Mine de rien, un léger changement de vocabulaire ne pourrait-il pas changer les mentalités ? !
Si tout me monde y mettait du sien, écrivait aux médias et les incitait à titiller l’académie, tout ne pourrait-il pas évoluer !
Vu de manière plus humoristique, ce pourrait s’intituler :
« Humour. Offrons la possibilité à l’Académie de se rénover ! »
- Les mots qui insultent n’éclosent-ils pas, ne fleurissent-ils pas, toujours plus (t. p.) rapidement, fréquemment, en toute saison ? !
Les présidents de la République n’hésitent-ils pas à les employer ? !
Par ex. « Casse-toi pauv’con » n’avait-t-il pas fait florès ? !
Le Monde étant t. p. agressif, pourquoi ne pas encourager les académicien(ne)s à faire œuvre utile, à inventer des mots nettement plus apaisants ? !
Actuellement, dès qu’il y a désaccord, voire conflit, on n’hésite pas à tenter de dévaluer les adversaires en affirmant tout azimut : « Ce sont des cons ! »
Quand un texte, livre, œuvre, programme, ne plait pas, n’entend-on pas souvent : « Ne perd pas ton temps ! Ne lit pas, n’écoute pas ! Ce sont des « conneries » !
On revient à chaque fois au thème central, le plus direct, le plus « brut de décoffrage », qui attire les chimpanzés, et particulièrement les bonobos, le sexe, le « con » de la femelle !
Si cette perspective n’est pas fausse d’un point de vue psychanalytique freudien, si la confirmation de sa valeur a été relevée en 2005 lorsqu’une étude comparative de notre génome et de celui du chimpanzé a mis en évidence une différence de 0,6 %, il n’en reste pas moins vrai qu’elle est loin d’être parfaite.
Objectivement, elle gagnerait beaucoup à être nettement plus nuancée, moins agressive, plus acceptable, sans perdre sa qualité ! Au contraire !
Il se fait que nous sommes tous/toutes « conditionné(e)s »
Que ce sont précisément ces conditionnements, pulsions, qui nous rendent parfois incohérent(e)s, qui nous font « péter les plombs », etc.
ALORS MESDAMES et MESSIEURS LES ACADÉMICIEN(NE)S, pourquoi ne pas introduire 2 nouveaux mots : « Cond(e) » diminutif de conditionné(e) et « Conditionnerie ».
On pourrait être tenté(e) de dire que le propre des « humain(e)s », c’est de sortir et de produire des « humaneries » mais cette hypothèse se révélerait rapidement fausse, ne tiendrait pas longtemps la route.
Alors que « l’homme vrai » vit ou essaie de vivre dans la « dignité humaine », ne se complait pas dans l’indignité, passe son temps à essayer de l’établir partout sur la planète, quitte à aller en prison, à être exécuté(e) par un Service de sécurité d’un pays plus que totalitaire, l’homo sapiens cherche d’abord à vivre, dans n’importe quelle condition, est mené par son « instinct de survie animal »
(Alors que j’écoutais sur France5 « Les enfants de Daech », Cyrulnik Boris expliquait le rôle fondamental des imprégnations dans le cerveau des enfants !)
Qui pourrait critiquer l’usage des mots « Cond(e) » et « Conditionnie » ou « Conditionneries »
N’éviteraient-ils pas des froissements superfétatoires ? !
Il suffirait au départ, la première année, de prononcer : Cond en précisant : Avec un d.
Et l’année suivante, tout serait régularisé !
Tout le monde pourrait prononcer sans encombre, par exemple : Soyons réalistes ! « Comme nous sommes tous et toutes des cond(e)s, il ne faut pas s’attendre à sortir du domaine des conditionnies ou conditionneries !
*** Mesdames et Messieurs, notamment les Journalistes, aidez les académiciens(ne)s !
Soyez non pas « humanistes » mais « homo sapiensistes »
*** Aidez les homo sapiens à prendre plus conscience d’eux et d’elles mêmes
Merci pour elles/eux !
Amen
Pierre Payen (Dunkerque) Ou Xyzabcd ...
N. B. ****** Ce matin 05/10/17, tous les médias ont diffusé la bonne nouvelle !
Si la « biodiversité » se dégrade t. p., oyez, oyez, braves Gens, Sans-dents, Riens, Illettré(e)s, Fainéant(e)s, etc., notre Jupiter ne manque pas de veiller sur vous ! Sur Nous les Français(e)s !
Il vient de dépasser M. Sarkozy et d’accréditer ou d’officialiser dans le même registre 2 nouveaux termes : « Foutre » et « Bordel »
Reste à les décliner par extension.
Voir par ex. les verbes et noms « Foutrer et « Foutrerie » (Qui existe déjà) ; « Bordeller » (Qui existe) et « Bordellerie »
Les jeunes élèves n’auront d’ailleurs aucune difficulté à les intégrer dans leur vocabulaire