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L’addiction « Toujours plus vite » s’affranchit du temps (Dim 4 !) 

On désire « toujours plus » mais t. p. vite ! Dans l’instant ! TOUT DE SUITE !
Et si le résultat ne s’affiche pas, on cherche ailleurs ! On fait défiler le menu obtenu !
Les élèves, pour élaborer un exposé, consultent ChatGPT ! Avant de recopier !  D’utiliser un correcteur ! 
Les seules questions concernent les mots d’accès les plus pertinents .

CES HABITUDES SE PROLONGENT AUTOMATIQUEMENT DANS LE TRAVAIL, LES ACTIVITÉS LES PLUS DIVERSES !


Quand le diplôme masque l’inexpérience, par Julia de Funès Publié le 25/08/2025 https://www.lexpress.fr/


Il s’agit partout de rentabiliser, de synthétiser, et-et d’être « toujours plus » performant.e.
Le diplôme protège du manque d’expérience, la pratique préfabriquée dispense de réflexion. Dans les deux cas, on se donne l’apparence de travailler, sans en assumer l’épreuve. Car travailler exige toujours une résistance. Résistance de la matière à façonner pour le praticien. Résistance de la pensée à clarifier pour l’intellectuel. Or, au lieu d’affronter ces résistances, beaucoup préfèrent, par facilité, les contourner. Mais un travail vidé de sa résistance n’est plus du travail. C’est une agitation stérile où l’illusion finit par tenir lieu de réalité. Et à force de diplômes sans savoir-faire et de pratiques sans pensée, ce que nous obtenons n’est pas un enrichissement des métiers, mais une faillite du savoir et du savoir-faire.
A l’heure de la rentrée, une urgence simple et stimulante s’impose : retrouver le goût de l’épreuve. Redonner au travail sa consistance, c’est accepter la lenteur, l’exigence, la résistance du réel. C’est moins facile que des certifications encadrées ou des pratiques clés en main, mais infiniment plus solide. Peut-être est-ce cela, finalement, le vrai défi de cette rentrée : préférer l’effort au décor.

« Notre QI s’effondre » : des données inédites révèlent une chute mondiale alarmante de l’intelligence humaine qui inquiète les experts et bouleverse la planète
Face à un déclin inquiétant des capacités cognitives chez les jeunes générations, les experts s'interrogent sur l'impact de nos modes de vie numériques sur l'intelligence collective.

Gaspard ROUX20/07/2025 à 9h0110  https://vivredemain.fr/
•     Les compétences cognitives des jeunes générations sont en déclin, avec des difficultés croissantes à maintenir leur attention.
•     La diminution du temps de lecture au profit de l’engagement avec les écrans numériques est un facteur clé de cette tendance.
•     La technologie modifie notre cerveau, rendant plus difficile l’exécution de tâches nécessitant une réflexion profonde.
•     Ce phénomène n’est pas limité aux États-Unis; il s’agit d’une tendance mondiale concernant les compétences fondamentales en numératie et en littératie.
Les capacités cognitives humaines suscitent de plus en plus d’inquiétudes, alors que des études récentes démontrent une baisse significative de ces compétences. Les jeunes générations semblent particulièrement touchées, avec des difficultés croissantes à maintenir leur attention et à exercer leur esprit critique. Ces constats soulèvent des questions quant à l’évolution de notre intelligence collective. S’agit-il simplement d’une régression, ou assistons-nous à une transformation plus profonde de notre manière de penser et de traiter l’information ?
La dure réalité de la baisse des compétences cognitives
Des recherches menées au cours de la dernière décennie révèlent une tendance préoccupante : les compétences cognitives sont en déclin. Des institutions prestigieuses telles que l’Université du Michigan, à travers son étude Monitoring the Future, et le Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA), ont constaté un affaiblissement marqué des compétences cognitives, en particulier parmi les jeunes. Les adolescents et les jeunes adultes peinent à accomplir des tâches cognitives de base, telles que maintenir la concentration et traiter l’information.
L’un des constats les plus marquants, rapporté par le Financial Times, est la diminution du temps consacré à la lecture au profit d’un engagement accru avec les écrans numériques. Les experts suggèrent que ce changement dans la consommation médiatique est un facteur clé de la baisse des capacités cognitives. Une étude de 2022 menée par le National Endowment for the Arts a révélé qu’à peine 37,6 % des Américains ont lu un roman ou une nouvelle au cours de l’année précédente, contre 41,5 % en 2017 et 45,2 % en 2012.
Le rôle de la technologie : une arme à double tranchant
L’adoption des nouvelles technologies a certes transformé de nombreux aspects de notre vie, mais elle pourrait également contribuer au déclin des fonctions cognitives. Des études indiquent que le temps passé devant les écrans, en particulier sur les réseaux sociaux, peut avoir un impact négatif sur les compétences verbales et cognitives. Une exposition prolongée aux écrans rend plus difficile la concentration et la rétention de l’information, ce qui explique pourquoi de nombreux jeunes adultes éprouvent des difficultés cognitives.
La relation entre la technologie et le déclin cognitif ne se limite pas aux problèmes d’attention. Des recherches montrent que l’ère numérique pourrait modifier le cerveau de manière à rendre plus ardues les tâches nécessitant une réflexion profonde et un focus soutenu. Cela est particulièrement préoccupant pour la jeune génération, fortement immergée dans le numérique, qui pourrait subir des effets cognitifs à long terme limitant leur potentiel intellectuel.
L’ampleur mondiale de la problématique
La baisse des capacités cognitives n’est pas un phénomène limité aux États-Unis. Des recherches menées par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) indiquent que des adultes à travers le monde éprouvent également des difficultés avec des compétences de base en numératie et en littératie. En 2023, un rapport a révélé que 34 % des adultes américains se situaient aux niveaux les plus bas en numératie, contre 29 % l’année précédente. Cette tendance mondiale est inquiétante, avec des adultes d’autres pays montrant également des difficultés similaires avec des tâches mathématiques et de raisonnement de base.
Ces tendances ne concernent pas uniquement les habitudes de lecture ou le temps passé sur les écrans. Elles reflètent un changement plus large dans notre manière de traiter l’information. Avec l’accès facile à l’information en ligne, beaucoup trouvent moins nécessaire de s’engager dans une réflexion approfondie, préférant des aperçus rapides et superficiels.
Réflexions finales
Ces observations soulèvent des questions cruciales sur l’avenir de notre intelligence collective. Alors que nous continuons à nous immerger dans un monde de plus en plus numérique, il est essentiel de considérer les impacts potentiels sur nos capacités cognitives. Comment pouvons-nous équilibrer les avantages de la technologie avec la nécessité de préserver et d’améliorer nos compétences intellectuelles ? Quelle sera la prochaine étape pour les générations futures face à ces défis cognitifs ?
Cet article s’appuie sur des sources vérifiées et l’assistance de technologies éditoriales.

QUANT A EN TIRER DES CONSÉQUENCES, SERAIT-CE ENCORE POSSIBLE ? !

Certain.es répondront affirmativement ! 

JE PRÉFÈRE PARIER SUR MON « PROBABLE » plutôt que sur votre « IMPROBABLE » !
Qui vivra verra !
Comme Coluche, je me marre toujours plus !

Confondre la dimension 3 avec la dimension 4 est gênant en mathématique !

Xyzabcd ou Pierre Payen (Dunkerque)

 

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