LA « LOGIQUE », OK ! Mais celle de « l’homme vrai » ou de l’homo sapiens ? !
D’où la confusion presque permanente !
Il est vrai que chacun (Le masculin neutre sera utilisé) raisonne à chaque instant ou le prétend.
Mais, le plus souvent, en partant de « midi à sa porte », c. à d. en ne se préoccupant pas des contextes peut-être différents habitant les autres.
D’où les quiproquos, les conflits insolubles se terminant en fonction des rapports de force.
Les résolutions des grèves au cours des siècles constituent d’excellentes illustrations !
*Il ne s’agit pas ici d’approfondir inutilement un débat sur ce thème dans la mesure où les deux dites logiques n’en sont pas réellement (au sens mathématique parce que ne se préoccupant suffisamment des préalables indispensables pour assurer une cohérence interne ...) et, en plus, ne sont pas de même dimension !
Il est facile de démontrer que je ne suis pas un « homme vrai » puisque une expression « La dignité humaine » (Un ensemble de deux mots ne pouvant être séquencés sans perdre leur signification !) permet de distinguer les deux catégories, voire espèces (en imaginant ce que pourraient être les moutures qui vivront dans la civilisation suivante).
(A noter en passant que la nôtre est « toujours plus » en train de s’effondrer et arrivera à terme probablement nettement avant la fin du siècle comme le prévoyait M. André Malraux dans sa phrase « Le 21ème siècle sera spirituel ou ne sera pas » si on interprétait « spirituel » par « néocortical », en opposition avec le « raisonnement » du « cerveau des émotions » selon un processus « analogique » et non pas « analytique »)
* « L’Homme vrai » n’accepte de vivre que dans la « dignité » parce que plaçant en avant le « néocortex » et donc « l’analyse » !
*Inversement, « l’homo sapiens » dont le cerveau est gouverné en priorité par le « cerveau des émotions » (à la recherche, entre autres, du plaisir) et le « cerveau reptilien » (et son instinct de survie !), est prêt à tout, à toute trahison, pour demeurer en vie !
*Je ne suis donc pas un « homme vrai » puisque je ne suis pas décédé (par ex.) suite à grève de la faim entamée pour obtenir la fermeture immédiate des prisons « indignes » ! Puisque je n’ai pas été exécuté par une garde royale ou spéciale d’un pays du sud corrompu où j’étais en train de protester pour réclamer 1) l’institution des Droits de l’Homme, 2) des Droits de la Femme équivalents à ceux des hommes !
Cela précisé, voilà tout simplement un exemple merveilleux trouvé dans un journal et concernant la monde politique, nos élus ! (Ici, les Verts !)
On savait déjà que M. Darcos était incapable d’effectuer une règle de trois élémentaire dans une école primaire (V. le reportage TV !), que M. Le Maire ne savait pas convertir un hectare en m², que M. Besancenot refusait de répondre à la question 9x8, etc. !
***Consulter sur Internet le titre : « Une sénatrice écologiste se plaint de sa "situation financière" » Le Monde.fr 22/07/11 Ci-joint un extrait !
Se confinant dans son petit RÉFÉRENTIEL PRIVILÉGIÉ, sûre d’elle, en toute bonne foi, elle ose écrire au ministre pour obtenir réparation ! Pour elle, le scandale n’est pas loin !
ELLE DÉVELOPPE SA LOGIQUE ! ! ! Et Les VERTS ne l’ont pas exclue ! ! !
… Mme Boumediene-Thiery fait ensuite le point sur sa situation financière, dont elle estime qu'elle a été "mal évaluée". "Si mes revenus de sénatrice sont effectivement de l'ordre de 5 000 euros, je reverse chaque mois 1 200 euros au parti politique auquel j'appartiens", argue-t-elle. Elle évoque également "un crédit immobilier à hauteur de 1 500 euros, frais auxquels s'ajoutent des charges fixes". Et conclut : "In fine je dois vivre avec près de 2 000euros et ainsi subvenir aux besoins de mon fils et de ma mère, qui est entièrement à ma charge."
La sénatrice est quelque peu approximative dans ses calculs. Un sénateur perçoit en effet une indemnité parlementaire "de base" de 5 514 euros bruts, auxquels s'ajoutent une indemnité de résidence de 165 euros, et une indemnité de fonction de 1 420 euros. L'indemnité nette est de 5 405,76 euros par mois.
Mais ce n'est pas tout. Chaque sénateur perçoit en plus une indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), destinée à "couvrir les frais inhérents à l'exercice des fonctions parlementaires", mais sans nécessité de fournir de justificatif. "Cette indemnité mensuelle s'élève à 6 240,18 euros nets au 1er juillet 2011. Elle n'est pas soumise à l'impôt sur le revenu", peut-on lire sur le site du Sénat.
Mme Boumediene-Thiery dispose donc non de 5 500 euros mensuels, comme elle l'affirme, mais bien d'un revenu de 11 645,94 euros par mois.
AVANTAGES NOMBREUX
Même en ôtant les 1 200 euros qu'elle reverse à sa formation politique et les 1 500 euros d'emprunt immobilier dont elle s'acquitte, il reste donc à la sénatrice 8 945,94 euros mensuels et non 2 000 euros. Ce qui paraît suffisant pour "subvenir aux besoins" de sa famille.
Par ailleurs, les sénateurs ne croulent pas sous les frais. Ils disposent ainsi d'un accès gratuit et illimité à l'ensemble du réseau SNCF, en 1re classe. Ils peuvent effectuer quarante allers-retours aériens par an si leur circonscription est éloignée de Paris. En outre, frais de taxi ou de péage leur sont remboursés. Ajoutons que le Sénat dispose d'un vaste parc de véhicules avec chauffeur.
Chaque élu de la Haute Assemblée peut aussi accéder à des prêts "d'aide au logement ou pour l'acquisition d'un local à usage de bureau ou de permanence, en région parisienne ou dans leur circonscription". Ceux-ci sont à un taux moyen de 2 %, précise le site du Sénat, soit largement moins que ce qu'offrent les banques. Ils ne cotisent pas à la sécurité sociale, mais à une caisse particulière aux sénateurs, qui fait également office de mutuelle. Ils cotisent également à leur propre régime de retraite. Toujours selon le site du Sénat, "la pension mensuelle moyenne de retraite d'un sénateur, hors majoration pour enfants, était au 1er juillet 2011 de 4 442 euros nets".
La sénatrice termine sa lettre en évoquant la précarité de sa situation. "N'étant pas certaine d'être reconduite dans mon mandat sénatorial au mois de septembre, je risque de me retrouver sans revenus", explique-t-elle. Qu'elle se rassure : tout sénateur non réélu peut prétendre à une allocation d'aide au retour à l'emploi, versée de manière dégressive durant six semestres, donc trois ans. Si elle n'est pas réélue, Mme Bouemediene-Thiery ne sera donc pas "sans revenus".
C. Q. F. D. ! ! ! N’est-ce pas, au 21ème siècle, renversant ? ! ET SIGNIFICATIF puisque nous sommes gouvernés par « ces gens là » (dirait Jacques Brel) ? !
Dans ce registre, j’ai omis d’évoquer LA LOGIQUE de notre président de la République actuel, M. SARKOZY, qui a pris la précaution de déclarer, quelques semaines avent le scrutin, à un philosophe, M. Onfray : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même »
A chacun de déduire ce que signifie ce principe !
Sous-entendait-il que le meilleur moyen d’utiliser efficacement un appareil hyper sophistiqué était de ne pas disposer du mode d’emploi ? !
Ou se considère-t-il que l’homo sapiens est guidé par Dieu ? !