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XYZABCD. Humour. Une prévision sur fin de règne de Jupiter ! (V. M. Macron ! ! !)

 Non pas sur le climat général

* mais seulement sur le sort toujours moins ragoutant, voire toujours plus monstrueux des vieilles personnes ou seniors !

 ** Sur l’entêtement d’un JUPITER  n’ayant pas plus à faire des « RIENS » que son mentor,  des « SANS-DENTS » !

*** Sur la non légalisation de l’euthanasie en France !

A) Le pouvoir ou/et l’influence des religions chrétiennes est très importante en France ! Quoique !

Les Démocrates-chrétiens avaient choisi comme présidente la Dame Boutin !

Depuis, elle a été connue en tant que Dame 9 000 € ! Figure de proue des manifestations contre le mariage pour tous ! « Bombe atomique » vivante capable d’anéantir l’UMP et ses chefs si on ne lui donnait pas satisfaction, c. à d. si elle balançait des « affaires » ! Cheffe de l’Inquisition sur un plateau TV (Elle a apostrophé Me Chantal Sébire, victime d’une maladie envahissant son visage et venant de demander à M. Sarkozy le droit de mourir dans la dignité en  lui tenant des propos voisins de  ~ « Et alors ! Et t’a vu ma gueule ? ! Est-ce que moi je me suicide ? ! » ! Twitteuse plus rapide que son ombre ! Et mi-ange vivant nue chez elle !

[[[Internet : Christine Boutin aime être nue | Atlantico.fr www.atlantico.fr/atlantico-light/christine-boutin-nue-186947.html21 sept. 2011 - Christine Boutin aime être nue. La candidate à la présidentielle confie à Paris Match son goût pour le "zéro vêtement".]]]

C’est M. Poisson qui la remplace !

M. Fillon, attirant toute la Droite catholique conservatrice, allant à la messe chaque dimanche, aurait dû être sacré président de la République si un canard sauvage n’était pas venu mettre son nez dans ses affaires rondement menées !

M. Hollande, depuis la destruction de DSK en plein vol par un Scud new-yorkais, se croyant protégé par Dieu, n’a pas voulu risquer de le froisser ! Il envisage de se représenter en 2022 !

B) Le premier ministre vient d’avoir l’occasion de réfléchir sur la souffrance et la mort.  [[[Internet : Edouard Philippe raconte le jour où son père a choisi de mourir - Télé ...www.telestar.fr › Tous les articles Il y a 2 jours - PHOTOS - Le Premier ministre Édouard Philippe raconte comment son père ... a choisi un jour d'arrêter son traitement et d'affronter la mort.

[[[Internet : Des voix autour de Macron pour l’euthanasie par Denis Lensel  https://www.france-catholique.fr/ jeudi 18 mai 2017

Bien qu’étant médecin, la nouvelle ministre de la Santé du gouvernement des énarques Macron et Philippe, Agnès Buzyn, s’est déclarée personnellement favorable à l’euthanasie. Sa voix n’est pas isolée dans l’entourage d’Emmanuel Macron, si on se souvient des écrits mémorables de Jacques Attali, le premier inspirateur du nouveau président de la République, annonçant dès 1981 que « l’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures »…

Le Dr Agnès Buzyn a exprimé son souhait de voir dépénaliser l’euthanasie dans un colloque des Francs-Maçons du Grand-Orient de France sur la « fin de vie des enfants », en octobre 2015. Promue en 2016 présidente du collège de la Haute Autorité de Santé, elle a publié hier de nouvelles recommandations en faveur du dépistage de la trisomie 21 des enfants à naître. L’organisme qu’elle préside propose désormais de nouveaux tests génétiques dès le premier trimestre de la grossesse, avec remboursement éventuel par l’Etat. La perspective de nouvelles formes d’eugénisme ne semble guère éloignée…

Quant à Jacques Attali, énarque de la Promotion Robespierre et polytechnicien, il tenait un inexorable raisonnement comptable au début de l’ère Mitterrand, dans un livre intitulé « L’Avenir de la vie » mais qui tranchait dans le vif : "Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé soient les plus réduites possible en termes de coût pour la collectivité. Il est bien préférable que la machine humaine (sic) s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures."

Plus récemment, une psychothérapeute favorable à un plus grand respect de la vie s’étonnait de voir certains de ses contemporains prêts à "accorder à des institutions un droit de vie ou de mort sur leurs proches et eux-mêmes"…

Alors, vers où va s’orienter le régime Macron, en matière de philosophie politique ? Vers Athènes ou vers Sparte ?]]]

[[[Internet : Pour Macron, les questions de société ne sont pas prioritaires, par ex. l’euthanasie Le 13.03.2017 à 08h08  Le candidat du mouvement "En Marche!" à l'élection présidentielle a indiqué dans une interview à La Croix qu'il état favorable à ce que le débat sur la fin de vie avance mais qu'il ne se précipitera pas pour légiférer. 

Emmanuel Macron estime, dans une interview à La Croix ce lundi 13 mars, que les questions de société ne sont pas prioritaires et prévient qu'il ne se précipitera pas pour légiférer, notamment sur la question de la fin de vie. Les questions éthiques de société "ne sont pas prioritaires sur le plan de l'action politique", estime le candidat du mouvement "En Marche!" à l'élection présidentielle d'avril-mai dans les colonnes du quotidien.]]]

C) M. Macron ou Jupiter ne veut donc pas se laisser impressionner !

Comme les ressources et le budget de la France  ne risquent pas de s’améliorer (Ne serait-ce que parce que toujours plus de catastrophes provoquées par le réchauffement climatique : inondations, tempêtes, feux, destruction des infrastructures et  productions agricoles suite à des écarts de température anormaux, nouvelles maladies, flux t. p. important de migrant(e)s, etc.), les Services publics, notamment de la Santé (Hôpitaux, centre de soins palliatifs, etc.), les maisons dite de retraite seront t. p. défectueuses, des mouroirs dans l’indignité !

Ci-joint un article récent :  

Enquête sur le quotidien d’une maison de retraite

Une dizaine d’aides-soignantes de la maison de retraite Les Opalines, à Foucherans, ne travaillent plus depuis 100 jours, dans le silence national absolu.

LE MONDE | 18.07.2017 à 16h31 • Mis à jour le 18.07.2017 à 16h48 | Par Florence Aubenas (Donc, du sérieux !)

C’était un matin comme les autres. Il était 7 heures en salle de relève, le début du service, les filles se tenaient prêtes dans leur uniforme blanc. Quelqu’un croit se souvenir que l’une pleurait déjà, mais pas très fort. Personne n’y faisait attention, l’habitude. La question rituelle est tombée : « Est-ce que vous êtes au complet ? »

La réponse, elles la connaissent toutes aux Opalines, un Ehpad (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) à Foucherans, dans le Jura. Chaque jour ou presque, les équipes d’aides-soignantes tournent en sous-effectif, pas de remplacement, ni des absentes ni des malades. Et toutes savent comment ça se passe dans ces cas-là derrière les portes fermées des chambres, ce qu’il leur faudra faire pour boucler le service à temps. Une deuxième fille s’est mise à pleurer. C’était un matin comme les autres aux Opalines, mais peut-être le matin de trop. Depuis le 3 avril, une dizaine d’aides-soignantes mènent la grève la plus longue de France dans un silence national absolu.

Aux Opalines de Foucherans, 77 résidents, il faut savoir où on est. Certains ont vendu leur maison pour entrer ici. « Maman a élevé huit enfants seule, on voulait le mieux pour elle. On a attendu une place deux ans », raconte une fonctionnaire. Dans cet établissement privé, les prix surplombent ceux de la région : 2 500 euros par mois contre 1 800 en moyenne, notamment dans le public. Le bâtiment a belle allure, inauguré il y a cinq ans, un jardin, de vastes chambres. Dans la salle à manger – on ne dit pas le réfectoire –, le personnel porte nœud papillon et chemise blanche, on sert du vin en carafe et l’apéritif le dimanche.

Salaires planchers

« Quand papa est arrivé, il était ébloui. Il répétait : “C’est plus beau qu’un hôtel !” », dit un fils. Lui se souvient pourtant d’impressions fugitives, des sonnettes appelant dans le vide, un lit resté souillé, le pas-le-temps, le pas-toujours-très-net. « Mais dans ces endroits-là, on ne pose pas vraiment de questions et on n’a pas vraiment de réponses. Chacun regarde ailleurs, espérant se convaincre qu’on ne pourrait pas mieux faire. » A Foucherans, aucun mauvais traitement n’a d’ailleurs été signalé, ni rien d’exceptionnel. Le tragique est là, d’une certaine façon : c’est la vie quotidienne dans un Ehpad qu’une poignée de filles à bout de souffle vient soudain de mettre à nu.

Sur le parking de l’établissement, un vent brûlant secoue la tente des grévistes. On dit « les filles » bien qu’il y ait aussi un garçon, tant le métier est estampillé « boulot de femme », avec son lot d’ingratitudes et ses salaires au plancher : 1 250 euros net à Foucherans, pour des journées de dix heures et deux week-ends travaillés. « Les filles », donc, s’efforcent de paraître vaillantes, mais on les sent à cran à plus de trois mois de grève, balançant de l’euphorie au désespoir. A ce stade d’épuisement, elles se sont mises à raconter ce qu’on ne partage pas d’habitude, ou alors seulement entre soi, et encore pas toujours.

L’une commence, tout doux : « Le matin, on les lève sans leur demander leur avis. On sait déjà qu’on n’aura pas le temps : quinze minutes pour la toilette, l’habillement, le petit déjeuner, les médicaments. Alors, il faut choisir. Est-ce qu’on lave les cheveux ? Ou les dents ? La douche hebdomadaire, c’est rare qu’on la tienne. » Certains résidents sont nourris à la cuillère, des plats mixés. « Il m’arrive d’en avoir cinq ou six en même temps », dit une grande brune. Elle tend les bras, mimant le buste qui pivote à toute allure. « J’ai l’impression de faire du gavage. »

Cadences infernales

Et d’un coup, le piquet de grève ressemble à un confessionnal dans la fumée des cigarettes. « Quand je rentre à la maison, je suis une pile électrique, explique une autre. Je me sens mal d’avoir dit à celui-là : “Dépêchez-vous !” Comment il peut faire, il a 90 ans ! On cautionne. Je culpabilise. » Soudain, les images se mettent à défiler sous la tente des grévistes, les couches qu’on change alors que le résident est debout, en train d’avaler son goûter. Tenir la cadence, toujours. Une autre raconte l’angoisse qui monte à mesure que le soir tombe dans les chambres des Opalines. « Vous serez là demain ? », demande un homme à l’aide-soignante. Il est dans les choses graves, il veut raconter. La « fille » répond : « Je reviens tout de suite. » Bien sûr, elle ne revient pas. « On ne fait que leur mentir. » Temps du coucher : 3 min 41. « On ne les met pas au lit, on les jette. » Il faut trouver la bonne distance, ne pas s’attacher, recommandent les formateurs. « C’est difficile. On vit dans leur intimité, on leur lave le sexe », dit l’une. Elle se souvient de l’enterrement d’un résident, où elle en avait appris davantage sur lui que pendant ses années à l’Ehpad.

Il serait rassurant de voir Foucherans comme une exception. Pas du tout. Il se situe dans la moyenne nationale, avec environ 55 professionnels pour 100 résidents. Pas suffisant. Tout le monde sait qu’il en faut au moins 80. C’est le cas en Allemagne ; la Suisse ou les pays nordiques en sont à 1 pour 1. La France, en revanche, n’a entériné aucune norme – question de budget –, et le secteur compte plus d’accidents et de maladies professionnels que le BTP. Sous la tente des grévistes, une dame dépose en solidarité un sac de courses, pris au supermarché en face. Depuis trois mois, « les filles » vivent de collectes et de colis alimentaires. Elles ont de 20 à 50 ans.

A Foucherans, des résidents appellent les aides-soignantes « les courants d’air ». Des surnoms circulent, « la libellule » ou « la danseuse étoile ». « Vous avez vu comme elles sont fatiguées ? C’est à cause de nous. J’ai honte », dit madame Z., 91 ans. Parfois, elle voudrait qu’on la conduise aux toilettes : « Je vois qu’elles n’en peuvent plus. Alors je fais dans ma couche. » Mais surtout, ne rien dire aux enfants. Ne pas les inquiéter. Monsieur D., 83 ans, est le seul à pousser le déambulateur jusqu’au piquet de grève. « On sait que vous allez les voir », lui aurait glissé l’encadrement. Lui se récrie : « C’est mon droit. » Certains auraient été convoqués pour avoir témoigné. « A table, personne n’en parle, on n’a pas de voix là-dedans », dit monsieur D.

Questions de principes

Et à leur tour, les résidents évoquent les histoires terribles et minuscules, qui forment ici leur univers. « Ceux dont les proches rouspètent arrivent à se faire entendre. Mais quand on est tout seul, sans visite, sans famille, on n’existe pas », dit l’une. Pour l’inauguration de l’Ehpad, en 2012, « les huiles du département avaient été invitées à boire le champagne. Nous, on était parqués au premier étage sans une cacahuète. Rien de grave, bien sûr, mais ça donne une idée de notre place ici », raconte un autre. Un grand soir, pourtant, reste dans les mémoires : « la révolte des raviolis ». Deux repas de suite, des raviolis avaient été servis, « et en petite quantité », se souvient une dame. Toute la salle à manger avait posé la fourchette. « On était fières d’eux », dit une aide-soignante. Pour pallier le débrayage, des vacataires ont été réquisitionnés et 14 résidents transférés provisoirement.

Au-delà des Opalines, « c’est le système entier qui génère des formes de maltraitance, une situation totalement niée par notre société », explique Pascal Champvert, de l’Association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA). « Je ne vous dirai pas le nombre de politiques qui m’ont expliqué : “Je ne veux pas le voir, ça me fait trop peur.” » En 2012, une proposition avait fait scandale : Jean-Marie Delarue, alors contrôleur des lieux de privation de liberté, revendiquait d’inspecter les Ehpad, comme les prisons ou les hôpitaux psychiatriques. « Un risque important existe d’atteintes aux droits fondamentaux, y compris involontaires », plaide Delarue aujourd’hui encore. Refus du gouvernement.

« On ne se bat plus seulement pour les sous, mais pour la dignité. »
Anne-Sophie Pelletier, porte-parole du mouvement

Dans le bureau de Véronique Steff, directrice de Foucherans, on entend gazouiller les oiseaux dans la volière et la télé dans le salon. La directrice est à cran. Elle reconnaît « un planning tendu » depuis des mois, « une fatigue des salariées ». Deux postes d’aides-soignantes ont été créés pour tenter d’apaiser la grève, grâce à Pierre Pribile, directeur général de l’Agence régionale de santé, qui finance le volet médical des Ehpad, y compris privés. De leur côté, « les filles » ont abandonné une revendication : 100 € d’augmentation par mois. Les pourparlers buttent encore sur la prime du dimanche, fixée à 23 €, même pas de quoi faire garder les enfants. Les grévistes demandent qu’elle soit doublée. « Ce n’est pas grand-chose », laisse tomber Philippe Gevrey, directeur général de la SGMR-Opalines, dans une interview au Progrès (il n’a pas répondu au Monde). Mais il y voit une affaire de principe. Huitième groupe privé français, la SGMR a prévu des négociations globales pour ses 46 Ehpad à l’automne : pas question de lâcher quoi que ce soit avant. Un accord sur une « indemnité exceptionnelle » pourrait débloquer la situation. « Les grévistes y sont d’autant plus attachées qu’elles veulent la reconnaissance par la direction qu’elles en ont bavé », explique la préfecture. Les filles demandent 600 €. La SGMR bloque : ce sera 375 € ou rien.

« Vocation »

« On ne se bat plus seulement pour les sous, mais pour la dignité », dit Anne-Sophie Pelletier, porte-parole du mouvement. Longtemps, aux Opalines, les filles ne se plaignaient même pas entre elles, par peur d’un conseil disciplinaire. Quand elles ont osé le mot « grève », au printemps, « la coordinatrice a posé son stylo et elle a rigolé », se souvient l’une. Puis un cadre leur a lancé : « Vous n’aurez rien, ni aujourd’hui ni demain ni jamais. » Anne-Sophie Pelletier reprend : « On ne s’est pas senties écoutées. » Les autres la regardent comme si elle avait traversé la ligne de feu : « Anne-Sophie est cramée. Qu’est-ce qui lui arrivera après la grève ? Et à nous toutes ? »

Ici, on se souvient de Melissa, employée modèle, virée en 2015, alors qu’elle comptait monter une section CGT. « J’ai pas pleuré devant eux, j’ai attendu d’être dans la voiture », dit Melissa. A Foucherans, seules des salariées en CDI font grève, mais aucune parmi la dizaine en CDD. Cynthia ne se le serait pas permis non plus, à l’époque où elle bossait là. D’août 2012 à février 2015, elle a enchaîné 79 contrats précaires. Sans permis, sans diplôme, elle ne disait jamais non. Elle a même fini sa vacation le jour de son licenciement, pour une histoire de planning. « Il faut s’écraser. On est des pions », dit Cynthia. Les prud’hommes lui ont donné raison, à Melissa aussi. D’autres Ehpad ont déjà fait grève, sans fédérer de revendications nationales. A Foucherans, la CGT et la CFDT ont apporté leur soutien.

Sous la tente, « les filles » parlent de vocation. « On aime notre travail. » Et puis, il y a les crédits de la maison, de la voiture. « Ailleurs, il faudrait repartir en CDD, ça fait peur. » La grève vient de passer les cent jours, leurs familles en ont pris un coup. Les filles ont envoyé un SOS à la préfecture. « Qu’est-ce qu’il faudrait faire, maintenant ? Qu’une de nous se suicide sur le parking ? »

RAPPEL ! 693 000 personnes vivent dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées selon les derniers chiffres de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), fin 2011 (1). C’est beaucoup, cela augmente, mais cela reste une minorité. Selon la Drees, cela correspond à une hausse de 5,5 % en cinq ans. Les femmes représentent toujours les trois quarts des résidents, dont l’âge moyen progresse de dix mois par rapport à 2007 pour atteindre 85 ans. L’entrée en institution est, en tout cas, de plus en plus tardive, en moyenne à 84 ans et 5 mois. Et les résidents se révèlent plus dépendants en 2011 qu’en 2007. Fin 2011, 22 % d’entre eux - soit 152 600 personnes - souffraient de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée. Environ 238 700 résidents ont quitté un établissement en 2011, deux tiers de ces sorties correspondant à des décès.

(1) «Etudes et Résultats», n° 899, décembre 2014. Par ERIC FAVEREAU  Libération 8 décembre 2014

CELA ÉTANT, JUPITER, DANS 5 ANS, s’il était encore en place, ne voulant pas assumer l’échec total de ses prévisions optimistes, chassé non pas par les SANS-DENTS mais par le « RIENS », partira en laissant des centaines de milliers de Seniors souffrir, agoniser sans fin ! COMME ACTUELLEMENT LES ANIMAUX D’ÉLEVAGE INDUSTRIEL ! ! !

Alléluia ! Plus on est de fous ou d’homo sapiens plus on rit jaune ou noir ou blanc !

C’est du « Gagnant-gagnant » dirait notre Bravitude !

Vive la nouvelle ère !

 

Amen ! Pierre Payen (Dunkerque)

N. B. À décharge, tous ces homo sapiens font partie de ceux qui ont enterré le Bilan de 2005 concernant l'étude comparative de notre génome et de celui du chimpanzé !

Ils n’ont pas réussi à  se reconnaître dans le miroir scientifique tendu !

Eux ! Alors que créés à l’image de Dieu, être ravalés au stade de chimpanzé « boosté » ? !

JAMAIS ! Plutôt mourir que d’accepter la réalité !

Cet examen a révélé (Ou confirmé ! ! !) que notre génome se différencie de celui du chimpanzé de 1 % ! ! !

UN SUPPLÉMENT ! (Parmi d’autres .... Il suffit de chercher !)

« Plus de 20 millions de personnes dans quatre pays (Yémen, Somalie, Soudan du Sud et Nigeria) sont menacées de mourir de faim dans les tous prochains mois, une situation que les Nations Unies ont qualifiée de « pire crise humanitaire depuis la Seconde Guerre mondiale ». Mais tant les gouvernements que les citoyens privés tardent à apporter une réponse mondiale à cette famine ».

C’est ce qu’écrit le Washington Post dans son éditorial mardi. L’article est intitulé «“The worst crisis you’ve never heard of”» (‘La pire crise dont vous ayez jamais entendu parler’). Bien que certains médias aient déjà tenté d’attirer l’attention sur cette crise cette année, ce n’est que lentement qu’elle gravit les échelons de la pyramide de l’actualité quotidienne.

Selon l’ONU, seulement 43 % des 6,27 milliards $ qui seraient nécessaires pour répondre aux besoins immédiats ont été levés pour le moment.

La crise a plusieurs causes : une récolte décevante en raison de la sécheresse prolongée dans la région, associée à la guerre civile et aux activités du groupe terroriste Boko Haram [au Nigeria], qui ont provoqué la fuite de millions de personnes.

La Global Emergency Response Coalition

Pourtant, il y a des développements encourageants, tels que la formation d’une alliance sans précédent par huit grandes organisations américaines, la Global Emergency Response Coalition. Cette alliance a lancé lundi une collecte de fonds qui devrait durer deux semaines. Cette campagne a reçu le soutien de plusieurs grandes entreprises américaines, y compris PepsiCo et Google.

De son côté, l’Union européenne a versé 60 millions d’euros supplémentaires pour les 3 pays les plus touchés par la sècheresse.

L’acteur George Clooney a prêté sa voix pour la réalisation du spot de la campagne de Global Emergency Response Coalition.

Les 60 millions supplémentaires ne sont-ils pas plus que dérisoires ? !

QUE VONT FAIRE plus sérieusement  JUPITER ? ! L’UE ? ! LES PAYS RICHES ? !

Et quelles seront les conséquences budgétaires ? !

 

 Et touhours plus !

Toujours Jupiter ! Emmanuel Macron qui envoie balader Laurence Haïm, l'Elysée dément

AMBIANCE Selon « Le Canard enchaîné », Emmanuel Macron a accueilli bien sèchement une demande de l’ex-journaliste, une information démentie par l'Elysée …

Anne Demoulin Publié le 19/07/17 à 16h27 — Mis à jour le 19/07/17 à 17h26 http://www.20minutes.fr/

Un petit tour, et puis s’en va. L’ancienne journaliste de Canal + Laurence Haïm, qui avait décidé en janvier dernier de rejoindre l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron et de se retirer des rédactions, a finalement annoncé, le 12 juillet, qu’elle quittait ses fonctions en tant que porte-parole de La République en Marche. Selon Le Canard enchaîné paru ce mercredi, le président et sa porte-parole ne se sont pas quittés en très bons termes. Une info démentie par l'Elysée. 

« Non mais je rêve ! Et puis quoi encore »

L’ex-porte-parole d’En Marche ! aurait demandé à l’Elysée d’obtenir un poste d’ambassadrice pour services rendus. « Non mais je rêve ! Et puis quoi encore ? » aurait rétorqué le chef de l’Etat. L'Elysée dément l'information du Canard Enchaîné : « Le président n'a pas l'habitude de s'exprimer ainsi, encore moins, lorsqu'il s'agit de Laurence Haïm qui nous a soutenu pendant toute la campagne.»

Laurence Haïm va finalement retourner travailler outre-Atlantique  aux côtés de David Axelrod, ancien conseiller de Barack Obama, et directeur de l’institut d’études politiques de Chicago.

 

 

 

 

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