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liberté - Page 7

  • Une VISION DE LA VIE, du « JEU DE LA VIE » (Une mise à jour 2012)

     Il me semble que le « manque » et le « déséquilibre » et la « vie » vont de pair ; qu’ils sont les composants des motivations qui alimentent le moteur de la vie.

                (Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, d’action, de mouvement, d’animation, de vie) (Henri Laborit, -biologiste célèbre décédé en 1995- le voyait ainsi)

                N’est-on pas obligé (Le masculin neutre sera utilisé) de « respirer », « manger », donc tuer des plantes ou des animaux ?

                La gestion d’un milieu fermé n’implique-t-elle pas la manifestation effective des écosystèmes, c. à d. celle d’agents de dégradation, d’élimination avant transformation et renaissance ? !

                Des êtres vivants, par définition, partiellement démunis, dans un milieu qui n’est pas spécialement accueillant ni hospitalier, n’ont-ils pas forcément tendance, dans l’espoir d’accéder à l’état de bien-être momentané, à la sécurité temporaire, à parier, miser ? A élaborer des tactiques, des stratégies pour vaincre les obstacles, les adversaires, pour ensuite consolider ces gains ?

                Dans ce cadre assez flou, excepté pour ceux qui prétendent connaître le « sens de la vie » (Les « croyants », les idéologues, les fanatiques, les rationalistes), la route à suivre est-elle claire ?

    Ces structures n’évoquent-elles pas celles qui organisent les jeux ?

    Un jeu ne « marche-t-il pas bien » quand peu de gagnants cohabitent pacifiquement avec une grande masse de perdants parce que liés par « l’espoir » de s’en sortir avec un peu de chance ? ! (A noter, en passant, que le « principe de symétrie », plus scientifique, se faufile ! Par ex. le sens d‘un mot n’exige-t-il pas l’existence de sa négation ? ! Les termes froid et chaud, léger et lourd, naissance et mort, etc., ne vont-ils pas de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle ? !)

                Si la proportion des gagnants était  trop élevée et donc des rapports trop modestes ou si celle des perdants ruinait l’intérêt de la participation, le jeu ne perdrait-il pas toute crédibilité ? Tout ne s’effondrerait-il pas ? Un autre jeu, plus élaboré mais reposant sur les mêmes attraits et risques ne prendrait-il pas alors la relève ?

    Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

                Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir. Les résignés et soumis  ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque). Les désabusés sont parfois amers.

    A NOTER que dans tous les cas, quels que soient le talent ou/et la force des acteurs en compétition, le grand Manège ne peut tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence des participants !

    C’est ainsi que plus synthétiquement, (la maturité aidant), on différencie ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du Jeu de ceux qui se précipitent dans l’espoir plus enfantin ou « adulescent » d’obtenir des récompenses !

    Mais on est contraint de considérer que ces derniers constituent parallèlement les éléments moteurs du Jeu, sont indispensables pour la bonne marche de l’ensemble ! Qu’il serait aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

    Il semble normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la curiosité, de la découverte, de l’apprentissage, etc.

    ·         N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » du plaisir du jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite heureuse dans l’après- vie !

    ·         En prenant du recul, sans doute que peu importe !

    ·         C’est ce qu’on peut espérer mais ce qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre mental étant trop petites ! Serions-nous les chefs-d’œuvre de l’Univers ou seulement des éléments de l’espèce pour le moment la plus complexe, celle des homo dits sapiens (sages !), celle dont le génome se différencie de moins de 1 % de celui du bonobo ? !

     Des remarques ! 

    L’emploi du mot « homme » associé  au terme « dignité » est-il facile ? ! Bien souvent, ne constate-t-on pas que les activations :

    -du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par tous les moyens),

    -du cerveau des émotions qui recherche automatiquement (sans forcément passer par l’analyse du néocortex) le plaisir,

    sont prédominantes ?  Où se trouve alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

                Le sens du principe de Pareto (ou règle des 20 % / 80 %) :

    -qui a d’abord été introduit, fin 19ième siècle, par un économiste pragmatique ayant observé qu’en général 20 % de la population aisée d’un pays voisinait plus ou moins pacifiquement avec les 80 % plus pauvres,

    -qui a pu être validé en tant qu’opérateur s’appliquant dans la physique des fluides et flux (v. Internet), est-il suffisamment recherché et valorisé ? !

     Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que chef-d'œuvre par la richesse, la diversité, la multiplicité, de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l'actrice ou l'acteur le plus doué(e) ?

    Si on revient sur l’expression « Jeu de la vie », n’évoque-t-elle pas aussi parfois « L’enfer du jeu » quand on s’y accroche désespérément. Certains ne rêvent-ils pas d’immortalité       alors que tout est structurellement quasiment « cyclique » (entre les points ou moments de     rupture de la physique quantique …) ?  ! Presque comme dans la Bible mais à une symétrie près puisque les déchus étaient condamnés éternellement et ne pouvaient s’échapper !

  • Le principe de symétrie et l’homo sapiens (Dit homme) ! ! !

    Chez l’homo sapiens, si le néocortex est activé, c. à d. s’il prend la peine de réfléchir (vraiment !), d’abstraire, de ne pas se limiter à « Midi à sa porte », il prend conscience de l’omniprésence du « principe de symétrie » : Vie et mort, bien et mal, bon et mauvais, beau et laid, vont de pair. Leur sens exige l’existence de leur négation !

    Seule la proportion n’est pas systématiquement 50/50. Elle se rapproche plus de la règle 20/80 ou de la distribution de Pareto.


    Mais combien d’entre-nous ne se contentent pas d’éviter, d’essayer de rejeter, ce qui ne leur sied pas sans la curiosité de se poser des questions (néocorticales !) ? !


    Dans les ouvrages présentant le bouddhisme, l’image des deux faces intrinsèques d’une pièce de monnaie traditionnelle est utilisée !


    Dans cette optique plus intelligente, les saveurs de la vie, du bon, du délicieux, du moche, de l’horreur, etc., ne changent-elles pas de statut, voire de dimension ? !


    Au lieu d’apprécier comme un enfant le « + » ressenti -par le cerveau reptilien (ou primitif) qui gère l’instinct de survie ou de conservation, -par le cerveau des émotions qui est chargé (entre autres) de la quête du bien-être et des plaisirs basiques, on analyse, relativise ! On pénètre dans le monde des structures ! ! !

    Le sens de la liberté ou du libre-arbitre enfantin ne perd-il pas son caractère brut ? ! N’est-il pas  dérangé ? ! Confiné dans un champ d’application tout au moins nettement plus restreint ? !

    Plus et moins, gain et perte, victoire ou échec, ne perdent-ils pas leurs aspects antagoniques, belliqueux, agressifs, insupportables et « à détruire » ? !  Un peu comme la réaction « Cachez chez ce sein que je ne saurais voir » (Dans Tartuffe) qui exprime l’état d’une conscience bousculée par un éclair de lucidité ? !


    Le détachement prôné par le bouddhisme n’embrasse-t-il pas cette réalité complexe ? !  N’est-il pas une solution d’échappement à la dichotomie aussi intempestive que quasi permanente ? !


    A noter qu’une deuxième notion fondamentale et parente : « Le cycle » est totalement écartée ! La notion de symétrie différée ou/et temporelle, voisine de celles du cycle et des écosystèmes ne nous est-elle pas encore plus étrangère ? !


    Par ex., si on fête « l’anniversaire » de la naissance, on ne célèbre pas le fait que l’on vient de se rapprocher d’un an de la date d’accès à l’Après-vie ! (Ou de la fin du cycle !)
     En toute inconscience, on refuse cette image aussi réelle !


    Ne nous rendons-nous pas (plus que rarement !) compte que : -la mort est omniprésente, -la respiration de l’oxygène entraîne la mort de cette molécule ou plutôt la transformation de sa structure, -l’alimentation repose sur la mort d’organismes, -etc. ? !


    Depuis 2005, l’évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé a permis de  nous  identifier « objectivement ». La différence étant d’environ 1 %, que peut-on espérer ? !


    Nous préférons « naturellement », comme les singes, prendre de la hauteur (au 1er degré !) en cherchant à nous élever (ou nous réfugier) en nous accrochant et en escaladant les branches constituées par les bouts de droites idéales croissant continuellement vers l’infini (ou le ciel) définies par la géométrie euclidienne scolaire. (Euclide ~ -325, -265) !


    Si les croyant(e)s et les rationalistes sont a priori opposé(e)s, ils/elles sont des êtres « fractal(e)s » qui se sont rejoint(e)s en décidant à l’unanimité d’enterrer ce bilan sans aucun commentaire !

    En affinant un peu, on passe des premiers : « L’homme a été créé à l’image de Dieu » aux seconds, en inversant l’ordre : « L’homme est un dieu en devenir » (Le D étant réduit à d !). Ils se prolongent ! Le dualisme est devenu le système binaire, les deux paradis (le terrestre et celui du ciel) se rejoignent!


    Est-ce que bien connaître quelque chose est possible sans avoir analysé sa négation ou son éventuel symétrique ? !


    Est-ce qu’un animal qui ne se reconnaît pas dans un miroir est dans la pleine réalité ? !


    Mais peu importerait si l’on saisissait que la dite vie devrait s’intituler « Jeu de la vie » …


    N. B. Les animaux carnivores se mangent entre eux. Cette forme d’élimination s’intègre dans les écosystèmes. Si nous ne pratiquons pas la même méthode, toutefois, l’amour sélectif (A deux) n’implique-t-il pas la délivrance ou l’octroi de privilèges aux élu(e)s, donc ne suscite-t-il pas des injustices, des rancœurs, des désirs de vengeance, des conflits, voire des guerres qui occasionnent des morts en grand nombre, voire des génocides ? !  L’amour (en dehors de celui du « Prochain » d’essence néocorticale) échappe-t-il à la bivalence !


    Les rationalistes du 21ème siècle ne sont pas tous plus éclairés que ceux du 20ème !


    Un ex. concret : Ils nient l’efficacité des « coupeurs de feu » puisque leur processus opérationnel est « irrationnel », les assimilent à des charlatans alors que dans certains hôpitaux, dès qu’une grand(e) brûlé(e) est accueilli(e), on téléphone à un coupeur de feu qui réussit à amoindrir très sensiblement la douleur !

    (Le terme « fractal »  évoque la répétitivité, l’absence d’évolution)

    Xyzabcd !

  • Les différences entre la Gauche et la Droite en France d’après M. Sylvain Bosselet !

    Et si elles étaient aussi les plus « bêtes » du Monde ? !

    Mais probablement que je ne comprends rien à la politique ni  au reste ...

    Des commentaires sur la dite gauche et la droite à partir d'un article d'Atlantico de Sylvain Bosselet

     

    Extraits de On ne parle pas de politique à table ! De Sylvain Bosselet, Bréal (novembre 2011)

     Publié le 17 décembre 2011 par  Atlantico, de Sylvain Bosselet

     DES EXTRAITS et d’autres commentaires

     Petit traité philosophique du clivage gauche-droite (Ndlr. -Le masculin neutre sera utilisé- Les militants des deux tendances ne se veulent-ils pas cartésiens et donc n'ont-ils pas une mentalité binaire ou ne sont-ils pas  des purs homo sapiens ? !)

    Opposition 

    Quel est le sens profond de la distinction entre la gauche et la droite ? Quelles sont leurs valeurs respectives ? Pourquoi voter à gauche ou à droite ? Dans son livre "On ne parle pas de politique à table !", Sylvain Bosselet explique pourquoi la vie politique est un vrai champ de bataille. Extraits (1/2).

    Aux racines des deux pôles politiques, l’état de nature est posé en hypothèse. La gauche l’interprète positivement, comme bonheur originel, liberté absolue, égalité et absence de propriété. (Ndlr. Elle continue à croire au Père Noël !)

    La droite le perçoit négativement, comme malheur initial, guerre permanente et aliénante, égalité ressentie comme injuste, et impossibilité de jouir de ses biens. (Ndlr. Plus objectivement, elle active son cerveau reptilien animal et donc se comporte plus « naturellement » et efficacement)

    Le contrat social et l’état de société qui s’ensuit engendrent selon la gauche une crise provisoire, mais nécessaire, pour la droite un consensus salvateur et définitif, à maintenir à tout prix. La gauche attend un autre état à venir, radicalement différent (révolution), à nouveau  heureux, avec une liberté absolue (par autolimitation) et une égalité de droit, voire de fait.

    La droite n’attend pas un avenir radicalement différent, qu’elle juge utopique. Elle préfère conserver ses acquis concrets et poursuivre en paix l’enrichissement de l’homme, en travaillant à transformer la nature à son avantage. (Ndlr. En toute inconscience ou mauvaise foi –v. Sartre et « L’Être te le néant »-, elle (se) raconte des histoires, surtout aux plus faibles, en faisant semblant de jouer à « l’homme vrai ou digne » tout en travaillant à conserver ses avantages)

    À partir de ce principe, la gauche et la droite interpréteront très différemment les thèmes politiques, qui n’ont souvent de commun que le nom. L’application de leurs présupposés antagonistes à ces thèmes engendre des valeurs différentes.

    La liberté - Selon la gauche, la liberté réside dans un rapport interne et spirituel à la loi. Elle correspond à une sensation originaire de l’état de nature. (Elle demeure imprégnée ou conditionnée par le judéo-christianisme) L’état de société la bride momentanément, mais elle reviendra grandie à l’avenir, comme adéquation avec soi-même, la nature et les hommes.

    En revanche, la droite voit dans la liberté une possibilité externe et physique, qui comporte comme condition la sécurité (de déplacement), et s’applique principalement aux domaines du commerce, de l’enrichissement, etc., où l’État ne doit pas se montrer oppressant. (C’est, bien sûr, pour elle la liberté du plus fort, celles de la poule et du renard dans une basse-cour)

    La sécurité - D’après la gauche, la sécurité se trouverait naturellement assurée sans les différences de richesses qui suscitent l’envie. (Croyant toujours que  l’homo sapiens est un être rationnel, leséchecs des différentes révolutions ne leur ont rien appris !)De son point de vue, la violence est suscitée par les inégalités, ressenties comme injustes.

    À droite, l’insécurité trouve simplement sa cause dans l’agressivité naturelle de l’homme, que la société doit sans cesse combattre. (Elle est sans contestation possible bien plus réaliste que la dite Gauche !)Le but est de la maîtriser grâce à des rapports de force et une hiérarchisation par le mérite. Et surtout, la sécurité demeure la condition de la liberté. Elle prévaut, quitte à restreindre occasionnellement la liberté.

    L'ordre - La gauche perçoit négativement l’ordre (comme hiérarchisation). Bien qu’elle admette sa nécessité transitoire, elle peut le contester à tout moment, voire le renverser. La droite envisage l’ordre positivement, comme un rapport qui ne peut s’établir sans la sécurité. (Même commentaire)

    La propriété - Fondamentalement, la gauche considère la propriété et les richesses comme mauvaises, aussi doit-elle les encadrer sérieusement par des lois, voire les abolir à terme. La droite les juge bonnes en soi. Elle cherche à les garantir par des lois adaptées et de l’ordre. (Le problème de la Gauche consiste à confondre constamment les qualités de l’homme vrai et les pulsions des cerveaux des émotions et reptilien de l’homo sapiens !)

    Le lien social - La fraternité, la solidarité semblent naturels et premiers à la gauche. Ces valeurs priment sur l’argent, l’ordre, la sécurité et la propriété. À l’inverse, la droite encadre spontanément le lien social dans une hiérarchie. Elle le structure avec des lois, qui se fondent sur le respect des traditions, c’est-à-dire la conservation de l’ordre durement acquis face à une nature (humaine) toujours menaçante. (Même commentaire)

    La justice - La justice reçoit à son tour deux interprétations profondément opposées. La gauche la juge au nom de l’égalité (de droit, voire de fait), ou encore de l’équité selon les besoins. ( ! )

    La droite l’évalue à l’aune de l’équité, d’après le mérite et le travail consenti, le tout dans le respect absolu du contrat social. Enfreindre ce dernier (en particulier voler) suscite une vive condamnation à droite, et appelle la répression. La gauche lui préfère souvent la prévention, pour permettre à la bonne nature en nous de s’exprimer.

    Ndlr. ! En tous les points … la Droite est plus proche de la nature et de la réalité, c. à d. des règles animales. Son seul programme se résume à promettre une « Loi de la jungle » un peu améliorée (plutôt qu’humanisée !)

    ~~~ Mais sa vision animale la perdra aussi dans la mesure où bientôt les 9 millions de Terriens cherchant à consommer … ne pourront que  polluer plus, que détruire plus l’équilibre écologique de la planète, etc. (Déjà répété x fois !)

    En contrepartie, la gauche se prend pour ce qu’elle n’est pas ! Et elle n’a eu qu’une hâte en 2005 : enterrer le bilan de l’évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé, c. à d.  la différence voisine de 1 % ! Essayer de cacher que nous ne sommes que des « bonobos boostés » ! ! !

    Cela ne lui a pas réussi puisqu’elle dispose depuis le 14 mai 2011 de son étalon de pointure internationale : DSK ! Celui qui aurait dû se présenter à la présidentielle de 2012 ! ! !

    En  contrepoint, M. Sarkozy a réussi à se faire élire en osant déclarer « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même », en ne créant aucun buzz (Ni avant ni après le scrutin ! ! !)

    ~~~~~~  Et si en France la gauche et la droite  étaient les plus « bêtes » du Monde ? !

    THAT IS THE QUESTION !