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cerveau des émotions - Page 15

  • Si la MORT n’existait pas, où rangerait-on ces 106 milliards d’individus ? !

    (Ou 80 milliards pour d’autres)
    Sans parler des animaux, végétaux !

    Ne serait-ce pas la peur de la mort ? C. à d. la prééminence du cerveau reptilien et de l’instinct de survie ? !

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    (Pour les internautes au cas où …) Nous nous distinguons des autres mammifères par la constitution un peu plus complexe du cerveau, par l’ajout du « néocortex » aux deux composantes nommées : le cerveau reptilien et le cerveau des émotions. (V. Internet).

    Si le cerveau des émotions procède par « analogie », c. à d. en fonction de l’enregistrement et de la mémorisation plus ou moins agréable ou désagréable des divers événements vécus, seul le néocortex peut accéder à l’abstraction (Imagination, anticipation, comparaison, prise de recul, symbolisation, etc., notion de « dignité humaine »)

    1) Depuis 2005 ne sait-on pas que notre génome se différencie de celui du chimpanzé d’environ 1 % ?

    A partir de cette réalité, croire que nous sommes créés à l’image de Dieu ne devient-il pas très difficile ?

    Les valeurs du libre arbitre, de la liberté, du jugement chrétien, ne s’étiolent-elles pas ?

    Et si on regarde autour de soi, à tous les niveaux de la hiérarchie sociale, ne s’aperçoit-on pas que l’image de « bonobo boosté » n’est pas si éloignée des faits.

    En France, en 2011, une femme ne meurt-elle pas tous les 2 ou 3 jours suite à des violences conjugales ?

    Ne répertorie-t-on pas environ 75 000 viols parmi les 190 000 tentatives ?

    Marie Trintignant n’a-t-elle pas été la victime de Bertrand Cantat ?

    Et M. Dominique Strauss-Kahn d’un DXK ?

    2) Le moindre raisonnement sérieux du néocortex ne conduit-il pas à la nécessité de la mort en tant que fin de « cycle » ? ! Et à son corollaire : l’aménagement au mieux de chaque séquence du parcours de manière que le « bien-être » (qui est l’un des objectifs du cerveau des émotions) soit optimal, la « qualité » étant plus intéressante que la « quantité » ? ! (Quand on se veut « humain » et non pas une « bête » stupide, bornée, etc.)

     

    LA CONCLUSION NE S’IMPOSERAIT-ELLE PAS ? ! Pour le moment, il semblerait que non !

    Il suffit de regarder les gens discourir, discuter, ARGUMENTER, rationnaliser, théoriser, pondre des bouquins soi-disant lumineux, déprécier les autres (Comme des gosses en classe parfois !) !

    La plupart n’en sont-ils pas restés à la logique binaire scolaire basée sur l’arithmétique, la proportionnalité, la géométrie euclidienne avec ses droites idéales « croissant » continument jusqu’à l’infini ? !

    Il reste donc à attendre, à laisser le temps au temps !

    On peut aussi observer les conséquences « toujours plus » (t. p.) délétères de ce déni, de ce blocage mental, de la politique de la « fuite t. p. en avant » rationaliste vers le fantasmatique « paradis terrestre » et, d’un autre point de vue, les observations de Darwin sur le monde animal !

    Si on traduisait la citation d’André Malraux « Le 21ème siècle sera spirituel ou ne sera pas » par « sera néocortical ou s’effondrera », n’apparaîtrait-il pas comme un authentique visionnaire ?

    … … …

    Seulement dans la nouvelle Ere, l’expression « La dignité humaine » prendra un sens réel !

    Et chacun pourra décider de la durée de son séjour terrestre ! Le chien d’une bonne famille ne sera plus privilégié au niveau du départ vers l’après-vie dans la dignité, sous anesthésie !

    N. B. L’appréciation globale ne dépend que du référentiel dans lequel on se place.

    Evidemment, pour le matérialiste, la vie ne peut que se terminer par l’échec absolu !

    Pour d’autres, plus humbles, ayant évalué la limite de leur petit cerveau, ayant acté les résultats de 2005, sentant que presque tout les dépasse, « l’après-vie » devient probable en tant que rééquilibrage des injustices subies pendant toute la durée du « JEU DE LA VIE », notamment de « l’enfer du Jeu de la vie terrestre » (quand on est accro. ou addict.) où les quelques gagnants soumettent les nombreux perdants (V. la proportion 20/80 qui correspond à la loi ou distribution de Pareto … sur Internet).

    (En passant, une bizarrerie que je n’ai jamais encaissée : Alors que les scientifiques sont des matheux ayant étudié les espaces vectoriels et démontré que si on opère en dim « n », il est impossible d’entrevoir ce qui se passe en dim « n+1 », ils continuent à croire parfois qu’on pourra atteindre le paradis terrestre : « L’homme est un dieu en devenir » ! Avec les littéraires, je propose le jeu des 6 allumettes posées sur une table et leur propose de constituer 4 triangles équilatéraux ayant pour côté ces allumettes entières !)

    Dans un jeu qui fonctionne « bien », il faut nécessairement des participants ayant envie de jouer, c .à d. de gagner …, peu de gagnants et beaucoup de perdants cohabitant pacifiquement ensemble parce que liés par « l’espoir » de bien s’en sortir avec un peu de chance … !

    Comment créer un « Espace de vie » où l’on réagit parce qu’en manque, en déséquilibre, en besoin de x, y, z (Respirer, manger, boire, dormir, se chauffer, etc.) sans les conséquences (Les désirs de gagner, de vaincre, de posséder, etc. puis d’accumuler par prudence, sécurité, etc., quitte à s’approprier, éliminer les opposants, etc., avec le risque de tomber dans l’addiction !)

    La Terre, la nature, font-elles des cadeaux ?

    Les microbes, virus, etc., les animaux sauvages carnivores, les tempêtes, inondations, les séismes, les incendies, les orages et la foudre, ne renseignent-ils pas sur les conditions de survie ? !

    Donc, en tant qu’animaux, on se bat selon la « loi de la jungle » ; ou, avec l’aide du néocortex, on entrevoit d’autres perspectives …

    N’est-ce pas pour ces raisons que le système capitaliste domine ; que les révolutionnaires (ne se connaissant pas, croyant l’homo sapiens rationnel, échafaudant des plans aussi « logiques » qu’irréalistes) se plantent sans jamais en tirer la leçon ? !

    Pour finir, puisque les homo sapiens prouvent sans cesse qu’ils sont répétitifs, suivent des schémas fractals, ne doivent-ils pas bientôt disparaître (ou en grande partie) pour laisser la place à d’autres moutures plus intelligentes ? !

    En 2007, les Français ont voté pour un Monsieur ayant déclaré à M. Onfray (des semaines avant le scrutin et sans provoquer le moindre buzz) : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même », avant d’affirmer l’influence primordiale des gènes !

    Effectivement, M. Sarkozy ne ment pas : il n'écoute que son instinct et son intuition puisque Dieu lui indique le bon chemin ! "Ce n'est pas de sa faute" si Dieu lui a fait une vacherie !

    En 2011, l’affaire DSK, nulle part, n’a incité les journalistes et dits intellectuels à évoquer le rôle essentiel des 3 parties du cerveau !

    Un bilan positif, réjouissant ! Celui de l’enquête de Nottale, Chaline et Grou (en 2000) consigné dans « Les arbres de l’évolution » (Pour les lecteurs …V. Internet …)

    Cela permet d’expliquer aux parents que les enfants qui naissent actuellement auront la chance exceptionnelle de vivre en direct une fin de civilisation religieuse basée sur le cerveau des émotions et, s’ils survivent, d’être les initiateurs d’une ère nouvelle !

    Quoi de plus exaltant ? !

    Cordialement.

     

     

  • Par Schopenhauer, la recherche du bonheur gérée par le « cerveau des émotions » !

    « Relativiser avec Schopenhauer »

    Le philosophe s'est penché dans son œuvre sur cette insatiable quête du bonheur, lequel se dérobe à chaque fois qu'on croit atteindre la plénitude que l'on s'était fixée comme horizon. Petit guide de réflexion avec Céline Belloq dans son livre, "Lâcher prise avec Schopenhauer". Premier extrait.

     Le bonheur viendra demain

    Nous conjuguons le bonheur au futur, en le plaçant dans la satisfaction à venir de désirs porteurs de promesses. Par exemple, nous souhaitons pour être heureux rencontrer l’âme sœur, avoir un métier épanouissant, acquérir une maison confortable, faire des enfants, etc. Nous imaginons tous très tôt l’objet de notre bonheur, ce que nous devrons « obtenir » pour pouvoir nous dire heureux. Le bonheur nous est donc d’abord « promis » par la vie

    Nous passons souvent des années à préciser nos objectifs et à nous efforcer de les atteindre : argent, conjoint, maison, mais aussi aventures, records, exploits, etc.

    Cependant, une fois ces objectifs atteints, de nouveaux apparaissent : voyager, déménager, créer, développer de nouveaux talents, faire réussir scolairement ses enfants, avoir plus de temps pour soi, etc. Les premiers objectifs ne promettaient-ils pas pourtant un sentiment de plénitude, ne devaient-ils pas suffire à nous rendre heureux ? Apparemment pas, soit parce que la plénitude promise n’est finalement pas au rendez-vous, soit parce qu’elle n’a pas duré. Le bonheur est insaisissable, toujours à venir, semblable à une illusion d’optique. Lorsque nous nous approchons de lui, il s’évanouit pour se reconstituer aussitôt à l’horizon. Nous avançons alors d’espoir en espoir, ne nous épargnant aucun effort. Éblouis par les promesses du nouvel objectif, nous ne voyons pas la folle énergie dépensée à chaque fois. D’illusion en désillusion, nous devrions conclure que rien n’est finalement digne d’être l’objet de nos aspirations. Nos efforts vains devraient nous inspirer le plus fort dégoût : comment avons-nous pu croire que la vie pouvait être appréciée, qu’on pouvait en profiter, voire être heureux ? Au lieu de cela, nous en concluons follement que : « C’est cela vivre, aller de l’avant ! » Mais vers où ? Cette « avancée » est-elle seulement une progression vers quelque but important ?

    Elle pourrait être au fond éternelle si la mort n’y mettait un terme, car elle n’a pas de finalité : nous pouvons nous donner indéfiniment une multitude de buts, sans cohérence les uns avec les autres. Ce constat devrait nous confirmer l’absurdité d’un tel cheminement, fait de sueur et d’espoirs déçus. Mais la force d’une nouvelle illusion est à même de nous faire oublier le côté fastidieux et dérisoire de notre folle course-poursuite.

    « Voilà donc, en somme, l’enseignement que chacun retire de sa vie : c’est que les objets de ses désirs ne cessent pas d’être illusoires, inconstants et périssables, plus propres par suite à lui apporter du tourment que de la joie, jusqu’au jour où enfin le fondement même tout entier, et le terrain sur lequel ils s’élevaient tous, s’écroule, et qu’alors l’anéantissement de sa propre vie lui confirme, par une dernière preuve, que toutes ses aspirations et tout son vouloir n’étaient que folie et égarement. » (M.C.V.R., « De la vanité et des souffrances de la vie », p. 1336.)

     Questions Vitales

    Choisissez un désir récurrent chez vous (désir de nourriture, désir sexuel, désir de reconnaissance…). Voyez-vous les exigences auxquelles vous vous soumettez pour ce désir (avant, pendant et après sa réalisation) ?

     N. B ’est-ce pas ainsi que la « Société de consommation » s’est épanouie ? !

    Que la Société « Toujours plus » s’est construite et fonce t. p. vite vers la catastrophe ? !

    Ne retrouve-t-on pas  l'expression sous-entendue par H. Laborit  ou par Brel "Chez ces gens-là, on ne pense pas, … !

    Monsieur Henri Laborit ne se faisait guère d’illusions !

    Il notait dans  « Biologie et structure » (P. 90 Idées NRF) :

    La vraie mutation, le début de l’ère nouvelle que certains nous chantent, apparaîtra le jour où le stade de l’homo faber que nous n’avons point encore dépassé, même complété par celui de sa symbiose avec l’homo mercantilis qui domine actuellement la planète, fera place au stade de l’homo sapiens que nous n’avons pas encore atteint.

    Nous ne l’avons pas encore atteint parce que, jusqu’ici, trop occupé à consommer, nous n’avons point encore appris à penser.

    Sans doute, depuis les premiers archantropes, l’homme  en tant qu’homme a-t-il fait semblant de penser. Mais il a surtout appris à consommer … ! ! !

    (Jusqu’à une relecture de ce livre, j’utilisais le terme « homo sapiens » pour caractériser les « dits hommes » !

    (Sur Internet : le squelette le plus ancien d’Europe,  l’Archantrope)

    Quelques lignes après, il ajoute : « Le fait essentiel demeure : l’homme, depuis peu, fait de la recherche pour la recherche, pour le seul plaisir de connaître, de se situer dans l’Univers …. Et un nombre sans cesse croissant … … … …

    … L’homme moderne est encore un tube digestif avant d’être un cerveau … ! ! !

    N. B. L’évaluation comparative (de 2005) de notre génome et du chimpanzé aboutissant à une différence voisine de 1 % et donc à l’évocation de l’étiquette de « bonobo boosté », est-elle démesurée ? !

    Pierre Payen (Dunkerque)

     

     

     

  • Certaines femmes musulmanes se plaignent de leur sort, râlent mais n’ont pas conscience d’échapper au pire !

     

    Les plus modernes ou européanisées, déplorent l’injustice dont elles sont victimes, l’absence de droits uniquement réservés aux hommes, notamment celui de se vêtir, de se mouvoir, de se déplacer, librement.

    Au 1er degré, c. à d. celui de l’apparence, cela se comprend aisément.

    Mais au 2ème degré, tout s’inverse ! Et elles n’ont pas conscience de  "à quoi" elles échappent ou sont protégées (malgré elles, en toute inconscience !)!

    Un peu d’Histoire !

    Les Arabes excellaient en maths et ailleurs au Moyen-âge, étaient présents en Espagne, avant, de se recroqueviller ou refermer, de revenir à la « soumission » (Islam !), de rejeter les doutes, les questionnements, de se contenter d’apprendre par cœur le Coran.

    D’où la fin des recherches scientifiques, de l’épanouissement culturel, du développement social et, faute d’entraînement intellectuel, une sorte d’hypotrophie du néocortex.

    Ils ne raisonnent plus « logiquement » (au sens usuel du terme) mais à partir de leur référentiel particulier : le Coran (Leur midi à leur porte !)

    Il ne s‘agit plus que de suivre à la lettre, de se conformer … d’éviter de réfléchir …

    Les Musulmans, ayant opté pour la prééminence du « cerveau des émotions »,  procédant par « analogie » (Et non plus par analyse néocorticale), sont automatiquement devenus dépendants de leurs désirs, le néocortex ne jouant plus le rôle de logicien interrogateur, sceptique, ne s’en laissant pas conter !

    ***En prenant du recul, il serait donc intéressant d’indiquer ou de révéler aux femmes musulmanes qu’entre deux maux, elles ne subissent que le moindre : Si elles n’étaient pas enfermées chez elles, cachées sous des burqas ou autres …, elles se feraient violer à chaque coin de rue par certaines personnes.

    D’ailleurs, dans les cités, ces violeurs ne justifient-ils pas leurs actes devant les policiers et juges de cette manière : « Elles l’avaient cherché ! Elles étaient en jupe ! Habillées comme des putes !

    C. Q. F. D. !   (Oui / Non ? !)

    Ne devraient-elles pas plutôt remercier leurs frères (En Islam, on est tous frères), maris, de les protéger à « l’insu de leur plein gré » ? ! Et bien sûr, Allah.


    A noter aussi que l'ensemble des Musulmans dits "modérés" ne proteste pas contre cet enfermement (maison ou/et vêtements). Ces millions de Français musulmans ne demeurent-ils pas ETRANGEMENT  SILENCIEUX ? !