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sisyphe - Page 5

  • L’Histoire du Père Noël ou/et son équivalent : celle du Paradis, ne se retrouvent-elles pas tapies et recherchées dans notre Inconscient d’ENFANT ? !

     

    Prouver le contraire serait-il réalisable ? !

    (… Le masculin neutre sera de rigueur)

    Si vous désiriez titiller un tout petit peu vos amis de Noël, ne pourriez-vous pas leur poser la question :

    Les religions ne se sont-elles pas construites sur l’image ou conte du « Paradis » accessible après la mort dans conditions  particulières ? !

    Sans lui, une religion serait-elle encore utile ? ! Quel serait son sens ? !

    Ce mode relationnel n’est-il pas précisément celui qu’emploient les parents ? ! Celui de la promesse : « Si …, alors … » ou encore la « politique de la carotte » (Avec ou sans bâton)

    Quant aux « athées », n’aiment-ils pas mettre en avant les mêmes présupposés dans la mesure, sans doute, où cela devrait leur permettre d’éviter tous les imprévus du type accidents, incidents, maladies, etc. ? ! (Mais avec quel succès !)

    ** La définition du « Paradis » n’est-elle pas plus que floue ? !

    À propos du « paradis » !

    Pour vous,  LE PARADIS, la carotte religieuse, KESAKO ? !

    Si jamais vous activiez votre néocortex, comment décririez-vous le « Paradis » ? !

    Des réponses m’intéresseraient

    En attendant, voici ce que j’entrevois …

    En supposant que le terme recouvre autre chose qu’un délire …, une distinction entre le « Paradis religieux » et le « paradis terrestre » promis par les rationalistes existerait.

    A) Dans le premier cas, faute de renseignements, il est difficile de s’avancer !

    Dans le contexte idéal mais respectant la structure de la vie telle qu’on la connaît, il n’y aurait plus aucun déséquilibre ou manque ! Nous ne dépendrions plus de l’air, ni de la nourriture, de la boisson, de la chaleur, du sommeil, etc.  !

    Alors, réagirions-nous encore inutilement ? ! Bougerions-nous ? ! Nous animerions-nous ? ! Vivrions-nous ? ! Les mots ne perdraient-ils pas leur intérêt ou utilité puisque tout irait toujours pour le mieux … ? !

    ~~~Vie et manques ne vont-ils pas de pair ? !

     Si les structures du Paradis étaient d’une dimension supérieure, impossible de savoir …

    B) Inversement, on peut imaginer ce que serait un paradis terrestre ! On ne serait pas déçu ! Mais pire … !

    Comme dans le cadre précédent, tout ne fonctionnerait-il pas selon les « 3 B » ? ! (Le Beau, le Bon, le Bien) !

    Au bout d’un certain temps, les mots « richesse », « imagination », etc., resteraient-ils encore significatifs ? ! 

    Aux « 3 B » pourraient d’abord succéder les « 3 TB » (Très …), OK !

    Mais, ensuite ? ! Les 3 TTB ? !

    Coluche ne parlait-il pas du « Plus blanc que blanc » en souriant et rigolant ? !

    Et tout ne tournerait-il pas en « eau de boudin » ou ne se terminerait-il pas, comme d’après la Bible, à vau-l’eau ? ! C. à d. en enfer paradisiaque puisqu’éternel ? ! En punition de Sisyphe mais à l’envers ? !

    En général, on évoque les diverses facettes divergentes d’un problème, d’une situation, les différentes interprétations possibles, voire antagoniques, voire l’effet de symétrie du miroir. Ici, quoique cela ne soit pas par « supersymétrie » (Terme de physique quantique hyper complexe réservé aux surdoués spécialistes), tout ne converge-t-il pas d’abord formidablement puis désespérément ? !

    N. B. Attention l’acronyme « 3 B » n’est pas univoque !

    Des gens pratiquent les 3 B (Bouffe, Boisson, Baise) et sont parfois considérés comme des Bonobos Boostés Baiseurs !

    ·         Feud ne notait-il pas que la métamorphose de l’adolescent en l’adulte passait par le meurtre symbolique du “’Père” ou l’émancipation des normes surannées, voire obsolètes ? !

    À suivre !

    Personnellement, je n’envisage pas du tout ce genre de scénario mais finalement : « peu importe » …  Dans les commentaires pourraient apparaître de nombreuses solutions échafaudées …

    N. B. Vous pourriez donc aussi expliquer à vos enfants :

    -que les personnes qui continuent à croire au Père Noël en vieillissant (Ou à son équivalent : le Paradis) sont beaucoup plus nombreuses que le prévoit le calcul mathématique binaire habituel … Ou qu’on ne devient pas adulte automatiquement avec l’âge !

    -Que les artistes revendiquent le droit de se présenter comme des « grands enfants »

    Xyzabcd…

     

     

    Bien sûr, il existe d’autres alternatives … La mienne, une parmi d’autres, a l’avantage d’aboutir sur une impression : La vie n’est qu’un Jeu hyper complexe … Nos petits cerveaux de dimension « n » ne peuvent en aucun cas accéder aux mystères de l’Univers qui sont d’une dimension supérieure … (En référence, se reporter à la démonstration mathématique concernant les espaces vectoriels et donc leurs dimensions …)

    [[[Pour les non initié(e)s, cet énoncé abstrait se décline tout simplement en une illustration accessible à tout un chacun :

    L’exercice propose de disposer 6 allumettes (figurant 6 segments de même longueur) sur une table plate illustrant un plan de manière à configurer 4 triangles équilatéraux ayant pour côtés ces 6 segments.
    Si on est obligé d'abandonner la recherche de ce problème sans solution dans le plan (qui est de dimension 2 : en bref, longueur, largeur) ; l'idée consistant à décoller, à se mouvoir dans l'espace traditionnel (de dimension 3 : en bref, longueur, largeur, hauteur), aboutit de suite à la construction d'une pyramide triangulaire de type équilatérale formée des 4 triangles souhaités.

    *N'est-il pas clair que l'organisme sans épaisseur se déplaçant sur un plan de dimension 2 ne peut pas avoir conscience de la notion de relief, inscrite seulement dans le système de dimension 3 ? ! Si vous viviez en dimension 5 (Largeur, longueur, hauteur, temps, vivant ou non) impossible de concevoir l’aménagement d’un espace de dimension supérieure !]]]

    Une fois sorti(e) du cycle de la vie terrestre, voire parfois de  « l’enfer du Jeu de la vie », je parie que tout devrait se rééquilibrer …

    La vie étant construite sur « les manques », la structure de Jeu ne s’impose-t-elle pas avec ses composantes : Peu de gagnants/beaucoup de perdants (Voir la distribution de Pareto plus connue sous la dénomination Règle des 20/80), voir aussi la théorie mathématique des jeux, le déterminisme chaotique (L’effet papillon), etc.) ? !

    N. B. Sans aller jusqu’au problème des dimensions, Freud n’a-t-il pas noté que la métamorphose de l’adolescence à l’état adulte (vrai !) passait par le meurtre symbolique du « Père », c. à d. par l’émancipation des normes surannées, voire obsolètes. Ce scénario n’est-il pas en train de s’ébaucher ? !

     

     

    Des personnes m’ont reproché mon abstraction ou le manque de clarté des propos, n’ont pas relié l’histoire du Père Noël et notre attitude habituelle, normale …

    Je vais tenter d’être plus concret !

    Ne peut-on pas admettre  (Rappel, comme Freud vers 1920 : principe de plaisir/principe de réalité) que nos actes sont tournés tout simplement vers la quête du bien-être ou plaisir ou bonheur, cette recherche pouvant emprunter à la démarche du rationalisme (Dite « logique » mais en  oubliant totalement que notre « logique binaire » n’est que rudimentaire,  c. à d.est  celle qui est appropriée au cerveau des enfants et des homo sapiens …) ? !

    A noter que, déjà, la logique du vivant ou de l’infiniment petit appelée « quantique » nous pose des tas de problèmes incompréhensibles ! Et, of course, il en existe d’autres mais bien plus complexes et donc inaccessibles (D’une dimension supérieure !)

    ***Globalement, croire ou souhaiter, espérer, etc., en quelque chose ne revient-il pas exactement, comme les gosses, à croire au Père Noël ? !

    Par ex. croire ou parier ou faire comme si (sans la moindre inquiétude, sans y penser) qu’il n’arrivera rien de grave dans 10 mn, ou demain lors d’une sortie ou dans un mois au ski, à la mer,  ou x ou y ou z, etc., ne revient-il pas à croire au Père Noël ? !

    -Tous les gens dits normaux ne vivent-ils pas de cette manière ? ! OUI !

    -Les autres ne sont-ils pas rangés parmi les pathologiques : les pessimistes, les dépressifs, etc. OUI !

    -Effectivement, ils se rendent malades parce qu’ils n’ont pas du tout compris les « règles du Jeu de la vie » mais surtout parce qu’ils jouent systématiquement « perdants » alors que dans tout jeu il y a les + et les -, etc. OUI !

    ---------- Mais cela dit, jouer toujours « gagnant » par optimisme n’est pas non plus la solution idéale ou du moindre risque !

    ---------- La preuve n’est-elle pas devenue plus qu’une preuve ? !  Une preuve² ? !

    ---------- Être intégré dans notre Société « Toujours plus (T. p.), cela ne consiste-t-il pas à faire t. p. confiance en l’avenir, au progrès, à foncer t. p. vite, avec les pollutions, le réchauffement du climat, la démographie en hausse, la baisse de la biodiversité, des matières premières, etc. comme le commandant du Titanic sur son navire insubmersible ? ! Droit vers le crash mondial et le changement d’ère ? !

     

  • Une VISION DE LA VIE, du « JEU DE LA VIE » (Une mise à jour 2012)

     Il me semble que le « manque » et le « déséquilibre » et la « vie » vont de pair ; qu’ils sont les composants des motivations qui alimentent le moteur de la vie.

                (Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, d’action, de mouvement, d’animation, de vie) (Henri Laborit, -biologiste célèbre décédé en 1995- le voyait ainsi)

                N’est-on pas obligé (Le masculin neutre sera utilisé) de « respirer », « manger », donc tuer des plantes ou des animaux ?

                La gestion d’un milieu fermé n’implique-t-elle pas la manifestation effective des écosystèmes, c. à d. celle d’agents de dégradation, d’élimination avant transformation et renaissance ? !

                Des êtres vivants, par définition, partiellement démunis, dans un milieu qui n’est pas spécialement accueillant ni hospitalier, n’ont-ils pas forcément tendance, dans l’espoir d’accéder à l’état de bien-être momentané, à la sécurité temporaire, à parier, miser ? A élaborer des tactiques, des stratégies pour vaincre les obstacles, les adversaires, pour ensuite consolider ces gains ?

                Dans ce cadre assez flou, excepté pour ceux qui prétendent connaître le « sens de la vie » (Les « croyants », les idéologues, les fanatiques, les rationalistes), la route à suivre est-elle claire ?

    Ces structures n’évoquent-elles pas celles qui organisent les jeux ?

    Un jeu ne « marche-t-il pas bien » quand peu de gagnants cohabitent pacifiquement avec une grande masse de perdants parce que liés par « l’espoir » de s’en sortir avec un peu de chance ? ! (A noter, en passant, que le « principe de symétrie », plus scientifique, se faufile ! Par ex. le sens d‘un mot n’exige-t-il pas l’existence de sa négation ? ! Les termes froid et chaud, léger et lourd, naissance et mort, etc., ne vont-ils pas de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle ? !)

                Si la proportion des gagnants était  trop élevée et donc des rapports trop modestes ou si celle des perdants ruinait l’intérêt de la participation, le jeu ne perdrait-il pas toute crédibilité ? Tout ne s’effondrerait-il pas ? Un autre jeu, plus élaboré mais reposant sur les mêmes attraits et risques ne prendrait-il pas alors la relève ?

    Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

                Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir. Les résignés et soumis  ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque). Les désabusés sont parfois amers.

    A NOTER que dans tous les cas, quels que soient le talent ou/et la force des acteurs en compétition, le grand Manège ne peut tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence des participants !

    C’est ainsi que plus synthétiquement, (la maturité aidant), on différencie ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du Jeu de ceux qui se précipitent dans l’espoir plus enfantin ou « adulescent » d’obtenir des récompenses !

    Mais on est contraint de considérer que ces derniers constituent parallèlement les éléments moteurs du Jeu, sont indispensables pour la bonne marche de l’ensemble ! Qu’il serait aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

    Il semble normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la curiosité, de la découverte, de l’apprentissage, etc.

    ·         N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » du plaisir du jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite heureuse dans l’après- vie !

    ·         En prenant du recul, sans doute que peu importe !

    ·         C’est ce qu’on peut espérer mais ce qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre mental étant trop petites ! Serions-nous les chefs-d’œuvre de l’Univers ou seulement des éléments de l’espèce pour le moment la plus complexe, celle des homo dits sapiens (sages !), celle dont le génome se différencie de moins de 1 % de celui du bonobo ? !

     Des remarques ! 

    L’emploi du mot « homme » associé  au terme « dignité » est-il facile ? ! Bien souvent, ne constate-t-on pas que les activations :

    -du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par tous les moyens),

    -du cerveau des émotions qui recherche automatiquement (sans forcément passer par l’analyse du néocortex) le plaisir,

    sont prédominantes ?  Où se trouve alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

                Le sens du principe de Pareto (ou règle des 20 % / 80 %) :

    -qui a d’abord été introduit, fin 19ième siècle, par un économiste pragmatique ayant observé qu’en général 20 % de la population aisée d’un pays voisinait plus ou moins pacifiquement avec les 80 % plus pauvres,

    -qui a pu être validé en tant qu’opérateur s’appliquant dans la physique des fluides et flux (v. Internet), est-il suffisamment recherché et valorisé ? !

     Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que chef-d'œuvre par la richesse, la diversité, la multiplicité, de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l'actrice ou l'acteur le plus doué(e) ?

    Si on revient sur l’expression « Jeu de la vie », n’évoque-t-elle pas aussi parfois « L’enfer du jeu » quand on s’y accroche désespérément. Certains ne rêvent-ils pas d’immortalité       alors que tout est structurellement quasiment « cyclique » (entre les points ou moments de     rupture de la physique quantique …) ?  ! Presque comme dans la Bible mais à une symétrie près puisque les déchus étaient condamnés éternellement et ne pouvaient s’échapper !