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Blog - Page 132

  • Nicolas Sarkozy, son profil. Et ses 10 regrets selon Planet.fr

     

    Pour lui, il  suffit  d’écouter ce que lui communique son dieu particulier, c. à d. de suivre son instinct et son intuition !

    C’est ce qu’il a déclaré à M. Onfray en lançant : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ». !

    Effectivement, il n’a pas menti aux Français(es) ! Il fonce !

    Même M. Guaino le dit : Sarkozy est brutal. Philippe Bilger - Blogueur associé | Mardi 3 Janvier 2012 à 18:01 | Marianne  « Nicolas Sarkozy gère tout à l'affect. La contrepartie de l'affect, c'est la brutalité », a déclaré récemment Henri Guaino au Journal du Dimanche.

    Il a l’âme d’un avocat, d’un comédien, d’un manipulateur de théâtre.

    Au moment où il joue, il s’identifie au personnage … Bien sûr, il est capable de changer de vérités au fil de l’aventure … ! Il ne se contredit donc pas mais ses vérités sont temporaires !

    Depuis son entrée en campagne, il se présente comme le candidat du peuple, des pauvres, déplore l’état du pays, promet de le redresser ! Un schizophrène ne serait guère mieux ! Mais en tant que bateleur d’estrade, tout est permis ! Il a dû recevoir des conseils de Me Morano !

    Les 10 regrets de Nicolas Sarkozy (Planet.fr)

    Le 29/02/2012 - Jeanne Gervais

    Réagissez !

    Le président sortant, candidat à sa réélection, a amorcé un début de mea culpa lors de son passage au JT de France 2 face à David Pujadas le 22 février dernier.

    Retour sur les mauvais choix - reconnus mais pas toujours assumés - de Nicolas Sarkozy.

    Le dîner au Fouquet’s

    C’est sans doute le regret le plus clairement exprimé du président de la République. Le soir de son élection, le candidat élu fête sa victoire au Fouquet’s, restaurant chic et bourgeois situé sur les Champs-Elysées, à Paris (6/5/2007). Mauvaise idée : médias et opinion publique ne lui pardonneront pas, tant pour le symbole qu’en raison de la présence des certaines personnalités. Parmi elles, Bernard Arnault (7e fortune du monde), Martin Bouygues, Serge Dassault ou encore Vincent Bolloré. Une image bien loin du candidat du peuple, reflétant une forme de connivence peu appréciée entre hommes politiques et grands patron.

    A la fin du mois de février 2012, sur le plateau de la grande messe du 20 heures de France 2, Nicolas Sarkozy déclarera en bégayant que "si c'était à refaire" il ne "reviendrait" pas au Fouquet's. Une façon d’éteindre la polémique… près de cinq ans plus tard.

    La diversité au gouvernement

    C’était l’une de ses grandes idées. Alors que peu de place est faite aux Français d’origine immigrée dans la vie publique, Nicolas Sarkozy affiche dès son élection une vraie volonté de composer un gouvernement représentatif de la population française. Il choisit Rama Yade aux Droits de l’Homme, Fadela Amara à la Politique de la ville et surtout Rachida Dati à la Chancellerie, première personnalité politique née de parents immigrés maghrébins à occuper des fonctions régaliennes dans un gouvernement français.

    Mais les boulettes se multiplient et, entre les déclarations choc, les réformes incomprises, les couacs de communication et les réactions racistes d’une partie de la droite elle-même, la diversité au sommet de l’Etat est rapidement mise à mal. En témoignent les limogeages qui suivront. Seul vestige de cette intention plus que louable : Jeannette Bougrab - secrétaire d'Etat à la Jeunesse et à la Vie associative - et Nora Berra - secrétaire d'État chargée de la Santé - qui brillent par leur discrétion, tout en continuant d’être malmenées par nombre de responsables UMP.

    François Fillon

    Le choix de Nicolas Sarkozy de nommer François Fillon comme premier Ministre est dans un premier temps judicieux. Ce juriste de formation, plusieurs fois ministre et solidement ancré dans le département de la Sarthe depuis 30 ans, est une ancienne figure du gaullisme, rassurante pour une partie de l’électorat de droite. Pourtant, le choix de François Fillon à la tête du gouvernement se révèlera un trop bon choix. Car lorsque la popularité de Nicolas Sarkozy s’effondre, celle de son premier Ministre reste stable et parfois… augmente. Alors que le premier souffre de son image bling-bling, le second cultive son côté rural et travailleur. Or dans la Ve République, c’est généralement l’inverse : le Président prend de la hauteur et le premier ministre, les coups.

    Lorsque Nicolas Sarkozy réalise son erreur, c’est trop tard : en octobre 2011, alors que tous les observateurs pressentent son départ, François Fillon arrive à conserver son poste malgré les nombreux prétendants. Une victoire personnelle, et une longévité à ce poste qui le place juste derrière le gaulliste Georges Pompidou (premier Ministre d'avril 1962 à juillet 1968) et à égalité avec le socialiste Lionel Jospin.

    L’ouverture à gauche

    L’une des autres fausses bonnes idées de Nicolas Sarkozy. Désireux de montrer que le clivage idéologique gauche/droite n’est pas toujours pertinent, le président de la République n’hésite pas, dès son élection, à piocher des recrues dans le camp opposé : chez les socialistes d’abord, avec la nomination de Bernard Kouchner, d’Eric Besson et de Jean-Pierre Jouyet ; puis dans la société civile, avec la nomination de Martin Hirsch, ancien président d'Emmaüs France, qui devient Haut-commissaire à la Jeunesse.

    Si l’idée séduit au début, elle se retourne assez rapidement contre son initiateur. Mal acceptés par la majorité présidentielle, parfois violemment critiqués, Bernard Kouchner et Martin Hirsch "partiront" en 2010. Nicolas Sarkozy réitèrera pourtant l’opération en nommant Frédéric Mitterrand ministre de la Culture. Un choix qu’il aurait, selon les mauvaises langues, regretté très tôt… et qu’il n’est plus prêt à refaire.

    Le bouclier fiscal

    En termes d’économie, le président de la République a rapidement dessiné ce qui serait sa ligne conductrice. Parmi ses mesures-phares, Nicolas Sarkozy défend le bouclier fiscal, un ensemble de dispositions visant à jouer le rôle de "garde-fou" du système, réduire une imposition excessive et dans le même temps diminuer l’évasion des capitaux privés. Pour ses détracteurs, c’est avant tout un moyen de diminuer la taxation des plus hauts revenus. Montré du doigt pour son coût et son inefficacité, le bouclier fiscal devient surtout le symbole d’une politique injuste qui ne sert que les riches.

    Le bling-bling

    Le Fouquet’s n’est pas le seul épisode que Nicolas Sarkozy regrette profondément. A force de trop vouloir incarner cette droite décomplexée, où l’argent n’est plus un tabou ni la richesse une honte, le président de la République s’enfonce malgré lui dans une caricature désastreuse. Rolex au poignet, lunettes de soleil de marque sur le nez, vacances sur le yacht de luxe d’un ami patron… Des signes ostentatoires qui persuadent nombre de Français que leur président est bien loin de leurs préoccupations quotidiennes et de l’augmentation de leur pouvoir d’achat.

    Nicolas Sarkozy regrettera ces faux-pas qui l’éloignent durablement de l’électorat populaire. Mais il a retenu la leçon : c’est un candidat tout en sobriété qui mène aujourd’hui sa deuxième campagne présidentielle.

    Le soutien à Balladur

    En 1995, le protégé du couple Chirac fait l’un de ses plus mauvais choix, autant sur le plan personnel que professionnel : en apportant son soutien à Edouard Balladur, alors candidat à l’élection présidentielle, celui qui est maire de Neuilly s’isole des chiraquiens et met ses ambitions au placard. Bien mal lui en a pris : lorsque Jacques Chirac accède à la magistrature suprême, son "dauphin" est durablement écarté de la vie politique jusqu’à son véritable retour en grâce en 2002.

    Si aujourd’hui cette période semble bien loin, l’ombre de l’affaire Karachi et donc celle d’Edouard Balladur plane de nouveau sur Nicolas Sarkozy, dont le nom est régulièrement évoqué dans cette affaire de financement occulte présumé. Un véritable boulet que risque de traîner encore quelque temps le président sortant.

    L’EPAD

    En octobre 2009, plusieurs médias annoncent que Jean Sarkozy, deuxième fils du président, pourrait accéder à la présidence de l'Etablissement public pour l'aménagement de la région de la Défense (EPAD). Sans diplôme universitaire ni expérience professionnelle, seulement âgé de 23 ans à l’époque, Jean Sarkozy est brocardé par les observateurs, l’opposition et même la presse étrangère qui n’hésite pas à parler de népotisme. Les retombées de l’affaire de l’EPAD sont catastrophiques pour le président Sarkozy, ardent défenseur du "mérite républicain", et nombreux sont ceux, y compris à l’UMP, qui grincent des dents.

    C’est sur le plateau de France 2, face à David Pujadas - d’aucuns y verront une coïncidence - que Jean annoncera renoncer à ce poste (22/10/2009). A travers les mots du fils, on devine le mea culpa du père : "Je n'accepte pas que ce soupçon de favori, de passe-droit ou de traitement de faveur puisse peser" déclarera le jeune homme.

    Le discours de l’homme africain

    Lors d’un passage à Dakar (Sénégal), quelques mois seulement après son élection, Nicolas Sarkozy prononce un discours ayant suscité une immense polémique (26/7/2007). Il y déclare notamment que "l’homme africain" ne serait pas "assez entré dans l’histoire" car dans son imaginaire, "il n’y a pas de place ni pour l’aventure humaine, ni pour l’idée de progrès" et que "jamais il ne s’élance vers l’avenir". Ecrites par le conseiller de l'Elysée Henri Gaino, ces considérations historico-philosophiques resteront dans les annales de la maladresse et de l’incompréhension.

    Par la suite, Nicolas Sarkozy se gardera de prononcer ce type de phrases ambiguës, du moins sur ce sujet. Un an plus tard, dans une tribune accordée au journal Le Monde, Henri Gaino précisera : "L’homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire. Nulle part il n'est dit que les Africains n'ont pas d'histoire. Tout le monde en a une."

    Clearstream

    Nicolas Sarkozy a gagné un face à face politique : celui engagé avec Dominique de Villepin, éclaboussé par l’affaire Clearstream - qui a pour origine un scandale financier compromettant de nombreuses personnalités politiques - et qui empêche ce dernier de se présenter à l’élection présidentielle de 2007. Mais l’ancien premier Ministre est relaxé, en première instance et en appel.

    Dans ce véritable feuilleton politico-judiciaire, c’est un véritable désastre en termes d’images : Nicolas Sarkozy apparaît comme un homme mesquin et revanchard, qui avait promis à Villepin de le "pendre à un croc de boucher". Aujourd’hui, son ennemi juré est candidat à l’élection présidentielle. Une véritable épine dans le pied du président de la République.

    Les qualités d’un président de la République sont-elles de ce type ?

    J’en doute ! Très peu pour moi.

    Je ne cherche pas un président à la de Funès, à la Canteloup (V. le faux mea-culpa à la TV !), qui se fait adoubé à Rome par le pape en compagnie probablement du futur prix Nobel de philosophie humoristique : J.-M. Bigard.

     -N’a-t-il pas envoyé sa sous-papesse, Me 9500 euros, sa « Bombe atomique », la Mère Boutin, sur un plateau TV pour quasiment insulter Me Sébire -cette mère de famille atteinte d'une tumeur incurable qui réclamait à la justice le droit de mourir- en se déclarant « scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme » … alors que la France entière était témoin de la souffrance de cette personne mais aussi de son intelligence et de sa dignité dans le malheur. (V. Wikipedia)

     N’avait-elle pas l’air à ce moment, avec ses grosses lunettes, son rictus de haine, d’une chef de l’Inquisition rêvant d’en découdre, de torturer pour la bonne cause ? !

     -N’a-t-il pas sélectionné un expert de la jésuitique, M. Leonetti, pour « pondre » la loi la plus hypocrite possible ? ! ! !

     Et comme les dettes de l’État s’accentueront encore, les centres de soins palliatifs seront « toujours plus » déficients, insuffisants en nombre, sans un budget suffisant pour mener correctement leur tâche ! Et les mourants(e)s agoniseront pendant des heures ou jours !

    -N’a-t-il pas promis au pape que jamais il ne légaliserait l’euthanasie !

    N’est-il pas préférable d’être un chien ou un chat de bonne famille pour avoir le droit de mourir dans la dignité ? ! Au 21ème siècle ! En France ! Parce qu’on a affaire à un DROGUÉ DE DIEU !

     Reste à savoir si la Français(es) accepteront de réélire un assassin de Socrate ! Un bourreau spécialisé dans les souffrances des mourant(e)s

    Il faudra attendre le changement d’ère pour que « l’homme vrai » dispose du droit de disposer de son corps et de la durée de son séjour terrestre, puisse partir DIGNEMENT !

    Et tout cela parce que des soi-disant intellectuel(le)s et politicien(ne)s sont aussi fermés que ceux de l’Eglise du Moyen-âge !

    En 2005, n’a-t-on pas démontré que notre génome se différenciait de celui du chimpanzé d’environ 1 % ? !

    Nonobstant la valeur de cette preuve, M. Sarkozy et sa Cour continuent à croire que « l’homme a été créé à l’image de Dieu » (V la parabole de la Bible Genède  Ch. 9.6) en dévaluant Dieu en  toute inconscience puisque en le réduisant à l’état d’homo sapiens, c. à d. à une sorte de bonobo boosté (côté sexuel) et chimpanzé super agressif au niveau social !

    Xyzabcd

  • DIEU vient de signaler à M. Sarkozy qu’il fallait sévir, notamment chez les pauvres !

     

    Il a déclaré en 2007, avant le face-à-face, devant M. Onfray (Le philosophe) : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ». (Voir Internet) Et bizarrement, personne n’a répliqué ! Ni Me Royal … !

    Ce qui signifie : Dieu indique le bon chemin ! Il suffit d’écouter son instinct et son intuition !

    Il a couru se faire adouber à Rome par le pape (En compagnie, bien sûr, probablement du futur prix Nobel de la littérature-philosophie-humour : M. J.-M. Bigard ! Même la sous papesse, Me Boutin -La Dame 9500euros et bombe atomique-, M. Luc Ferry -L’unique retraité miraculeux d’université n’ayant jamais exercé-, n’ont pas bénéficié de ce privilège !)

    ***Aujourd’hui, il a donné des ordres aux procureurs (Ou il leur a laissé entendre qu’il serait bien de … !) de « serrer » les petits délits qui sont « toujours plus » nombreux !

     « Fausses déclarations de vol de portables : deux nouveaux Boulonnais poursuivis »

    Jeudi 01.03.2012, 05:08 - La Voix du Nord

    En faisant ces fausses déclarations, les fraudeurs espèrent toucher l'assurance qui, souvent, ne fonctionne qu'en cas de vol.

    |  ESCROQUERIE |

    Voilà une arnaque qui a la cote depuis plusieurs mois. Les fausses déclarations ... de vol de téléphones portables se multiplient dans les commissariats et les brigades de gendarmerie. Deux nouveaux cas viennent d'être démasqués par les policiers boulonnais. Il s'agit d'une Boulonnaise, mère de famille, âgée de 20 ans et d'un Saint-Léonardois de 31 ans. Des personnes « ordinaires » qui n'ont jamais eu affaire à la justice. Elles ont porté plainte en déclarant s'être fait voler leur téléphone dans la rue. Mais les investigations ont prouvé que les faits n'étaient pas avérés. Les deux plaignants avaient probablement cassé leur portable et cherchaient à se le faire rembourser, certaines assurances ne couvrant que les « vols à l'arraché ».

    Poursuites systématiques

    Les deux fraudeurs ont été convoqués au commissariat et sont ressortis, pour la première, avec une mesure de « composition pénale » et, pour le second, d'une convocation devant le tribunal correctionnel. « Le parquet a décidé de poursuivre systématiquement les contrevenants, sans faire de rappels à la loi », prévient Barbara Wetzel, commissaire centrale de Boulogne.

    Car les fausses déclarations sont devenues monnaie courante face au coût élevé des smartphones et à leur relative fragilité. Mais les enquêtes qui s'ensuivent mobilisent inutilement les moyens de la police et de la justice. « Les réquisitions délivrées par le parquet coûtent cher », précise la responsable du commissariat. La justice doit en effet payer des droits d'accès aux données des opérateurs téléphoniques pour tenter de retrouver la trace du téléphone soi-disant volé.

    Mieux vaut le savoir : la dénonciation mensongère d'un tel délit est passible - en théorie - d'une peine de six mois de prison et de 7 500 E d'amende. Les contrevenants sont clairement prévenus dès lors qu'ils signent le document administratif destiné à bloquer le téléphone volé, au moment du dépôt de plainte. •

    De SYLVAIN DELAGE

    M. Sarkozy vient d’être encore trahi ! ET IL N’AVAIT PAS ENCORE LU « PLUS ON EST RICHE, MOINS ON A DE MORALE » (LE MONDE 29/02/12) !

    Eh oui, Son Dieu l’a donc encore trompé « à l’insu de son plein gré » !

    Cela étant, entre Riches et pauvres, M. Sarkozy et la Justice ont choisi et décidé de sévir ! Votez pour lui !

    Eh oui ! Ils sont pauvres et en plus ils trichent ! Scandaleux ! Mais où va-t-on ? !

     Xyzabcd

    N. B. Ne croyez pas que l'histoire de Dieu soit un épiphénomène !

     

    Même Guaino le dit : Sarkozy est brutal. Philippe Bilger - Blogueur associé | Mardi 3 Janvier 2012 à 18:01 | Marianne

    « Nicolas Sarkozy gère tout à l'affect. La contrepartie de l'affect, c'est la brutalité », a déclaré récemment Henri Guaino au Journal du Dimanche.

     

     

  • Un Maire est condamné par un procureur nommé par Nicolas 1er !

     

    CECI EST ARRIVÉ SOUS LE RÈGNE DE NICOLAS 1er  UN MAIRE A ÉTÉ CONDAMNÉ

    Ce Maire a été condamné parce qu’un procureur,  au nom de l’Etat, de M. Sarkozy,  a trouvé son geste, sa gifle,  inqualifiable.

    N'aurait-il pas pu se contenter de lui dire : " Barre-toi, pauvre con" ou "Viens-ici, viens me le dire en face" (Comme font tous les gens forcément civilisés) ? ? ?

    M, Sarkozy, en campagne puisque candidat, aurait soi-disant profité de l’occasion pour fustiger le gouvernement actuel et demandé « au nom du Peuple » un changement profond, voire sa mutation !

    Il serait aussi en train de s’entourer de l’aide de Rama Yade  injustement (trouve-t-il) rejetée par le président actuel … POUR POUVOIR, S’IL EST ÉLU, REMETTRE LA FRANCE D’APLOMB !

    Quant à M. Delebarre (Ex-ministre d’Etat, avant député du Nord et maintenant sénateur, maire de Dunkerque),  je présume que, comme pour le problème de l’amiante, il est monté au créneau !

    « Ses cheveux ont blanchi en quelques jours »

    Lorsque la reine Marie-Antoinette fut extraite de son cachot pour être guillotinée, la foule fut médusée : ses longs cheveux châtains étaient devenus blancs, en quelques jours.

    C'est ce qui est arrivé à Maurice Boisard, maire de Cousolre, une petite commune du Nord. Sa vie a basculé lorsque cet honnête homme a été traîné devant un tribunal comme un vulgaire délinquant.

    Le 24 août 2010, Maurice Boisard, élu de sa commune depuis trente ans, sans étiquette, surprend un jeune en train d'escalader le grillage entourant les bâtiments municipaux.

    Ce grillage est tout neuf. Il a coûté 10 000 euros, une somme importante pour un village de 2500 habitants. L'attitude du jeune est d'autant plus suspecte que tous les jeunes de la commune savent qu'une clé est à leur disposition pour pénétrer dans les lieux.

    Mais surtout, il se trouve que ce jeune est le chef d'une petite bande qui, depuis longtemps, empoisonne la vie des habitants.

    Selon la presse locale, ils parlent fort, tard et traficotent sous les fenêtres. Les habitants se plaignent, à tel point que le Maire a été obligé de prendre un arrêté municipal interdisant les rassemblements à certains endroits du village, comme dans les pays en guerre ! (Nous sommes pourtant dans l'Avesnois, une région rurale réputée tranquille).

    En rétorsion, les jeunes multiplient les provocations, insultes, bris de vitres, bouteilles d'alcool jetées sur la chaussée. Des tags agressifs maculent les murs de la commune un peu partout. Les vasques de fleurs sont piétinées. Les plaintes affluent au commissariat... qui est trop débordé pour réagir.

    Le Maire organise alors un voyage pour les jeunes de la commune, espérant leur montrer sa bonne volonté.

    Rien n'y fait. Le 18 juin 2010, le jeune chef de bande vient ouvertement provoquer le maire et rigoler pendant la commémoration avec les anciens combattants. Il se « met ostensiblement devant sa voiture lorsqu'il va chercher son petit-fils à la sortie de l'école communale » raconte le chroniqueur judiciaire du Monde.

    La tension est d'autant plus forte dans la commune que le prédécesseur de Maurice à la mairie de Cousolre a démissionné en 2006 après avoir été battu à coups de manche de pioche pour avoir refusé un droit de stationnement à un forain.

    Alors, ce jour-là, le maire décide de ne pas laisser passer. Il sort de la mairie et exige du jeune qu'il descende immédiatement du grillage, le menaçant de « l'emmener au poste ».

    Devant une douzaine de copains, le jeune rétorque qu'il veut aller chercher un ballon « C'est pas toi qui va m'empêcher de faire ce que je veux ». « Il m'a insulté, m'a traité de 'bâtard' » raconte le Maire. Celui-ci décide de réagir et lui administre une gifle.

    L'adolescent sort de ses gonds, les insultes pleuvent – "Fils de pute, je vais niquer ta mère, attends si t'es un homme, je vais te tuer". Mettant ses menaces à exécution, il cherche d'abord à le frapper à coup de poing, puis rentre chez lui, prend deux couteaux qu'il glisse dans ses chaussettes et revient sur la place de la mairie !!!

    Il s'en faut d'un cheveu que l'irréparable soit commis : seule l'intervention de ses « copains » permet d'éviter le drame.

    Quand les parents du jeune apprennent ce qui s’est passé, leur réaction est d'aller... porter plainte contre le Maire pour « violence ».

    Et voilà que la Justice, parfois si peu pressée de défendre les citoyens, se saisit immédiatement du dossier. Maurice Boisard se retrouve au Tribunal, à la barre des accusés.

    La scène est surréaliste : le Procureur Bernard Beffy l'accuse de s’être organisé pour pouvoir fanfaronner devant la Cour, faire parler de lui et se faire passer pour une « victime » !

    Le journaliste du Monde raconte :

     

    "Vous vouliez le tribunal, parce que vous vouliez une tribune !", lui lance le procureur. Il s'en prend avec la même agressivité aux élus – pour la plupart des maires sans étiquette de petites communes et d'autres, sympathisants ou militants du PS – venus soutenir leur collègue et à leur "corporatisme un peu primaire". Il ironise avec lourdeur : "On voudrait savoir, Cousolre, c'est Chicago des années 30 ? Heureusement que vous n'êtes pas maire de Montfermeil, Monsieur Boisard !"

     

    Et la charge continue, sur le même ton.

     

    Avez-vous mis en place un conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance ?

     

    Mais on est une commune de 2 500 habitants..., souffle le maire.

     

    Voulez-vous autoriser tous les maires de France à donner des gifles à leurs administrés, à rendre eux-mêmes la justice, à se voir confier des pouvoirs de shérif ?, poursuit le procureur.

     

    A son banc, Maurice Boisard semble sonné. La voix du procureur résonne encore dans la salle : "Vous êtes quelqu'un de bien, et à 62 ans, vous êtes d'autant moins pardonnable de vous être laissé aller à un emportement contre un jeune de 16 ans, ces jeunes auxquels notre génération laisse si peu d'espoir... La jeunesse est insolente, turbulente, mais ce n'est pas une maladie !", tonne-t-il encore avant de requérir une peine de 500 euros contre le maire.

    Deux semaines plus tard, la sanction tombe : le Tribunal a décidé d'aller plus loin encore que ne le réclamait le Procureur : non seulement il décide de condamner pénalement Maurice Boisart, qui se retrouve avec un casier judiciaire, mais il exige en plus qu'il verse 250 euros de dommages et intérêts au jeune voyou, et surtout de prendre à sa charge tous les frais de Justice !

    L'assistance n'en croit pas ses oreilles. Maurice Boisart avait cru qu'il était de son devoir de « marquer une limite aux insultes à l’homme et à la fonction qu’il représente ».

    Surtout, chacun réalise avec effroi que la Justice vient de retirer au Maire le peu d'autorité qu'il avait encore : « C'est une gifle qui coûte cher mais est-ce vraiment le plus important ? Si je suis condamné, les jeunes vont faire ce qu'ils veulent, les maires ne vont plus se retourner. On va faire jouer les assurances et puis c'est tout », déclare Maurice Boisart, ravagé. (La voix du Nord – 3 février)

    Le constat est partagé par le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile : « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier ».

    Mais surtout, ce que vous devez savoir, c'est qu'en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s'est exprimé publiquement pour défendre Maurice Boisart.

    Aucune réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.

    Le « jeune » va toucher son chèque, ses amis ricanent, Maurice Boisart est détruit. La fonction de Maire, en France, a perdu encore un peu de son prestige. D'autorité, il ne lui reste quasiment plus rien, et il est certain que, la prochaine fois qu'ils sont confrontés à des actes de vandalisme, l'ensemble des Maires de France se souviendront de ce qui est arrivé à leur collègue.

    Tout ceci est inéluctable. Mais il reste un grand espoir :

    L'affaire n'est pas tout à fait terminée. Maurice Boisart a fait appel.

    Et cette fois, nous pouvons tout changer à ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures pour le soutenir.

    Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

    Nous pouvons faire en sorte que Maurice se sache soutenu par des centaines de milliers de Français, et manifester publiquement notre réprobation la plus totale contre cette Justice-là qui marche à l'envers et qui nuit aussi directement à la paix et à la bonne entente dans notre pays.

    Notre mobilisation commune, si elle est massive, changera complètement l'état d'esprit de Maurice Boisart. D'homme seul, abandonné de tous, il passera au statut de héros d'une cause qui nous appartient à tous.

    L'Institut pour la Justice vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Maurice Boisard, et à la faire signer par tout votre entourage.

    Cela ne vous demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret de réparer, au moins partiellement, la bêtise et l'agressivité déplacée de ce fonctionnement-là de la Justice

    S'il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu'ici, faites ce geste simple de signer la déclaration officielle de soutien au maire de Cousolre.

    Alors merci de soutenir notre ami Maurice Boisart en signant maintenant la pétition (cliquer ici). C'est une question d'élémentaire justice et équilibre. C'est aussi une question d'honneur.

    Un grand merci,

    Laurence Havel
    secrétaire nationale

    Pour signer la pétition de soutien : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/

     

     

    Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
    www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.f

    (J’ai signé … : Un grand merci pour votre soutien !)

    Grâce à votre signature, Maurice Boisart sera conforté de votre soutien et de celui de milliers de Français, choqués, comme vous par le fonctionnement de la Justice.

    Pour amplifier notre mobilisation, n'oubliez pas de transmettre le message et la pétition à tout votre carnet d'adresse en leur envoyant le lien suivant : http://petitions.institutpourlajustice.com/maire_cousolre/petition.html

    Nous comptons sur vous pour le faire dès maintenant.


    Vous pouvez aussi soutenir notre association si vous le souhaitez.

    L'Institut pour la Justice ne reçoit aucune aide de l’Etat ni subvention ; notre force vient uniquement de nos bienfaiteurs et des dons qu’ils nous envoient librement pour :

    1. informer et sensibiliser le grand public,
    2. préparer des réformes avec des juristes professionnels,
    3. défendre les victimes,
    4. agir auprès des décideurs politiques pour changer les lois.


    Ce dernier point, fondamental, nécessite notamment de développer un réseau d’experts, d’assurer une présence permanente auprès des médias et d’organiser des rencontres, groupes de travail et colloques.

    Un grand merci pour votre aide.

    Maire condamné pour avoir giflé un ado : Les élus en colère

    Faits divers  France soir

    Publié le 17 février 2012 à 19h25
    Mis à jour le 17 février 2012 à 20h12

    La condamnation vendredi du maire de Cousolre, dans le Nord, pour avoir giflé un adolescent rebelle en 2010 a suscité l'indignation de l'Association des maires de France et relancé le débat sur la responsabilité des élus.

    Le maire de Cousolre pose aux côtés d'une trentaine d'élus venus le soutenir, devant le palais de justice d'Avesnes-sur-Helpe AFP/FRANCOIS NASCIMBENI

    Un maire a-t-il le droit de gifler l'un de ses administrés ? A cette question, le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe a répondu non.

    L'élu a, en effet, été reconnu coupable de faits de violence par personne dépositaire de l'autorité publique sans incapacité. Lors de l'audience, le procureur avait requis une amende de 500 euros. Maurice Boisart a également été condamné à 250 euros de dommages et intérêts, ainsi qu'au paiement des frais de justice de la partie plaignante. Il a maintenant dix jours pour faire appel.

    L'élu se dit "très blessé"

    Les faits remontent au mois d'août 2010. Maurice Boisart, 62 ans, avait alors giflé un adolescent de 16 ans, alors que ce dernier escaladait un grillage pour récupérer un ballon tombé dans un terrain communal. Selon le maire, qui a déjà été confronté au jeune homme à plusieurs reprises, celui-ci aurait proféré des menaces de mort après l'avoir insulté.

    Dans son costume noir tranchant avec ses cheveux qu'il affirme blanchis à cause de l'affaire, Maurice Boisart est ressorti « très blessé » de la courte audience au cours de laquelle le juge a rejeté son argument de légitime défense. « Je me sens un peu lésé car je suis persuadé que j'étais dans le cadre d'une légitime défense. On va en discuter avec mon conseil municipal, mes amis, savoir si on fait appel ou pas, parce que je ne suis pas satisfait de la décision », a déclaré le maire. Le juge a relevé une disproportion entre les provocations et la réaction de l'élu dans cette affaire, qui a rapidement pris un tournant symbolique autour de la responsabilité des maires. Le maire de la commune avait précédemment refusé l'amende de 600 euros proposée dans le cadre du plaider-coupable, afin de bénéficier d'un procès public.

    Les incivilités envers les maires se multiplient

    La puissante Association des maires de France (AMF) a immédiatement apporté son soutien à Maurice Boisart. Dans un communiqué, le président Jacques Pélissard (UMP), dit craindre « que cette décision n’encourage les actes d’incivilités, d’insultes, voire d’agressions envers des maires. Celles-ci se multiplient depuis plusieurs années et sont, hélas, trop rarement suivies de poursuites pénales ».

    Le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord, Benjamin Saint-Huile, venu en soutien au tribunal, était également très remonté. « La sanction financière, on s'en moque (..). Le symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire ne considérera pas que vous avez un statut particulier », s'est-il offusqué.

    AVB (Amusez-Vous Bien) en attendant la fin de cette Civilisation religieuse ! L'arrivée d'une nouvelle Ere !

    Intéressant : A consulter sur Internet "Les arbres de l'évolution" (De matheux et scientifiques ayant utilisé les fractales ...)

    Voir aussi dans le journal du Monde du 29/02/12 : « Plus on est riche, moins on a de morale » ou sur Internet un article de titre : Une raison de plus pour prédire la fin de civilisation !

    Xyzabcd !