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Santé - Page 99

  • Des tas de raisons de voter Sarkozy et contre l’euthanasie !

     

     

    Personnel débordé, patients négligés : à Poissy, l’hôpital « part en sucette »

    Ramses Kefi | Journaliste SOS 02/05/2012 à 12h52   RUE 89

     


    ImprimerVictime d’une logique de réduction des coûts – encore plus criante en banlieue – voulue par la loi Bachelot, cet hôpital des Yvelines « fait flipper ».

     

    Mariam, 26 ans, jure qu’elle pourrait « balancer » des dizaines d’histoires sur l’hôpital de Poissy (Yvelines). Si elle était « friquée », elle ne mettrait pas les pieds dans « cette cour des Miracles ». Qu’elle irait se faire soigner à la clinique, « pour échapper à la descente aux enfers du public ».

    Elle raconte les cinq heures passées avec son père, en janvier dernier, aux urgences de Poissy :

    « C’est un vieillard. Le pauvre grelottait. On avait mis son lit près des toilettes, parce qu’il n’y avait plus de place. L’odeur, le froid étaient insupportables.

    On ne lui avait donné qu’un drap pour se couvrir. J’ai demandé des couvertures, on m’a dit qu’il y en avait pas. J’ai demandé d’autres draps, on m’a dit la même chose. J’ai gueulé, puis je me suis rendu compte que tout le monde s’en foutait. Cela paraissait presque normal. Cet hosto fait flipper. »

    « Une ambiance de mauvais polar »

    En 1997, l’hôpital de Poissy a fusionné avec celui de la ville voisine de Saint-Germain-en-Laye, formant l’une des structures hospitalières les plus importantes d’Ile-de-France : environ 4 000 personnes employées, 1 200 lits, pour un bassin de population de plus de 600 000 habitants. L’une des plus mal gérées et des plus tourmentées aussi. La première préoccupation des personnes rencontrées est d’éviter à tout prix cet établissement.

    En plus des énormes dettes et du déficit de l’établissement, un rapport de la Direction départementale des affaires sanitaires sociales (DDASS) a mis en lumière, en 2009, des malversations et des irrégularités dans l’attribution de marchés publics. Le point de départ de plusieurs enquêtes et d’un long feuilleton.

    Directeurs évincés, procédures judiciaires qui traînent, soupçons autour de politiciens locaux et, récemment, projet de déménagement de l’établissement dans la commune voisine de Chambourcy mis en suspens.

    Début 2011, Le Point décrivait un hôpital où « l’intérêt du patient passe en second », Le Parisien « une ambiance de mauvais polar » et « un gâchis ».

    « En sortant, tu ne sais pas si tu as été bien soigné »

    Le mot « gâchis » reviendra plusieurs fois dans la bouche de Mariam, qui ne veut cependant pas accabler le personnel dans son témoignage :

    « En regardant les aides-soignants, les infirmières et les médecins, on comprend qu’ils n’y peuvent pas grand-chose. Tu y entres et en sortant, tu ne sais même pas si tu as été bien soigné. »

    Lucile Cranney, infirmière et membre du syndicat SUD de l’hôpital, confirme : « Cet hôpital part en sucette. »

    Sur les urgences de Poissy, régulièrement pointées du doigt par les usagers, elle dira qu’elles sont à l’image de l’établissement :

    « Les locaux des urgences ne sont même plus adaptés puisqu’avec la fermeture pour raison économique de celles de Saint-Germain-en-Laye la nuit et les week-ends, nous devons tout assumer. Sans moyens humains et économiques supplémentaires. »

    Khadija, 52 ans, habite « dans le coin » depuis 1984. Opérée du pied en 2010, puis de la hanche en 2011, elle soupire :

    « Les médecins n’ont même plus le temps de communiquer, ni de vous expliquer correctement, car une seule chose les obsède : vous réexpédier chez vous par tous les moyens, parfois sans diagnostic.

    J’ai connu cet hôpital dans les années 80 et 90. Je peux dire sans trop m’avancer que les conditions pour les patients étaient meilleures. »

    Absentéisme et dépression chez le personnel

    Le récit de Florent, 29 ans, originaire de la commune voisine d’Achères, est le même. A quelques mots près :

    « C’était un week-end en début d’année. J’avais chopé la mononucléose. J’étais à bout. Je l’ai appris par mon médecin traitant le lundi, qui ne m’a pas cru quand je lui ai dit qu’à Poissy, le samedi soir, ils m’avaient prescrit du Doliprane et du repos.

    Le médecin qui m’a ausculté là-bas était plus crevé que moi. Il n’avait qu’une envie : que je dégage. »

    « Le personnel qui a des diplômes et qui peut se vendre ailleurs s’enfuit, sans vraiment être remplacé », glisse Lucile Cranney. La fuite du personnel, des compétences, mais pas seulement :

    « La politique du chiffre à court terme, c’est plus de contractuels, plus de CDD. Parmi les médecins aux urgences, beaucoup ne sont que vacataires. Le taux d’absentéisme est important, celui de dépression aussi. Les rapports avec la nouvelle direction sont très compliqués. [...]

    On a oublié les desseins premiers de l’hôpital. C’est devenu une entreprise comme une autre. On parle de santé là ! »

    « Les économies ne se font jamais au détriment des usagers »

    Si le nouveau directeur de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain, Yves Bloch, reconnaît une baisse du « personnel non qualifié », il refuse néanmoins de lier le malaise des patients et du personnel à la situation économique de l’établissement :

    « Tous les établissements doivent faire avec le budget serré, mais les économies ne se font jamais au détriment des usagers. Il est clair néanmoins que nous ne travaillons pas dans les conditions matérielles que nous voudrions, bien que notre ambition soit d’être toujours au niveau. »

    Il se projette vers 2014 et l’ouverture, hypothétique, d’un nouveau bâtiment, plus grand, plus adapté pour accueillir les urgences de Poissy. Dit que dans certains cas, l’urgentiste est dans l’impossibilité d’établir un diagnostic clair, « parce que les choses mettent parfois plusieurs jours à être visibles ». Qu’’il reçoit, parfois, des lettres de remerciements.

    Supprimer la loi Bachelot

    Je lui fais part de certains témoignages. Celui de Mariam notamment. L’histoire des couvertures :

    « Je ne nie pas les difficultés et m’en excuse d’ailleurs auprès des patients. [...]

    Sans remettre en cause les réclamations, il est vrai aussi que lorsque que quelqu’un vient aux urgences, il s’attend – et c’est humain – que l’on s’occupe de lui tout de suite. Il voit tout négativement, parce que son état l’y encourage. »

    En septembre 2011, un collectif regroupant usagers, personnel de l’hôpital et associations s’est formé pour la défense de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain. Il milite, entre autres, pour la réouverture 24 heures sur 24 des urgences de Saint-Germain-en-Laye et la suppression de la loi Hôpital, patients, santé et territoires de 2008, promulguée pour ramener l’hôpital public à l’équilibre budgétaire.

    « Demain, il n’y aura peut-être plus d’hôpital public »

    Fabienne Lauret, retraitée et membre du collectif, dénonce une volonté « très claire » de sacrifier « le public au profit du privé » et de booster l’activité des cliniques :

    « On met en concurrence les hôpitaux et on privatise les services les plus rentables de l’hôpital public. On ne prend ni en compte les besoins de la population, ni ceux du personnel.

    On est dans une logique de réduction des coûts complètement aveugle, décidée arbitrairement, sans aucune concertation. »

    Dans Le Courrier des Yvelines du 7 décembre 2011, les mots de Christian Lehmann, écrivain et médecin généraliste à Poissy, étaient plus durs :

    « Il est peut-être déjà trop tard. Demain, il n’y aura plus de médecine tournée vers l’individu, plus de médecine générale, plus d’hôpital public. Vous serez soignés comme vous avez été vaccinés contre H1N1. Un mélange d’étatisme et d’incompétence. »

    Banlieues : « Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire »

    Joselyne Rousseau et Josselyne Buruchian | Présidentes de l’Association des Professionnels Libéraux de Santé de Pierrefitte et de Stains


    Présidentes de l’Association des professionnels libéraux de santé de Pierrefitte et de Stains (Seine-Saint-Denis), nous dénonçons depuis douze ans les problèmes d’insécurité que rencontrent les praticiens de santé de proximité de ces villes. Ces violences, commises par des mineurs, souvent armés, aggravent de façon considérable la désertification médicale et para-médicale de nos communes, mettant en péril l’équilibre déjà précaire de la santé de proximité sur ce territoire.

    En 2011, ces deux communes ont perdu 10% de leurs professionnels de santé. Avec un médecin libéral pour 3 000 habitants (la moyenne étant de 1/1000), Pierrefitte est reconnue comme un véritable « désert médical ».

    Nous, professionnels de santé, sommes incontournables :

    • dans le maintien à domicile de patients présentant des pathologies complexes et des personnes âgées ou en fin de vie ;
    • dans l’alerte sur la résurgence de maladies graves (tuberculose, saturnisme) ou d’éventuelles épidémies locales ;
    • à l’heure où les urgences des hôpitaux sont engorgées, nous assurons un rôle de premier recours dans les situations sensibles et constituons de ce fait un facteur important de cohésion sociale.

    Les politiques se renvoient la balle

    Depuis novembre 2009, nous ne cessons d’interpeller les pouvoirs publics sur notre rôle sanitaire et social. En vain.

    En avril 2011, nous avons rencontré le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, qui nous a assuré que la désertification médicale n’était pas une fatalité et qu’il avait besoin que nous restions. Mais en dehors de ces bonnes paroles rien d’effectif n’a été entrepris.

    En juin 2011, nous avons rencontré le directeur de l’Agence régionale de santé, Claude Evin qui, hormis la création de maisons médicales ne nous propose rien de concret.

    En désespoir de cause, en janvier 2012, nous avons une nouvelle fois écrit au président Sarkozy... qui nous a renvoyés à Xavier Bertrand... qui nous a dirigés vers Claude Evin. La boucle est bouclée !

    Finalement, nous avons rencontré le 7 mars dernier, la conseillère technique de Xavier Bertrand. Que nous propose-t-on ? Encore et toujours des maisons pluridisciplinaires qui ne sont ni une solution rapide à mettre en place, ni une solution aux agressions. Cela ne résoudra en rien le problème des visites à domicile.

    Enfin elle nous a clairement annoncé que si nous ne voulions plus assurer notre mission, nous étions libres de partir. D’ailleurs, d’autres professionnels de santé étrangers n’hésiteraient pas à venir dans nos banlieues, nous dit-on. Expérience déjà tentée, or les dits professionnels ne sont pas restés pour autant sur leur lieu d’exercice.

    Parallèlement, nous avons contacté Jean-Marie Le Guen, responsable des questions de santé au Parti socialiste, qui nous a dirigés vers un responsable de son parti. Vérification faite ce responsable n’est pas connu en France !

    Lutter contre l’insécurité et la désertification

    Où se situe l’égalité dans l’accès aux soins tant demandée par tous les candidats politiques ? En douze ans, nous avons obtenu un carnet de sécurité, un numéro dédié à dix chiffres, un référent santé au commissariat que les professionnels de santé avertissent en cas d’agression.

    Tout cela est loin d’être efficient, notamment en prévention des agressions. Ce que nous réclamons :

    Pour assurer notre sécurité :

    • un numéro dédié à quatre chiffres ;
    • la mise en place de bips de sécurité en cas de danger ou d’agression ;
    • une vidéosurveillance à des points stratégiques afin de créer un maillage ;
    • un meilleur éclairage de nos communes (certaines rues sont de vrais « coupe-gorge »).

    Pour lutter contre la désertification :

    • des mesures fiscales pour maintenir le maigre tissu de proximité de santé libéral existant sur le territoire ;
    • la reconnaissance de nos agressions en accident de travail…

    Que deviendra dans un très proche avenir cette population laissée à l’abandon une fois que le tissu libéral de proximité aura définitivement disparu en raison de l’indifférence générale de nos « irresponsables politiques » ?

    Nos limites sont largement atteintes : il y a urgence ! L’hémorragie de professionnels de santé ne sera plus rattrapable ! Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire !

    Xyzabcd !

     

  • Une autre présentation du spectacle de la vie !

     

    (Le masculin neutre sera de rigueur)

    En schématisant au maximum, à la manière cartésienne ou binaire, Il y a des privilégiés, des riches, des défavorisés, des pauvres.

     

    [[[A noter que Pareto (un économiste de la fin du 19ième siècle) avait même pu observer que souvent, dans de nombreux pays occidentaux, 20 % de privilégiés bénéficiaient d’environ 80 % des ressources. Le bilan du Programme des Nations Unies pour le Développement  (PNUD), en 1999, indique : Les écarts pays riches/pays pauvres se creusent encore 20% de la population mondiale (des pays les plus riches) contrôle 86% du PNB. Depuis, cela empiré ! ! ! Voir Wissal SEGRAOUI    L’Economiste : 13-07-1999]]]

    -On constate que dans le règne animal, la loi du plus fort ou de la jungle régule la vie.

    -Pourquoi ne pas comparer ceux qui ne se préoccupent que de leur bien-être, de leurs intérêts personnels immédiats, au comportement des animaux dominants qui réagissent à partir de leur cerveau reptilien et cerveau des émotions (Ne bénéficiant pas du néocortex) ?

    -Echappons-nous aux champs d’investigations de Darwin ? ! Et à ses observations ? !

    L’expression « La dignité humaine » ne se traduit-elle pas en prenant exactement le contre-pied de la définition précédente ? !

    C. Q. F. D. (Oui / Non ? !)

    Ne reste-t-il pas à relire Darwin ? ! Notamment les notions de sélection naturelle, de « régulation naturelle » ? ! Oui ou peut-être !

     

    *Mais, on peut obtenir des informations beaucoup plus modernes, affinées, élaborées en utilisant l’apport des fractales, consignées dans l’ouvrage « Les arbres de l’évolution » (Hachette, 2000) de Laurent Nottale, Jean Chaline, Pierre Grou. Il suffit d’inscrire le titre du livre sur le serveur d’Internet pour obtenir le contenu de l’Hypothèse 2080 ! 

    Xyzabcd

  • Le témoignage d’un retraité, via deux événements (significatifs de 2012. (Cela intéressera peut-être des sociologues !)

     

    2 jours avant le 1er tour de la présidentielle, le 20/14/12

    Il s’évalue  privilégié (en tant que prof à la retraite) et prétend ne pas être un « bobo » ! … Quoique peu importe … !

     

    11) Moustique tigre : Portrait d’un migrant inquiétant  Actu France-Soir 19/04/12 (Qu'ils attaquent tous les bobos qui collaborent avec le Système !)

    Psychologie et santé

    Venu d’Asie, le moustique tigre est entré en Europe en suivant les hommes, notamment dans les avions. En France, ce vecteur de maladies graves, comme le chikungunya, est attesté dans plusieurs zones. L’institut de veille sanitaire vient de mettre en place une surveillance spéciale sur les côtes de l’ouest du pays.

    Le moustique tigre est suspecté de se répandre dans l'ouest de la France AFP

    Son nom scientifique est Aedes albopictus. Le moustique tigre, ainsi appelé pour ses pattes rayées, est originaire d’Asie du sud-est. Depuis plusieurs années il se répand dans bien d’autres régions du monde, notamment en Amérique, en Afrique et plus récemment en Europe. En France, il s’est installé dans les Alpes-Maritimes, dans le Var, à Marseille, dans le bassin d’Arcachon. Il est soupçonné dans d’autres régions.

    Le moustique tigre, pur produit de la nature, a réussi son expansion à la faveur des transports mis en place par les hommes. Il voyage à bord des bateaux et des avions. C’est grâce à l’homme qu’il peut se répandre dans le monde entier. Ce moustique est par ailleurs hors normes. Comme tous les moustiques, ce sont les femelles qui piquent, mais ce sont elles aussi qui pondent des centaines d’œufs dans des eaux stagnantes et engendrent chacune une prolifique descendance.

    Cliquez ici !Il résiste aux insecticides

    Plus inquiétant, le moustique tigre véhicule des maladies graves. Il est notamment le responsable d’épidémies de chikungunya en Afrique mais aussi de dengue et de maladies virales. Il est très résistant aux insecticides. Il semblerait même qu’aucun d’entre eux ne soit capable de le détruire. La seule manière de lutter contre lui est de répandre dans la nature des mâles stériles pour féconder les femelles. Une technique qui a fait ses preuves sur d’autres espèces de moustiques. 

    Aedes ablopictus pique tous les animaux à sang chaud (mammifères et oiseaux), mais il semble préférer les hommes, puisque des études ont montré que lorsqu’il a le choix entre des animaux et des hommes, il se porte majoritairement sur ces derniers. Par ailleurs, dans les endroits où il s’installe, il éradique les autres espèces de moustiques. Et contrairement à ces dernières, il pique tout le temps, aussi bien de jour que de nuit. Pour l’instant il n’a pas provoqué dans notre pays d’épidémie, mais chez nos voisins italiens, cela s’est produit en 2007.

    22 ) En France, on vit moins longtemps en bonne santé (NDLR. Sans euthanasie et avec la crise, bonjour le retour des mouroirs du 19ème siècle« Bien fait pour leurs gueules ! » En fait, l’alimentation industrielle est en train de nous empoisonner à petit feu !)

    Cet admirable grand-père fait mentir l'étude de l'Ined. (Photo Régis Duvignau. Reuters)

    Par LIBÉRATION.FR

    En France, les femmes ont une bonne espérance de vie, plus élevée qu’ailleurs en Europe. Mais, vivent en moins bonne santé… Depuis quelques années, la France connaît en effet un recul de ce qu’on appelle «l’espérance de vie sans incapacité», révèle ce jeudi une étude de l’Institut national des études démographiques (Ined), qui compare les données des 27 pays de l'Union européenne.

    L'indicateur : l’EVSI

    EVSI pour «Espérance de vie sans incapacité». C’est un indicateur important des politiques européennes qui sert à «apprécier la qualité de la vie et l’état de santé fonctionnel des Européens». Cet indicateur est obtenu en décomposant l’espérance de vie en deux espérances de santé, avec et sans incapacité.

    L’incapacité est mesurée dans une enquête annuelle, coordonnée par Eurostat au travers des réponses à une question générale : dans quelle mesure avez vous été limité(e) depuis au moins 6 mois, à cause d’un problème de santé, dans les activités que les gens font habituellement ?

    L’EVSI en baisse en France depuis 2006

    La France, qui affiche l’espérance de vie la plus longue pour les femmes en 2010 (85,3 ans), connaît un léger recul de l’espérance de vie en bonne santé depuis quelques années. Elle occupe la 10e place dans le classement européen.

    La tendance française rejoint celle d’autres pays européens qui ont comme elle des espérances de vie élevées, note l’Ined. «Dans les pays où l’espérance de vie est déjà élevée, les gains d’années de vie se font aux âges les plus élevés, donc lorsqu’on est en moins bonne santé», commente l’auteur de l’étude, Jean-Marie Robine, pour expliquer cette dichotomie.

    Le grand écart entre les femmes et les hommes

    Elément intéressant : «Alors que l’écart d’espérance de vie entre les hommes et les femmes atteint près de six années dans l’Union européenne, l’écart d’espérance de vie sans incapacité atteint à peine une demiannée. Si bien que la proportion des années vécues sans incapacité est inférieure de 5 points (– 4.9) chez les femmes en comparaison avec les hommes (75 % versus 80 %).»

    Si l’on se concentre sur le cas de la France, on observe qu'en 2010, les hommes pouvaient espérer vivre en bonne santé 79,1% de leur espérance de vie totale (78,2 ans) contre 80,6% en 2008. Les femmes peuvent espérer vivre en bonne santé 74,4% de leur existence (76,1% en 2008). Dit autrement, l’espérance de vie sans incapacité des hommes est de 61,9 ans en 2010, et de 63,5 ans pour les femmes.

    La Suède en haut du classement européen

    C’est en Suède que l’EVSI est la plus longue d’Europe : 71,7 ans pour les hommes tandis que la République slovaque a la plus courte (52,3 ans). Chez les femmes, ce sont les Maltaises qui ont les meilleures perspectives de vie en bonne santé : 71,6 ans tandis que, comme pour les hommes, c’est la République slovaque qui a l’EVSI la plus courte : 52,1 ans.

    Mais pour les deux sexes, si l’on prend en compte la période récente (2008-2010), les écarts se réduisent entre les pays. Ainsi, pour les hommes, la Lituanie voit son EVSI augmenter le plus, de près de trois ans (à 57,7 ans), alors que les Pays-Bas affichent la plus forte baisse (-1,3 an, à 61,1 ans).

    Et chez les femmes, c’est toujours la Lituanie qui voit son espérance de vie sans incapacité (EVSI) augmenter le plus (2,4 ans, à 62,3 ans), alors que c’est la Finlande qui cette fois affiche la plus forte baisse (-1,7 année, à 57,8 ans). «Il y a donc des tendances à la convergence des espérances de santé en Europe» pour les hommes comme pour les femmes, en conclut l’Ined.

    A. N. B. Amusons-nous bien en attendant la fin très prochaine de cette civilisation religieuse et l’arrivée …. d’une ère nouvelle où les « hommes vrais » remplaceront les « homo dits sapiens » ! ! ! 

    Quant-à moi, le départ demain vers l'après-vie serait très bien vécu, un gain !  Et pourtant le suis encore en pleine forme (Jogging, natation, roller, yoga, etc.).

    Alors que les enfants rêvent d'être des Sisyphe en puissance ... ! ! !

    La suite est une copie d’un mail adressé à quelques personnes … Dans la mesure où il pourrait, par son contenu, intéresser des sociologues  

    (J'ai 67 ans, avant prof de maths collège puis documentaliste pour élargir le paysage ...Au calme près d’une plage du Nord-Pas -de-Calais, voyant la mer d'une petite terrasse, ne dépassant plus le centre ville (Courses…), excepté aux environs de la Toussaint pour … !) 

     

     ENFIN ! Des tas d'indices concrets et tous azimuts commencent à indiquer le "début de la fin" de cette Civilisation religieuse et capitaliste, celui qui s’est déclenché symboliquement en MAI 68 ! (Formidable révolte ! J'avais 24 ans ...)

    * Cette date sera retenue par les historiens de l'ère prochaine en tant que 1er craquement de la digue du barrage judéo-chrétien !

    ** Après l’élection 2012, quel que soit le gagnant perdant (Ou l'inverse !), DSK, dans quelques mois, commencera à apprécier sa chance au second degré !

    Le scénario ne ressemblera pas à celui de la vie sur un long fleuve tranquille !

    En tant que retraité de 67 ans privilégié, autonome, sportif, pratiquant quotidiennement le yoga, je fréquente le moins possible les bobos (bien gentils mais demeurés à la phase de l'adulescence, c. à d. ayant soif de plaisirs ou petits plaisirs, etc., c. à d. de « conneries » (Au sens propre et figuré) tout en entretenant des rapports courtois et amicaux. Je ne crois pas en la liberté ! On ne choisit pas d’être X ou Y ou Z même si on peut le croire (Et surtout si on le croit !)

    *** J'écoute en ce moment sur  la  5 (Le V. 20/04/12) « C'est dans l'air »! M. Sarkozy  s'adresse à ceux et celles qui « veulent retourner la table » et se croit malin en expliquant qu'ils ne résoudront rien, ne feront que la retourner sur eux !

    **** Il a presque compris le « Le Monsieur cartésien, chrétien et rationaliste » sauf qu'il se place dans son petit monde de nantis où « la vie est belle » et où on a peur de la mort puisque dépendant de cerveau reptilien et du cerveau des émotions ayant soif de plaisirs basiques et plus !

    IL N'ARRIVE PAS À IMAGINER L'EXISTENCE OU L'ECLOSION des RAPTAGS : ceux qui n'ont Plus Rien À Perdre mais Tout À Gagner en organisant des coups, quitte à mourir sous les balles de la police toujours plus débordée ... ILS VONT DE MULTIPLIER !

    CE RAISONNEMENT n'est-il pas évident si on n'a pas l'esprit conditionné par la Société de consommation « Toujours plus » ? !

     Pourtant ceci est très rare dans le sens où des tas de dits progressistes, humanistes, ont une mentalité qui n'a pas évolué depuis le marxisme rationaliste : v. Mélenchon, Poutou, Arthaud, Besancenot, la Gauche, les Verts, etc. ! ! ! Pour eux/elles : Si …, alors… ! (Tout est simple,  rationnel, comme on raisonne à l’école !)

    ***** V. par ex. à Metz : un retraité de 89 ans retrouvé mort ligoté et bâillonné (Le 19/04/2012 Montigny-lès-Metz (Moselle) © IDE La Dépêche

    Ils seront bientôt tout étonnés d'être victimes d'home-jackings, de car-jackings, d'attaques dans la rue et ailleurs.

    ****** Ils ne comprendront pas plus que les gosses qu'ils sont à l'origine de ces phénomènes, les créateurs ou les complices !  

    Mais comment leur reprocher quoi que ce soit puisque notre génome se différencie de celui du bonobo d'environ 1 % !

    Xyzabcd …