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enfer - Page 13

  • Sarkozy-Boutin, 06/05/12, Une descente aux enfers pour Laurette ! Sinon, une fin à la Cendrillon !

     

    A quoi tient une vie ? ! Encore au 21ième siècle, à une SORCIERE ! ! !

    Voir son visage hideux sur l’écran TV …évoquant celui du bourreau se délectant dans son boulot (Au nom de Dieu, of course) !

    Mais M. Sarkozy semble beaucoup apprécier la Cheffe de l’Inquisition BOUTIN ! ! !

    Il a passé des accords avec elle ! ! ! Il est pieds et poings liés ! ! !

    Si M. Sarkozy est élu, il enverra illico LA MÈRE (quoique ayant une apparence de Père) BOUTIN sur un plateau TV …

    Elle se « sublimera » une seconde fois ! (-V. à la fin la 1ère fois !)

    ELLE RÉCLAMERA SON DÉPART IMMÉDIAT ! AVEC L’APPUI DE GUÉANT ET HORTEFEUX ET AUTRES !

    ********* VOIR LA PÉTITION * (A la fin) *********

    « Laurette, 14 jours majeurs » Libération 04/05/12-

    Reportage Le 19 mai, cette ado congolaise atteindra ses 18 ans. Sans papiers, esclavagisée, ballottée de centre de rétention en foyer, elle risque désormais l’expulsion. Par ANNE DIATKINE

    «Je m’appelle Laurette, j’ai 17 ans. Je préfère garder mon vrai prénom et que tous les détails de ma vie soient véridiques, car mon problème, c’est une histoire d’identité. Je ne sais pas comment mettre la main sur mon extrait de naissance. Je n’arrive pas à prouver que je suis moi. Sans papiers d’identité, pas de titre de séjour possible.»

    Laurette fait partie des 340 mineurs qui ont été emprisonnés dans un centre de rétention administrative - la prison pour étrangers -, en 2011, pratique pour laquelle la France a été condamnée, le 19 janvier dernier par la Cour européenne des droits de l’homme, mais qu’elle n’a pas pour autant suspendue - depuis cette date, une vingtaine de familles, parmi lesquelles 47 enfants, ont été incarcérés.

    Laurette, qui veut parler à visage découvert, hésite cependant beaucoup, de peur d’être «reconnue». C’est un cercle vicieux : il ne faut pas qu’elle soit identifiée, car les seuls papiers qui lui restent en France risquent d’être détruits par la personne qui les a en sa possession, et il faut absolument que son identité soit incontestable pour qu’elle cesse d’être un «fantôme» et qu’elle puisse vivre légalement en France.

    Laurette est fine, jolie, timide, une voix douce. Elle énonce les dates dont elle se souvient précisément, comme autant d’ancrages pour escalader un mur. Son histoire est celle d’une Cendrillon moderne, à qui elle s’est d’ailleurs identifiée lorsqu’un professeur a lu le conte en classe, il y a peu.

    Vue de loin, la vie de Laurette n’est qu’un enchaînement de drames. D’un peu plus près, c’est l’histoire d’une jeune fille qui s’en sort toujours grâce à une ténacité sans limite.

    Laurette est née au Congo, à Kinshasa, ville dont elle ne se souvient pas. «Par exemple, je ne sais pas comment s’appelle l’aéroport de mon pays. Je ne connais pas le nom des monuments. Je sais juste que j’ai grandi à Bandal», quartier populaire. De même, les traces de sa mère se sont estompées. «J’avais 6 ans quand elle est morte. A la fin de sa vie, elle n’entendait pas, elle ne voyait plus.» Comme dans un conte, avant de mourir, sa mère émet un vœu : «Que ma fille ait une vie stable et ne soit jamais une enfant des rues.»

    Deux ans plus tard, son père envoie sa gamine en France accompagnée par une mystérieuse femme. Et la promesse qu’il viendra très vite les rejoindre. Laurette pleure dans l’avion et la femme se fâche. En réalité, c’est parce qu’il est gravement malade, qu’il tente de préparer ainsi l’avenir de sa fille. «Je ne savais pas où était la France. A Kinshasa, j’étais allée à l’école, mais ce n’était pas comme ici, tout le monde était dans la même classe.» Cette femme, que Laurette appelle «maman» jusqu’à ce qu’elle le lui interdise, a un mari français et un fils, Jean-Charles, né le même jour que la jeune fille, un 19 mai. «Mon père y avait vu un signe.»

    Déscolarisée définitivement

    Immergée dans un pays inconnu, avec des inconnus, Laurette est d’abord sidérée par la neige et le froid. Elle attend son père, jusqu’à ce qu’elle apprenne par inadvertance qu’il est mort. Le mari de la femme la regarde «bizarrement». Laurette : «Je sentais quelque chose de mal mais je n’avais pas de mots.» Elle use d’une ellipse pour dire qu’il abuse d’elle : «Il me disait que si j’en parlais, j’irais dans un foyer et que ce serait pire que tout. Tous les soirs, il y avait des attouchements, c’est bien plus tard que j’ai appris que c’était interdit.» Du CP jusqu’au CM2, Laurette est scolarisée avec «deux ans de retard». La belle-mère, face à l’institution scolaire, et chez Prada où elle est manutentionnaire, montre sa «face A», c’est-à-dire des «sourires éclatants» et un certain chic. A la maison, l’enfant sert d’esclave ménagère, c’est «sa face B».

    Quand Ridge naît, ainsi nommé en hommage au personnage homonyme de la série Amour, Gloire, et Beauté, Laurette, en charge du nourrisson, manque l’école de plus en plus souvent. Peu après la rentrée en sixième, la famille quitte Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour Argenteuil (Val-d’Oise), et la belle-mère en profite pour déscolariser définitivement l’adolescente de peur qu’elle ne s’épanche. «C’était bizarre, tout le monde allait à l’école sauf moi. Il y avait un "exotique" en bas de la rue, chez qui je faisais les courses, qui se posait des questions. Quand ma belle-mère rencontrait des copines de classe, elle leur disait que j’étais repartie en Afrique.»

    Le matin du 11 avril 2007, «c’était un mercredi», elle ouvre la porte de l’appartement et s’en va. Elle laisse ses deux frères devant la télé ainsi que l’argent pour les courses, ne prend pas ses papiers rangés dans une boîte à chaussures en haut de l’armoire, et marche. Elle quitte Argenteuil sans avoir prémédité quoi que ce soit. «Mon plus gros regret est que je n’ai même pas dit au revoir à mes frères que j’adorais. Ils étaient ma consolation, mon bonheur. Ils souffraient eux aussi quand je me faisais frapper.» Elle prend un bus jusqu’à Saint-Denis, marche encore, s’arrête devant le premier immeuble où la famille a vécu, dans l’espoir d’y croiser des voisins amis. Elle apprendra plus tard qu’ils ont déménagé. Elle entre dans le hall. Attend. Y dort, hébétée de sa propre liberté.

    S’en suit une «galère» de trois ans. Laurette rencontre Amalia, Jerlise, Arlette, toutes trois Congolaises, qui l’hébergent et la nourrissent à tour de rôle, tolérant ses disparitions et sa méfiance. «Ce qui m’étonne, c’est qu’elles ne m’ont jamais rien demandé en échange. Même pas de faire la vaisselle.»Jerlise tente de la convaincre de se rendre l’Aide sociale à l’enfance (ASE). «Mais je ne voulais pas en entendre parler. J’avais trop peur d’être ramenée chez ma belle-mère.»

    A proximité de la station de RER, la Plaine-Stade-de-France, un homme l’aborde : «Tu n’es plus avec ta famille ? Dans le temps, je te voyais avec ta mère…» Elle lui explique sa situation. «Il m’a dit : "J’arrange ça."» Et négocie un «rapport» contre un extrait de naissance, censé lui permettre de solliciter l’asile politique. «C’était la pire des choses. Mais à l’époque, j’ai pensé que je n’avais pas le choix.»

    C’est ainsi, qu’à 14 ans, Laurette devient Bibiche Massyala, 19 ans. Au guichet de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), «ils ont trouvé que je faisais plus jeune que mon âge, et que je n’avais pas l’air d’une fille qui vient d’arriver en France». La demande d’asile est refusée.Et désormais, Laurette a disparu.

    C’est donc de Bibiche que David, surveillant dans une école à Amiens (Somme), tombe amoureux. Et c’est Bibiche, qui s’installe avec lui, dans le nord de la France. «J’avais peur qu’il me quitte si je lui disais que j’étais Laurette.» Dès lors, débute une quête d’identité. La jeune fille prétexte un besoin de réfléchir pour quitter le domicile. Elle a rencontré Niclette, la trentaine, cinq enfants, qui lui propose de l’héberger provisoirement pour l’aider à régler ses problèmes. «C’est elle, la première, qui m’a expliqué que les attouchements étaient un viol, qu’on n’avait pas le droit en France d’exploiter les enfants, et qu’il fallait absolument que je puisse déposer plainte et demander de l’aide à l’ASE, pour récupérer mon identité.»

    Accompagnée de Niclette, donc, Laurette écume les écoles où elle a été élève afin de rassembler des certificats scolaires. A chaque fois, les directeurs d’école la reconnaissent. Laurette égrène le nom et le lieu des écoles. A Saint-Denis, l’école Marcel-Sembat et le collège Pierre-de-Geyter ; à Argenteuil, l’école Jean-Macé. Il y a aussi à Orléans, le directeur d’un hôtel, monsieur Ferry, qui a hébergé un temps la famille, et pourrait, c’est certain, la reconnaître.

    «Tu n’as rien à faire ici»

    L’ASE demande à Niclette de garder Laurette chez elle le temps qu’une décision de justice la concernant soit prise. «Le 14 septembre 2011, ce n’était pas un bon jour. Je dormais chez David, et la police est venue : j’avais un mois pour quitter le territoire. "Vous êtes bien mademoiselle Bibiche ? - Non, j’ai dit. - Pouvez-vous me suivre ?"» Au commissariat d’Amiens, Laurette sort ses trois certificats de scolarité, qui ne prouvent rien. Elle répète que Bibiche est une invention. Est embarquée au centre de rétention (CRA) de Mesnil-Amelot, à proximité de l’aéroport de Roissy. «On m’avait menottée, j’avais mal, je pleurais tout le temps. Une policière m’a dit : "Je ne connais pas ton histoire, mais sois tranquille. Au centre de rétention, il y a une association qui s’appelle la Cimade. Il faut tout de suite que tu ailles les voir." Et elle a mis un bout de papier dans ma poche où elle avait écrit ce nom. Ça m’a beaucoup touchée.» Au Mesnil-Amelot, Laurette découvre un tout nouveau centre high tech, aussi beau qu’une prison, avec sa vidéo surveillance dans les cellules et partout, ses badges magnétiques pour ouvrir les portes blindées, ses interminables sas de sécurité, ses grillages, ses espaces de promenade avec vue sur les avions, et ses 240 places, dont 40 destinées aux familles avec enfants et nourrissons.

    Laurette est conduite dans sa cellule. «Il faisait froid. On m’a donné une couverture. Pour sortir, pour demander quelque chose, il faut sonner. La porte est verrouillée. Dès qu’on sort, on voit très bien les avions. Toutes les secondes, on les entend, et c’est impossible de ne pas imaginer qu’on va être dedans, très vite. J’avais l’image de mes parents qui me souhaitaient une bonne vie avant de mourir. Je ne me souviens pas d’eux mais leur parole me porte. Je sais bien qu’ils redoutaient que je devienne une enfant des rues. Et qu’ils voulaient une éducation pour moi. Je me répétais : Pourquoi je suis née ? Pourquoi on m’a mise au monde ? Est-ce qu’on m’a mise au monde pour être en prison en France ? Je ne vais quand même pas retourner à Kinshasa. Ça revenait en boucle dans ma tête.» Dans la cellule d’à côté, il y avait un couple avec quatre enfants dont un bébé. «J’ai vu des adultes se battre, hurler, se blesser. C’était horrible.»

    Le lendemain matin, Laurette refuse son petit déjeuner et se précipite, deux heures avant l’ouverture, devant le bureau de la Cimade afin d’y être reçue en premier. Le premier réflexe du bénévole, quand il la voit toute petite qui l’attend assise par terre dans le couloir, est de lui demander son âge. «Dix-sept ans ! Tu n’as rien à faire ici.» Suit un mélange d’allers-retours compliqué entre les salles d’audience et le CRA, et d’espoirs douchés. Un embrouillamini de péripéties certainement laborieuses à lire, mais surtout épouvantables à vivre. En l’espace d’une semaine, Laurette subit trois procès. Le 16 septembre, le juge du tribunal administratif de Melun décide de ne pas la libérer, faute de preuve qu’elle est mineure. De retour au Mesnil-Amelot, Laurette est saisie d’«une présence d’esprit». «Je n’en pouvais plus, j’ai décidé de porter plainte contre ma belle-mère. Je ne pouvais pas la laisser comme ça, alors que j’étais en prison. J’ai sonné, des policiers sont arrivés. Ils se sont moqués de moi. "Tu veux porter plainte contre nous ?"» Le samedi matin, ils la conduisent chez «leur chef». «Je lui ai tout raconté. Il a été gentil, il m’a dit : "Je te crois, je pense que tu es Laurette et que tu es mineure."» S’en suit un échange de coups de fil et de fax qui aboutissent à ce que le «chef» ordonne la conduite de la jeune fille à la Brigade des mineurs. Où de nouveau, elle est questionnée pendant quatre heures, avant d’être acceptée, en fin d’après-midi, dans un foyer d’urgence.Laurette est-elle sauvée ? «Il y avait une éducatrice super sympa, accueillante, qui m’avait mis un repas de côté, et qui me regardait comme si je revenais de la guerre. Je n’arrivais pas à parler tellement j’étais épuisée. Je n’ai pas eu le temps de toucher au dîner, son portable a sonné : "Il y a un problème. Ce n’est pas Laurette, mais Bibiche qui est en face de vous. Et elle est majeure."» Mystère sur l’interlocuteur mais Laurette lâche ses couverts. De nouveau, une fourgonnette, les menottes, et retour au CRA du Mesnil-Amelot. Le dimanche, c’est au tribunal de Meaux (Seine-et-Marne) qu’elle est convoquée. Son avocat, qu’elle a rencontré via la Cimade, la rassure. Après le procès, elle retourne en cellule, où elle attend pendant six heures les conclusions. «Là, un policier me dit : «Des gens de RESF [Reporters sans frontières, ndlr] veulent te voir. Tu peux refuser, tu n’es pas forcée d’accepter.» Il insistait pour que je refuse. Je ne savais pas ce qu’était RESF, mais je lui ai dit : «"Je suis seule au monde, si des gens veulent me voir, c’est bien." C’est là que j’ai fait la connaissance de Richard Moyon, qui m’a dit : «On pense que le procureur va faire appel. Est-ce que tu nous autorises à appeler toutes les personnes qui peuvent témoigner que tu es Laurette, 17 ans, à ton prochain procès ?»

    A l’audience de la cour d’appel de Paris, «il y avait vraiment beaucoup de monde». Quand la juge énonce : «Les certificats de scolarité sont bien beaux, mais aucun directeur n’est là pour la reconnaître», le chef d’établissement de l’école Jean-Macé à Argenteuil se lève : «C’est bien la même Laurette. Elle a grandi mais je la reconnais. A l’époque de l’inscription, elle avait deux petits frères.» Laurette sort libre. Et est renvoyée en foyer d’urgence.

    Majeure, donc expulsable

    Aujourd’hui sous tutelle de l’ASE, Laurette vit dans un hôtel à Paris, en attendant une place en foyer. Elle suit des cours de remise à niveau pour primo-arrivants. Elle aimerait être puéricultrice, mais son rêve le plus «fou» serait d’avoir le bac. Un rêve qui pourrait se concrétiser, relève Richard Moyon, qui a remarqué «une écriture étonnante pour une gamine qui a été déscolarisée». Mais le pourra-t-elle ? Dans quelques semaines, elle sera majeure, donc expulsable, puisque ses documents d’identité sont toujours chez sa belle-mère. Jointe au téléphone par Richard Moyon, cette femme a rétorqué : «C’est une usurpation d’identité. Laurette est à côté de moi.» Une nouvelle esclave domestique à qui aurait été attribuée l’identité de Laurette ? C’est possible. La justice des mineurs pourrait demander la perquisition de cet appartement. Les papiers de Laurette resteront-ils éternellement, rangés en haut de l’armoire, dans une boîte à chaussures?

    ******* Pour signer la pétition contre l’enfermement des familles : www.education sansfrontieres.org *******

    Tartuffe vs. Chantal Sébire 14.03.2008

    Tellement indignée que ce matin s’impose à moi la réouverture de ce blog. Comment ne pas réagir en effet aux propos de Mme Boutin sur la demande de Mme Sébire de mourir dans la dignité, alors qu’elle est atteinte de manière irréversible d’une maladie qui la fait souffrir atrocement ? Comment cette catholique bien pensante peut elle faire preuve d’autant d’inhumanité ? Comment peut elle parler d’amour alors qu’elle laisse seule et sans remède face à la souffrance cette femme qui n’en peut plus et qui ne fait qu’exprimer sa liberté la plus stricte, exprimée de façon consciente et soutenue dans sa démarche par sa famille ? La charité, l’amour d’autrui, ce sont des gestes incarnés, Mme Boutin, pas un dogme inscrit dans un livre et appliqué au mépris de l’être humain. Est-ce aimer quelqu’un que de lui enjoindre le martyr ?

    Par AFP

    La ministre du Logement, Christine Boutin, a affirmé jeudi sur RMC être «scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme», au sujet du cas de Chantal Sébire, atteinte d'une maladie incurable, qui demande à la justice le droit de mourir. Réaction indignée vendredi du président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), Jean-Luc Romero: «Christine Boutin a tenu hier (jeudi) et dans l'indifférence générale des propos scandaleux sur Chantal Sébire (...) alors qu'elle ne connaît absolument pas (son) dossier médical (...) Oser qualifier Chantal de personne "difforme" est indigne de la part d'un ministre de la République, comme oser prétendre que l'esthétique de Chantal la pousse à demander la mort est aussi scandaleux que mensonger.»

    En conclusion, Jean-Luc Romero «demande que le gouvernement se passe des services de celle qui montre aujourd'hui son vrai visage (...) et qui n'est en fait que la représentante d'une droite méprisante, insensible à la détresse des hommes et des femmes de ce pays et à leur douleur».

    N. B. La sous-papesse et fantasmatique cheffe de L’inquisition « Me Boutin » évoque aussi la Marguerite Duras « toujours plus » inspirée quand elle écrit dans Libération en 1985, un article titré : « Sublime, forcément sublime Christine V. » concernant un meurtre par noyade où pendant un moment, la mère est considérée par un jeune juge Jean-Michel Lambert coupable d’infanticide !

    (Voir sur Internet …Le « 16 octobre 1984 vers 21 h 15, le corps de Grégory Villemin, né le 24 août 1980, est découvert dans la Vologne »… ; le texte de Marguerite Duras publié le 17 juillet 1985 dans le journal Libération et traitant de l'affaire Grégory)

    Xyzabcd

     

  • Des tas de chrétiens, par leur vote, s’apprêtent à endosser le rôle de BOURREAU !

     

     

    Les monstruosités organisées par les papes « infaillibles » au Moyen-âge puis pendant l’Inquisition ne les ont pas dessillés !

    Demain ou après-demain, vous assisterez impuissant(e), à l’agonie prolongée de L’ÊTRE QUE VOUS AIMEZ LE PLUS … en fin de vie !

    -La crise économique et financière se sera amplifiée, telles les métastases caractérisant la Société « Toujours plus ».

    -Les hôpitaux, déjà surchargés, saturés, ne pourront plus du tout faire face.

    -Les centres de soins palliatifs seront exsangues faute de crédits de fonctionnement.

    -Monsieur Sarkozy se retrouvera pieds et mains liés par le contrat passé avec Me Boutin en échange de la consigne de vote adressée aux adhérents du parti des démocrates chrétiens.

    POURREZ-VOUS ALORS JOUER LES PONCE PILATE ? !

    ~ Il serait étonnant qu’il revienne à la raison !

    ~ Il se défausse à tout instant ! « Ce n’est pas de ma faute, c’est la crise ! » À tel point que les Guignol ont repris l’expression pour mieux le brocarder !

    Par ex., son Dieu ne lui a pas permis de prévoir la crise des subprimes de 2008 alors qu’en 2007 la bulle de l’immobilier enflait « toujours plus » aux USA ! Que tout le monde savait !

    ~ Il défie déjà les paroles bibliques sans aucun scrupule ! IL EST DÉJÀ JUDAS !

    Ev. s. st.-Luc ch. 6-24  « Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde »

    Ch. 6-25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim !

    Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes »

    Ch. 19.24 s. st.-Matt « Je vous le dis encore une fois : il est plus aisé qu’un chameau passe par le trou d’une aiguille, qu’il ne l’est qu’un riche entre dans le royaume des cieux »

    ~ Comme les papes « infaillibles » ont envoyé au bûcher des gens osant affirmer que la Terre n’est ni plate  ni le centre du monde, ont organisé les Inquisitions pendant des siècles en Espagne, comme il persistera dans son œuvre démoniaque …

    ~~ C’est lui qui a envoyé Me Boutin sur un plateau TV se sublimer en insultant (presque) Me Sébire qui venait d’écrire à M. Sarkozy pour lui demander le droit de mourir. Elle a affirmé sur RMC être «scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme» ! (V. Internet !)

    (Me Boutin est, sinon une sorcière,  une sorte de sous papesse vociférant au Parlement, se prenant pour un ange chez elle et donc aimant s’y déplacer nue <V. Internet : « A la maison, dans l'eau, ma philosophie c'est zéro vêtement. J'aime être nue, libre de mes mouvements. C'est mon côté direct. Et ça évite de se faire tailler des costards ! », dit-elle, interrogée par Frédéric Ferrer.>)

    ~~ C’est lui qui n’a eu qu’une hâte, se faire adouber à Rome par le pape accompagné par le futur prix Nobel de philosophie humoristique Jean-Marie Bigard !

    ~ C’est lui qui n’aime pas « La Princesse de Clèves » et qui n’a pas lu « L’Être et le néant » de J.-P. Sartre (L’athée existentialiste) ! Dommage !

    ~~ S’il avait au moins survolé cet ouvrage, il aurait pu prendre connaissance de la démonstration que « LA MAUVAISE FOI » conduit inéluctablement à l’attitude du « LÂCHE » et du « SALAUD » ! ET VOUS ? !

    LE COUPLE SARKOZY-BOUTIN, OÙ NOUS CONDUIRA-T-IL SI ON L’ENCOURAGE ? !

    La France désire-t-elle aussi une nouvelle BÉRÉZINA ? !

    Voir une appréciation de M. Sarkozy à partir de l’étranger, du Chili (Via un article de Courrier International)

    VU DU CHILI Sarkozy, c'est ta frivolité qui te perdra ! 

    Frivolité, manque de culture et un penchant pour la droite dure : voila ce qui rapproche Nicolas Sarkozy du président chilien Sebastián Piñera, estime un universitaire chilien. Des ressemblances qui sont autant de points faibles.

    04.05.2012  Gonzalo Bustamante El Mostrador   Courrier International

    Nicolas Sarkozy, dont le président du Chili, Sebastián Piñera, a dit après l'avoir rencontré qu'il lui avait donné une “leçon de leadership”, est sur le point d'être le deuxième président sortant de la Ve République à ne pas obtenir de deuxième mandat. S'il y avait une chose que la droite chilienne pourrait retenir de ce cours magistral en leadership, ce serait le danger de la frivolité.

    L'“hyperprésident” avait promis de rajeunir la vie politique française, de laisser derrière lui le gaullisme, d'insuffler “américanisation et modernité” à la droite française traditionnelle et à l'Etat. Jusqu'à présent, il n'a rien réussi de semblable. Même si sa gestion a obtenu des succès, son principal problème a été ce que le philosophe Raymond Aron avait reproché à l'autre président qui n'a pas été réélu, Valéry Giscard d'Estaing. “Président, vous manquez du sens tragique [de l'Histoire]”, lui avait-t-il lancé. Chez Sarkozy, ç'a été encore plus flagrant. Malgré ses qualités d'homme d'action, il a été frivole. Une fois qu'il s'est rendu compte de l'évidence de son défaut, il a réagi comme le font les frivoles : il s'est enfermé “en privé” pour regarder des films d'art et d'essai (rien moins que Dreyer), il se vantait de lire Dostoïevski et il s'est mis à fréquenter les connaissances du monde de la culture de son épouse, Carla Bruni.

    Il ne maitrise plus son ordre du jour

    Depuis qu'il s'est lancé en politique, Sarkozy a tranché par son style direct, par sa capacité à défier ses adversaires et à aller à contre-courant s'il le faut. Ajoutez à cela que personne ne doute de son intelligence ni de son habilité. Mais alors, me direz-vous, son manque d'idées et de culture n'a guère d'importance ! Eh bien, si. D'une part, la France est l'un des pays d'Europe qui a toujours attaché le plus d'importance à cet aspect chez ses gouvernants ; d'autre part, plus généralement, celui qui manque de culture peut avoir l'esprit d'initiative, mais il n'aura pas d'idées qui donnent un contenu à son action politique. La culture entraîne la capacité à affronter la complexité de la société.

    Devant son incapacité à définir une vision d'avenir pour la nation, Sarkozy, a dû recourir de plus en plus aux idées d'autrui. Aujourd'hui, intellectuellement, il n'est plus que l'ombre de son conseiller Patrick Buisson. C'est ce dernier, intellectuel enraciné dans la droite dure, qui définit aujourd'hui l'ordre du jour du sarkozysme.

    S'il perd, comme tout semble l'indiquer (même si un miracle final peut toujours se produire), ce sera davantage à cause de sa frivolité que des vertus de son très terne et médiocre adversaire.

    La culture du management plutôt que celle de la politique

    Pour sa part, notre droite, qui par la voix de Joaquín Lavín [ministre du Plan] et de Piñera a clamé son admiration pour Sarkozy, voue un certain mépris à la politique, à laquelle elle tente de substituer l'action de la technique. Depuis l'expérience malheureuse de gouvernement “administrativo-technique” de Jorge Alessandri [Président de 1958 à 1964] jusqu'à “Piñera, la nouvelle manière de gouverner”, en passant par “Büchi [ministre des Finances de 1985 à 1989] est notre homme” et “Lavín [actuel ministre de l'Education], vive le changement”, ils ont voulu remplacer la politique par la technique et le marketing.

    Dans cette optique, leur nouvelle fascination pour le ministre des Travaux publics n'a rien d'étonnant. Laurence Golborne est le Chilien de droite par excellence. Son activisme, son parcours atypique, son côté sympa avec sa guitare, son esprit d'entreprise, tels sont les succédanés de son manque de culture politique. C'est la poursuite de la culture du management par d'autres moyens. Dans ce milieu, il paraît donc presque naturel, ou du moins pas du tout bizarre, de passer du monde du marketing à la Moneda [siège de la présidence]. L'esprit de management et la volonté de technification de la politique revêtent pour la droite chilienne un caractère idéologique.

    Sarkozy, héritier d'une tradition politique parmi les plus riches qui existent, n'a pas pu échapper à la tragédie de la frivolité. La droite a obtenu plus de voix que la gauche, mais les anticorps produits par l'antisarkozysme paraissent les plus forts.

     

    AMEN !

     

    Xyzabcd

     

     

     

  • Pourquoi la disparition des homo dits sapiens (V. desdits hommes) est programmée !

     

    Pourquoi la disparition des homo dits sapiens (V. desdits hommes) est programmée !

     (Le masculin neutre sera utilisé)

     1) L’expression « Dignité humaine » permet la distinction entre « l’homme vrai »       (h. v.) et « l’homo dits sapiens » (h. d. s.) (Sapiens signifiant « sage » !)

     Les deux termes ne peuvent être dissociés sans perdre leur signification. Ils vont de pair.

     Il est clair que les h. v. qui ne sont pas en prison ou qui n’ont pas été exécutés par les services spéciaux des pays corrompus sont rares et, de toutes les façons, ne tarderont pas à connaître ces sorts.

    Comme un h. v. est conduit d’abord par le néocortex, il n’accepte de vivre que dans la dignité ou en s’engageant pour sa venue.

    Parmi les exemples plus que multiples, en France, les prisons françaises étant pour la  plupart indignes, un h. v. aurait entamé une grève de la faim pour obtenir leur fermeture et serait décédé.

    Contrairement  à ce qu’écrit Stéphane Hessel dans l’opuscule « Indignez-vous », page 14, dans le chapitre « L’indifférence : la pire des attitudes » : « Mais dans ce monde, il y a des choses insupportables. Pour le voir, il faut bien regarder, chercher. Je dis aux jeunes : cherchez un peu, vous allez trouver » ! Non ! Sauf dans les quartiers résidentiels tel celui de M. Hessel et des bobos, l’indignité est criante partout !

    Le sort déplorable des femmes dans de nombreux continents l’inciterait à  se déplacer  pour protester avant d’être emprisonné ou/et exécuté …

    2) L’h. d. s. n’a aucune mauvaise conscience, ni culpabilité ! Il ne se sent pas concerné par l’indignité qui touche son prochain ! Si tout va bien pour lui, il proclame : « la Vie est belle ! Que demander de plus ! »

    Si le « principe de symétrie » est un des éléments de base de la vie (Le sens d’un mot exige l’existence de l’altérité, c. à d. la présence de sa négation. Lumière et obscurité, fort et faible, + et -, naissance et mort, vont de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle), il n’en a cure ! Son credo se réduit à : « Même si tout ne va pas très bien, il faut s’efforcer d’oublier le mauvais pour ne garder que le bon côté des événements » !

    Il se stimule en pariant sur la chance ou/et sur l’action bienfaisante de Dieu (V. le ch. 3) !

    Il ne peut se comporter différemment puisque ce sont le « cerveau reptilien » et le « cerveau des émotions » qui le dominent ! (Des précisions sur les trois principales composantes du cerveau des h. d. s. ont été reportées à la fin du texte. Elles pourraient faciliter la compréhension de la suite)

    L’objectif : « S’efforcer d’oublier le mauvais » explicite le rôle secondaire qui est attribué au néocortex ! ! ! L’h. d. s., comme tout autre animal, se fiche de tout ce qui lui ne procure pas un plaisir immédiat ! V. les heures perdues quotidiennement devant la TV, les jeux, etc. !

    Le néocortex est le propre de l’h. d. s.. Le cerveau des émotions ou limbique équipe tous les mammifères. Entre autres …, il est chargé de la quête du bien-être élémentaire et/ou du plaisir du 1er degré. Sa démarche est exclusivement analogique, c. à d. s’effectue à partir des souvenirs mémorisés comme agréables ou désagréables. Par dérive, se manifestent les addictions ! La plus commune est l’apparition de la pulsion « Toujours plus » (T. p.)

    (Le plaisir du second degré passe par l’activation du néocortex, tend vers la sensation d’harmonie ou de résonance universelle, est totalement étranger au 1er !)

    Le cerveau reptilien (le plus primitif), s’occupe de la survie via un instinct …

    L’exploitation t. p. habile des manques, frustrations, stress, momentanés du cerveau des émotions est le ressort de l’épanouissement de la Société dite de consommation puis de la Société T. p., plus exactement de l’addiction T. p. !

    Les « plaisirs » constituent le miel de la vie ! Ce sont les manques et les déséquilibres qui sont entraînent les motivations qui alimentent le moteur de la vie ! Mais se sont des écueils cachés en cas de non maîtrise, d’indigestion suite à des excès ! Dominique Strauss Kahn ne s’attendait pas à devoir s’immiscer dans le cercle des victimes !

    Combien de gens sont obèses, fumeurs, alcooliques, « addicts » au sexe, etc.  ? !

    3) Les religions ont été inventées pour des raisons identiques, pour tenter de se sécuriser, d’échapper à la peur de la mort.

    Avant elles, l’esclavage était fréquent … (Et pour cause !)

    Les religions fournirent un cadre plus charpenté, des normes à respecter, des repères immuables ! Ce qui était a priori incompréhensible jusque 2005, c’était qu’au 21ème siècle, alors que les sciences avançaient t. p vite, la quasi totalité de gens se réfugiait encore dans ces sortes d’arbres s’élevant vers le ciel ! (Imaginez donc leurs profils ! V. après !)

    Les résultats de l’étude comparative (de 2005) de notre génome et de celui du chimpanzé, à savoir : une dissimilitude d’environ1 %, trop iconoclaste pour les chrétiens (V. « L’homme a été créé à l’image de Dieu » !) et pour les rationalistes (V. « L’homme est un dieu en devenir » !), a été enterrée dans un silence assourdissant mais a épuré la situation, apporté la solution à la bizarrerie soulignée précédemment !

    Parmi les rationalistes, les politiciens, les intellectuels, ceux qui sont fiers d’être cartésiens ou binaires, se retrouvent les polarisés par la croissance, celle des droites ou branches de la géométrie euclidienne qui grimpent continument jusqu’à l’infini !

    *** Un aveuglement plus délétère est encore plus éclatant et profond !   La notion de « cycle » n’a pu être assimilée ! ! !  Serait-ce parce que le phénomène est trop invisible ou l’inverse ? ! Les deux cerveaux les plus anciens ne sont-ils pas les coupables ? !

    A noter que si la mort avait été oubliée, nous serions entre 80 et 106 milliards d’individus actuellement (D’après Yves Coppens ou Michel de Pracontal), que les écosystèmes et leurs agents de dégradation sont les seuls capables d’assurer la perpétuation de la vie dans un milieu fermé ! ! !

    4) Si notre néocortex était moins perturbé, influencé, (voire parfois réquisitionné … !), notre priorité absolue ne serait-elle pas l’aménagement au mieux de chaque phase du parcours, et en particulier de la vieillesse et de la mort ? ! Le concept de « qualité » ne détrônerait-il, ne dévaloriserait-il pas celui de « quantité » et plus ? !

    *** La mort dans la dignité selon ses désirs, la disposition de son corps, ne seraient-elles les premières évidences « humaines » ? !

    Ne faudra-t-il pas attendre l’Ère prochaine ? !

    À signaler que c’est  la Noblesse qui a incité l’Eglise à introduire au Moyen-âge le fantasme de « La peur de l’enfer éternel » de manière à rendre « taillables et corvéables à merci  » les serfs ! ! ! En revanche, les paroles bibliques sur les riches (qui n’ont pas non plus ému M. Sarkozy ! ! !) n’ont pas fait florès !

    M. Sarkozy, la plupart des politiciens, de droite ou de gauche ou d’ailleurs, refusent fermement l’euthanasie ou ne savent pas comment la repousser en faisant semblant de l’agréer ! C’est notre Flamby, c’est tous ceux qui sont restés cois en 2007  devant la phrase de M. Sarkozy : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même »  qui l’ont donc laissé gagner ! Si Me Royal l’avait interpellé pendant le face-à-face, n’aurait-il pas été obligé d’expliquer que c’était DIEU qui guidait lesdits humains, qu’il suffisait de suivre son instinct et son intuition ! Les Français auraient-ils alors gobé son  « histoire de bon Dieu » ou « de Père Noël » ? !  L’auraient-ils élu ? !) Mais aucun responsable politique, syndicaliste, révolutionnaire, marxiste, athée, matérialiste, rationaliste, journaliste, etc., n’a profité de cette imputation au moins paradoxale pour créer un buzz et le déstabiliser ! ! ! Tous pareils ! ! !

    5) La CRISE ou la maladie délétère qui nous assaille n’est-elle pas celle de l’addiction à la pulsion « T. p. » ou l’envahissement du cerveau des émotions par des véritables métastases de nom : « T. p. » forcément t. p. cancéreuses ? !

    Une croissance dite libérale où on promeut l’initiative personnelle, où tout est axé sur « la  loi de l’offre et de la demande », est aux antipodes de la croissance arborescente des végétaux où les agencements de régulation sont la contribution d’une expérimentation étalée sur des millions d’années !

    Et sur une planète non extensible, la contradiction est patente !

    En plus, les découvertes technologiques sont mises sur le marché sans précautions satisfaisantes ou à un rythme qui ne correspond pas du tout à celui de la Nature. Elle est    t. p. violée, incapable de se défendre ou/et de s’adapter !

    Les projets scientifiques empruntent volontiers à la logique binaire (cartésienne ! ! !). S’ils sont élaborés dans une perspective quantitative en se nourrissant du  mirage rationaliste du « T. p. » positif en relation avec le « paradis terrestre », plus ils sont complexes et plus ils sont potentiellement dangereux et plus ils se révèlent souvent désastreux pour l’environnement !

    Et le comble, c’est que ces méthodes, techniques, à la pointe du progrès, impliquent un coût de maintenance t. p énorme alors que les dettes des Etats contraignent à t. p de restrictions ! D’où un effondrement de la sécurité t. p. prévisible au milieu des manques ! 

    *** L’échafaudage général ne ressemble-t-il pas à celui du système pyramidal de l’escroc M. Madoff  (V. la « chaîne de Ponzi ») en plus gigantesque ou « h é n a u r m e » ? ! Ou à celui de la Tour infernale ? ! ***

    DANS CE CONTEXTE, NOTRE DESTIN N’EST-IL PAS DEJA PROGRAMME ? !

    6) Freud n’observait-il pas vers 1920 notre tendance à suivre le « principe de plaisir (sous la direction du cerveau des émotions) au détriment du « principe de réalité » (Les analyses du néocortex aidant !) ? ! Notre modus vivendi s’est-il transformé positivement ou négativement ? !

    Dans son approche existentielle, l’adolescent ne se métamorphosait-il pas adulte en « tuant »  symboliquement le « Père », c. à d. en s’affranchissant ou/et s’émancipant des normes inculquées et périmées, surannées ? !

    7) L’une des caractéristiques de notre cerveau n’est-elle pas la répétitivité, l’absence d’évolution ? ! N’évoque-t-elle pas celle des « fractales » ? !

    Si cette suggestion était recevable,  une prospection statistique sur l’évolution à travers les âges de la Terre (entreprise par des chercheurs réputés : L. Nottale, J. Chaline, P. Grou) aboutissant à la découverte des lois  « d'échelle »  universelles gouvernant l'évolution de la vie, de l'économie ou du Cosmos, pourrait être vérifiée (ou non) avant 2080 !

    Ci-joint un extrait de l’ouvrage diffusé en l’année 2000 où tout est consigné …

    « Les arbres de l'évolution »  éd. Hachette Sciences - littératures 2000

    (Un résumé … V. a. Internet)

     Ils se sont contentés d’émettre une hypothèse : si nous suivions les schémas évolutifs des dinosaures, des rongeurs, des chevaux, des primates, des échinodermes, des tremblements de terre, des krachs boursiers, etc., nous devrions rencontrer probablement avant 2080 la transformation la plus importante que toutes celles que l'homme moderne a connues depuis son apparition (Ndlr c. à d. l’homo sapiens) ; ... les changements qui en découleraient pourraient affecter globalement l'arbre évolutif …

    L. Nottale est un spécialiste des fractales et directeur de recherches au CNRS, J. Chaline est directeur de recherches en Biogéosciences de l’Université de Bourgogne, P. Grou enseigne les sciences économiques à l’Université de Versailles-Saint-Quentin

    (Révolution épistémologique, étape majeure de la science, perspective vertigineuse ?)

    La copie d’une partie de la page 338.

    « Les prochaines crises sont prédites : à l’époque actuelle (1995-2000, point blanc), en 2015-2020, puis 2030-2035, etc., toutes ces dates participant de la « supercrise » culminant entre 2075-2080 (mais cela n’est qu’une date théorique limite, la date effective ne pouvant être que plus rapprochée …)

    … de la page 339.

    La « supercrise » culminerait en 2075-2080.

    Les points de crises récentes (1975,1997-2000) ne sont pas séparées … Ce constat pourrait signifier qu’une simultanéité crise-non-crise (phénomène de concomitance et d’apparition de dimensions nouvelles prédit dans la partie 3) serait déjà en train de se manifester. …

    On peut considérer, si on admet la validité de la loi, que nous sommes dès maintenant entrés dans la phase finale critique. La date de 2080 n’est en effet qu’une date butoir théorique. La vraie crise devant se produire forcément avant …

    Il s’agit clairement d’un changement de société majeur, dont nous vivons les prémices actuellement …

    Remarquons néanmoins que si la transformation vers laquelle nous tendons est plus importante que toutes celles qu’a connues l’homme moderne depuis son apparition … (Ndlr. les h. d. s.), elle n’est en rien … d’un niveau comparable aux grandes mutations évolutives …

    … les changements pourraient bien affecter l’arbre évolutif globalement !

    Si cette extrapolation était correcte, n’aurions nous pas la chance exceptionnelle de vivre en direct le début de la fin de cette civilisation religieuse, voire la gestation de l’Ère des « hommes et femmes vrai(e)s » où chacun disposerait de son corps et de la durée de son séjour, réfléchirait, cogiterait, méditerait « sagement » ? !

    N. B. Lors de sa publication, cette construction mathématique était très hasardeuse ou aléatoire ! Elle reposait sur une éventualité : que notre structure soit « fractale » !

    Cette confirmation ne serait-elle pas t. p. perceptible ? !

     En 2005 (V. avant), alors que l’occasion de nous « dépasser », était requise, le refoulement fut complet !

    En 2007, M. Sarkozy, nonobstant le second assassinat de Socrate,  a été élu ! ! !

    Aucun soi-disant intellectuel n’a émis la moindre réserve sur ce jugement stupide et ce crime spirituel ! ! !

    En 2011, l’affaire DSK aurait dû encourager les femmes, les journalistes, à mettre en exergue les retombées scabreuses de la non maîtrise du cerveau des émotions (V. a. par ex. des chiffres invraisemblables en France en 2011 : le décès d’une femme tous les 2 ou 3 jours conséquemment à des violences conjugales, les 75 000 viols enregistrés, dont un tiers d’origine familiale, parmi ~ 190 000 tentatives) ! Personne n’a abordé ce problème psychologique et dénoncé l’ignorance entretenue sciemment par les capitalistes et tous les gouvernements ! ! ! Si jamais les enfants apprenaient dès l’école primaire les pièges tendus par les deux tranches primitives du cerveau, cette Société tomberait illico en faillite !

    En 2012, une expérience incontestable a prouvé que « plus on est riche et moins on a de la morale » ! (V. Le Monde du 29/02/12), donc que le néocortex « ne fait pas le poids » face au cerveau des émotions et la soif de plaisirs divers !

    M. Sarkozy pourrait être réélu !

    N. B. Pour terminer dans l’humour le plus navrant, revenons (Les êtres fractals adorent !) sur un inventaire ! En  majorité, les gens de Droite, les  politiciens, intellectuels, tels M. Sarkozy, M. Fillon, M. Bayrou, Me Le Pen, les dits humanistes-progressistes de Gauche ou d’extrême Gauche ont reçu une éducation chrétienne dans des établissements scolaires religieux et sont si imprégnés par la Bible qu’aucun ne s’est cru autorisé à blâmer l’élucubration de M. Sarkozy ! ! ! ET ILS  N’OSENT  PAS … MAIS  SONT SINCÈREMENT  CONVAINCUS  - TOUJOURS  EN  2012-  QUE LEUR DEVOIR EST DE  LÉGIFÉRER,  DE SE  BATTRE À  L’ASSEMBLÉE,  POUR  QU’UNIQUEMENT   LES  ANIMAUX  DOMESTIQUES  DE BONNES  FAMILLES  TELS  LES  CHATS  ET  LES  CHIENS  BÉNÉFICIENT  DU  DROIT  DE  MOURIR  DANS  LA  DIGNITE  ! ! !   

    (*** Dans l’Ère prochaine, dans les cours d’Histoire, ces blocages mentaux seront relevés comme des indices irréfutables de la fossilisation ou pétrification des cerveaux des            h. d. s. ! ***)

    Et la Dame Boutin de s’agiter sur sa chaise, de vociférer, de lancer des éclairs à travers ses lunettes à faire peur, et M. Fillon de refuser de sortir de sa coquille paroissiale de la Sarthe ! Et la Gauche de jouer les hypocrites en fonction des vents ! NE  BAIGNE-T-ON PAS  DANS  LE  SURRÉALISME ? ! Leurs sketchs ne vont-ils pas plus loin que ceux des GUIGNOLS du 21ème siècle ? !

    Plus concrètement, n’y a-t-il pas des tomates, des coups de pieds au cul, qui se perdent  ? ! Pourront-ils encore sortir longtemps sans être remis vertement à leurs places de « vendus » ou/et … ? !

    *** PLUS  FRACTALS  QU’EUX TOUS,  NE  MEURT-ON  PAS  ? !  ***

      BOIRON, Christian;   La source du bonheur est dans votre cerveau, Paris, Albin Michel,
         1998

    1) « Le cerveau reptilien est à l’origine de nos réactions face aux agressions, et déclenche, en   cas de besoin, les « états d’urgence de l’instinct » que Laborit a découvert et répertoriés, à savoir : la peur, la colère et l'abattement. (...) Le cerveau reptilien est incapable de prendre des décisions d'actions conscientes, cependant il communique fidèlement aux autres cerveaux toutes les informations nécessaires sous forme de désir ou de répulsion, de satiété, de plaisir ou de souffrance. »


    2) « Le cerveau limbique gère quant à lui les programmes automatiques de comportement, les « logiciels » de l'individu, tout aussi indispensables à sa survie. C'est le cerveau de la mémoire programmante. C'est grâce à lui qu'on peut parler, marcher sans avoir besoin d'y réfléchir, descendre un escalier, conduire une voiture tout en écoutant de la musique. Grâce à sa capacité d'enregistrer et de reproduire automatiquement des attitudes ou des comportements, des mouvements, des actes et même des pensées, il permet l'apprentissage de toutes les techniques. Il gère de façon automatique toutes les informations reçues sans qu'on ait forcément besoin d'en avoir conscience. Il est programmé soit par la génétique (instincts grégaires comme l'instinct maternel ou l'instinct de compétition), soit par le dressage et l'apprentissage qui peuvent être volontaires ou involontaires, conscients ou inconscients, et qui vont induire des réactions-réflexes dans certaines situations. »


    3) « La partie néocorticale de notre cerveau, et en particulier la partie préfrontale du néocortex, recèle ce que le cerveau humain présente de plus évolué par rapport aux autres espèces animales. C’est là que se développe notre attitude à raisonner, à calculer, à dessiner, à faire de la poésie ou de la musique, à chercher notre destinée. Si le limbique fait la part la plus belle au groupe, le néocortex, donne de l’importance à l’individu, au « je », c’est le siège de la personnalité. »


    « Pour faire référence au schéma de Freud, le néocortex pourrait représenter le moi, le limbique le surmoi, et le reptilien le ça. (...). Chacun a sa place, chacun est essentiel au bon fonctionnement de l’homme, et donc à son bonheur : le reptilien est responsable de la surveillance et de la gestion de la physiologie organique, le limbique de la conservation de l’espèce et de l’individu, le néocortex étant la source du progrès et donc de l’évolution. Il ne semble pas y avoir de réelle hiérarchie entre eux; ils sont destinés à fonctionner ensemble, probablement de façon collégiale. Ce qui signe la personnalité spécifique de l’individu, c’est la symphonie, la synergie entre les trois parties de son cerveau, dans une partition qui reste à inventer à chaque instant »

    Ces extraits proposent schématiquement des informations utiles susceptibles d’affinement. … Je ne suis d’ailleurs pas d’accord avec la conclusion du livre… mais peu importe ici.)

     

    Aurai-je encore envie d'ajouter des remarques ? !

          Une phrase qui aurait été livrée par Lao-Tseu : « Lhomme qui parle ne sait pas, l'homme            qui sait ne parle pas » est, pour moi, très sage !

          Ou « Connaître ce n'est pas connaître », voilà l'erreur!

          Tout s'arrange ou Peu importe … si après l’expérience ou/et l’épreuve du « Jeu de la vie » tout se rééquilibre … Mais nos petits cerveaux ne peuvent lever le mystère !

          Sinon, pourquoi cet Univers … qui se transforme parfois en « enfer terrestre » ? ! Ne serait-ce pas le « non sens » complet ? !

          Et si on pouvait accéder  à certains renseignements concernant l’après-vie, tout le monde ne  larguerait-il pas les amarres et ne se précipiterait-il pas vers le cycle suivant ? !

          Ne faut-il pas laisser le temps au temps ? !

          Xyzabcd !