Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeu du qui gagne perd

  • XYZ, ABCD Humour. Et si le Jeu du « Qui perd gagne » revenait toujours plus (t. p.) à la mode ? !

    Plusieurs points de vue cohabitent pacifiquement ou non !

    Quelques notations trouvées dans la Bible.

    « Bienheureux les pauvres d’esprit, parce que le royaume des cieux est à eux » (Chap. 5.3 du Sermon de la montagne)

    5-6 Bienheureux ceux qui sont affamés et altérés de la justice, parce qu’ils seront rassasiés.

    5-10 Bienheureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, parce que le monde des cieux est à eux.

    Celui qui aime la justice et qui veut vivre dans un esprit d’attachement à la justice doit s’attendre à être persécuté. L’apôtre Paul affirme en 2Timothée 3.12 que ceux qui cherchent à vivre avec piété et droiture connaîtront inévitablement la persécution. Or, tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus-Christ seront persécutés.

    Quant aux gagnants apparents dans une optique matérialiste, à quoi doivent-ils s’attendre ? !

    (Le masculin est ici privilégié puisque à l’époque, les hommes dominaient !)

    Ev. s. st.-Luc : -ch. 6.24  « Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde ! » ;

    -ch. 6.25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim !  Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes ! » ;

    Luc -ch. 18.25 « Il est plus aisé qu’un chameau passe par le trou d’une aiguille qu’il ne l’est qu’un riche entre dans le royaume de Dieu » !

    Etc.

    Sur un autre versant règnent les rationalistes depuis le 18ième siècle

    Ils ont copié, à une symétrie près, la parabole chrétienne : « L’homme est un dieu en devenir, le D étant ravalé en d, etc. !)

    La politique de la fuite t. p. en avant vers l’installation du paradis terrestre via le progrès scientifique bat t. p. son plein !

    Les transhumanistes sont persuadés que l’espérance de vie peut être prolongée, que les progrès scientifiques permettront de vivre continuellement en bonne santé ; qu’à la limite, on pourra changer les pièces ou parties déficientes tout en assurant l’immortalité !

    Implicitement, cela signifie aussi que l’homo sapiens est le chef d’œuvre de l’Univers, que la loi de complexification de Darwin est devenue obsolète ! Comme la voiture de 2017 n’a plus aucun intérêt à être changée par des nouvelles moutures !

    Le grand chef de cette école ou secte est Laurent Alexandre. Il a récupéré des benêts de pseudo philosophes qui n’entravent rien !

    L’un a été complice du second assassinat de Socrate par le candidat Sarkozy en 2007 pour obtenir un poste. Comme il faut bien vivre, il tente actuellement sa chance en tant qu’auteur de BD philosophiques pour les jeunes ! (V. la fin)

    Plus sérieusement, n’est-ce pas eux qui ont rejeté le Bilan de 2005 concernant notre génome, c. à d. le résultat consignant l’existence d’une différence de 1% entre le nôtre et celui du chimpanzé ? !

    Inutile de s’appesantir plus ! Pour eux un type de caractéristique « 1%+ » fait leur affaire !

    Une donnée moins cartésienne, plus statistique, plus quantique ou/et biologique !

    [[[V. sur Internet : Le hasard : la cause d’un tiers des cancers | Medisite

    En plus des facteurs environnementaux et héréditaires, de simples erreurs aléatoires lors de la division des cellules pourraient expliquer de nombreux cas de ...

    www.medisite.fr/a-la-une-le-hasard-la-cause-dun-tiers-des-cancers...]]]

    *** Et si le hasard, non pas au sens de la pièce lancée atterrit sur une face ou l’autre, mais en tant que détermination incompréhensible par nos petits cerveaux parce que dépendant de trop de paramètres (V. La théorie mathématique déterministe du Chaos), jouait un rôle aussi fondamental que mystérieux? ! 

    A chacun(e) de décider !

     

    J’avais présenté sur mon blog en 2010 un petit article : La vie ne serait-elle pas une sorte d’hyper jeu ?

     

    (Le masculin neutre sera de rigueur !)

    Dans l’Occident moderne rationaliste (le prolongement de l’ancien judéo-christianisme mais rebâti souvent par symétrie : « L’homme créé à l’image de Dieu » est devenu « L’homme est un dieu en devenir »), le principe du tiers exclu ou binaire remplace le dualisme ; le « bien » s’apparente au « positif » qui déprécie le « négatif », alors que le sens du mot n’existe qu’avec (ou exige) sa négation comme les deux faces d’une pièce de monnaie classique (cliché bouddhiste !).

     Si ce constat était accepté, d’autres questions pourraient se poser.

    Quel est le moteur de la vie ? N’est-ce pas la « motivation » qui fait réagir ?

    Sa composition ne serait-elle pas formée de « manques » et « déséquilibres » ?

    (Voir au départ le « principe d’homéostasie » suivi par la moindre cellule)

    Dans un vrai paradis sans le moindre besoin, des réactions, actions, mouvements, se manifesteraient-ils encore en provoquant de l’animation, des indices de vie ? !

    L’être humain ou l’homo sapiens (h. s.) ne se retrouve-t-il pas plus ou moins livré à lui-même, dans des manques multiples, c. à d. dépourvu d’indications précises, dans le flou, voire parfois brouillard ou plus, obligé de commencer à l’aveuglette ou à tâtons, de pratiquer la méthode des essais et erreurs dans le but de « s’en sortir » au mieux ?

    Dans ce contexte, n’est-il pas astreint à parier, miser, échafauder des tactiques ou stratégies pour tenter de « gagner », « réussir », « vaincre » ou « contourner », « dépasser », les obstacles qui se présentent sans cesse ? !

    N’aura-t-il pas tendance, par peur de l’insécurité, de la mort, en sollicitant son néocortex imaginatif, à pousser plus loin son avantage passager et à chercher à consolider son acquis, à le protéger (conservatisme), avant de l’amplifier (en tombant dans la dépendance) « toujours plus » et en versant dans le capitalisme ? !

    Les mots venant d’être employés ne configurent-ils pas l’espace des jeux ?

    POURQUOI LA THÉORIE DES JEUX NE POURRAIT-ELLE PAS S’APPLIQUER EFFICACEMENT AU PREMIER DEGRÉ … ?

    1) Quels sont les ingrédients d’un jeu qui fonctionne bien ?

    -Les quelques gagnants ne cohabitent-ils pas pacifiquement avec la masse des perdants parce que liés par « l’espoir » de « s’en tirer par le haut » ?

    -Si celui-ci vient à trop s’amenuiser, le jeu ne s’effondre-t-il pas de lui-même et un nouveau ne prend-il pas la relève ?

    Succinctement, entre autres, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

    -Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir.

    -Les résignés et soumis ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque).

    -Les désabusés sont ou amers ou redimensionnés.

    Dans tous les cas, quels que soient la situation, le talent des acteurs en compétition, le grand manège ne peut que tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence globale des participants ! Le principe de Pareto ou la règle (20 % / 80 %) est largement compatible avec ce scénario, le vérifie grosso modo ! La valeur de cette observation (d’abord concrète) d’économie de la fin du 19e siècle a pu être confirmée scientifiquement dans des problèmes de physique dynamique de flux … v. Internet)

    (Vilfredo Pareto, économiste, vers 1900 observa qu’environ 20 % de riches profitaient de 80 % des ressources dans les pays modernes occidentaux. Jusque la fin  du 20ième siècle, le PNUD affichait régulièrement le déséquilibre 20/80)

    # Plus synthétiquement, ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du jeu ne se discriminent-ils pas de ceux qui se précipitent dans l’attente enfantine d’obtenir des récompenses ? !

    ## Pourtant, ces « bons joueurs » ne constituent-ils pas les éléments primordiaux ou indispensables de la structure ? Ne serait-il pas aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

     Il apparaît normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la découverte, de l’apprentissage, etc.

             N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » de jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite dans l’après- vie ? !

             En prenant du recul, sans doute. Mais peu importe !

             C’est ce qu’on peut envisager mais qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre potentiel mental étant petites. Personnalisons-nous le miracle de l’Univers ou seulement des éléments d’une espèce (pour le moment la plus complexe) ? !

    En 2005, une évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé n’a-t-elle pas révélé une différence d’environ 1 % nous identifiant (plus sérieusement) plutôt à des sortes de « bonobos boostés » qu’à ceux de la célèbre parabole (V. le début) ? !

    S’il était utile d’insister, l’expression « La dignité humaine » ne pouvant être séquencée sans l’altération de sa signification, qui serions-nous ? ! Des hommes ou des h. s.? !

             Fréquemment, les activations prédominantes du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par la force) et du cerveau des émotions à la quête du plaisir (par une démarche basée sur l’analogie !) ne bousculent-elles pas les analyses et les déterminations rationnelles néocorticales qui se transforment en velléités sans poids (comme la domestique d’antan devant son maître ou Seigneur et saigneur) ? !

             Où se montre alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

    2) Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que « chef-d’œuvre » par la richesse, la diversité, le foisonnement de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l’acteur le plus doué ?

    À remarquer encore que deux sous- jeux,  le « Qui gagne perd » et le « Qui perd gagne », sont installés en permanence mais plus qu’incompris ! Ils étaient déjà évoqués dans le recueil de contes et légendes écrit au fil des années par des paysans bergers très intuitifs, voire géniaux (nommé Bible) …! Ils étaient surdoués mais ils n’ont tout de même pas été capables de prévoir que l’histoire (non pas du Père Noël, plus tardive, inventée par des parents …) de l’h. s. ressemblant à Dieu ferait florès pendant des millénaires, que ces soi-disant hommes se métamorphoseraient en adolescents attardés ou chroniques (ou adulescents) ! Quoiqu’ils aient programmé qu’ils demeureraient (sauf exception) aveugles et sourds et obtus jusqu’à ce que tout s’effondrât !

    N. B. Des conseils bouddhistes laissent entendre qu’on avance d’échec en échec ; qu’apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir ; etc..

    Lao-Tseu expliquait (approximativement) « L’homme qui parle ne sait pas, l’homme qui sait ne parle pas » !

    A chacun de conclure comme il le désire … Peu n’importe-t-il pas au second degré ? !

    De M. Pierre Payen (Dunkerque) ou Xyzabcd

     

     

    *** Un ajout..., une hypothèse supplémentaire.

    Et si chacun(e), en fonction du potentiel génétique de départ,  avait un parcours terrestre à effectuer ? !

    Tout se passerait selon un rythme personnel.

    Comme dans tout jeu, les différences pourraient être énormes ... Mais peu importerait, tout serait relativisé.

    Dans le cas de conscience suffisante, le parcours prendrait fin lorsque la/le participant(e) aurait l’impression d’avoir, sinon tout compris, suffisamment assimilé les règles ou structures de la vie pour ne plus se sentir en manque, ne plus désirer « un plus », donc serait prêt(e), légitimement, à accéder au « cycle suivant » ou « Après-vie » !

    (Bien sûr, « l’addict(e) » du « Toujours plus » serait en dehors des clous ! Devrait suivre un nouveau stage terrestre et se calmer !)

    Sinon, en cas de décès, si elle/il avait toujours soif de la vie, elle se réincarnerait automatiquement jusqu’à ce que tout soit pleinement consommé et désamorcé !

    Par exemple, les riches narcissiques, n’ayant rien compris, enferré(e)s dans leurs privilèges, reviendraient pour éprouver le ressenti des exploité(e)s ! Pour mieux « comprendre » en « allant au charbon » !

    Il ne s’agirait pas de pénalisations ou de condamnations mais de parcours à effectuer dans la « compréhension », en activant le « néocortex » !

    Et à chacun(e) selon son niveau, son potentiel génétique, son génome !

    Évidemment, à moins d’être surdoué(e), il n’est pas facile pour une jeune personne de tout comprendre et relativiser d’un coup !

    Mais, symétriquement, elle ne demande qu’à vivre « plus » pour découvrir ! « Il faut laisser le temps au temps » !

    Quant aux trop énormes accidents génétiques, trop grands handicaps, reste un mystère (Pour moi) ...

    Ils entrent dans la configuration des mathématiques, dans les options de la Combinatoire des différents éléments mais ? !

    Pourquoi de tels handicaps ? De telles souffrances ?  Un tel enfer terrestre ?

    That is the question !

    Ce qui est sûr, c’est qu’à 72 ans, estimant m’être bien tiré des problèmes rencontrés, je ne voudrais pas renaître ! Que dés l’adolescence, pour rien au monde je n’aurais voulu enfanter !

    Qu’à cause de cette vision de la vie parfois horrible, je suis devenu prof de math de collège avant de profiter, lorsque les CDI furent créés, lorsqu’il n’y avait pas encore de Capes de documentation, de la recherche de volontaires pour devenir (Suite quand même à un entretien au rectorat !) documentaliste ...

    Il se fait que M. Sarkozy, quelques semaines avant le scrutin présidentiel de 2007, a proclamé devant M. M. Onfray (philosophe à la mode) « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même » (V. sur Internet  Michel Onfray : Dans la peau de Nicolas Sarkozy ) (En clair, la traduction n’est-elle pas du type : C’est Dieu qui nous conduit. Il suffit d’écouter ses messages, donc son instinct et ses intuitions ? !)