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Humour. La preuve par 9 différentiant l’homo « n » de l’humain.e ! 

(Différentiant ou différenciant !) Actuellement, pourtant, ne crève-t-elle pas les yeux ? !

Actuellement, pourtant, ne crève-t-elle pas les yeux ? !


Depuis quelques années, chaque politicien.ne, dit.e philosophe, se voulant « humaniste, ne parle-t-ielle pas , toujours plus, du souverainisme, du problème identitaire, du nationalisme, du patriotisme, etc. ? ! 

 

Derrière ces mots, ne retrouve-t-on pas la présence de la notion de territoire à défendre ? !


La politique identitaire n’est-elle pas toujours plus présente ? ! 


Cette attention ou préoccupation, est-elle le propre de l’humain.e ou de l’animal ? !


Par ex. : dans la Bible, un humain de dit-il pas : « Mon royaume n’est pas de ce monde » ? !
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Inversement, celui qui ne veut pas se 


L'objection de conscience est un refus d'accomplir certains actes requis par une autorité lorsqu'ils sont jugés en contradiction avec des convictions intimes de nature religieuse, philosophique, politique, idéologique ou sentimentale. Une telle objection, mûrement réfléchie ou plus spontanée, exprime une difficulté de se conformer à une situation, voire un reproche ou une accusation, et peut être un acte illégal occasionnant des poursuites et des châtiments pénaux. L'objection de conscience est un aspect universel de la liberté de conscience, qui s'inscrit dans un effort historique de l'humanité pour mieux circonscrire le pouvoir des autorités civiles et religieuses, et même des pouvoirs économiques. Elle peut être individuelle ou collective si, comme le précise le séminaire sur la « Liberté de conscience » organisé par le secrétariat général du Conseil de l'Europe, « elle engage un groupe d'individus souhaitant affirmer leur position en soulignant nettement l’existence d’une attitude commune »[1]. 
Depuis le début du XXe siècle, le terme « objection de conscience » a surtout été appliqué au cas du refus de prendre part aux activités militaires. De tels objecteurs sont généralement considérés comme des pacifistes ou des antimilitaristes. Ils refusent de se porter volontaire à l'appel pour le service militaire, et de servir même s'il y a une conscription. Dans les pays où le service militaire est obligatoire, les lois autorisent parfois les objecteurs de conscience à effectuer un service alternatif, généralement appelé un service civil, au lieu de joindre l'armée. Il arrive aussi que des « objecteurs de conscience » refusent de payer des impôts qui contribuent aux armées et aux guerres. Les objecteurs de conscience sont encore sujets à emprisonnement dans de nombreux pays. Dans un sens plus large, l'objection de conscience peut concerner la pratique médicale de professionnels de la santé, les serments d'allégeance et la défense personnelle pour des chrétiens, ainsi que des rapports économiques.


Je n’ai jamais compris comment on pouvait prétendre vivre dans la dignité humaine et se comporter comme un animal !

Heureusement, cela ne m’empêchera pas de mourir, d’échapper à cette sorte d’enfer terrestre !


N. B. Cette contradiction, n'est-elle pas du même ordre que les enterrements du Bilan de 2005 (V. le génome et le ~1% !), de 2011 (Néocortex/Redondance/Société toujours plus !) ? ! 


N'est-elle pas structurelle ? ! 


Pour une fois, la logique cartésienne rudimentaire/scolaire, ne permet-elle pas d'ouvrir la boîte de Pandore ? ! (Histoire d’accuser la femme !)
 
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