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notion de manque

  • Le manque ! La notion trop oubliée ! Et pourtant fondamentale !

    Henri Laborit (Biologiste et philosophe), vers les années 1970,  m’a fait prendre conscience (V. par ex. l’ouvrage « Biologie et structure ») que la « vie » et le « déséquilibre » vont de pair !

     

    Sans aucun besoin, dans le paradis idéal où tout baignerait encore plus que dans le ventre de la mère, respirerions-nous ? ! Nous alimenterions-nous ? ! Dormirions-nous ? ! Réagirions-nous ? ! Nous animerions-nous ? !

     

    ***Le « manque », le déséquilibre, ne constituent-ils pas à la source des motivations qui alimentent le moteur de la vie ? !

     

    *******Faute de saisir le sens du « manque », n’est-on pas tenté de chercher « toujours plus » et ne tombe-t-on pas sous l’addiction de même nom !

     

    Notre Société n’est-elle pas totalement piégée, droguée …. Ne marche-t-elle pas « toujours plus » sur la tête ? !

     

    Je viens d’ajouter ce texte parce que d’autres articles sur ce sujet, plus détaillés, par ex :

     

    (La notion de MANQUE n’est-elle pas escamotée, délaissée ? ! Pourquoi ? ! Et les conséquences ! ! ! 20/10/2012) sont relégués tout à la fin, au bout de x pages (x> 10)

     

    Xyzabcd …

     

     

     

  • La notion de MANQUE n’est-elle pas escamotée, délaissée ? ! Pourquoi ? ! Et les conséquences ! ! !

                                (Le masculin neutre sera utilisé)

     

    Ne serait-elle pas pourtant essentielle ? !

     

    Cet ajout est la suite d’une consultation d’Internet !

     

    Son sens VITAL n’est pas répertorié (Tout au moins dans les premières pages …)

     

    On est orienté vers manque matériel, de confiance, etc. mais l’association au mot « vie » est absente !

     

    A  décharge, c’est Henri Laborit (Biologiste et philosophe) qui vers les années 1970 m’a fait prendre conscience (V. par ex. l’ouvrage « Biologie et structure ») que la « vie » et le « déséquilibre » vont de pair !

     

    Sans aucun besoin, dans le paradis idéal où tout baignerait encore plus que dans le ventre de la mère, respirerions-nous ? ! Nous alimenterions-nous ? ! Dormirions-nous ? ! Réagirions-nous ? ! Nous animerions-nous ? !

     

    Le « manque », le déséquilibre, ne constituent-ils pas à la source des motivations qui alimentent le moteur de la vie ? !

     

    La moindre cellule ne suit-elle pas le « principe d’homéostasie » (C. à d. ne s’arrange-t-elle pas pour que son état de déséquilibre relatif demeure au dessus du seuil létal ? !

     

    À partir du règne des reptiles, un cerveau (dit primitif ou reptilien ou le premier) n’active-t-il pas l’instinct de survie (De conservation et de reproduction) ? !

     

    Tous les mammifères ne sont-ils pas dotés d’un « cerveau des émotions » qui assure le pilotage automatique (Enregistre et mémorise tous les événements en leur attribuant un label qualitatif selon leurs côtés plus ou moins agréables ou désagréables) via les conditionnements (normes ou habitudes, morale, surmoi, etc.), qui est chargé de la quête du bien être ou de la sécurité ou des plaisirs basiques ? !

     

    Seul l’homo dit sapiens (sage ! ! !) ne bénéficie-t-il pas d’un néocortex qui permet d’anticiper, d’imaginer, d’analyser, de symboliser, d’abstraire, c. à d. de réfléchir à long terme ? !

     

    Quand la « notion de manque », qui est majeure, est-elle abordée ? !

     

    Dès la prime enfance, pendant l’éducation, à l’école, au lycée ? ! Nenni ! ! !

     

    ~ Ne devrait-elle pas être considérée comme l’ambivalence fondamentale du moteur de la vie ? ! N’est-elle pas refoulée ? !

     

    Durant les siècles précédents, concernant la complicité entre des dominants et les Eglises ou les chefs des religions qui ont prêché les vertus de la pauvreté pour mieux régner en s’enrichissant..., tout a déjà été relevé, dénoncé … Inutile de rajouter quoi que ce soit !

     

    Le problème « capital » du « capitalisme ! » et « toujours plus » (t. p.) actuel et t. p. insoluble n’est-il pas précisément celui qui est le nœud (le ker ou noyau) de notre Société appelée jusqu’à il y a quelques années « Société de consommation » avant d’être étiquetée « Société T. p. » par analogie avec sa tombée dans l’addiction de cette impulsion ? !

     

    Le seul ressort de l’épanouissement de la Société de consommation n’est-il pas l’exploitation t. p. habile des manques momentanés, frustrations, stress, ressentis par le « cerveau des émotions » qui, gérant le pilotage automatique (Voir l’enregistrement des événements, la mémorisation qualitative en liaison avec l’impression plus ou moins agréable ou désagréable, les conditionnements, normes, morale, surmoi, etc.), est aussi chargé de la quête du bien-être ou/et de la sécurité et des plaisirs basiques selon un processus « analogique », c. à d. uniquement  en relation directe avec sa boîte de données amassées durant le vécu !

     

    ~~ Cette seconde composante du cerveau qui équipe tous les mammifères n’analyse pas ! Cette faculté est réservée au « néocortex » qui anticipe, imagine, compare, symbolise, abstrait, prend du recul, « réfléchit ! »

     

    Si l’objectif était et reste sans ambages, le résultat est inexorable !

     

    Des plaisirs compensatoires sont t. p. proposés astucieusement et maintenant par  t. p. de médias envahissant t. p. le paysage et naturel et mental. Comme l’effet s’estompe dès qu’ils sont atteints, consommés, la tentation du renouvellement de l’opération d’achat est forte et t. p. nombreux sont les personnes ou/et les couples qui se jettent dans le piège : voir les surendettements partout et surtout dans les îles britanniques et encore plus aux USA ! N’est-ce pas la bulle immobilière enflant t. p. en 2007 (Quoique notre Zorro national en correspondance constante avec Dieu n’ait rien entendu ni prévu ! ! !) qui a provoqué la crise financière de 2008 ? !

     

    Et comme tous les Etats (Ou presque) dépensent t. p. et au dessus de leurs moyens, la dette ou/et le manque d’argent sont devenus catastrophiques, l’équivalent de l’iceberg rencontré par le Titanic !

     

    ~~~ En plus, si jamais la « Croissance » pouvait revenir, cela impliquerait t. p. d’augmentation de pollutions industrielles et t. p. de dégradation de l’environnement de la planète !

     

    ·         Si nous n’étions pas devant le problème de la quadrature du cercle, quelle serait notre situation ? !

     

    -          Un changement de dimension permet de surmonter l’obstacle !

     

    -          La théorie de l’évolution de Darwin n’existe-elle pas ? ! Pourquoi ne pas s’en saisir, la comprendre, l’assimiler ? !

     

    On sait depuis 2005 que nous ne sommes plus les chefs-d’œuvre de l’Univers, que nous ne sommes pas créés à l’image de Dieu, que cette histoire de père Noël pour enfants est définitivement obsolète, que notre génome se différencie de celui du chimpanzé d’environ    1 %, que nous sommes plutôt des sortes de « bonobos boostés » ! ! !

     

    Bien sûr, cette découverte étant irrecevable autant pour les croyants que pour les rationalistes cartésiens s’étant contentés se symétriser la parabole chrétienne en : « L’homme est un dieu en devenir » (Le D perdant de sa hauteur et étant réduit au minuscule d !), l’homo sapiens en profita pour révéler ou confirmer aussi sa caractéristique « fractale » (C. à d. sa tendance à la répétitivité en l’absence d’évolution possible …) et tous, en chœur, unissant leurs cœurs, communiant, l’enterrèrent dans un silence assourdissant ! ! !

     

    C’était l’occasion rêvée de mettre les pendules à l’heure !  Les jeux sont faits ! It is the end ! Exit !

     

    On n’a pas non plus intégré la notion de « cycle » omniprésente qui aurait bouleversé la priorité, conduit à l’aménagement au mieux de chaque phase du parcours terrestre, notamment la vieillesse et la mort ou l’entrée dans l’après vie !

     

    A noter que la philosophie bouddhiste (~ - 500) était toutefois  consciente de l’impermanence du monde, de l’intérêt de vivre avec le « manque » et, sinon de le maîtriser, d’essayer de le concilier avec un modus vivendi afin d’éviter la souffrance …

     

    En supplément occasionnel secondaire mais on ne peut plus concret …

     

     Le succès d’un livre porno-soft « Cinquante nuances  de Grief » ne constitue-t-il pas une « énième  preuve »  que nous fonctionnons :

     

    - 1) en privilégiant le cerveau des émotions,

     

    - 2) en n’ayant même pas encore osé pénétrer ouvertement et explorer le domaine de la sexualité, bridés par les interdits ancestraux, les visions sulfureuses qui s’en dégagent,

     

    - 3) donc en n’analysant pas ce qui ressortirait de la méditation sur les émotions, les ressentis primaires ? ! (Ce qui a fait la fortune de Freud et de la psychanalyse !)

     

    *** Cette inadaptation t. p. désastreuse ou/et cette ignorance sur ce que nous sommes,  faute d’utiliser authentiquement et sérieusement notre néocortex ne valoriserait-elle pas la vision d’André Malraux : « Le 21ième siècle sera spirituel ou ne sera pas », si on la traduisait par :  «  … sera néocortical ou ne se terminera pas » ? ! Serait-elle t. p. en train de se dévaluer ou l’inverse ? !

     

    Peu n’importe-t-il pas … vu de l’après-vie ? !

     

    Ce ne sera certainement pas l’avis le plus général mais « peu importe » !

     

    (Dans mon petit cinéma mental sans aucune prétention …, nous sommes engagés dans un  « Jeu de la vie » impossible à démystifier … Il faut peu de gagnants et beaucoup de perdants ayant soif de réussir pour que le Jeu « marche bien ». Le principe ou loi de Pareto ou règle des 20/80 (Cette équation a été vérifiée dans la physique des fluides et des flux avant, ensuite …, d’être mathématisée sous le nom de « Distribution de Pareto ») semble pouvoir s’appliquer à ce Jeu …, remet en cause la notion de liberté …, est compatible avec la théorie du déterminisme chaotique, etc.

     

    Le tout n’est même pas incompatible avec l’essentiel de la religion chrétienne : « Pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23.34) mais pourrait être lu comme une synthèse !

     

    Quant à l’islam, au 21ième siècle, pourquoi ne pas se taire et éviter d’être égorgé si on est un homme, lapidée si on est une femme, condamné(e) par une fatwa … ? ! Leur problème particulier non résolu (donc le second) n’est-il pas, comme par hasard,  celui de la sexualité ? !

     

    Une dernière galéjade ou le détail qui tue !

     

    En 2007, les Français n’ont-ils pas élu un président qui venait de déclarer à M. Onfray (Un philosophe à la mode) : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même » (V. Internet !) ? ! Cela ne se traduit-il pas par : C’est Dieu qui nous mène. Il suffit donc d’écouter ses messages, c. à d. son instinct, ses intuitions ? ! (À l’époque, Quel journaliste, responsable, a créé un buzz ? !)Et n’ont-ils pas manqué de le réélire en 2012 … ? !

     

    En empruntant au Tao beaucoup plus ancien : ne prête-t-on pas à Lao-Tseu la phrase « L’homme qui parle ne sait pas, l’homme qui sait ne parle pas » (Ndlr. Ou ne parle plus) …

     

    Xyzabcd !