Quelques remarques d’un « con » qui, lui, au moins, en a conscience !
L’expression « conne » existe aussi mais je ne crois pas du tout qu’elle soit aussi expressive, voire vraie !
Seul le côté "mâle" sera pris en compte ... !
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L’expression « conne » existe aussi mais je ne crois pas du tout qu’elle soit aussi expressive, voire vraie !
Seul le côté "mâle" sera pris en compte ... !
Sait-on jamais !
Ne serait-il pas cocasse qu’une petite vidéo enflammât soudainement l’esprit des vacancier(e)s ? ! À l’instar des feux de forêt(s) d’été 2017 et plus ? !
D’où l’envoi de ce petit document (accompagné d’un second commentaire) concernant la qualité de vie, donc la fin et le départ si possible dans la « dignité humaine » ! !
LE PRÉALABLE
0) Interpréter ce texte comme une critique serait une erreur au second degré dans la mesure où le souhait de l’arrivée d’une ère nouvelle implique que tout aille de mal en pis ! Qu’on tombe de Charybde et Scylla, que tout se dégrade toujours plus (t. p.) vite ! Le 1%+ a fait plus que son temps ! Il doit disparaître ! Et le plus vite sera le mieux ! Qu’il « s’éclate » donc t. p. en dévastant t. p. !
A) Un texte primé d’une adolescente !
Justine Vanbatten, 17 ans, a écrit ce texte en faveur de l'euthanasie dans le cadre d'un concours de plaidoiries pour jeunes lycéens à l'issue duquel la future étudiante en médecine a été sélectionnée.
Euthanasie: "Pour que ma mort m'appartienne"
Euthanasie: "Pour que ma mort m'appartienne" - L'Express
Express Yourself. Euthanasie: "Pour que ma mort m'appartienne" www.lexpress.fr/.../euthanasie-pour-que-ma-mort-m-appartienne...
Justine Vanbatten, publié le 09/07/2017 à 13:55 , mis à jour à 22:03
L'humain doit-il être seul décideur des droits associés à son corps? C'est la question que soulève Justine, lycéenne de 17 ans, qui plaide en faveur de l'euthanasie. Tribune.
Imaginez-vous, être subitement touché d'un mal qui vous empêcherait de vivre. Imaginez-vous, dans un lit d'hôpital. Votre corps ne répond plus, vous êtes là sans l'être vraiment. Le malheur vous a frappé, vous êtes la victime d'un terrible accident ou d'une maladie. Le regard vide, vous fixez l'heure. Inlassablement, vous attendez... Vous attendez que cette vie que vous chérissiez par le passé touche à sa fin.
Physiquement mort, mais mentalement présent, vous ne pouvez que regarder votre corps se dégrader et vos forces s'amenuiser. Chaque jour passé devient un véritable calvaire: aucune alternative ni médicaments ne peut vous venir en aide.
Votre vie n'est désormais que routine. Le matin, vous attendez le bonjour de l'infirmière avant d'assister aux allées et venues des médecins. La contemplation de votre chambre si vide et dépourvue de couleurs est devenue votre principale occupation. Et alors que vous scrutez le moindre rire ou la moindre parole pour embellir votre journée, rien ne se produit. Pas un bruit ne vint à retentir pour bercer ces tristes couloirs.
"Nous sommes toutes ces personnes négligées par la justice"
La visite de vos proches vous apporte du réconfort, mais devient néanmoins une épreuve grandissante. Dans leurs yeux, vous êtes capable de voir et de ressentir cet espoir et ce malheur qu'ils ont lorsqu'ils vous regardent. Vous aimeriez les aider, ne plus avoir à les regarder souffrir. Mais comment leur dire qu'aucune possibilité de rémission n'est à attendre? Que vous êtes condamné et que ce n'est qu'une question de temps?
Nous sommes Chantal, nous sommes Vincent, nous sommes toutes ces personnes négligées par la justice.
Ne trouvez-vous pas malheureux qu'une femme, atteinte d'une tumeur très rare ayant perdu l'odorat, le goût et la vue, se voit refuser son envie d'en finir? Qu'on s'acharne sur un homme dans un état végétatif n'étant plus capable de vivre seul? N'éprouvez-vous aucune empathie lorsque vous prenez conscience du destin tragique de ces victimes? (Le bleu noble, monarchique ecclésiastique, de tous les usurpateurs de la religion ici chrétienne ! ! !)
Tendez l'oreille, ne serait-ce qu'un bref instant. Écoutez la souffrance et la demande de celui qui est allongé dans le lit. Ne parlez pas en son nom et épargnez-lui les tourments d'une fin de vie misérable si tel est son choix. Car pour ces malades, l'euthanasie ne représente pas seulement la fin d'une vie, elle représente une véritable libération, la fin de grandes souffrances.
"Mourir dignement"
De nos jours, il existe la loi Leonetti autorisant l'arrêt des soins visant à nous maintenir en vie, ou retarder notre mort. Est-ce suffisant? Les lois ne devraient-elles pas être reconsidérées en vue de la souffrance occasionnée et de la lenteur de ce procédé? 80% de la population française est en faveur de la révision de cette loi, mais aucune modification n'est pourtant envisagée. Dans nos vies routinières et agréables, nous ne voyons pas le soulagement que la mort peut apporter dans de terribles situations.
Henri Caillavet (politique et ancien président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité) disait: "La vie m'a été imposée, je n'ai pas demandé à naître. Par contre, je suis libre de me donner la mort lorsque je le souhaite." Son idée illustre parfaitement la définition de la liberté individuelle: l'humain doit être seul décideur des droits associés à son corps, y compris lorsqu'il décide de mourir dignement, dans les conditions qu'il a choisies. Car là est justement la dignité: agir selon sa conscience, sa volonté, fixer soi-même les limites de sa propre condition de femme ou d'homme.
"Des victimes trop souvent oubliées"
Mais qu'en est-il? La mort nous fait peur et l'idée qu'une personne puisse donner la mort à une autre dérange. L'article 38 du Code de Santé Publique, qui indique que le médecin ne possède pas le droit de provoquer délibérément la mort, sans offrir de solution pour les victimes d'agonies prolongées. Mais l'Ordre des Médecins invoque un devoir d'humanité et souhaite un changement, qui verra probablement le jour dans quelques années. Du moins, nous pouvons l'espérer, car, bien que le sujet soit encore tabou dans de nombreux pays, la question de l'euthanasie subsiste et n'a jamais été aussi présente dans les esprits.
Nous sommes Chantal, nous sommes Vincent, nous sommes toutes ces personnes dont le choix sera un jour entendu et dont la volonté sera respectée.
LIRE AUSSI >> Relaxe pour Jean Mercier, l'octogénaire qui avait aidé sa femme à mourir
Nous sommes et nous ne cesserons d'être les porte-paroles de ces victimes trop souvent oubliées. Pour qu'un jour, dans quelques années, nous puissions tous partir l'âme en paix. Le débat est et restera ouvert afin que chacun contribue à apporter une marque de changement ou de compassion pour ces malades, tous plus courageux les uns que les autres.
B) LA DÉFINITION du mot « IMPOSTURE »
Du vieux Petit Robert : Action de tromper par des discours, mensonges, des fausses apparences
LE CONSTAT
Effectivement, tout ne se passe-t-il pas comme si le « néocortex » de l’homo sapiens était resté bloqué, inhibé, coincé par des tabous s’étant métamorphosés en conditionnements ? !
(En passant, à quoi servirait l’introduction de l’excroissance corticale ou néocortex si elle ne servait pas à réfléchir, c. à d. à prendre du recul, douter, remettre en cause, comparer, analyser, synthétiser, abstraire, symboliser, etc. ? ! Est-ce que c’est ce que conseille une religion ? ! Sinon, les autres animaux, non dotés de ce matériel high-tech, ne vivent-ils pas leur vie, sans protester outre mesure, sans se suicider ? !
Ici encore, contrairement à ce qu’on peut plutôt croire que penser, l’usage du néocortex en question fournit la réponse logique au problème précédemment posé ! Voir le détail dans le chapitre suivant !
L’IMPOSTURE de 2005
Un bilan scientifique a mis en évidence une différenciation de 1 % entre le génome de l’homo sapiens et celui du chimpanzé !
Le poids des normes, des croyances, de suite, a conduit à l’enterrement de ce résultat trop iconoclaste, anéantissant tous les fantasmes (« L’homme a été créé à l’image de Dieu » et « L’homme est un dieu en devenir » pour les rationalistes) !
Les croyant(e)s ont reçu sans doute ce message de Dieu comme un faux ou une cyber attaque satanique ! Et les rationalistes n’ont pas eu le courage d’atterrir ! De mettre les horloges à l’heure !
À décharge ou en tant que justification, que peut-on exiger de sérieux d’un « 1%+ » ? !
Sinon qu’il se renie constamment selon .... ? !
L’IMPOSTURE de 2007
Quelles sont les personnalités qui sont montées au créneau pour ne pas devenir les complices du second assassinat de Socrate (En direct, devant M. M. Onfray) par le candidat Sarkozy ? :
[[[V. Internet : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même » Michel Onfray : Dans la peau de Nicolas Sarkozy )]]]
(En clair, la traduction n’est-elle pas du type : C’est Dieu qui nous conduit. Il suffit d’écouter ses messages, donc son instinct et ses intuitions ? !)
Notre pseudo-philosophe, Luc Ferry, est resté coi ! Il désirait un poste ! Actuellement, il s’est reconverti dans la BD philosophique pour enfants ! Et il a été récupéré par le transhumaniste Laurent Alexandre ! ! !
L’IMPOSTURE de 2011
Les scientifiques « branché(e)s ont appris en 2011 que le néocortex fonctionne dans la « REDONDANCE » (Sous-entendu, ne peut fonctionner dans la durabilité que dans la redondance ! V. Internet ...)
N’est-il pas simple de relever la symétrie existant avec la marche à flux t. p. tendu de la Société vivant sous l’addiction « T. P.» dans le but et l’obligation de minimiser t. p. les frais, les dettes ; pour rester t. p. compétitive ? !
(Pourquoi ont-ils délibérément rejeté les lois de la Nature en décrétant que l’homo sapiens peut les défier ? !)
Vers 2008, les 80 % de matière blanche entourant la matière grise, d’abord considérée comme secondaire, voire inutile, a été réhabilitée.
Vers 2011, les 90 % d’ADN non-codant, appelés « poubelle », a connu la même promotion.
Il est résulté que la matière blanche et l’ADN non-codant étaient indispensables, transmettaient des informations, comblaient des microfailles, jouaient le rôle de liants (Un peu comme l’huile permet à des pièces mécaniques de mieux glisser) « régulaient » l’ensemble, en assuraient la « pérennité ».
L’IMPOSTURE de 2016 (Moins conséquente, M. Jean-Luc Romero n’étant pas président de la République !)
Voici son texte envoyé aux adhérent(e)s ! Ce qui a provoqué immédiatement mon départ !
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