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Montrez-vous moderne, « En marche » ! Utilisez le mot DYSTOPIE !

 

Élémentaire mon cher Watson !

Le mot « Dystopie » fera bientôt plus que florès ! Se transformera en  terme métastatique !

Pour une fois qu’un mot exprime préventivement les choses, la réalité, pourquoi s’en priver ? !

Si vous ne voulez pas passer pour un(e) fainéant(e) ou un(e) Rien (comme dirait Jupiter2), n’attendez plus, anticipez ! Investissez ! Semez et vous récolterez !

Dystopie et soumission (V. booksletter@books.fr)

 

L’inverse de l’utopie c’est la dystopie, mot inventé en Angleterre dans les années 1740 pour désigner un pays malheureux.  Les Français le boudent encore. Il ne figure pas dans le Dictionnaire historique de la langue française de Robert. Il s’est pourtant popularisé, dans son sens contemporain. C’est l’inverse de l’avenir radieux promis par les utopies. « Apocalyptique ou post-apocalyptique ou ni l’un ni l’autre, il doit en tout cas être anti-utopique, c’est une utopie mise queue par dessus tête », écrit Jill Lepore dans The New Yorker.

Passant en revue divers romans et films dystopiques récents, elle en tire une conclusion tristounette. «Naguère une fiction de résistance, la dystopie est devenue une fiction de soumission », fiction d’une époque de manque de confiance, de solitude, marquée par les fake news et l’absence de perspective. « Elle ne peut pas imaginer un avenir meilleur et ne demande à personne de se préoccuper d’en construire un ».  

 

Dystopie (Wikipédia)

Une dystopie est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur. Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie. L'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) présente à notre époque. La différence entre dystopie et utopie tient plus à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu. En effet, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes.

 

 Cette forme littéraire a été popularisée par des romans devenus des classiques du genre dystopique : Nous autres (1920) de Ievgueni ZamiatineLe Meilleur des mondes (1932) d'Aldous HuxleyLa Guerre des salamandres (1936) de Karel ČapekLa Kallocaïne (1940) de Karin BoyeRavage (1943) de René Barjavel1984 (1949) de George OrwellLimbo (1952) de Bernard WolfeFahrenheit 451 (1953) de Ray BradburyLa Grève (Atlas Shrugged1957) de Ayn RandLa Planète des singes (1963) de Pierre BoulleUn bonheur insoutenable (1970) de Ira Levin, ou encore La Servante écarlate (1985) de Margaret Atwood, en littérature jeunesse Le Passeur (1993) de Lois Lowry, et la nouvelle L'invasion sans pareille [archive] (1910) de Jack London.

Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie est, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. Il existe cependant des contre-exemples et la critique est divisée quant aux relations entretenues entre la dystopie et les régimes politiques qu'elle vise. Que la dystopie soit par nature une critique d'un système politique ou idéologique précis (et en particulier une critique du totalitarisme) est un point qui demeure débattu dans les milieux universitaires.

L'impact que ces romans ont eu sur la science-fiction a souvent amené à qualifier de dystopie toute œuvre d'anticipation sociale décrivant un avenir sombre.

Le genre a connu des déclinaisons dans d'autres domaines artistiques, notamment au cinéma, avec de nombreuses adaptations de romans dystopiques mais aussi des créations originales comme Metropolis (1927) de Fritz Lang, le premier du genre, Alphaville (1965) de Jean-Luc GodardBienvenue à Gattaca (1997) d'Andrew Niccol2, la ville dystopique de Scarfolkou encore The Lobster (2015) de Yorgos Lanthimos.

 

Amen ou AAEEEGGGGGExplosions Nouvelle ère !

Pierre Payen (Dunkerque) Ou Xyzabcd ...

 

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