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Jeux - Page 43

  • Une VISION DE LA VIE, du « JEU DE LA VIE » (Une mise à jour 2012)

     Il me semble que le « manque » et le « déséquilibre » et la « vie » vont de pair ; qu’ils sont les composants des motivations qui alimentent le moteur de la vie.

                (Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, d’action, de mouvement, d’animation, de vie) (Henri Laborit, -biologiste célèbre décédé en 1995- le voyait ainsi)

                N’est-on pas obligé (Le masculin neutre sera utilisé) de « respirer », « manger », donc tuer des plantes ou des animaux ?

                La gestion d’un milieu fermé n’implique-t-elle pas la manifestation effective des écosystèmes, c. à d. celle d’agents de dégradation, d’élimination avant transformation et renaissance ? !

                Des êtres vivants, par définition, partiellement démunis, dans un milieu qui n’est pas spécialement accueillant ni hospitalier, n’ont-ils pas forcément tendance, dans l’espoir d’accéder à l’état de bien-être momentané, à la sécurité temporaire, à parier, miser ? A élaborer des tactiques, des stratégies pour vaincre les obstacles, les adversaires, pour ensuite consolider ces gains ?

                Dans ce cadre assez flou, excepté pour ceux qui prétendent connaître le « sens de la vie » (Les « croyants », les idéologues, les fanatiques, les rationalistes), la route à suivre est-elle claire ?

    Ces structures n’évoquent-elles pas celles qui organisent les jeux ?

    Un jeu ne « marche-t-il pas bien » quand peu de gagnants cohabitent pacifiquement avec une grande masse de perdants parce que liés par « l’espoir » de s’en sortir avec un peu de chance ? ! (A noter, en passant, que le « principe de symétrie », plus scientifique, se faufile ! Par ex. le sens d‘un mot n’exige-t-il pas l’existence de sa négation ? ! Les termes froid et chaud, léger et lourd, naissance et mort, etc., ne vont-ils pas de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle ? !)

                Si la proportion des gagnants était  trop élevée et donc des rapports trop modestes ou si celle des perdants ruinait l’intérêt de la participation, le jeu ne perdrait-il pas toute crédibilité ? Tout ne s’effondrerait-il pas ? Un autre jeu, plus élaboré mais reposant sur les mêmes attraits et risques ne prendrait-il pas alors la relève ?

    Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

                Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir. Les résignés et soumis  ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque). Les désabusés sont parfois amers.

    A NOTER que dans tous les cas, quels que soient le talent ou/et la force des acteurs en compétition, le grand Manège ne peut tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence des participants !

    C’est ainsi que plus synthétiquement, (la maturité aidant), on différencie ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du Jeu de ceux qui se précipitent dans l’espoir plus enfantin ou « adulescent » d’obtenir des récompenses !

    Mais on est contraint de considérer que ces derniers constituent parallèlement les éléments moteurs du Jeu, sont indispensables pour la bonne marche de l’ensemble ! Qu’il serait aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

    Il semble normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la curiosité, de la découverte, de l’apprentissage, etc.

    ·         N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » du plaisir du jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite heureuse dans l’après- vie !

    ·         En prenant du recul, sans doute que peu importe !

    ·         C’est ce qu’on peut espérer mais ce qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre mental étant trop petites ! Serions-nous les chefs-d’œuvre de l’Univers ou seulement des éléments de l’espèce pour le moment la plus complexe, celle des homo dits sapiens (sages !), celle dont le génome se différencie de moins de 1 % de celui du bonobo ? !

     Des remarques ! 

    L’emploi du mot « homme » associé  au terme « dignité » est-il facile ? ! Bien souvent, ne constate-t-on pas que les activations :

    -du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par tous les moyens),

    -du cerveau des émotions qui recherche automatiquement (sans forcément passer par l’analyse du néocortex) le plaisir,

    sont prédominantes ?  Où se trouve alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

                Le sens du principe de Pareto (ou règle des 20 % / 80 %) :

    -qui a d’abord été introduit, fin 19ième siècle, par un économiste pragmatique ayant observé qu’en général 20 % de la population aisée d’un pays voisinait plus ou moins pacifiquement avec les 80 % plus pauvres,

    -qui a pu être validé en tant qu’opérateur s’appliquant dans la physique des fluides et flux (v. Internet), est-il suffisamment recherché et valorisé ? !

     Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que chef-d'œuvre par la richesse, la diversité, la multiplicité, de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l'actrice ou l'acteur le plus doué(e) ?

    Si on revient sur l’expression « Jeu de la vie », n’évoque-t-elle pas aussi parfois « L’enfer du jeu » quand on s’y accroche désespérément. Certains ne rêvent-ils pas d’immortalité       alors que tout est structurellement quasiment « cyclique » (entre les points ou moments de     rupture de la physique quantique …) ?  ! Presque comme dans la Bible mais à une symétrie près puisque les déchus étaient condamnés éternellement et ne pouvaient s’échapper !

  • La différence entre l’homo sapiens et l’homme !

    N’est-elle pas aussi simple que refoulée ? !


    1)    Le premier n’est-il pas essentiellement agi par le cerveau reptilien, quoiqu’il s’en défende ? !


    En toute objectivité, sans être obligé d’aller chercher des arguments pouvant être remis en cause, pourquoi une femme, en 2012, meurt-elle tous les deux ou trois jours suite à des violences conjugales ? !

    Pourquoi ~ 75 000 viols enregistrés (Dont un tiers dans le milieu familial) parmi ~ 190 000 tentatives ? !
    Et pourquoi les premières civilisations commencèrent dans l’esclavagisme ? ! Ne serait-ce pas parce que l’instinct de survie ou de conservation géré par le cerveau primitif était prééminent ? !


    2)    Actuellement, le cerveau des émotions (propre à tous les mammifères) n’a-t-il pas pris le relais ? !


    L’exploitation tous azimuts et « toujours plus » (t. p.) habile des manques, frustrations, stress passagers du cerveau des émotions via la proposition t. p. alléchante de plaisirs compensatoires, ne constitue-t-elle pas le ressort de l’épanouissement de la Société de t. p. de consommation ? !


    3)    Quand le néocortex sera plus entraîné à fonctionner, quand l’homo sapiens aura assimilé les notions de « cycles » et « d’écosystèmes », la peur de la mort sera désamorcée et seulement alors la notion de « qualité » prévaudra sur celle de la « quantité » !

    A noter que, si la mort n’existait pas, nous serions actuellement entre 80 milliards d’individus (V. Yves Coppens) et 106 milliards (D’après Michel de Pracontal) !


    (*Sachant qu’en 2005, une étude comparative de notre génome et de celui du chimpanzé a révélé une différence voisine de 1 % ( ! ), qu’espérer ? !)


    Pour le moment l’attachement, la tombée en dépendance, se portent très bien … par périodes successives !


    **Dans l’Ère nouvelle, « L’homme vrai », par ex. aura à cœur de vivre dans la « dignité »


    Etant donné qu’il faut donner le temps au temps ou que chaque chose arrive en son temps, l’homo sapiens n’a réussi qu’à former une expression « La dignité humaine » et n’a pu dépasse le stade des mots ! ! !
    Quels sont les « hommes vrais » qui sont encore en liberté ou en vie ? ! C. à d. qui ne sont pas en prison dans une geôle d’un pays corrompu pour avoir manifester en réclamant la justice ou qui n’ont pas été exécutés sommairement par une garde royale ou autre ? !
    Sans sortir des frontières, quels sont ceux qui sont décédés suite à une grève de la faim entamée pour obtenir la fermeture immédiate des prisons « indignes » ? !


    Mais encore plus cocasse ou aberrant, en France notamment, a-t-on le droit de « mourir dignement » comme c’est le cas depuis de nombreuses années pour les animaux domestiques adoptés par des « bonnes familles » ? !
    N’est-il pas préférable d’être un chien ou un chat ayant de bons maîtres pour bénéficier d’une mort digne ? !

    Tous les partis politiques qui ont gouverné sont totalement responsables de cette aberration ! Peuvent être étiquetés comme constitués de bourreaux potentiels ! (Un exemple de taille : la Mère Boutin !)
    ***Les dits « socialistes » ne devraient-ils pas avoir honte de ne pas avoir institutionnalisé « l’euthanasie » pendant leurs années de pouvoir ? ! Ni même d’avoir retenu dans leur programme électoral de 2012 cette réforme comme prioritaire ? ! (Mais ce sont presque tous des cathos conditionnés par une scolarité dans des établissements religieux ! ! ! Et le comble, au lieu de se dire seulement chrétiens, ils cautionnent les agissements diaboliques de l’Eglise, des papes ayant béni l’Inquisition pendant des siècles en Espagne, la traite des nègres -V. le commerce triangulaire !-, le colonialisme !)


    4)    L’activation du néocortex n’implique-t-il pas des attitudes sortant de l’ordinaire ? !


    S’il réfléchit, abstrait, ne se limite pas à « Midi à sa porte », ne prend-il pas conscience de l’omniprésence du « principe de symétrie » ? !  Vie et mort, bien et mal, bon et mauvais, beau et laid, ne vont-ils pas de pair. Leur sens n’exige-t-il pas l’existence de leur négation ? !
    Seule la proportion n’est pas systématiquement 50/50. Elle se rapproche plus de la règle 20/80 ou de la distribution de Pareto.


    Il ne se contente pas d’éviter, d’essayer de rejeter, ce qui ne lui sied pas sans la curiosité de se poser des questions !


    On peut remarquer que dans les ouvrages présentant le bouddhisme, l’image des deux faces intrinsèques d’une pièce de monnaie traditionnelle est utilisée !


    Dans cette optique plus intelligente, les saveurs de la vie, du bon, du délicieux, du moche, de l’horreur, etc., ne changent-elles pas de statut, voire de dimension ? !


    Au lieu d’apprécier comme un enfant le « + » ressenti par le cerveau reptilien, par le cerveau des émotions (Rappel : chargé, entre autres, de la quête du bien-être et des plaisirs basiques), il analyse, relativise ! Il pénètre dans le monde des structures ! ! !


    Le sens de la liberté ou du libre-arbitre enfantin ne perd-il pas son caractère brut ? ! N’est-il pas  dérangé ? ! Confiné dans un champ d’application tout au moins nettement plus restreint ? !
    Plus et moins, gain et perte, victoire ou échec, ne perdent-ils pas leurs aspects antagoniques, belliqueux, agressifs, insupportables et « à détruire » ? !  Un peu comme la réaction « Cachez chez ce sein que je ne saurais voir » (Dans Tartuffe) qui exprime l’état d’une conscience bousculée par un éclair de lucidité ? !


    Le détachement prôné par le bouddhisme n’embrasse-t-il pas cette complexité ? ! N’est-  il pas une solution d’échappement à la dichotomie aussi intempestive que quasi permanente ? !


    5)    La notion de symétrie différée ou/et temporelle rejoint celles des cycles et des écosystèmes !

    Par ex., si on fête « l’anniversaire » de la naissance, on célèbre le fait que l’on vient de se rapprocher d’un an de la date d’accès à l’Après-vie ! (Ou de la fin du cycle !)
     
    On se rend compte que : -la mort est omniprésente, -la respiration de l’oxygène entraîne la mort de cette molécule ou plutôt la transformation de sa structure, -l’alimentation repose sur la mort d’organismes, -etc. !


    On ne préfère plus « naturellement », comme les singes, prendre de la hauteur (au 1er degré !) en cherchant à s’élever (ou se réfugier) en s’accrochant et en escaladant les branches constituées par les bouts de droites idéales croissant continuellement vers l’infini (ou le ciel) définies par la géométrie euclidienne scolaire. (Euclide ~ -325, -265) !


    En affinant un peu, les anciennes paraboles de la Bible : « L’homme a été créé à l’image de Dieu », des rationalistes obtenues en inversant l’ordre : « L’homme est un dieu en devenir » (Le D étant réduit à d !). ne font que se prolonger ! Le dualisme devenu le système binaire, les deux paradis (le terrestre et celui du ciel) se rejoignent !


    6)    Mais peu importerait si l’on saisissait que la dite vie devrait s’intituler « Jeu de la vie » …  (Ce thème a été abordé dans d’autres articles de ce blog. Sa conclusion est « Peu importe … puisque tout se rééquilibre le jeu terminé) 

    N. B. Les animaux carnivores se mangent entre eux. Cette forme d’élimination s’intègre dans les écosystèmes. Si nous ne pratiquons pas la même méthode, toutefois, l’amour sélectif (A deux) n’implique-t-il pas la délivrance ou l’octroi de privilèges aux élu(e)s, donc ne suscite-t-il pas des injustices, des rancœurs, des désirs de vengeance, des conflits, voire des guerres qui occasionnent des morts en grand nombre, voire des génocides ? !  L’amour (en dehors de celui du « Prochain » d’essence néocorticale) échappe-t-il à la bivalence !

    Les rationalistes du 21ème siècle ne sont pas tous plus éclairés que ceux du 20ème !

    Un ex. concret : Ils nient l’efficacité des « coupeurs de feu » puisque leur processus opérationnel est « irrationnel », les assimilent à des charlatans alors que dans certains hôpitaux, dès qu’une grand(e) brûlé(e) est accueilli(e), on téléphone à un coupeur de feu qui réussit à amoindrir très sensiblement la douleur !

    7) Le terme « fractal » qui  évoque la répétitivité, l’absence d’évolution, semble pouvoir nous caractériser, nous les homo sapiens !


    Il rentre dans l’hypothèse émise en l’année 2000 par des chercheurs reconnus (L. Nottale est un spécialiste des fractales et directeur de recherches au CNRS, J. Chaline est directeur de recherches en Biogéosciences de l’Université de bourgogne, P. Grou enseigne les sciences économiques à l’Université de Versailles-Saint-Quentin) suite à des recherches sur l’évolution à travers les âges de la Terre … et consignée dans un ouvrage « Les Arbres de l’évolution » Hachette. V. a. Internet)


  • La dimension 5 et les dimensions 3 et 4 !

     

    (Le masculin neutre sera employé)

     N. B. Si on demande aux homo sapiens ou aux dits hommes quelle est la dimension de leur espace de vie, leurs réponses révèlent pleinement leurs illusions.

    A priori, s’ils n’avaient pas fréquenté  les « espaces vectoriels », ils pourraient avoir du mal à répondre mais il en va autrement puisqu’ils connaissent l’expression « En 3 D » !

    -S’ils sont matérialistes, ne tenant pas compte du vecteur « temps » puisqu’habitués à ne calculer que dans le « court terme », ils répondent 3 (Comme en maths où les coordonnées d’un point sont fonction d’une longueur, largeur, hauteur)

    -Quelques uns, qui se veulent plus profonds d’esprit annoncent 4 en signalant le facteur « temps ». Mais ils se coupent immédiatement ou prouvent leur mensonge ou/et ignorance en n’ayant jamais pris conscience de la « vraie réalité » qui a pour caractéristique d’être quasiment « cyclique » entre deux moments de rupture ou de discontinuité !

    Concrètement, ils sont adeptes du raisonnement binaire, cartésien, basé sur le principe du tiers exclu. Comme les singes, ils s’accrochent aux branches, aux droites de la géométrie euclidienne qui « croissent » continument et indéfiniment (jusqu’à l’infini !)

    -Rares sont ceux qui ont intégré et assimilé que des tas de « trucs » sont et resteront incompréhensibles à nos petits cerveaux, c. à d. que tout ce qui existe en dimension 5 (et plus ? !) les dépassent ! Les nombreux croyants en une religion, en un Dieu, répliqueront qu’ils vivent en dimension 5 mais dans l’erreur totale, quoiqu’en toute « bonne foi » ! Voir ce qui suit !

    [[[Cet exercice s’adresse aux non mathématiciens, explicite simplement des propos concernant les limites mentales des homo sapiens (qui se croient créés à l’image de Dieu !).

    Il propose de disposer 6 allumettes (figurant 6 segments de même longueur) sur une table plate illustrant un plan de manière à configurer 4 triangles équilatéraux ayant pour côtés ces 6 segments.

    Si on est obligé d'abandonner la recherche de ce problème sans solution dans le plan (qui est de dimension 2 : en bref, longueur, largeur) ; l'idée consistant à décoller, à se mouvoir dans l'espace traditionnel (de dimension 3 : en bref, longueur, largeur, hauteur), aboutit de suite à la construction d'une pyramide triangulaire de type équilatérale formée des 4 triangles souhaités.

    ~~~~~~ N'est-il pas clair que l'organisme sans épaisseur se déplaçant sur un plan de dimension 2 ne peut pas avoir conscience de la notion de relief, inscrite seulement dans le système de dimension 3 ? !]]]

    N’est-il pas évident que nous ne voyons pas, ne sentons pas, n’avons pas conscience de tout ce qui nous entoure ? !

    L’exemple le plus clair est celui du cycle de la vie.

    Nous ne voulons pas comprendre l’intérêt de la mort alors que si nous ne mourrions pas, nous serions actuellement entre 80 milliards (V. Yves Coppens) et 106 milliards d’individus (V. Michel de Pracontal) ! Nous refusons donc de considérer la composante « temps » à sa juste valeur !

    Alors que la priorité devrait être accordée à l’aménagement au mieux de chaque séquence du parcours terrestre, notamment de la vieillesse et de la mort, tout est d’abord investi sur le jeunisme !

    *** Si on ne peut rien savoir sur la dimension 5, on peut néanmoins émettre des hypothèses, manier la logique par l’absurde, parier ! 

    -Pourquoi la répartition des richesses sur la planète est-elle voisine des 20 % de riches et 80 % de moins riches et pauvres ?

    -Pourquoi les forces de la nature sont incontrôlables et parfois dévastatrices ?

    -Pourquoi dans le cosmos comme au niveau des atomes tout s’entrechoque ?

    -Etc. !

    -On sait que le manque et le déséquilibre conduisent à la formation de motivations qui alimentent le moteur de la vie. Sans eux, il n’y aurait aucune réaction, action, mouvement, animation, vie ! On ne respirerait pas, ne s’alimenterait pas, ne se vêtirait pas, ne dormirait pas, etc. !

    « + » et « - » vont de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle !

    D'où, en toute subjectivité, le bien et le mal, le bon et le mauvais, voisinent en permanence !

    La notion de symétrie est présente presque partout !

    La notion de Jeu où on a envie de gagner, d’éviter de perdre, serait-elle étrangère au processus qui nous mène à la victoire, à la richesse, à la réussite mais aussi parfois en bateau ? !

    *N’est-on pas obligé d’admettre qu’on ne sait qu’une chose, c’est qu’on ne sait rien ? !

    Notre seule possibilité n’est-elle pas celle de sublimer, d’imaginer une harmonisation idéale dans un abandon de soi (en tant qu’élément) et dans la fusion dans un grand Ensemble … si tout n’est pas un non sens absolu, une absurdité inimaginable dans un Univers dont le mode de fonctionnement est au moins hyper complexe  ? !

     

    A un niveau intermédiaire, M. Henri Laborit définissait à sa façon « l’amour humain »

    C’est un extrait du livre « Éloge de la fuite » de Henri Laborit, d’abord chirurgien, puis chercheur en biologie, philosophe à ses temps perdus et visionnaire … (1914 - 1995) très connu ….

    « LE SEUL AMOUR QUI SOIT VRAIMENT HUMAIN,
    C’EST UN AMOUR IMAGINAIRE, c’est celui après lequel on court sa vie durant, qui trouve généralement son origine dans l’être aimé, mais qui n’en aura bientôt plus ni la taille, ni la
    forme palpable, ni la voix, pour devenir une véritable création, une image sans réalité.

    Alors, il ne faut surtout pas essayer de
    faire coïncider cette image avec l’être qui lui a donné naissance, qui lui n’est qu’un pauvre homme ou qu’une pauvre femme, qui a fort à faire avec son inconscient.

    C’est avec cet amour-là qu’il faut se gratifier, avec ce qu’on croit être et ce qui n’est pas, avec le désir et non avec la connaissance.

    Il faut se fermer les yeux, fuir le réel.

    Recréer le monde des dieux, de la poésie et de l’art ….

    Des scientifiques parlent de la théorie des cordes structurant l’Univers, de dimensions 10 et 11 … Peu n’importe-t-il pas pour nous, éléments de type Lambda ? !

    Xyzabcd !