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religion - Page 33

  • Sarkozy-Boutin, 06/05/12, Une descente aux enfers pour Laurette ! Sinon, une fin à la Cendrillon !

     

    A quoi tient une vie ? ! Encore au 21ième siècle, à une SORCIERE ! ! !

    Voir son visage hideux sur l’écran TV …évoquant celui du bourreau se délectant dans son boulot (Au nom de Dieu, of course) !

    Mais M. Sarkozy semble beaucoup apprécier la Cheffe de l’Inquisition BOUTIN ! ! !

    Il a passé des accords avec elle ! ! ! Il est pieds et poings liés ! ! !

    Si M. Sarkozy est élu, il enverra illico LA MÈRE (quoique ayant une apparence de Père) BOUTIN sur un plateau TV …

    Elle se « sublimera » une seconde fois ! (-V. à la fin la 1ère fois !)

    ELLE RÉCLAMERA SON DÉPART IMMÉDIAT ! AVEC L’APPUI DE GUÉANT ET HORTEFEUX ET AUTRES !

    ********* VOIR LA PÉTITION * (A la fin) *********

    « Laurette, 14 jours majeurs » Libération 04/05/12-

    Reportage Le 19 mai, cette ado congolaise atteindra ses 18 ans. Sans papiers, esclavagisée, ballottée de centre de rétention en foyer, elle risque désormais l’expulsion. Par ANNE DIATKINE

    «Je m’appelle Laurette, j’ai 17 ans. Je préfère garder mon vrai prénom et que tous les détails de ma vie soient véridiques, car mon problème, c’est une histoire d’identité. Je ne sais pas comment mettre la main sur mon extrait de naissance. Je n’arrive pas à prouver que je suis moi. Sans papiers d’identité, pas de titre de séjour possible.»

    Laurette fait partie des 340 mineurs qui ont été emprisonnés dans un centre de rétention administrative - la prison pour étrangers -, en 2011, pratique pour laquelle la France a été condamnée, le 19 janvier dernier par la Cour européenne des droits de l’homme, mais qu’elle n’a pas pour autant suspendue - depuis cette date, une vingtaine de familles, parmi lesquelles 47 enfants, ont été incarcérés.

    Laurette, qui veut parler à visage découvert, hésite cependant beaucoup, de peur d’être «reconnue». C’est un cercle vicieux : il ne faut pas qu’elle soit identifiée, car les seuls papiers qui lui restent en France risquent d’être détruits par la personne qui les a en sa possession, et il faut absolument que son identité soit incontestable pour qu’elle cesse d’être un «fantôme» et qu’elle puisse vivre légalement en France.

    Laurette est fine, jolie, timide, une voix douce. Elle énonce les dates dont elle se souvient précisément, comme autant d’ancrages pour escalader un mur. Son histoire est celle d’une Cendrillon moderne, à qui elle s’est d’ailleurs identifiée lorsqu’un professeur a lu le conte en classe, il y a peu.

    Vue de loin, la vie de Laurette n’est qu’un enchaînement de drames. D’un peu plus près, c’est l’histoire d’une jeune fille qui s’en sort toujours grâce à une ténacité sans limite.

    Laurette est née au Congo, à Kinshasa, ville dont elle ne se souvient pas. «Par exemple, je ne sais pas comment s’appelle l’aéroport de mon pays. Je ne connais pas le nom des monuments. Je sais juste que j’ai grandi à Bandal», quartier populaire. De même, les traces de sa mère se sont estompées. «J’avais 6 ans quand elle est morte. A la fin de sa vie, elle n’entendait pas, elle ne voyait plus.» Comme dans un conte, avant de mourir, sa mère émet un vœu : «Que ma fille ait une vie stable et ne soit jamais une enfant des rues.»

    Deux ans plus tard, son père envoie sa gamine en France accompagnée par une mystérieuse femme. Et la promesse qu’il viendra très vite les rejoindre. Laurette pleure dans l’avion et la femme se fâche. En réalité, c’est parce qu’il est gravement malade, qu’il tente de préparer ainsi l’avenir de sa fille. «Je ne savais pas où était la France. A Kinshasa, j’étais allée à l’école, mais ce n’était pas comme ici, tout le monde était dans la même classe.» Cette femme, que Laurette appelle «maman» jusqu’à ce qu’elle le lui interdise, a un mari français et un fils, Jean-Charles, né le même jour que la jeune fille, un 19 mai. «Mon père y avait vu un signe.»

    Déscolarisée définitivement

    Immergée dans un pays inconnu, avec des inconnus, Laurette est d’abord sidérée par la neige et le froid. Elle attend son père, jusqu’à ce qu’elle apprenne par inadvertance qu’il est mort. Le mari de la femme la regarde «bizarrement». Laurette : «Je sentais quelque chose de mal mais je n’avais pas de mots.» Elle use d’une ellipse pour dire qu’il abuse d’elle : «Il me disait que si j’en parlais, j’irais dans un foyer et que ce serait pire que tout. Tous les soirs, il y avait des attouchements, c’est bien plus tard que j’ai appris que c’était interdit.» Du CP jusqu’au CM2, Laurette est scolarisée avec «deux ans de retard». La belle-mère, face à l’institution scolaire, et chez Prada où elle est manutentionnaire, montre sa «face A», c’est-à-dire des «sourires éclatants» et un certain chic. A la maison, l’enfant sert d’esclave ménagère, c’est «sa face B».

    Quand Ridge naît, ainsi nommé en hommage au personnage homonyme de la série Amour, Gloire, et Beauté, Laurette, en charge du nourrisson, manque l’école de plus en plus souvent. Peu après la rentrée en sixième, la famille quitte Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour Argenteuil (Val-d’Oise), et la belle-mère en profite pour déscolariser définitivement l’adolescente de peur qu’elle ne s’épanche. «C’était bizarre, tout le monde allait à l’école sauf moi. Il y avait un "exotique" en bas de la rue, chez qui je faisais les courses, qui se posait des questions. Quand ma belle-mère rencontrait des copines de classe, elle leur disait que j’étais repartie en Afrique.»

    Le matin du 11 avril 2007, «c’était un mercredi», elle ouvre la porte de l’appartement et s’en va. Elle laisse ses deux frères devant la télé ainsi que l’argent pour les courses, ne prend pas ses papiers rangés dans une boîte à chaussures en haut de l’armoire, et marche. Elle quitte Argenteuil sans avoir prémédité quoi que ce soit. «Mon plus gros regret est que je n’ai même pas dit au revoir à mes frères que j’adorais. Ils étaient ma consolation, mon bonheur. Ils souffraient eux aussi quand je me faisais frapper.» Elle prend un bus jusqu’à Saint-Denis, marche encore, s’arrête devant le premier immeuble où la famille a vécu, dans l’espoir d’y croiser des voisins amis. Elle apprendra plus tard qu’ils ont déménagé. Elle entre dans le hall. Attend. Y dort, hébétée de sa propre liberté.

    S’en suit une «galère» de trois ans. Laurette rencontre Amalia, Jerlise, Arlette, toutes trois Congolaises, qui l’hébergent et la nourrissent à tour de rôle, tolérant ses disparitions et sa méfiance. «Ce qui m’étonne, c’est qu’elles ne m’ont jamais rien demandé en échange. Même pas de faire la vaisselle.»Jerlise tente de la convaincre de se rendre l’Aide sociale à l’enfance (ASE). «Mais je ne voulais pas en entendre parler. J’avais trop peur d’être ramenée chez ma belle-mère.»

    A proximité de la station de RER, la Plaine-Stade-de-France, un homme l’aborde : «Tu n’es plus avec ta famille ? Dans le temps, je te voyais avec ta mère…» Elle lui explique sa situation. «Il m’a dit : "J’arrange ça."» Et négocie un «rapport» contre un extrait de naissance, censé lui permettre de solliciter l’asile politique. «C’était la pire des choses. Mais à l’époque, j’ai pensé que je n’avais pas le choix.»

    C’est ainsi, qu’à 14 ans, Laurette devient Bibiche Massyala, 19 ans. Au guichet de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), «ils ont trouvé que je faisais plus jeune que mon âge, et que je n’avais pas l’air d’une fille qui vient d’arriver en France». La demande d’asile est refusée.Et désormais, Laurette a disparu.

    C’est donc de Bibiche que David, surveillant dans une école à Amiens (Somme), tombe amoureux. Et c’est Bibiche, qui s’installe avec lui, dans le nord de la France. «J’avais peur qu’il me quitte si je lui disais que j’étais Laurette.» Dès lors, débute une quête d’identité. La jeune fille prétexte un besoin de réfléchir pour quitter le domicile. Elle a rencontré Niclette, la trentaine, cinq enfants, qui lui propose de l’héberger provisoirement pour l’aider à régler ses problèmes. «C’est elle, la première, qui m’a expliqué que les attouchements étaient un viol, qu’on n’avait pas le droit en France d’exploiter les enfants, et qu’il fallait absolument que je puisse déposer plainte et demander de l’aide à l’ASE, pour récupérer mon identité.»

    Accompagnée de Niclette, donc, Laurette écume les écoles où elle a été élève afin de rassembler des certificats scolaires. A chaque fois, les directeurs d’école la reconnaissent. Laurette égrène le nom et le lieu des écoles. A Saint-Denis, l’école Marcel-Sembat et le collège Pierre-de-Geyter ; à Argenteuil, l’école Jean-Macé. Il y a aussi à Orléans, le directeur d’un hôtel, monsieur Ferry, qui a hébergé un temps la famille, et pourrait, c’est certain, la reconnaître.

    «Tu n’as rien à faire ici»

    L’ASE demande à Niclette de garder Laurette chez elle le temps qu’une décision de justice la concernant soit prise. «Le 14 septembre 2011, ce n’était pas un bon jour. Je dormais chez David, et la police est venue : j’avais un mois pour quitter le territoire. "Vous êtes bien mademoiselle Bibiche ? - Non, j’ai dit. - Pouvez-vous me suivre ?"» Au commissariat d’Amiens, Laurette sort ses trois certificats de scolarité, qui ne prouvent rien. Elle répète que Bibiche est une invention. Est embarquée au centre de rétention (CRA) de Mesnil-Amelot, à proximité de l’aéroport de Roissy. «On m’avait menottée, j’avais mal, je pleurais tout le temps. Une policière m’a dit : "Je ne connais pas ton histoire, mais sois tranquille. Au centre de rétention, il y a une association qui s’appelle la Cimade. Il faut tout de suite que tu ailles les voir." Et elle a mis un bout de papier dans ma poche où elle avait écrit ce nom. Ça m’a beaucoup touchée.» Au Mesnil-Amelot, Laurette découvre un tout nouveau centre high tech, aussi beau qu’une prison, avec sa vidéo surveillance dans les cellules et partout, ses badges magnétiques pour ouvrir les portes blindées, ses interminables sas de sécurité, ses grillages, ses espaces de promenade avec vue sur les avions, et ses 240 places, dont 40 destinées aux familles avec enfants et nourrissons.

    Laurette est conduite dans sa cellule. «Il faisait froid. On m’a donné une couverture. Pour sortir, pour demander quelque chose, il faut sonner. La porte est verrouillée. Dès qu’on sort, on voit très bien les avions. Toutes les secondes, on les entend, et c’est impossible de ne pas imaginer qu’on va être dedans, très vite. J’avais l’image de mes parents qui me souhaitaient une bonne vie avant de mourir. Je ne me souviens pas d’eux mais leur parole me porte. Je sais bien qu’ils redoutaient que je devienne une enfant des rues. Et qu’ils voulaient une éducation pour moi. Je me répétais : Pourquoi je suis née ? Pourquoi on m’a mise au monde ? Est-ce qu’on m’a mise au monde pour être en prison en France ? Je ne vais quand même pas retourner à Kinshasa. Ça revenait en boucle dans ma tête.» Dans la cellule d’à côté, il y avait un couple avec quatre enfants dont un bébé. «J’ai vu des adultes se battre, hurler, se blesser. C’était horrible.»

    Le lendemain matin, Laurette refuse son petit déjeuner et se précipite, deux heures avant l’ouverture, devant le bureau de la Cimade afin d’y être reçue en premier. Le premier réflexe du bénévole, quand il la voit toute petite qui l’attend assise par terre dans le couloir, est de lui demander son âge. «Dix-sept ans ! Tu n’as rien à faire ici.» Suit un mélange d’allers-retours compliqué entre les salles d’audience et le CRA, et d’espoirs douchés. Un embrouillamini de péripéties certainement laborieuses à lire, mais surtout épouvantables à vivre. En l’espace d’une semaine, Laurette subit trois procès. Le 16 septembre, le juge du tribunal administratif de Melun décide de ne pas la libérer, faute de preuve qu’elle est mineure. De retour au Mesnil-Amelot, Laurette est saisie d’«une présence d’esprit». «Je n’en pouvais plus, j’ai décidé de porter plainte contre ma belle-mère. Je ne pouvais pas la laisser comme ça, alors que j’étais en prison. J’ai sonné, des policiers sont arrivés. Ils se sont moqués de moi. "Tu veux porter plainte contre nous ?"» Le samedi matin, ils la conduisent chez «leur chef». «Je lui ai tout raconté. Il a été gentil, il m’a dit : "Je te crois, je pense que tu es Laurette et que tu es mineure."» S’en suit un échange de coups de fil et de fax qui aboutissent à ce que le «chef» ordonne la conduite de la jeune fille à la Brigade des mineurs. Où de nouveau, elle est questionnée pendant quatre heures, avant d’être acceptée, en fin d’après-midi, dans un foyer d’urgence.Laurette est-elle sauvée ? «Il y avait une éducatrice super sympa, accueillante, qui m’avait mis un repas de côté, et qui me regardait comme si je revenais de la guerre. Je n’arrivais pas à parler tellement j’étais épuisée. Je n’ai pas eu le temps de toucher au dîner, son portable a sonné : "Il y a un problème. Ce n’est pas Laurette, mais Bibiche qui est en face de vous. Et elle est majeure."» Mystère sur l’interlocuteur mais Laurette lâche ses couverts. De nouveau, une fourgonnette, les menottes, et retour au CRA du Mesnil-Amelot. Le dimanche, c’est au tribunal de Meaux (Seine-et-Marne) qu’elle est convoquée. Son avocat, qu’elle a rencontré via la Cimade, la rassure. Après le procès, elle retourne en cellule, où elle attend pendant six heures les conclusions. «Là, un policier me dit : «Des gens de RESF [Reporters sans frontières, ndlr] veulent te voir. Tu peux refuser, tu n’es pas forcée d’accepter.» Il insistait pour que je refuse. Je ne savais pas ce qu’était RESF, mais je lui ai dit : «"Je suis seule au monde, si des gens veulent me voir, c’est bien." C’est là que j’ai fait la connaissance de Richard Moyon, qui m’a dit : «On pense que le procureur va faire appel. Est-ce que tu nous autorises à appeler toutes les personnes qui peuvent témoigner que tu es Laurette, 17 ans, à ton prochain procès ?»

    A l’audience de la cour d’appel de Paris, «il y avait vraiment beaucoup de monde». Quand la juge énonce : «Les certificats de scolarité sont bien beaux, mais aucun directeur n’est là pour la reconnaître», le chef d’établissement de l’école Jean-Macé à Argenteuil se lève : «C’est bien la même Laurette. Elle a grandi mais je la reconnais. A l’époque de l’inscription, elle avait deux petits frères.» Laurette sort libre. Et est renvoyée en foyer d’urgence.

    Majeure, donc expulsable

    Aujourd’hui sous tutelle de l’ASE, Laurette vit dans un hôtel à Paris, en attendant une place en foyer. Elle suit des cours de remise à niveau pour primo-arrivants. Elle aimerait être puéricultrice, mais son rêve le plus «fou» serait d’avoir le bac. Un rêve qui pourrait se concrétiser, relève Richard Moyon, qui a remarqué «une écriture étonnante pour une gamine qui a été déscolarisée». Mais le pourra-t-elle ? Dans quelques semaines, elle sera majeure, donc expulsable, puisque ses documents d’identité sont toujours chez sa belle-mère. Jointe au téléphone par Richard Moyon, cette femme a rétorqué : «C’est une usurpation d’identité. Laurette est à côté de moi.» Une nouvelle esclave domestique à qui aurait été attribuée l’identité de Laurette ? C’est possible. La justice des mineurs pourrait demander la perquisition de cet appartement. Les papiers de Laurette resteront-ils éternellement, rangés en haut de l’armoire, dans une boîte à chaussures?

    ******* Pour signer la pétition contre l’enfermement des familles : www.education sansfrontieres.org *******

    Tartuffe vs. Chantal Sébire 14.03.2008

    Tellement indignée que ce matin s’impose à moi la réouverture de ce blog. Comment ne pas réagir en effet aux propos de Mme Boutin sur la demande de Mme Sébire de mourir dans la dignité, alors qu’elle est atteinte de manière irréversible d’une maladie qui la fait souffrir atrocement ? Comment cette catholique bien pensante peut elle faire preuve d’autant d’inhumanité ? Comment peut elle parler d’amour alors qu’elle laisse seule et sans remède face à la souffrance cette femme qui n’en peut plus et qui ne fait qu’exprimer sa liberté la plus stricte, exprimée de façon consciente et soutenue dans sa démarche par sa famille ? La charité, l’amour d’autrui, ce sont des gestes incarnés, Mme Boutin, pas un dogme inscrit dans un livre et appliqué au mépris de l’être humain. Est-ce aimer quelqu’un que de lui enjoindre le martyr ?

    Par AFP

    La ministre du Logement, Christine Boutin, a affirmé jeudi sur RMC être «scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme», au sujet du cas de Chantal Sébire, atteinte d'une maladie incurable, qui demande à la justice le droit de mourir. Réaction indignée vendredi du président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), Jean-Luc Romero: «Christine Boutin a tenu hier (jeudi) et dans l'indifférence générale des propos scandaleux sur Chantal Sébire (...) alors qu'elle ne connaît absolument pas (son) dossier médical (...) Oser qualifier Chantal de personne "difforme" est indigne de la part d'un ministre de la République, comme oser prétendre que l'esthétique de Chantal la pousse à demander la mort est aussi scandaleux que mensonger.»

    En conclusion, Jean-Luc Romero «demande que le gouvernement se passe des services de celle qui montre aujourd'hui son vrai visage (...) et qui n'est en fait que la représentante d'une droite méprisante, insensible à la détresse des hommes et des femmes de ce pays et à leur douleur».

    N. B. La sous-papesse et fantasmatique cheffe de L’inquisition « Me Boutin » évoque aussi la Marguerite Duras « toujours plus » inspirée quand elle écrit dans Libération en 1985, un article titré : « Sublime, forcément sublime Christine V. » concernant un meurtre par noyade où pendant un moment, la mère est considérée par un jeune juge Jean-Michel Lambert coupable d’infanticide !

    (Voir sur Internet …Le « 16 octobre 1984 vers 21 h 15, le corps de Grégory Villemin, né le 24 août 1980, est découvert dans la Vologne »… ; le texte de Marguerite Duras publié le 17 juillet 1985 dans le journal Libération et traitant de l'affaire Grégory)

    Xyzabcd

     

  • À propos du problème de l’euthanasie !

     

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    Tous les contempteurs sont, comme tout un chacun, des homo dits sapiens (sages ! ! !) qui, sont conditionnés par leur culture.

    Leurs ancêtres, devant la peur de la mort, avaient éprouvé le besoin irrépressible d’essayer de se rassurer en inventant d’abord des dieux divers avant d’épurer et de se contenter d'un Dieu unique et tout puissant !

    *Ils n’ont pas du tout évolué !

     Il n’y a aucun rapport entre cette notion de Dieu et le mystère de l’Univers ... relevant seulement des « petites » limites de notre (petit !) cerveau !

    On peut donc être intellectuel, toubib, etc., et se croire investi d’une mission, celle de séparer  le « bien » du « mal » et parallèlement de combattre pour ce qu’on croit être la « vérité » (V. le dualisme, l’Inquisition -bénie par des papes !- et le système binaire !)

    Des textes continueront à fleurir tous azimuts tant que les homo dits sapiens caractérisant notre ère n’auront pas disparu !

    **Que demander à des êtres fractals (répétitifs, incapables d’évoluer mentalement) dont le génome se différencie d’environ 1 % de celui des chimpanzés ? !

    En 2005, le résultat de l’étude comparative de notre génome et de celui du chimpanzé fut enterré à l’unanimité par les croyants et les rationalistes ! L’image du « bonobo boosté » apparaissait inconcevable !

    C’était pourtant l’occasion exceptionnelle de  faire le point sur ce que nous étions réellement, d’évacuer les nombreux mythes tendant à nous définir, tel « L’homme a été créé à l’image de Dieu » (Genèse Ch. 9.6).

    En 2007, M. Sarkozy, avant son élection présidentielle, déclara à M. Onfray (philosophe à la mode) « Je n’ai jamais rien entendu d’aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même » (V. sur Internet Michel Onfray : Dans la peau de Nicolas Sarkozy) en toute impunité.

    Ni Me. Royal, ni les journalistes, ni les Français (e)s ne lui reprochèrent de se raccrocher à l’omniprésence et omnipuissance d’un « Dieu » comme les singes aux branches ! (Dans son esprit, il suffit d’écouter et de suivre son instinct et son intuition !)
    Effectivement, il ne mentit pas, gouverna ainsi ! Et avec quel succès ! Sauf qu’oser affirmer en 2011 : « Ce n’est pas de ma faute si la crise s’est déclenchée en 2008 » consiste aussi à dévaloriser ce Dieu (en tant que pièce centrale de l’architecture), à avouer qu’il a perdu son pouvoir et intérêt ! Dans ces conditions, pourquoi le réélire en 2012 ? !

    En 2011, l’affaire DSK aurait pu servir de catalyseur, libérer la parole des femmes, faire émerger l’influence dévastatrice et parfois délétère de la puissance du « cerveau des émotions » si elle n’est pas maîtrisée, à fortiori si les rôles des trois composantes du cerveau homo dit sapiens ont été délaissés puisque occultés (ou presque).

    Bizarrement, quels que soient les articles, notamment féministes, jamais la non maîtrise du cerveau des émotions, ne fut placée en exergue alors que celle-ci influence en permanence tous nos comportements, a été le ressort de l’épanouissement de la Société de consommation avant d’être en train de devenir « toujours plus » la raison de sa perte ou suicide !

    En 2012, Mr. Sarkozy risque d’être réélu !

    ***Une ère nouvelle pourrait se manifester avant la fin du siècle si on se référait à l’aboutissement d’une enquête statistique sur l’évolution à travers l’Histoire de la Terre entreprise par des chercheurs : L. Nottale, J. Chaline, P. Grou.

    Cette hypothèse, émise en l’année 2000, repose sur la supposition que l’homo dit sapiens soit fractal ! Pour obtenir plus de détails, il suffit de consulter Internet à l’adresse « Les arbres de l’évolution ».

    Ils se sont contentés d’émettre une hypothèse : si nous suivions les schémas évolutifs des dinosaures, des rongeurs, des chevaux, des primates, des échinodermes, des tremblements de terre, des krachs boursiers, etc., nous devrions rencontrer probablement avant 2080 la transformation la plus importante que toutes celles que l'homme moderne a connues depuis son apparition (c. à d. l’homo dit sapiens) ; ... les changements qui en découleraient pourraient affecter globalement l'arbre évolutif …

    ****Lorsqu’elle sera installée, le 1er droit de « l’homme vrai », qui aura parfaitement assimilé le concept de « cycle » (Omniprésent dans l’Univers mais toujours rejeté ou refoulé par le cerveau reptilien et son instinct de survie !), sera celui de disposer à sa guise de la durée de son séjour terrestre !

    A ce moment là, les expressions telles « La dignité humaine », « La vie est belle », « Le libre arbitre », prendront d’autres sens ! ! !

    Xyzabcd !

     

     

     

  • M. Sarkozy prend les retraités pour des idiots ! Oui ! ET CE QU’IL LEUR CACHE ! ! !

     

    Du Journal du Dimanche du 07/04/12 !

    1)      1) En promettant jeudi le versement des retraites le 1er de chaque mois, Nicolas Sarkozy s'est adressé directement à un électorat qui jouera un rôle important durant la présidentielle de 2012. Les retraités avaient en effet largement voté pour le candidat de l'UMP en 2007. Mais, cinq ans plus tard, si une majorité des plus âgés continuent de préférer le président, d'autres se sont tournés vers François Hollande.

    La reconquête est lancée. Principale annonce de la présentation de son programme jeudi, Nicolas Sarkozy a promis de verser, s'il est réélu, les retraites au 1er de chaque mois, au lieu du 8 habituellement. Le président-candidat l'a ainsi dit, il veut changer "la vie quotidienne de 15,5 millions de Français retraités". Un nombre important, puisqu'il représente près d'un quart de la population française… et plus d'un tiers des électeurs. "Cet électorat est de plus en plus lourd, avec le vieillissement de la population", note pour leJDD.fr Yves-Marie Cann, directeur d’études à l’Institut CSA.

    Par cette mesure, le chef de l'Etat vise ainsi un électorat qui a joué le premier rôle lors de son élection en 2007. Une étude du Cevipof réalisée après la dernière présidentielle indique ainsi que 67% des plus de 65 ans ont voté pour le candidat de l'UMP au second tour du scrutin, contre 33% pour Ségolène Royal. Et chez les électeurs de 50 à 64 ans, dont un peu moins de la moitié sont inactifs, Nicolas Sarkozy a réalisé un score légèrement supérieur à sa moyenne nationale : 54%, contre 53,1%.

    Sarkozy "est conscient de la nécessité de sécuriser cet électorat"

    Un tel plébiscite peut-il se reproduire en 2012? Rien n'est moins sûr. Si le président de la République reste préféré à ses autres adversaires chez cet électorat, il est en recul par rapport à il y a cinq ans. Au premier tour, le dernier sondage CSA paru mercredi le crédite de 42% d'intentions de vote chez les 65-74 ans (35% chez les plus de 50 ans). Il devance François Hollande, qui récolterait pour sa part 30% des voix chez les 65-74 ans (et les plus de 50 ans en général). Ces résultats sont comparables à ceux du Rolling quotidien de l'Ifop pour Parismatch.com : 45% des plus de 65 ans vote Nicolas Sarkozy, 27% François Hollande.

    Mais le plus frappant reste le second tour : face à François Hollande, le candidat de l'UMP ne bénéficie que de 42% d'intentions de vote chez les 50-64 ans et de 61% chez les 65-74 ans. Des scores bien inférieurs à ceux de 2007. "Les plus de 65 ans sont plus partagés qu'ils ne l'étaient en 2007", confirme Yves-Marie Cann. "Nicolas Sarkozy a enregistré une déperdition et il est conscient de la nécessité de sécuriser cet électorat, voire de gagner des parts de voix pour essayer de resserrer le rapport de force dans la perspective du second tour", analyse le sondeur.

    Plus l'abstention est haute, plus le vote des retraités est déterminant

    A l'inverse, les intentions de vote des retraités pour François Hollande, bien qu'inférieures à celles de son adversaire, sont encourageantes. "Ce retard n'est pas handicapant dans la perspective du second tour mais il ne faut pas qu'il le devienne dans les semaines qui viennent. Il doit donc conforter sa position auprès des retraités pour consolider le rapport de force", affirme encore Yves-Marie Cann.

    Avec la nouvelle proposition de Nicolas Sarkozy, le socialiste sera donc peut être amené à réagir. D'autant que les retraités pourraient jouer un rôle encore plus important en 2012. "Tout dépendra du niveau de l'abstention", explique le sondeur du CSA. "En cas de baisse de la participation, les plus fortes déperditions se font sur les classes d'âges les plus jeunes. Le vote des plus âgés sera donc d'autant plus déterminant", ajoute-t-il.

    En effet, les retraités sont réputés parmi les plus "participationnistes", dixit Yves-Marie Cann. Une enquête BVA sur l'abstention publiée ce vendredi le confirme : 87% des plus de 65 ans affirment qu'ils iront voter à la présidentielle, contre 74% pour l'ensemble des Français et seulement 63% chez les 25-34 ans. Pour autant, la stratégie de re-séduction de Nicolas Sarkozy auprès des retraités ne suffira pas, prévient l'analyste : "Les parts de voix qui pourraient être regagnées auprès de ces électeurs ne paraissent pas suffisantes pour inverser la tendance. Car la déperdition de l'électorat de Nicolas Sarkozy depuis 2007 est encore plus vraie chez les actifs".

    22)  CE QUE M. SARKOZY NE VOUS DIT PAS, NE PEUT PAS VOUS AVOUER !

    Voter SARKOZY, c’est, indirectement, voter pour la « BOMBE ATOMIQUE » (Boutin !)

    A)    Elle a passé un accord (Sous l’œil de Dieu !) avec M. Sarkozy obligé d’accepter pour obtenir les voix des démocrates chrétiens et être réélu … !

    Avec elle, le contrat établi … et son esprit totalement rétrograde (V. ses déclarations sur les plateaux TV, notamment quand elle a quasiment insulté Me Sébire qui demandait à M. Sarkozy le droit de mourir !), nous sommes sûr(e)s, non pas de gagner le paradis sans souffrance mais l’inverse ! Les catholiques dominants, « nobles », ont toujours aimé la souffrance pour les petits (Par association d’idées, le visage de Me Boutin quand elle est énervée, voire hystérique, ne rappelle-t-elle pas l’Inquisition, les papes qui l’ont soutenue pendant des siècles en Espagne, etc. ? ! La Monarchie et Le Vatican ami des riches ou/et des grands ? !)

    B)    A moins de ne pas lire des articles sérieux, nous savons que nous ne sommes pas sortis de la CRISE mais que ce n’est qu’un début !

    Les hôpitaux, en Île de France, en sont déjà à demander aux malades d’apporter des draps et couvertures ! L’hygiène sera « toujours plus » sommaire ou déficiente, manque de crédits et de personnels ! Dans ce contexte incontournable, l’état des  centres de soins palliatifs suivront ! Les vieilles et les vieux, non rentables, seront « toujours plus » délaissé(e)s que les autres !

    ~~~~~~~ Si nous voulons vraiment mourir comme des vrai(e)s chrétien(ne)s, voire ressentir un peu la souffrance du Christ, élisons le tandem «  Sarkozy-Boutin » ! Nous aurons gagné !

    A NOTER que Me Boutin n’a pas menti quand elle s’est présentée comme « bombe atomique » ! La preuve !

    Elle tient M. Sarkozy par ses promesses ! Il se retrouve maintenant pieds et mains liés !

    -Au 1er degré, en résumé ou en bref, nous avons souhaité que La France vive pendant cinq ans une régression religieuse, et nous avons réussi, il est vrai avec la complicité des autres candidat(e)s, aussi nul(le)s les un(e)s que les autres !

    En 2007, M. Sarkozy, quelques semaines avant le scrutin présidentiel, a déclaré lors d’un entretien avec M. Onfray (Un philosophe à la mode) « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ». Ce qui se traduit par : C’est DIEU qui guide les humains. Il suffit de bien écouter ses messages, c. à d. de suivre son instinct et son intuition !

    Il n’a pas menti ! Il est allé se faire adouber à Rome par le pape ! Il a expliqué que rien ne valait un prêtre ! Il a travaillé à l’affect ! Même Guaino le dit : Sarkozy est brutal : Philippe Bilger - Blogueur associé | Mardi 3 Janvier 2012 « Nicolas Sarkozy gère tout à l'affect. La contrepartie de l'affect, c'est la brutalité », a déclaré récemment Henri Guaino au Journal du Dimanche. Espérons pour lui que le Président ne lui tiendra pas rigueur pour son excès de franchise...

    -Au second degré, Jean-François Kahn remarquait : « Tout change parce que rien ne change » ! Si vous désirez une évolution, soyez aussi  « heureux » !

    Maintenant, Quel que soit le président, tout continuera à s’effondrer ! Il vous reste donc seulement à vous déterminer sur la vitesse de la dégradation !

    Aux Etats-Unis, la situation est prometteuse.

    L’avortement, la contraception, seront peut-être bientôt interdits ; la peine de mort rétablie !

    Les Républicains pourraient revenir au pouvoir !

    Il ne faut pas oublier que nous sommes des êtes fractals !

    2000 2005 2007 2011 2012 … (Si …, V. sur Internet « Les arbres de l’évolution » de Nottale, Chaline, Grou … !

    Xyzabcd

     

    N. B. Je me suis contenté d’aborder le problème de manière pragmatique.

    Il est clair que, philosophiquement, quoi de plus harmonieux que de partir dans la « dignité humaine », c. à d. sous anesthésie, selon son choix, sa « conscience humaine » !

    Mais l’homo dit sapiens est tout sauf « sage » !

    Il ne sait que construire des mots, des expressions, avant de les confondre avec les choses ! A tous les niveaux et en permanence ce décalage se manifeste au détriment, évidemment, des faibles, selon les règles du monde animal, le nôtre ! (Voir la fameuse devise révolutionnaire : « Liberté, Egalité, Fraternité » !)

    Nous avons juste réussi à imaginer que le dit « homme » avait été créé à l’image de Dieu !

    *Mais nous n’avons même pas encore été « fichus » (ou « capables » pour parler « bien » !) d’assimiler que tout est quasiment « cyclique » dans l’Univers, excepté pendant les points de rupture et/ou les moments de discontinuité ! Ni même de saisir le rôle fondamental du « principe de symétrie » !

    Comme les animaux, nous nous contentons d’essayer de profiter de tout ce qui se présente !

    L’art de réussir sa vie consiste souvent à suivre le principe : « Même si tout ne va pas très bien, il faut s’efforcer d’oublier le mauvais pour ne garder que le bon côté des choses » ! ! !

    **Parallèlement ou à décharge, il n’est pas possible de demander à un être dont le génome se différencie d’environ 1% de celui du chimpanzé d’être cohérent !

    Un individu gouverné par le « cerveau reptilien » et le « cerveau des émotions », qui a tendance (V. les observations de Freud datant des années 19820) à suivre le « principe de plaisir » (Sous la dictée du cerveau des émotions dont la démarche est uniquement analogique, basée sur sa boîte de données ou souvenirs plus ou moins agréables ou désagréables) au détriment du « principe de réalité » (géré par l’analyse du « néocortex ») , ne peut aller très loin sans se heurter à de  multiples obstacles, notamment à ceux engendrés par la « loi de la jungle » !

    Cette caractéristique n’intervient-elle pas dans le fait qu’une femme meurt tous les 2 ou 3 jours suite à des violences conjugales en France en 2010 ! Et dans les ~ 75 000 viols (parmi les ~ 190 000 tentatives) ? !

    L’affaire DSK du 14 mai 2011 ne fournit-elle pas une autre illustration plus que concrète ? !

    Il faudra probablement attendre la nouvelle Ère, très prochaine puisque la Société « Toujours plus » est en train de se suicider, pour que le 1er droit de « l’homme vrai » soit celui de programmer la durée de  son séjour terrestre à sa guise ! Pour que la priorité soit l’aménagement au mieux de chaque séquence du parcours, notamment de la vieillesse et de la mort ou du départ vers le cycle suivant ou l’Après-vie !