus logique qu’une civilisation construite sur la « peur de la mort » (D’où l’esclavagisme qui a perduré tant qu’il a été « rentable », puis l’exploitation industrielle de l’homo dit sapiens par lui-même) se désagrège quand le réflexe reptilien tend à s’effilocher ? !

    Cette peur de la mort n’est-elle pas en train de t. p. se transformer en son talon d’Achille ? !

     

    Xyzabcd !