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pareto - Page 4

  • La notion de victime. « La femme est-elle victime ? »

     

    Réponse à un article Les 400 culs de Libération « La femme est-elle victime ? » du 21/06/12 qui a été envoyé mais qui a été censuré !

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    Que de mots … ! Mais la particularité des homo dits sapiens (hds) n’est-elle pas de confondre les mots et les choses ? !

    A décharge, depuis 2005, on sait que notre génome se différencie  de celui du chimpanzé d’environ 1 % ! D’où un enterrement assourdissant de ce bilan inconcevable pour les croyants comme pour les rationalistes (Avec des précisions en 2012 concernant les bonobos !)

    Votre article est très intéressant ! Il révèle l’histoire et la variété des interprétations du mot victime …

    Sans avoir cherché plus loin …, je me doutais que depuis l’antiquité, l’invention des religions n’avait été possible qu’avec la mise en œuvre d’une imagination énorme permettant de créer une et des interprétations de la vie et de l’Univers …

    Actuellement, le hds n’est-il pas en train de prouver qu’il est un être « fractal », (V répétitif, sans évolution mentale).

    Depuis l’arrivée de l’homme dit moderne (C. à d. du hds !), y a-t-il eu dépassement dans les dimensions ? !

    *Il n’a même pas décidé de donner la priorité à la notion de « cycle », de « symétrie », au mode de fonctionnement du cerveau sous l’influence de ses trois parties principales (Le cerv. reptilien ou primitif, le cerv. des émotions ou limbique ou mammalien procédant par analogie, le néocortex analytique) !

    **Est-ce qu’un animal est « victime » ? ! Il ne fait que vivre sa vie !

    L’expression « La dignité humaine » peut différencier « l’homme vrai » du hds !

    Puisque le hds privilégie le cerveau des émotions, il se distingue très peu des autres mammifères supérieurs … Et bien sûr, il ne peut que connaître qu’une succession de batailles, gagner ou perdre … !

    On sait qu’environ 20 % de riches profitent d’environ 80 % des ressources …, que le déséquilibre est en train d’augmenter … (V. a. la loi ou principe de Pareto ou la règle des 20/80 utilisée dans le commerce ou la distribution de Pareto (en mathématiques)).

    Les perdants sont-ils des victimes ? Dans le Jeu de la vie, 20 % de gagnants cohabitent pacifiquement avec 80 % de perdants parce qu’animés par « l’espoir » de bien s’en sortir avec un peu de chance … Les deux vont de pair mais selon une répartition voisine de 20/80

    ***Peut-on vivre longtemps en tant qu’homme vrai ? !

    J. P. Sartre, philosophe de la liberté existentielle l’a démontré en se « sacrifiant » ! Il a écrit dans «La République du silence» : « Jamais nous n'avons été plus libres que sous l'occupation allemande. ». Et il est sorti de la guerre en pleine forme … (Voir sur Internet : « Sartre rattrapé par l’Occupation, Ingrid Galster, Fabienne FederiniEcrire ou combattre. Des intellectuels prennent les armes 1942-1944 »)

    **** Sans entamer des recherches …, je vois actuellement Nelson Mandela, Aung San Suu Kyi. Et je suis franchement plus qu’étonné qu’elle n’ait pas été éliminée, exécutée … !

    Il est évident que la femelle est corporellement plus faible que le mâle, donc inférieure ou « victime » dans un référentiel quantitatif

    Mais nombreux sont les référentiels adoptables …

    Si on pose comme axiome l’existence d’une après-vie qui ne peut que rééquilibrer les injustices inhérentes aux jeux en général où il y a par essence peu de gagnants et beaucoup de perdants, diverses perspectives peuvent être évoquées …

    Personnellement, sans prétendre avoir raison, j’ai tendance à excuser les femmes quels que soient leurs actes, leurs monstruosités, en les expliquant en tant que résultats parfois « fous » d’un système de défense cherchant à compenser les h é n a u r m e s injustices imposées par les mâles en général (qu’ils en soient conscients ou non, ne serait-ce qu’en se contentant de suivre les lois de notre société machiste, qu’on le reconnaisse ou non)

    N. B. il y a encore pire qu’en Occident … dans certaines régions et religions !

    Xyzabcd ...

     

     

     

     

     

  • Une VISION DE LA VIE, du « JEU DE LA VIE » (Une mise à jour 2012)

     Il me semble que le « manque » et le « déséquilibre » et la « vie » vont de pair ; qu’ils sont les composants des motivations qui alimentent le moteur de la vie.

                (Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, d’action, de mouvement, d’animation, de vie) (Henri Laborit, -biologiste célèbre décédé en 1995- le voyait ainsi)

                N’est-on pas obligé (Le masculin neutre sera utilisé) de « respirer », « manger », donc tuer des plantes ou des animaux ?

                La gestion d’un milieu fermé n’implique-t-elle pas la manifestation effective des écosystèmes, c. à d. celle d’agents de dégradation, d’élimination avant transformation et renaissance ? !

                Des êtres vivants, par définition, partiellement démunis, dans un milieu qui n’est pas spécialement accueillant ni hospitalier, n’ont-ils pas forcément tendance, dans l’espoir d’accéder à l’état de bien-être momentané, à la sécurité temporaire, à parier, miser ? A élaborer des tactiques, des stratégies pour vaincre les obstacles, les adversaires, pour ensuite consolider ces gains ?

                Dans ce cadre assez flou, excepté pour ceux qui prétendent connaître le « sens de la vie » (Les « croyants », les idéologues, les fanatiques, les rationalistes), la route à suivre est-elle claire ?

    Ces structures n’évoquent-elles pas celles qui organisent les jeux ?

    Un jeu ne « marche-t-il pas bien » quand peu de gagnants cohabitent pacifiquement avec une grande masse de perdants parce que liés par « l’espoir » de s’en sortir avec un peu de chance ? ! (A noter, en passant, que le « principe de symétrie », plus scientifique, se faufile ! Par ex. le sens d‘un mot n’exige-t-il pas l’existence de sa négation ? ! Les termes froid et chaud, léger et lourd, naissance et mort, etc., ne vont-ils pas de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle ? !)

                Si la proportion des gagnants était  trop élevée et donc des rapports trop modestes ou si celle des perdants ruinait l’intérêt de la participation, le jeu ne perdrait-il pas toute crédibilité ? Tout ne s’effondrerait-il pas ? Un autre jeu, plus élaboré mais reposant sur les mêmes attraits et risques ne prendrait-il pas alors la relève ?

    Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

                Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir. Les résignés et soumis  ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque). Les désabusés sont parfois amers.

    A NOTER que dans tous les cas, quels que soient le talent ou/et la force des acteurs en compétition, le grand Manège ne peut tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence des participants !

    C’est ainsi que plus synthétiquement, (la maturité aidant), on différencie ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du Jeu de ceux qui se précipitent dans l’espoir plus enfantin ou « adulescent » d’obtenir des récompenses !

    Mais on est contraint de considérer que ces derniers constituent parallèlement les éléments moteurs du Jeu, sont indispensables pour la bonne marche de l’ensemble ! Qu’il serait aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

    Il semble normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la curiosité, de la découverte, de l’apprentissage, etc.

    ·         N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » du plaisir du jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite heureuse dans l’après- vie !

    ·         En prenant du recul, sans doute que peu importe !

    ·         C’est ce qu’on peut espérer mais ce qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre mental étant trop petites ! Serions-nous les chefs-d’œuvre de l’Univers ou seulement des éléments de l’espèce pour le moment la plus complexe, celle des homo dits sapiens (sages !), celle dont le génome se différencie de moins de 1 % de celui du bonobo ? !

     Des remarques ! 

    L’emploi du mot « homme » associé  au terme « dignité » est-il facile ? ! Bien souvent, ne constate-t-on pas que les activations :

    -du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par tous les moyens),

    -du cerveau des émotions qui recherche automatiquement (sans forcément passer par l’analyse du néocortex) le plaisir,

    sont prédominantes ?  Où se trouve alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

                Le sens du principe de Pareto (ou règle des 20 % / 80 %) :

    -qui a d’abord été introduit, fin 19ième siècle, par un économiste pragmatique ayant observé qu’en général 20 % de la population aisée d’un pays voisinait plus ou moins pacifiquement avec les 80 % plus pauvres,

    -qui a pu être validé en tant qu’opérateur s’appliquant dans la physique des fluides et flux (v. Internet), est-il suffisamment recherché et valorisé ? !

     Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que chef-d'œuvre par la richesse, la diversité, la multiplicité, de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l'actrice ou l'acteur le plus doué(e) ?

    Si on revient sur l’expression « Jeu de la vie », n’évoque-t-elle pas aussi parfois « L’enfer du jeu » quand on s’y accroche désespérément. Certains ne rêvent-ils pas d’immortalité       alors que tout est structurellement quasiment « cyclique » (entre les points ou moments de     rupture de la physique quantique …) ?  ! Presque comme dans la Bible mais à une symétrie près puisque les déchus étaient condamnés éternellement et ne pouvaient s’échapper !

  • Le principe de symétrie et l’homo sapiens (Dit homme) ! ! !

    Chez l’homo sapiens, si le néocortex est activé, c. à d. s’il prend la peine de réfléchir (vraiment !), d’abstraire, de ne pas se limiter à « Midi à sa porte », il prend conscience de l’omniprésence du « principe de symétrie » : Vie et mort, bien et mal, bon et mauvais, beau et laid, vont de pair. Leur sens exige l’existence de leur négation !

    Seule la proportion n’est pas systématiquement 50/50. Elle se rapproche plus de la règle 20/80 ou de la distribution de Pareto.


    Mais combien d’entre-nous ne se contentent pas d’éviter, d’essayer de rejeter, ce qui ne leur sied pas sans la curiosité de se poser des questions (néocorticales !) ? !


    Dans les ouvrages présentant le bouddhisme, l’image des deux faces intrinsèques d’une pièce de monnaie traditionnelle est utilisée !


    Dans cette optique plus intelligente, les saveurs de la vie, du bon, du délicieux, du moche, de l’horreur, etc., ne changent-elles pas de statut, voire de dimension ? !


    Au lieu d’apprécier comme un enfant le « + » ressenti -par le cerveau reptilien (ou primitif) qui gère l’instinct de survie ou de conservation, -par le cerveau des émotions qui est chargé (entre autres) de la quête du bien-être et des plaisirs basiques, on analyse, relativise ! On pénètre dans le monde des structures ! ! !

    Le sens de la liberté ou du libre-arbitre enfantin ne perd-il pas son caractère brut ? ! N’est-il pas  dérangé ? ! Confiné dans un champ d’application tout au moins nettement plus restreint ? !

    Plus et moins, gain et perte, victoire ou échec, ne perdent-ils pas leurs aspects antagoniques, belliqueux, agressifs, insupportables et « à détruire » ? !  Un peu comme la réaction « Cachez chez ce sein que je ne saurais voir » (Dans Tartuffe) qui exprime l’état d’une conscience bousculée par un éclair de lucidité ? !


    Le détachement prôné par le bouddhisme n’embrasse-t-il pas cette réalité complexe ? !  N’est-il pas une solution d’échappement à la dichotomie aussi intempestive que quasi permanente ? !


    A noter qu’une deuxième notion fondamentale et parente : « Le cycle » est totalement écartée ! La notion de symétrie différée ou/et temporelle, voisine de celles du cycle et des écosystèmes ne nous est-elle pas encore plus étrangère ? !


    Par ex., si on fête « l’anniversaire » de la naissance, on ne célèbre pas le fait que l’on vient de se rapprocher d’un an de la date d’accès à l’Après-vie ! (Ou de la fin du cycle !)
     En toute inconscience, on refuse cette image aussi réelle !


    Ne nous rendons-nous pas (plus que rarement !) compte que : -la mort est omniprésente, -la respiration de l’oxygène entraîne la mort de cette molécule ou plutôt la transformation de sa structure, -l’alimentation repose sur la mort d’organismes, -etc. ? !


    Depuis 2005, l’évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé a permis de  nous  identifier « objectivement ». La différence étant d’environ 1 %, que peut-on espérer ? !


    Nous préférons « naturellement », comme les singes, prendre de la hauteur (au 1er degré !) en cherchant à nous élever (ou nous réfugier) en nous accrochant et en escaladant les branches constituées par les bouts de droites idéales croissant continuellement vers l’infini (ou le ciel) définies par la géométrie euclidienne scolaire. (Euclide ~ -325, -265) !


    Si les croyant(e)s et les rationalistes sont a priori opposé(e)s, ils/elles sont des êtres « fractal(e)s » qui se sont rejoint(e)s en décidant à l’unanimité d’enterrer ce bilan sans aucun commentaire !

    En affinant un peu, on passe des premiers : « L’homme a été créé à l’image de Dieu » aux seconds, en inversant l’ordre : « L’homme est un dieu en devenir » (Le D étant réduit à d !). Ils se prolongent ! Le dualisme est devenu le système binaire, les deux paradis (le terrestre et celui du ciel) se rejoignent!


    Est-ce que bien connaître quelque chose est possible sans avoir analysé sa négation ou son éventuel symétrique ? !


    Est-ce qu’un animal qui ne se reconnaît pas dans un miroir est dans la pleine réalité ? !


    Mais peu importerait si l’on saisissait que la dite vie devrait s’intituler « Jeu de la vie » …


    N. B. Les animaux carnivores se mangent entre eux. Cette forme d’élimination s’intègre dans les écosystèmes. Si nous ne pratiquons pas la même méthode, toutefois, l’amour sélectif (A deux) n’implique-t-il pas la délivrance ou l’octroi de privilèges aux élu(e)s, donc ne suscite-t-il pas des injustices, des rancœurs, des désirs de vengeance, des conflits, voire des guerres qui occasionnent des morts en grand nombre, voire des génocides ? !  L’amour (en dehors de celui du « Prochain » d’essence néocorticale) échappe-t-il à la bivalence !


    Les rationalistes du 21ème siècle ne sont pas tous plus éclairés que ceux du 20ème !


    Un ex. concret : Ils nient l’efficacité des « coupeurs de feu » puisque leur processus opérationnel est « irrationnel », les assimilent à des charlatans alors que dans certains hôpitaux, dès qu’une grand(e) brûlé(e) est accueilli(e), on téléphone à un coupeur de feu qui réussit à amoindrir très sensiblement la douleur !

    (Le terme « fractal »  évoque la répétitivité, l’absence d’évolution)

    Xyzabcd !