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XYZ, ABCD Un article scientifique "Les neurones de la pensée libre" proche des hypothèses de M. Henri Laborit

Humour. Un scientifique publiant dans « Pour la science » dévoile notre structure !

La copie d’un article oublié sur un autre blog ...

 

 

13 févr. 2017   1042 billets

Que demander de plus ? ! La boucle se referme ! Tout devient transparent (Comme dirait M. le Châtelain Fillon !) Et notre tendance à « nous mordre la queue » dans le contentement n’en devient que plus compréhensible !

Penser par soi-même nécessite de lutter contre ses propres automatismes mentaux. Notre cerveau contient des neurones dotés de cette capacité. En les entraînant régulièrement, nous progressons vers une pensée plus dynamique et robuste.

Olivier Houdé

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© EPFL / Human Brain Project

Il y a quelques années de cela, j'ai eu une conversation avec des amis sur un sujet touchant à la politique. J'ai défendu mes opinions, mes interlocuteurs avaient les leurs. Nous nous sommes opposés, d'abord courtoisement puis de plus en plus frontalement. À mesure que la soirée avançait, j'étais davantage persuadé d'avoir raison, et que mes adversaires avaient tort. Il m'a fallu de sérieux efforts pour rester en bons termes avec eux, me rappelant que nos liens affectifs étaient plus forts que nos divergences d'opinions.

Quelques années plus tard, je me suis rendu compte que je me trompais. J'ai intégré de nouveaux éléments à ma vision du monde, en un mot j'ai changé d'avis. Mais surtout, en repensant à cet épisode, je suis frappé par le fait que mes opinions ce jour-là ne m'aient pas aidé à y voir plus clair. Elles m'ont plutôt freiné. Comme des entraves cognitives, elles m'ont empêché de raisonner librement et d'accéder à une proposition neuve et intéressante, à une compréhension plus juste de notre conversation.

En fait, il est très difficile de penser librement. Nos croyances plongent des racines interminables dans notre passé lointain, notre éducation, le milieu social où nous vivons, le discours des médias et l'idéologie dominante. Parfois, elles nous empêchent de réfléchir au sens propre. Dans certains cas extrêmes, elles peuvent esquisser une vision dogmatique et meurtrière du monde. (Cela ne s’appelle-t-il pas l’emprise des conditionnements, du réseau des émotions ? !)

Mais si notre cerveau contient des entraves cognitives, pourquoi ne renfermerait-il pas aussi une fonction libératrice ? Si de tels neurones existaient, savoir les mobiliser serait alors la clé d'une pensée « libre », du moins d'une pensée affranchie de bien des défauts et idées reçues.

Nos entraves cognitives

Aujourd'hui, je dirige un laboratoire de psychologie et de neurosciences qui explore en partie cette question des entraves cognitives. À l'aide d'appareils à IRM, d'outils psychométriques et d'études de comportement, j'essaie de comprendre ce qui distingue la pensée libre de la pensée automatique. Celles-ci portent dans mon domaine un nom scientifique : pensée algorithmique et pensée heuristique…

Présentons d'abord la pensée algorithmique.

Logique et rationnelle, elle procède par déductions, inférences et comparaisons. Elle est, bien souvent, lente et difficile d'accès.

Tout le contraire de sa cousine, la pensée heuristique : celle-ci repose sur des croyances, des habitudes, opinions, stéréotypes, des idées reçues depuis tout petit.

Comme vous vous en doutez, elle est nettement plus opérationnelle et confortable dans de nombreuses situations !

En veut-on un exemple ?

Pour rester dans le champ politique, imaginons que j'essaie de savoir, au moyen de ma pensée algorithmique, si le candidat de droite aux élections présidentielles est meilleur que le candidat de gauche. Il me faudra des années, sans garantie de résultat.

Au contraire, si j'utilise ma pensée heuristique pour répondre à la même question, le résultat sera rapide et sans effort – j'utiliserai simplement le mélange d'idées inculquées pendant l'enfance, de croyances sur les groupes sociaux, de rejet de certains principes, d'alliances professionnelles ou quoi que ce soit d'autre. La pensée heuristique est rapide, facile, presque sans effort. Souvent, ce n'est que des années plus tard, comme ce fut mon cas, qu'on s'aperçoit qu'elle nous a trompés…

Les pièges du cerveau

Un moyen d'étudier les différences entre pensée heuristique et pensée algorithmique est de les observer à l'œuvre chez les enfants.

Ceux-ci, plus que personne, sont sujets aux croyances et leur cerveau doit développer, au fil des années, une capacité de raisonnement apte à remettre ces dernières en question.

En laboratoire, nous pouvons observer comment cela se passe en soumettant de jeunes participants à des tests pendant que leur cerveau est observé à la loupe grâce à des examens par IRM – parfaitement inoffensifs, précisons-le.

On peut, par exemple, montrer à un enfant deux rangées de jetons comportant l'une et l'autre le même nombre de jetons, si ce n'est que ceux-ci sont plus espacés dans la seconde rangée que dans la première.

Un enfant n'ayant pas encore 7 ans déclare généralement qu'il y a plus de jetons dans la seconde rangée, car il est habitué à penser – de manière heuristique – « qu'il y en a plus là où c'est plus long ».

Il commet cette erreur car il se repose sur sa croyance habituelle et oublie d'enclencher sa capacité de raisonnement – ici il s'agit simplement de la faculté de comptage, qui représenterait une pensée algorithmique.

Comment l'enfant pourrait-il s'extraire de ce mode de pensée automatique ?

Dans les faits, en intervenant auprès des jeunes participants en leur expliquant qu'ils peuvent suspendre ce mode de raisonnement et prendre le temps de compter les jetons, un expérimentateur adulte obtient de bons résultats. L'enfant parvient à mettre entre parenthèses sa croyance habituelle pour examiner la situation au moyen de ses outils logiques.

Mais ce n'est pas tout : nous observons un changement notable dans son cerveau.

Les zones de la pensée heuristique (le sillon intrapariétal latéral, voir la figure ci-dessous) s'éteignent, tandis qu'une autre partie de son cerveau, située à l'avant, s'active. Il s'agit du cortex préfrontal inférieur, véritable commutateur qui permet de basculer de la pensée heuristique à la pensée algorithmique.

Lorsqu'on fait comprendre à l'enfant qu'il a intérêt à compter et non à évaluer « au jugé », le cortex préfrontal opère cette conversion : il éteint la zone heuristique et allume une zone du comptage dans le cortex pariétal. En un mot, le cortex préfrontal inférieur, véritable pivot cognitif, permet de bloquer les automatismes mentaux pour activer une pensée discursive, logique et dynamique.

Comment le cortex préfrontal parvient-il à nous engager sur les rails d'une pensée méthodique ?

Le neuroscientifique Stanislas Dehaene explique que cette partie de notre cerveau renferme des neurones dotés de très longs câbles (axones) qui leur permettent d'envoyer des signaux à tout le reste du cortex afin que d'autres neurones, dits « inhibiteurs », prennent le relais localement et fassent taire (« chut », écrit-il) des groupes entiers ou populations de neurones pré-activés.

C'est très précisément ce type de câblage neurobiologique inhibiteur qu'il faut exercer, sur l'ensemble du cerveau, pour apprendre à résister aux tentations de raisonnement heuristique simple et immédiat.

Apprendre à penser librement, c'est donc apprendre à devenir maître de son cortex préfrontal. Mais comment faire concrètement ? C'est là que notre libre arbitre intervient une seconde fois, à travers une indispensable prise de conscience.

Suspendre les croyances

Pour faire taire nos opinions ou réflexes de pensée, encore faut-il se rendre compte qu'ils sont activés.

Or, la plupart des choses que nous tenons pour vraies ont un talent incroyable pour nous sembler parfaitement naturelles et nous dispenser de tout examen logique.

C'est ce qu'a notamment mis en évidence l'économiste Daniel Kahneman, prix Nobel d'économie en 2002 .

Ses expériences ont montré que, lorsque nous trouvons une idée crédible, notre capacité à enclencher notre pensée critique s'éteint.

Nous avons beaucoup de difficulté à la mettre à l'épreuve du raisonnement.

Ce biais de crédibilité semble donc constituer un obstacle de taille à la mobilisation de notre cortex préfrontal.

Comment le surmonter ?

Au prix d'un effort quotidien afin de distinguer, au sein de nos propres idées, celles qui nous semblent à la fois crédibles, bonnes, légitimes, de celles qui sont rigoureusement fondées.

(En bref, c’est d’abord avoir conscience de cette réalité ! C’est avoir été renseigné(e) dès l’école primaire ! C’est avoir bénéficié d’un apprentissage pédagogique en classe ! C’est ce qu’a toujours demandé Henri Laborit à partir des années 70-80  et ce qu’on lui a toujours refusé puisque cette prise de conscience aurait « suicidé » la « Société de consommation » (Devenue « Toujours plus ») basée sur la « pensée heuristique » !

Ce n'est pas équivalent ! Pour peu qu'il y réfléchisse quelques instants, chacun se rendra compte que la majorité des croyances ou opinions qui lui sont chères ne reposent pas sur grand-chose.

Ainsi, une opinion peut être valable du point de vue éthique, répondre aux attentes d'un milieu social, paraître désirable ou correspondre à nos intérêts ou habitudes personnelles, sans pour autant reposer sur un raisonnement sérieux.

Savoir opérer cette distinction est l'étape cruciale du choix de pensée qui nous incombe.

En prenant conscience de ce distinguo, nous nous offrons la possibilité de faire fonctionner notre cortex préfrontal et d'opter pour une pensée algorithmique, méthodique, rationnelle.

Tout est-il alors gagné ? Sur le papier, peut-être, mais nous sommes des êtres de chair et de sang, et une fois que l'on a reconnu en son for intérieur : « Bon, je vois bien que mon opinion n'est pas certaine à 100 % », cela implique de réexaminer un certain nombre de points de raisonnement à tête reposée, ce qui prend toujours un certain temps.

Un temps où il faut rester sans avoir rien à dire dans cette conversation qui semble aller bon train et où chacun ne demande qu'à s'enflammer.

Il faut donc s'imposer le silence et la réserve. Combien sommes-nous à l'accepter ? C'est pourtant la condition pour accéder au cortex préfrontal et à une forme de liberté de pensée.

(N’est-ce pas exactement ce que notre société condamne, cherche à éliminer ? ! La priorité  et primauté t. p. valorisées ne sont-elles pas la rapidité dans la compétitivité ? ! N’incite-t-elle pas, n’offre-t-elle pas t. p. la possibilité de réagir dans l’instant, et le plus rapidement possible ? ! Ne sont-ce pas les Smartphones ? ! Les jeux électroniques ? !

Ainsi, comme par hasard, dans la plus grande incompréhension des parents, un(e) jeune, en 2017, ne peut-il/elle pas se radicaliser en quelques mois, partir en Syrie ou/et se faire exploser ? ? ? ! ! !)

Même les adultes, ceux/celles sont t. p. enclin(e)s à suivre des émissions, à lire, sans prendre le temps du silence, de la méditation, sont-ils/elles épargné(e)s ? ! Ou/et piégé(e)s ? !

(Par ex. un Onfray doit ingurgiter plus de  livres que de « bouffe », quoiqu’il soit hédoniste, aime manger, se régaler ! Ses ouvrages sont-ils démystifiants ou d’un néo-conservatisme populiste ? !)

Former les cerveaux de demain

Comme on l'aura compris, jouir d'un cortex préfrontal en bon état de marche n'est pas une mince affaire.

D'autant plus que cette structure cérébrale se développe et se façonne jusqu'à l'âge adulte, faisant de l'élaboration d'une pensée critique une affaire de tous les instants pour les parents, les éducateurs ou professeurs.

De petits exercices peuvent être pratiqués pour sensibiliser les enfants aux pièges de la pensée heuristique.

Dites-leur par exemple que : a) les éléphants sont des mangeurs de foin et b) les mangeurs de foin ne sont pas lourds. Demandez-leur ensuite si cela veut dire que c) les éléphants sont lourds.

Les enfants d'école primaire (6-12 ans) répondent souvent « oui », alors que rien ne permet à leur cerveau de déduire logiquement cette conclusion des prémisses du syllogisme, c'est-à-dire des deux premières phrases (a et b).

Il a été démontré que la difficulté de ce type de tâche de raisonnement, au cours du développement, est de parvenir à inhiber le contenu sémantique de la conclusion (réseaux du cerveau dits « sémantiques » ou « de connaissances générales »), c'est-à-dire ici la forte croyance des enfants quant au poids des éléphants. D'où leur réponse trop rapide et erronée.

Ce genre de petit jeu est utile pour faire comprendre à un enfant la différence entre une croyance et un raisonnement.

D'autres pièges interviennent souvent dans les apprentissages à l'école, notamment en cours de maths…

On sait qu'en classe les enfants butent souvent sur des énoncés verbaux du type : « Louise a 25 billes. Elle a 5 billes de plus que Léo. Combien Léo a-t-il de billes ? »

Fréquemment, l'enfant ne parvient pas à inhiber l'heuristique implicite, trop rapide, « il y a le mot “plus”, alors j'additionne » (25 + 5 = 30) au lieu d'activer l'algorithme de soustraction (25 − 5 = 20).

Inutile, donc, de lui répéter au-delà du nécessaire les règles de l'addition et de la soustraction (déjà automatisées).

C'est plutôt, dans ce cas, l'inhibition de l'automatisme lié au mot « plus » qu'il faut exercer !

Inhiber pour bien raisonner. (N’est-ce pas l’avantage de la méthode mathématique puis de la logique non binaire, quantique ? !)

Ici, l'ennemi est intérieur : c'est l'impulsion, l'automatisme de pensée, tels « les éléphants sont lourds », « longueur égale nombre », « il y a le mot plus, alors j'additionne », etc., heuristiques très bien rangées dans notre cerveau – au tout premier plan – et prêtes à bondir, à tout moment, par réflexe cognitif.

C'est une véritable armée de neurones à combattre ! La résistance est dès lors tournée vers soi.

Comme l'écrit fort bien Jean d'Ormesson, « penser, c'est refuser, c'est dire non, c'est penser contre soi ». 

Plus d'esprit critique !

Comme l'avaient déjà bien pressenti les penseurs grecs de l'Antiquité depuis Aristote à travers les sophismes et paralogismes (écarts à la logique), suivis par les philosophes de la Renaissance qui ont souligné le poids des coutumes et des habitudes égocentrées (Montaigne) ou l'action des « puissances trompeuses » (Pascal), ce sont donc nos propres impulsions, intuitions, croyances, stéréotypes et erreurs cognitives auxquels il faut apprendre à résister.

Et c'est la partie antérieure de notre cerveau, le cortex préfrontal, qui doit s'exercer à bien les inhiber. Or cela ne va pas de soi, car sa maturation est lente au cours de l'enfance.

L'éducation des parents et les apprentissages à l'école ont un rôle essentiel à jouer dans cette capacité de résistance cognitive et d'inhibition.

Le programme pédagogique de l'Académie des sciences, porté par la fondation La main à la pâte, a suggéré ces dernières années d'ajouter un quatrième terme à la trilogie classique issue de l'école de Jules Ferry : lire, écrire et compter, certes, mais aussi raisonner. Et apprendre à bien raisonner, c'est apprendre à bien résister (inhiber).

Parvenus à l'âge adulte, nous devrions en principe être armés sur le plan neuronal pour déjouer ces pièges.

Ce n'est – hélas – pas si simple.

(Et voilà ! Cette personne a presque entrevu notre « problème » !

Mais !

 Parce que conditionnée par la culture judéo-chrétienne, donc « humaniste », elle n’a pu :

-1) accepter le Bilan de 2005 concernant notre génome, la différence de 1 % de celui du chimpanzé,

-2) saisir, qu’à l’insu de son plein gré, elle révélait sa caractéristique « fractale » (Répétitive, non évolutive, fixée, caduque, s’inscrivant dans les lois de complexification de Darwin !)

Notre cerveau heuristique est toujours très actif et, face à cela, il faut malheureusement admettre que notre cerveau algorithmique n'est pas toujours entraîné de façon très régulière. (N’est-ce pas le moindre qu’on puisse dire ? !)

Quant à notre cortex préfrontal, nécessaire pour orienter la pensée vers un mode ou vers l'autre, certains exercices permettent d'en améliorer la forme.

Pourquoi ne pas s'y mettre dès aujourd'hui ? (Quelle conclusion significative ! Quel aveu d’inconscience ! De conditionnement ! Ne serait-il pas de la trempe de Onfray ? ! ! !)

Ce texte publié par un media branché sur les sciences n’est-il pas plus que symbolique ? !

Ne constitue-t-il pas un ZOOM PARFAIT de notre structure mentale, d’homo sapiens ne comprenant presque rien et donc devant très prochainement laisser la place à une autre mouture ? !

« Tout va très bien, et t. p chaque nouveau jour,  Madame la Marquise ! »

En passant, j’ai 72 ans. Depuis les années 66 (Avec « L’agressivité détournée », « L’Homme imaginant », « Éloge de la fuite » <Des normes ...>, « Biologie et structure », etc., du biologiste-philosophe Henri Laborit -1914-1995-) je me sui évertué à expliquer aux gens que je rencontrais le rôle des trois principales composantes du cerveau ! Sans jamais obtenir de commentaires ! Sans jamais entendre, dans les conversations, le relevé de l’implication des ces données !

D’où un détachement, une prise de distance presque sidérale au milieu de rapports cordiaux, empathiques ! ETC. !

Chaque nouvel article sur ce blog, en ce moment de « pré-changement », m’offrait la possibilité de mettre un peu plus les points sur les i !

Peut-être que celui-ci, qui place en exergue le raisonnement et l’intuition et la vision exceptionnelle de Henri Laborit, me permettra de tourner la page ! Heureux d’avoir pu le remettre au top ! Après avoir rendu à César ce qui lui appartient !

(Tous les éléments du texte ne sont que des variations moins biologiques, plus littéraires, des observations scientifiques de Laborit !)

À noter encore que nos algorithmes binaires (Cartésiens, les prolongements de la logique élémentaire et rudimentaire enseignée en classe primaire  ! ! !) étant ce qu’ils sont, ne sont plus opérationnels dès qu’il y a complexité, implication quantique (Influence de l’expérimentateur, principe du tiers inclus !)

D’où les plantages multiples tous azimuts !

  • [[[Internet : Algorithme — Wikipédia Un algorithme est une suite finie et non ambiguë d'opérations ou d'instructions permettant de résoudre un problème ou d'obtenir un résultat. Le mot algorithme vient du mot arabe الخوارزمي, nom du mathématicien du IX e siècle Al-Khwârizmî. Le domaine qui étudie les algorithmes est appelé l'algorithmique.]]]

 Amen ou AAEEEGGGGExplosions Nouvelle ère !

Pierre Payen (Dunkerque)

  1. B. Correction d’une erreur. Il y a quelques années, une Internaute (Abonnée à Mediapart) m’a envoyé un commentaire soulignant que les idées ou/et thèses ou hypothèses de H. Laborit lui semblaient les plus proches de la réalité

13 févr. 2017 Par Monkeyman  (Mediapart)

Article retenu dans les alertes Google registre HUMOUR :

 

Humour. Un scientifique publiant dans « Pour la science » dévoile notre structure !

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