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  • En 2012, comme en 2007, les Français(es) vont-ils/elles laisser assassiner symboliquement Socrate ? !

    En 2007, M. Sarkozy, quelques semaines avant le scrutin présidentiel a déclaré lors d’un entretien avec M. Onfray (Un philosophe à la mode) « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ! ».


    Aucun(e) responsable politique, syndicaliste, révolutionnaire, marxiste, athée, matérialiste, rationaliste, journaliste, etc., n’a profité de cette imputation au moins paradoxale pour créer un buzz et le déstabiliser ! POURQUOI ? ! A chacun(e) de deviner !

    Peu de gens ont dû être renseignés …

    Est-ce que en 2012, sachant ce que signifie cette phrase et ses implications concrètes, les Français(e)s vont-ils signer un nouveau bail  avec ce pseudo  magicien ? !

    Dans tous les cas, si d’après lui, « se connaître » n’est pas un problème, cela signifie tout simplement qu’il suffit d’écouter Dieu, c.  à d. son instinct et son intuition !

    Si cette interprétation était refusée, M Guaino confirmerait plutôt sa valeur : « Même Guaino le dit : Sarkozy est brutal » Philippe Bilger - Blogueur associé | Mardi 3 Janvier 2012 à 18:01 | Marianne. … « Nicolas Sarkozy gère tout à l'affect. La contrepartie de l'affect, c'est la brutalité », a déclaré récemment Henri Guaino au Journal du Dimanche ! ! !

    Il est à noter que M. Sarkozy n’a pas menti ! Il s’est toujours conduit comme il l’avait annoncé !

    Le problème se situe au niveau de la communication avec Dieu !

    Quoiqu’il se soit fait adouber en toute hâte à Rome par le pape (Accompagné par le futur prix Nobel de philosophie humoristique J.-M. Bigard !) sa gestion du pays est loin d’être un succès !

    Son Dieu ne lui a pas soufflé dans le creux d e l’oreille les arrivées de la crise de 2008, de 2011 ! Ni le reste d’ailleurs !

    (V. dans la Bible : Ev. s. st.-Luc, - ch. 6-24 “Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde » - Ch. 6-25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim ! Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes        - Ch 19.24 s. st.-Matt « Je vous le dis encore une fois : il est plus aisé qu’un chameau passe par le trou d’une aiguille, qu’il ne l’est qu’un riche entre dans le royaume des cieux »)

    Là où il triche effrontément, c’est quand il joue les innocents en prenant le peuple à témoin et en proclamant « Comment-voulez-vous que je devine ces deux crises les plus importantes depuis la dernière guerre ? »

    Eh oui, il est obligé de lâcher le morceau, d’avouer que son histoire de bon Dieu, ce n’est que du pipeau !

    Quant à ses ami(e)s, la sous papesse Boutin qui a joué à Madame 9500 euros, à la Bombe atomique, à l’ange qui se déplace nu(e) dans son habitation (« A la maison, dans l'eau, ma philosophie c'est zéro vêtement. J'aime être nue, libre de mes mouvements. C'est mon côté direct. Et ça évite de se faire tailler des costards ! » dit-elle, interrogée par Frédéric Ferrer), les autres catholiques, sont-ils/elles plus honnêtes que tout un chacun ? ! ! !

    Au  nom de quel projet élirait-on de nouveau une personne qui ne se connaît pas, qui refuse l’idée de réfléchir sur elle-même, qui ne fonctionne qu’en fonction de ses humeurs, de ses précipitations ? !

    Tout le monde a reconnu qu’il a parfois des bonnes idées mais qu’elles sont mal exploitées, deviennent inutilisables ! Pendant un moment, chaque fait divers défrayant la chronique était accompagné d’une nouvelle loi ! Combien ont été légalisées ou ont reçu un décret d’application ? ! ! !

    M. Sarkozy est volontariste, « impétueux » (C’est le titre du livre de Catherine Nay qui doit sortir prochainement), parfois grossier (« Casse-toi, pauv’ con ! »).

    Est-ce que ce sont les qualités essentielles d’un président ? !

    Est-ce que tout ce qu’il a mis en chantier trop rapidement est satisfaisant ? !

    Non ! Il va donc falloir tout reprendre plus calmement !

    M. Sarkozy n’est efficace qu’en temps de bataille parce qu’il décide plus vite que les autres ! Mais il prend plus de risques aussi … !

    En tant qu’avocat, il doit être à son affaire ! Sa véritable place ne définirait-elle pas mieux dans un tribunal ? !  

    Il sait même jouer au bègue qui bredouille en direct sur un plateau TV (A la Canteloup) quand il veut simuler un mea-culpa concernant le Fouquet’s ! ! !

    Xyzabcd

  • DIEU vient de signaler à M. Sarkozy qu’il fallait sévir, notamment chez les pauvres !

     

    Il a déclaré en 2007, avant le face-à-face, devant M. Onfray (Le philosophe) : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ». (Voir Internet) Et bizarrement, personne n’a répliqué ! Ni Me Royal … !

    Ce qui signifie : Dieu indique le bon chemin ! Il suffit d’écouter son instinct et son intuition !

    Il a couru se faire adouber à Rome par le pape (En compagnie, bien sûr, probablement du futur prix Nobel de la littérature-philosophie-humour : M. J.-M. Bigard ! Même la sous papesse, Me Boutin -La Dame 9500euros et bombe atomique-, M. Luc Ferry -L’unique retraité miraculeux d’université n’ayant jamais exercé-, n’ont pas bénéficié de ce privilège !)

    ***Aujourd’hui, il a donné des ordres aux procureurs (Ou il leur a laissé entendre qu’il serait bien de … !) de « serrer » les petits délits qui sont « toujours plus » nombreux !

     « Fausses déclarations de vol de portables : deux nouveaux Boulonnais poursuivis »

    Jeudi 01.03.2012, 05:08 - La Voix du Nord

    En faisant ces fausses déclarations, les fraudeurs espèrent toucher l'assurance qui, souvent, ne fonctionne qu'en cas de vol.

    |  ESCROQUERIE |

    Voilà une arnaque qui a la cote depuis plusieurs mois. Les fausses déclarations ... de vol de téléphones portables se multiplient dans les commissariats et les brigades de gendarmerie. Deux nouveaux cas viennent d'être démasqués par les policiers boulonnais. Il s'agit d'une Boulonnaise, mère de famille, âgée de 20 ans et d'un Saint-Léonardois de 31 ans. Des personnes « ordinaires » qui n'ont jamais eu affaire à la justice. Elles ont porté plainte en déclarant s'être fait voler leur téléphone dans la rue. Mais les investigations ont prouvé que les faits n'étaient pas avérés. Les deux plaignants avaient probablement cassé leur portable et cherchaient à se le faire rembourser, certaines assurances ne couvrant que les « vols à l'arraché ».

    Poursuites systématiques

    Les deux fraudeurs ont été convoqués au commissariat et sont ressortis, pour la première, avec une mesure de « composition pénale » et, pour le second, d'une convocation devant le tribunal correctionnel. « Le parquet a décidé de poursuivre systématiquement les contrevenants, sans faire de rappels à la loi », prévient Barbara Wetzel, commissaire centrale de Boulogne.

    Car les fausses déclarations sont devenues monnaie courante face au coût élevé des smartphones et à leur relative fragilité. Mais les enquêtes qui s'ensuivent mobilisent inutilement les moyens de la police et de la justice. « Les réquisitions délivrées par le parquet coûtent cher », précise la responsable du commissariat. La justice doit en effet payer des droits d'accès aux données des opérateurs téléphoniques pour tenter de retrouver la trace du téléphone soi-disant volé.

    Mieux vaut le savoir : la dénonciation mensongère d'un tel délit est passible - en théorie - d'une peine de six mois de prison et de 7 500 E d'amende. Les contrevenants sont clairement prévenus dès lors qu'ils signent le document administratif destiné à bloquer le téléphone volé, au moment du dépôt de plainte. •

    De SYLVAIN DELAGE

    M. Sarkozy vient d’être encore trahi ! ET IL N’AVAIT PAS ENCORE LU « PLUS ON EST RICHE, MOINS ON A DE MORALE » (LE MONDE 29/02/12) !

    Eh oui, Son Dieu l’a donc encore trompé « à l’insu de son plein gré » !

    Cela étant, entre Riches et pauvres, M. Sarkozy et la Justice ont choisi et décidé de sévir ! Votez pour lui !

    Eh oui ! Ils sont pauvres et en plus ils trichent ! Scandaleux ! Mais où va-t-on ? !

     Xyzabcd

    N. B. Ne croyez pas que l'histoire de Dieu soit un épiphénomène !

     

    Même Guaino le dit : Sarkozy est brutal. Philippe Bilger - Blogueur associé | Mardi 3 Janvier 2012 à 18:01 | Marianne

    « Nicolas Sarkozy gère tout à l'affect. La contrepartie de l'affect, c'est la brutalité », a déclaré récemment Henri Guaino au Journal du Dimanche.

     

     

  • Un Maire est condamné par un procureur nommé par Nicolas 1er !

     

    CECI EST ARRIVÉ SOUS LE RÈGNE DE NICOLAS 1er  UN MAIRE A ÉTÉ CONDAMNÉ

    Ce Maire a été condamné parce qu’un procureur,  au nom de l’Etat, de M. Sarkozy,  a trouvé son geste, sa gifle,  inqualifiable.

    N'aurait-il pas pu se contenter de lui dire : " Barre-toi, pauvre con" ou "Viens-ici, viens me le dire en face" (Comme font tous les gens forcément civilisés) ? ? ?

    M, Sarkozy, en campagne puisque candidat, aurait soi-disant profité de l’occasion pour fustiger le gouvernement actuel et demandé « au nom du Peuple » un changement profond, voire sa mutation !

    Il serait aussi en train de s’entourer de l’aide de Rama Yade  injustement (trouve-t-il) rejetée par le président actuel … POUR POUVOIR, S’IL EST ÉLU, REMETTRE LA FRANCE D’APLOMB !

    Quant à M. Delebarre (Ex-ministre d’Etat, avant député du Nord et maintenant sénateur, maire de Dunkerque),  je présume que, comme pour le problème de l’amiante, il est monté au créneau !

    « Ses cheveux ont blanchi en quelques jours »

    Lorsque la reine Marie-Antoinette fut extraite de son cachot pour être guillotinée, la foule fut médusée : ses longs cheveux châtains étaient devenus blancs, en quelques jours.

    C'est ce qui est arrivé à Maurice Boisard, maire de Cousolre, une petite commune du Nord. Sa vie a basculé lorsque cet honnête homme a été traîné devant un tribunal comme un vulgaire délinquant.

    Le 24 août 2010, Maurice Boisard, élu de sa commune depuis trente ans, sans étiquette, surprend un jeune en train d'escalader le grillage entourant les bâtiments municipaux.

    Ce grillage est tout neuf. Il a coûté 10 000 euros, une somme importante pour un village de 2500 habitants. L'attitude du jeune est d'autant plus suspecte que tous les jeunes de la commune savent qu'une clé est à leur disposition pour pénétrer dans les lieux.

    Mais surtout, il se trouve que ce jeune est le chef d'une petite bande qui, depuis longtemps, empoisonne la vie des habitants.

    Selon la presse locale, ils parlent fort, tard et traficotent sous les fenêtres. Les habitants se plaignent, à tel point que le Maire a été obligé de prendre un arrêté municipal interdisant les rassemblements à certains endroits du village, comme dans les pays en guerre ! (Nous sommes pourtant dans l'Avesnois, une région rurale réputée tranquille).

    En rétorsion, les jeunes multiplient les provocations, insultes, bris de vitres, bouteilles d'alcool jetées sur la chaussée. Des tags agressifs maculent les murs de la commune un peu partout. Les vasques de fleurs sont piétinées. Les plaintes affluent au commissariat... qui est trop débordé pour réagir.

    Le Maire organise alors un voyage pour les jeunes de la commune, espérant leur montrer sa bonne volonté.

    Rien n'y fait. Le 18 juin 2010, le jeune chef de bande vient ouvertement provoquer le maire et rigoler pendant la commémoration avec les anciens combattants. Il se « met ostensiblement devant sa voiture lorsqu'il va chercher son petit-fils à la sortie de l'école communale » raconte le chroniqueur judiciaire du Monde.

    La tension est d'autant plus forte dans la commune que le prédécesseur de Maurice à la mairie de Cousolre a démissionné en 2006 après avoir été battu à coups de manche de pioche pour avoir refusé un droit de stationnement à un forain.

    Alors, ce jour-là, le maire décide de ne pas laisser passer. Il sort de la mairie et exige du jeune qu'il descende immédiatement du grillage, le menaçant de « l'emmener au poste ».

    Devant une douzaine de copains, le jeune rétorque qu'il veut aller chercher un ballon « C'est pas toi qui va m'empêcher de faire ce que je veux ». « Il m'a insulté, m'a traité de 'bâtard' » raconte le Maire. Celui-ci décide de réagir et lui administre une gifle.

    L'adolescent sort de ses gonds, les insultes pleuvent – "Fils de pute, je vais niquer ta mère, attends si t'es un homme, je vais te tuer". Mettant ses menaces à exécution, il cherche d'abord à le frapper à coup de poing, puis rentre chez lui, prend deux couteaux qu'il glisse dans ses chaussettes et revient sur la place de la mairie !!!

    Il s'en faut d'un cheveu que l'irréparable soit commis : seule l'intervention de ses « copains » permet d'éviter le drame.

    Quand les parents du jeune apprennent ce qui s’est passé, leur réaction est d'aller... porter plainte contre le Maire pour « violence ».

    Et voilà que la Justice, parfois si peu pressée de défendre les citoyens, se saisit immédiatement du dossier. Maurice Boisard se retrouve au Tribunal, à la barre des accusés.

    La scène est surréaliste : le Procureur Bernard Beffy l'accuse de s’être organisé pour pouvoir fanfaronner devant la Cour, faire parler de lui et se faire passer pour une « victime » !

    Le journaliste du Monde raconte :

     

    "Vous vouliez le tribunal, parce que vous vouliez une tribune !", lui lance le procureur. Il s'en prend avec la même agressivité aux élus – pour la plupart des maires sans étiquette de petites communes et d'autres, sympathisants ou militants du PS – venus soutenir leur collègue et à leur "corporatisme un peu primaire". Il ironise avec lourdeur : "On voudrait savoir, Cousolre, c'est Chicago des années 30 ? Heureusement que vous n'êtes pas maire de Montfermeil, Monsieur Boisard !"

     

    Et la charge continue, sur le même ton.

     

    Avez-vous mis en place un conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance ?

     

    Mais on est une commune de 2 500 habitants..., souffle le maire.

     

    Voulez-vous autoriser tous les maires de France à donner des gifles à leurs administrés, à rendre eux-mêmes la justice, à se voir confier des pouvoirs de shérif ?, poursuit le procureur.

     

    A son banc, Maurice Boisard semble sonné. La voix du procureur résonne encore dans la salle : "Vous êtes quelqu'un de bien, et à 62 ans, vous êtes d'autant moins pardonnable de vous être laissé aller à un emportement contre un jeune de 16 ans, ces jeunes auxquels notre génération laisse si peu d'espoir... La jeunesse est insolente, turbulente, mais ce n'est pas une maladie !", tonne-t-il encore avant de requérir une peine de 500 euros contre le maire.

    Deux semaines plus tard, la sanction tombe : le Tribunal a décidé d'aller plus loin encore que ne le réclamait le Procureur : non seulement il décide de condamner pénalement Maurice Boisart, qui se retrouve avec un casier judiciaire, mais il exige en plus qu'il verse 250 euros de dommages et intérêts au jeune voyou, et surtout de prendre à sa charge tous les frais de Justice !

    L'assistance n'en croit pas ses oreilles. Maurice Boisart avait cru qu'il était de son devoir de « marquer une limite aux insultes à l’homme et à la fonction qu’il représente ».

    Surtout, chacun réalise avec effroi que la Justice vient de retirer au Maire le peu d'autorité qu'il avait encore : « C'est une gifle qui coûte cher mais est-ce vraiment le plus important ? Si je suis condamné, les jeunes vont faire ce qu'ils veulent, les maires ne vont plus se retourner. On va faire jouer les assurances et puis c'est tout », déclare Maurice Boisart, ravagé. (La voix du Nord – 3 février)

    Le constat est partagé par le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile : « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier ».

    Mais surtout, ce que vous devez savoir, c'est qu'en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s'est exprimé publiquement pour défendre Maurice Boisart.

    Aucune réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.

    Le « jeune » va toucher son chèque, ses amis ricanent, Maurice Boisart est détruit. La fonction de Maire, en France, a perdu encore un peu de son prestige. D'autorité, il ne lui reste quasiment plus rien, et il est certain que, la prochaine fois qu'ils sont confrontés à des actes de vandalisme, l'ensemble des Maires de France se souviendront de ce qui est arrivé à leur collègue.

    Tout ceci est inéluctable. Mais il reste un grand espoir :

    L'affaire n'est pas tout à fait terminée. Maurice Boisart a fait appel.

    Et cette fois, nous pouvons tout changer à ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures pour le soutenir.

    Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

    Nous pouvons faire en sorte que Maurice se sache soutenu par des centaines de milliers de Français, et manifester publiquement notre réprobation la plus totale contre cette Justice-là qui marche à l'envers et qui nuit aussi directement à la paix et à la bonne entente dans notre pays.

    Notre mobilisation commune, si elle est massive, changera complètement l'état d'esprit de Maurice Boisart. D'homme seul, abandonné de tous, il passera au statut de héros d'une cause qui nous appartient à tous.

    L'Institut pour la Justice vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Maurice Boisard, et à la faire signer par tout votre entourage.

    Cela ne vous demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret de réparer, au moins partiellement, la bêtise et l'agressivité déplacée de ce fonctionnement-là de la Justice

    S'il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu'ici, faites ce geste simple de signer la déclaration officielle de soutien au maire de Cousolre.

    Alors merci de soutenir notre ami Maurice Boisart en signant maintenant la pétition (cliquer ici). C'est une question d'élémentaire justice et équilibre. C'est aussi une question d'honneur.

    Un grand merci,

    Laurence Havel
    secrétaire nationale

    Pour signer la pétition de soutien : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/

     

     

    Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
    www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.f

    (J’ai signé … : Un grand merci pour votre soutien !)

    Grâce à votre signature, Maurice Boisart sera conforté de votre soutien et de celui de milliers de Français, choqués, comme vous par le fonctionnement de la Justice.

    Pour amplifier notre mobilisation, n'oubliez pas de transmettre le message et la pétition à tout votre carnet d'adresse en leur envoyant le lien suivant : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/petition.html

    Nous comptons sur vous pour le faire dès maintenant.


    Vous pouvez aussi soutenir notre association si vous le souhaitez.

    L'Institut pour la Justice ne reçoit aucune aide de l’Etat ni subvention ; notre force vient uniquement de nos bienfaiteurs et des dons qu’ils nous envoient librement pour :

    1. informer et sensibiliser le grand public,
    2. préparer des réformes avec des juristes professionnels,
    3. défendre les victimes,
    4. agir auprès des décideurs politiques pour changer les lois.


    Ce dernier point, fondamental, nécessite notamment de développer un réseau d’experts, d’assurer une présence permanente auprès des médias et d’organiser des rencontres, groupes de travail et colloques.

    Un grand merci pour votre aide.

    Maire condamné pour avoir giflé un ado : Les élus en colère

    Faits divers  France soir

    Publié le 17 février 2012 à 19h25
    Mis à jour le 17 février 2012 à 20h12

    La condamnation vendredi du maire de Cousolre, dans le Nord, pour avoir giflé un adolescent rebelle en 2010 a suscité l'indignation de l'Association des maires de France et relancé le débat sur la responsabilité des élus.

    Le maire de Cousolre pose aux côtés d'une trentaine d'élus venus le soutenir, devant le palais de justice d'Avesnes-sur-Helpe AFP/FRANCOIS NASCIMBENI

    Un maire a-t-il le droit de gifler l'un de ses administrés ? A cette question, le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe a répondu non.

    L'élu a, en effet, été reconnu coupable de faits de violence par personne dépositaire de l'autorité publique sans incapacité. Lors de l'audience, le procureur avait requis une amende de 500 euros. Maurice Boisart a également été condamné à 250 euros de dommages et intérêts, ainsi qu'au paiement des frais de justice de la partie plaignante. Il a maintenant dix jours pour faire appel.

    L'élu se dit "très blessé"

    Les faits remontent au mois d'août 2010. Maurice Boisart, 62 ans, avait alors giflé un adolescent de 16 ans, alors que ce dernier escaladait un grillage pour récupérer un ballon tombé dans un terrain communal. Selon le maire, qui a déjà été confronté au jeune homme à plusieurs reprises, celui-ci aurait proféré des menaces de mort après l'avoir insulté.

    Dans son costume noir tranchant avec ses cheveux qu'il affirme blanchis à cause de l'affaire, Maurice Boisart est ressorti « très blessé » de la courte audience au cours de laquelle le juge a rejeté son argument de légitime défense. « Je me sens un peu lésé car je suis persuadé que j'étais dans le cadre d'une légitime défense. On va en discuter avec mon conseil municipal, mes amis, savoir si on fait appel ou pas, parce que je ne suis pas satisfait de la décision », a déclaré le maire. Le juge a relevé une disproportion entre les provocations et la réaction de l'élu dans cette affaire, qui a rapidement pris un tournant symbolique autour de la responsabilité des maires. Le maire de la commune avait précédemment refusé l'amende de 600 euros proposée dans le cadre du plaider-coupable, afin de bénéficier d'un procès public.

    Les incivilités envers les maires se multiplient

    La puissante Association des maires de France (AMF) a immédiatement apporté son soutien à Maurice Boisart. Dans un communiqué, le président Jacques Pélissard (UMP), dit craindre « que cette décision n’encourage les actes d’incivilités, d’insultes, voire d’agressions envers des maires. Celles-ci se multiplient depuis plusieurs années et sont, hélas, trop rarement suivies de poursuites pénales ».

    Le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile, venu en soutien au tribunal, était également très remonté. « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier », s'est-il offusqué.

    AVB (Amusez-Vous Bien) en attendant la fin de cette Civilisation religieuse ! L'arrivée d'une nouvelle Ere !

    Intéressant : A consulter sur Internet "Les arbres de l'évolution" (De matheux et scientifiques ayant utilisé les fractales ...)

    Voir aussi dans le journal du Monde du 29/02/12 : « Plus on est riche, moins on a de morale » ou sur Internet un article de titre : Une raison de plus pour prédire la fin de civilisation !

    Xyzabcd !