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Le "Blacklist" De Députés harcelant sexuellement existe ! DONC ? !

Et si nous demandions aux journalistes de le trouver ? !


(VOIR le texte de Mooréa Lahalle présenté au paragraphe suivant | Le 23 octobre 2017 Le figaro Madame Une ancienne assistante parlementaire révèle l'existence d'une "blacklist" de députés)

Pourquoi les internautes ne demanderaient-ils/elles pas, n’inciteraient-ils/elles pas, par mails, les journalistes à réagir ! À s’activer ? !

 

Un exemple de texte ...

Mesdames et Messieurs les JOURNALISTES 

Ne disposez-vous pas aujourd’hui de nombreuses pistes pour vous amuser ? !

Vous qui êtes cultivé(e)s, dont le métier est de renseigner, pourquoi ne pas imiter Mediapart et Le Canard enchaîné ? !

Comme disait le BOBO Stéphane Hessel dans « INDIGNEZ-VOUS ! »  Ou comme Jupiter : « BOUGEZ-VOUS ! »

À la page 14 de « Indignez-vous », au Chapitre  « L’indifférence : la pire des attitudes ».
Il y écrivait : « … Mais dans ce monde, il y a ses choses insupportables. Pour le voir, il faut bien regarder, chercher. Je dis aux jeunes : cherchez un peu, vous allez trouver » ! ! !

  Pourquoi ne pas montrez au Zigoto(2), l’ex-ministre proustien, semi-anglais victorien, qui n’a pas été capable de retrouver l’expéditeur de l’adolescente fessée se promenant par hasard sur l’écran de son blog, qu’on voudrait pousser à la tête de l’ex-PS (Faute d’autres zigotos présentables !), que, sans disposer d’un Service de recherche contre le piratage, VOUS ÊTES CAPABLES DE RETROUVER LE : "Blacklist" De Députés ? !

*** Mooréa Lahalle | Le 23 octobre 2017    Le figaro Madame

Une ancienne assistante parlementaire révèle l'existence d'une "blacklist" de députés

Marine Tondelier, ancienne collaboratrice de Cécile Duflot, a évoqué le harcèlement sexuel qui sévit à l'Assemblée nationale.

Marine Tondelier est une ex-attachée parlementaire, aujourd’hui élue d’Europe Ecologie-Les Verts au conseil municipal d’Hénin-Beaumont, dans le Pas-de-Calais.

Dimanche 22 octobre, la jeune femme de 31 ans a pris la parole sur France 2 dans le magazine « 19h le dimanche » pour évoquer le harcèlement sexuel qui persiste à l'Assemblée nationale.

«Il y a des noms de parlementaires qui circulaient entre collaboratrices, car on savait qu'il ne fallait pas prendre l'ascenseur avec eux. Il y avait un risque qu'ils vous collent une main aux fesses et qu'il y ait des histoires», a révélé celle qui était l'assistante parlementaire de Cécile Duflot lors du quinquennat précédent.

Marine Tondelier a ajouté qu’ «il y avait une blacklist des mecs avec qui il ne fallait pas trop prendre de risques.

Il ne s’agissait pas d’une liste écrite mais de conseils informels qui se transmettent à la cantine, aux pauses-café, dans les soirées entre collaborateurs », a-t-elle précisé au site de L'Express.

"Jamais une femme ne va faire cela avec son collaborateur homme"

L’élue raconte également les remarques qu’elle recevait sur son maquillage, sa tenue vestimentaire ou sur le fait d’être «bien sympathique». Elle condamne également «un rapport de domination pouvant être exacerbé par la politique, qui est aussi un rapport de séduction».

«Premièrement, vous ne draguez pas votre collaboratrice, poursuit la femme politique.

Deuxièmement, il y a un rapport hiérarchique faisant que c’est encore plus grave.

Troisièmement, c’est répété tout le temps.

C’est lourd. Jamais une femme ne va faire cela avec son collaborateur homme», a-t-elle ajouté.

Avec son témoignage, Marine Tondelier espère ainsi que les agissements des hommes dans l’enceinte de l’Assemblée vont changer.

Bien sûr que M Lassalle ne se souvient pas !

Est-ce qu’un fermier se rappelle des mains qu’il a posées sur ses vaches lors de la traite ? !

Ni M. Joxe !

[[[Internet : Pierre Joxe : Eric Besson voulait lui "péter la gueule"L'Internaute Magazine - il y a 4 joursJOXE - Ministre incontournable sous Mitterrand, Pierre Joxe est accusé de gestes et de caresses à caractère sexuel par Ariane Fornia, fille d'Eric Besson. Ce dernier aurait envisagé de se faire justice lui-même. [Mis à jour le 20 octobre 2017 à ...]]]

 M Joxe prétend qu’il va porter plainte contre la fille ! OK !

Mais qu’il n’oublie pas de demander l’enfermement psychiatrique d’un Besson qui délire totalement ! Qui va jusqu’à sortir des trucs invraisemblables ! D’autant plus que s’il veut frapper « X », pourquoi pas plus tard « Y » puis « Z » etc. !

Ce type, M. Eric Besson (Pour ne pas confondre),  n’est-il pas  à enfermer ! Pour raison D’État ? !

[[[Wikipédia : Pierre Joxe, né le 28 novembre 1934 dans le 1er arrondissement de Paris, est un homme politique français. Ancien ministre socialiste au cours des années 1980 et 1990, notamment à l'Intérieur et à la Défense, et ancien premier président de la Cour des comptes, Pierre Joxe fut membre du Conseil constitutionnel de 2001 à 2010. Il est avocat au barreau de Paris depuis 2010 où il défend des mineurs faisant l'objet de procédures judiciaires....]]]

 EN BREF : Dès qu’il y a habitude et donc conditionnement, on ne se souvient plus.  Cela se fait machinalement ...

MESDAMES ET MESSIEURS LES JOURNALISTES, C’EST LE MOMENT DE MONTRER CE QUE VOUS VALEZ !

Vous, les personnes contactées, envoyez des mails pour  encourager vos journalistes, député(e)s (S’ils sont clair(e)s et s’ils/elles ne sont pas comme le « Trop intelligent » qui ne dénonce pas à moins que ...) À SE MONTRER « DIGNES » !

Pierre Payen ou Monkeyman ou Xyzabcd ...!

« Tout va très bien Madame la Marquise » !

UNE AUTRE INFORMATION.

Harcèlement sexuel: les eurodéputés appellent à briser le silence

AFP le 25/10/2017 à 13:22, mis à jour à 13:33

 

Le Parlement européen à Strasbourg, le 25 octobre 2017 ( AFP/Archives / PATRICK HERTZOG )

Les eurodéputés se sont joints mercredi aux appels à briser le silence sur les cas de harcèlement sexuel, certaines élues témoignant même dans l'hémicycle de leur propre expérience, dans le sillage de la vague de témoignages déclenchée par le scandale Weinstein.

Le Parlement européen, qui doit voter jeudi une résolution sur le sujet, a débattu des moyens à mettre en œuvre pour lutter contre ce type d'agissements, en session plénière à Strasbourg.

Deux députées européennes ont brandi lors de leur intervention une affichette avec l'inscription #metoo, devenue sur les réseaux sociaux le mot-dièse (hashtag) de la parole libérée sur le harcèlement sexuel.

"J'avais 19 ans, à l'université. Lui en avait environ 70, un camarade professeur, un camarade intellectuel", a confié l'élue italienne Eleonora Forenza (GUE, gauche radicale), appelant à "lutter contre la culture machiste".

"Moi aussi j'ai fait l'objet de harcèlement sexuel", a témoigné sa collègue écologiste allemande Terry Reintke, ajoutant que "le moment est venu de dire que la honte doit changer de camp".

L'eurodéputée a appelé à des "mesures législatives" mais a aussi encouragé les hommes à "prendre la parole sur le sujet".

Le social-démocrate allemand Udo Bullmann, premier homme à s'exprimer lors du débat, a rendu hommage "au courage des personnes concernées" qui ont décidé de témoigner.

"Les déclarations du président américain (Donald Trump, ndlr), la manière dont il parle des femmes nous dit quelque chose sur ce climat de tolérance" vis-à-vis des actes de harcèlement, a dit M. Bullmann.

"Nous devons sortir les femmes de l'humiliation et de la honte dans laquelle elles sont, et nous devons tous ensemble cesser de fermer les yeux", a dit l'eurodéputée française Elisabeth Morin-Chartier (PPE, droite), qui préside un comité contre le harcèlement au Parlement.

Des cas de harcèlement au sein même du Parlement ont été dénoncés dans la presse ces derniers jours.

Mais sur une dizaine de cas signalés à la structure dédiée aux assistants parlementaires et aux députés, tous étaient liés à un harcèlement sans dimension sexuelle, ont indiqué des sources parlementaires.

Le comité "n'a pour l'heure reçu aucune plainte" pour des cas sexuels, a confirmé le porte-parole du Parlement européen dans un communiqué.

Des "cas de harcèlement sexuel ou de viols" ont en revanche été rapportés auprès d'une autre structure interne de l'institution, dédiée à son personnel fixe, ont indiqué à l'AFP les services du Parlement.

"Des sanctions, des mesures disciplinaires ont été prises", ont-ils ajouté, sans donner plus de détails, "pour des raisons de confidentialité".

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