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génétique

  • XYZ, ABCD Humour. Numérisation, déshumanisation, pour faire quoi ? !

    1) Par souci de rentabilité ! De compétitivité !

    Oui mais !

    Que se passerait-il en cas de panne, de cyber-attaque planétaire ? !

    Et que penser de l’enterrement du bilan de 2011 concernant le mode de fonctionnement dans la durabilité du néocortex dans la « REDONDANCE » ? !

    (V. Internet, ..., les 80 % de matière blanche à première vue secondaire, voire inutile ; les 90%  d’ADN non-codant appelé « poubelle » !)

    (Ne sont-ce pas les mêmes intellectuel(le)s cartésien(ne)s qui ont enterré le Bilan de 2005 montrant que notre génome se différencie de celui du chimpanzé de 1% ? !)

    En bref, nous qui ne sommes que des chimpanzés « boostés », nous affirmons, décidons, décrétons  (Dans la logique cartésienne rudimentaire apprise à l’école, of course !) être capables de défier et dépasser les lois de la Nature ! ! !

    D’un autre angle de vue ou perception, sous un référentiel plus psychologique, cette prétention, présomption, n’évoquent-elles pas la mentalité de l’adolescent(e) ? ! Et l’irresponsabilité ? !

    L’observation de Freud sur la métamorphose de l’adolescent(e) en adulte (mental(e)) est-elle fausse ? !

    Ne passe-t-elle pas par le meurtre symbolique du Père dépositaire des anciennes normes devenues obsolètes, bloquant toute évolution ? !

    Notre civilisation religieuse ne connaîtrait-elle pas ses dernières décennies ? !

    Les islamistes ne sont-ils pas en train de préparer une fin d’ère, donc aussi une renaissance plus néocorticale, via quelques mutations génétiques ? !

    2) Pour être plus heureux/euse ! Et dans un « plus » d’amour !

    -Sauf qu’on démontre chaque jour que nous sommes des algorithmes vivants !

    -Que le dit « amour à deux ou/et quelques un(e)s » (Proches, famille, etc.) n’a rien à voir avec la « notion d’amour néocortical » qui s’oriente vers le « prochain » (Les autres ...), donc la solidarité, l’aide des plus faibles ou/et handicapé(e)s !

    Seul le  néocortex « activé ! » permet de comprendre que fort(e)s et faibles, que gagnant(e)s et perdant(e)s, vont de pair, c. à d. ne peuvent pas être dissocié(e)s, exister séparément !

    Comme il faut du « non-chaud » ou « froid » pour que le « chaud » ait un sens ; du « grand » pour que le « petit » soit une réalité ; comme il n’y a pas de riches sans non-riches ou pauvres ! (Qu’on exploite ou pas selon qu’on soit animal ou humain !)

    *** Ou bien, on se contente d’une vision animalière, fondée sur la loi de la jungle ou du plus fort, ou bien on s’élève au dessus des 1%+, en tenant compte de l’analyse du néocortex !

    Dans ce cas, voir les structures « humaines » du Jeu de la vie ! Le terme « humaine » allant de pair avec « dignité » dans l’expression « Dignité humaine » !

    3) Ne serait-ce pas inutile de s’appesantir plus !

    Tout n’est-il pas joué ? ! Et non pas pour le mieux et le pire mais le pire et le mieux (Comme dirait Jupiter 2017) ? !

    Si l’arrivée du FN au pouvoir aurait pu avoir l’avantage de précipiter cette fin d’ère, d’éviter  que celle-ci se déclenchât trop tard, alors que la Terre trop polluée fût définitivement rendue inhabitable, stérile, telle Mars 2, ne soyons tout de même pas trop pessimistes !

    Le règne de Jupiter, face à des « Riens » (La traduction 2017 des « Sans-dents » !), n’a peut-être pas fini de nous étonner ! D’émerveiller au second degré les écologistes non « humanistes » mais « terristes » !

    ******* M. Mélenchon ne pourrait-il pas aussi s’y employer !

    En désespoir de cause, si, nonobstant les conséquences du  changement climatique (Les catastrophes naturelles détruisant notamment les infrastructures, la faillite des États et les crises économiques, les nouvelles maladies, l’incapacité d’adaptation de l’agriculture toujours plus (t. p.) dévastée, les flux migratoires t. p. incontrôlables, les incivilités t. p. meurtrières, etc.), tout persistait à vivre, les futurs robots dotés d’un intelligence artificielle, bien plus rationalistes que nous, ne seraient-ils pas contraints de nous éliminer ? !

    Ces allégations vous semblent plus qu’imbéciles : OK ! No problem ! All right !

    Comment notre ancienne Société de consommation du 20ième  siècle s’appelle-t-elle dorénavant ? !

    Ne serait-ce pas plus rapidement, directement, vite, par son addiction « T. p. » ? !

    Quelle est la fin programmée d’un(e) drogué(e) ? !

    Ne serait-ce pas le suicide par overdose ? !

    En outre !

    Dans cette  ou notre optique, est-ce que les logiques quantique et biologique, les  seules qui s’appliquent efficacement dans le Monde de l’infiniment petit, donc dans le Monde du vivant, ont leur place légitime ? !

    Ets-ce que la théorie mathématique déterministe du chaos, la théorie mathématique des jeux, la distribution de Pareto (V. la loi 20/80), le problème de la quadrature du cercle, des dimensions mathématiques, des fractales, sont évoqué(e)s ? !

    Amen ! AAEEEGGGGExplosions Nouvelle ère !

    Pierre Payen (Dunkerque) ou Xyzabcd !

    N. B. 1) «Pénibilité», le mot de trop pour l’Elysée

    Billet   http://www.liberation.fr/

     

    Par Grégoire Biseau, Rédacteur en chef adjoint France — 11 juillet 2017 à 20:36

    Le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, lors d'un discours devant les syndicats du site l'usine du fabricant nucléaire en difficulté Areva, au Creusot, dans l'est de la France, le 2 mai 2016 Photo PHILIPPE DESMAZES. AFP

    • «Pénibilité», le mot de trop pour l’Elysée

    «Ce qui n’est pas nommé, n’existe pas», avait averti le psychanalyste Jacques Lacan. C’est ainsi que le compte pénibilité, cette mesure phare du quinquennat de François Hollande qui permet à des salariés exposés à des métiers «pénibles» de partir plus tôt à la retraite ou de bénéficier d’une formation, change de nom. Le Premier ministre veut l’appeler désormais «compte de prévention».

    Rien de grave, pourrait-on dire. Pas de quoi fouetter un chat ou pousser un cri dans un éditorial enflammé. Puisque derrière la disparition du mot, le dispositif demeure, même s’il est largement raboté après les coups de butoir du Medef. Mais alors pourquoi changer de nom ? En pleine campagne présidentielle, devant les représentants de la CPME, Emmanuel Macron avait déclaré : «Je n’aime pas le terme [de pénibilité] donc je le supprimerai. Car il induit que le travail est une douleur.»

    A l’époque, la phrase était passée comme une lettre à la Poste. Elle avait juste provoqué des sourires d’aise du patronat. Comme la promesse de la suppression d’une mesure qualifiée d’«usine à gaz». Macron était sincère. Pour lui, le travail est nécessairement, ontologiquement «libérateur». L’homme s’épanouit au travail. Un point, c’est tout.  (Moi : Fillon n’aurait-pas pu dire la même chose ? ! Et de prendre le travail de sa Penelope en exemple ? !)

    Il y avait dans ce diktat du candidat à la fois un inquiétant désir de puissance (Moi, président, j’ai le pouvoir de renommer ce qui ne me convient pas) et un étrange déni de réalité. Qui plus est pour un chef d’Etat qui revendique sur tous les tons que son action est guidée par le seul «principe de réalité».

    Oui, Monsieur le président de la République,

    aujourd’hui, le travail peut être associé à une «douleur».

    Oui, des dizaines de milliers de Français souffrent au travail.

    Et ils sont même en forte progression : le volume de maladies professionnelles a augmenté de 4 % en moyenne par an entre 2005 et 2012, principalement à cause de la croissance régulière des troubles musculosquelettiques, due à l’intensification du travail répétitif.

    Certes, cette frange de la population s’invite rarement sur les plateaux de télévision.

    Elle ne publie pas non plus de tribunes dans la presse.

    Elle a l’habitude de serrer les dents en silence. Une souffrance qui cache une profonde inégalité entre les Français.

    Selon une étude de décembre 2016 de la Dares, la quasi-totalité des salariés du régime général victimes de maladie professionnelle sont des ouvriers (73 %) ou des employés (23 %).

    L’espérance de vie d’un ouvrier est toujours de six ans inférieure à celle d’un cadre.

    Alors avant de vouloir changer la réalité, l’homme politique a au moins la responsabilité de nommer correctement les choses.

    Le mot «pénible» avait cet immense mérite : celui de rendre hommage à cette France qui se lève, souvent très tôt le matin, la boule au ventre, le dos en vrac ou les articulations douloureuses.

    Grégoire Biseau Rédacteur en chef adjoint France

     

       

     

       

    N. B. 2) Le babouin, agresseur sexuel

    Le Monde 12 juillet 2017

     

    Autant le dire d'emblée : cette chronique ne prête pas à sourire, pas davantage à s'émerveiller. Ce bref voyage aux sources de la violence sexuelle risque plutôt de désoler les amoureux des bêtes en général, des singes en particulier. Une équipe de primatologues français et anglais a mis en évidence, chez les babouins chacmas de Namibie, un phénomène qui, selon eux, " pourrait bien se trouver répandu à travers les sociétés de mammifères " : l'intimidation sexuelle. Pour les humains, l'affaire semblait inscrite au cœur des violences conjugales. Dans un article, publié dans la revue Current Biology, les scientifiques constatent que nos cousins les plus proches n'échappent pas à ce comportement exécrable.

    De quoi s'agit-il exactement ? Pas de viol, qui implique une contrainte immédiate. Ni de harcèlement, qui impose que l'acte sexuel survienne juste après les violences. L'intimidation suppose une " décorrélation temporelle ". En clair : le mâle fait subir à une femelle coups et morsures, dont il recevra les bénéfices plusieurs heures ou jours plus tard. " C'est ce qui explique qu'alors que les babouins sont un modèle majeur de l'écologie comportementale, nous soyons passés à côté ", souligne Elise Huchard, chercheuse au CNRS (Montpellier).

    Il y a douze ans, la primatologue avait longuement suivi un groupe de chacmas de -Namibie, et décrit leurs choix d'accouplement. L'espèce ne manque, il est vrai, pas d'atouts. Alors que les deux sexes multiplient les partenaires, un mâle dominant monopolise 70  % des naissances. S'il laisse, en temps normal, ses concurrents copuler à l'envi, le mâle alpha devient exclusif quand approche l'ovulation des femelles. Une -situation facile à repérer : les organes sexuels de dame chacma présentent alors d'impressionnantes et écarlates turgescences.

    Elise Huchard avait constaté l'existence de violences directes, pas d'intimidation. C'est la publication, en  2007, d'un article sur la contrainte sexuelle chez les chimpanzés, mettant en évidence la fameuse décorrélation temporelle, qui l'a incitée à reprendre, en  2013 et 2014, avec sa collègue Alice Baniel, une série d'observations. " La période était beaucoup plus agitée, les violences beaucoup plus nombreuses ", souligne-t-elle.

    Nombreuses et dirigées. Les mâles épargnent, en effet, les femelles allaitantes ou -enceintes et concentrent leurs morsures et leurs coups sur les femelles réceptives. Avec, pour ces dernières, un coût particulièrement élevé : 78 % de leurs blessures identifiées ont été infligées par un mâle. Et un -cycle menstruel sur deux s'accompagne de telles exactions. Pour les mâles, la récompense est manifeste : les agresseurs augmentent considérablement leur chance de -monopoliser la femelle agressée.

    Mais est-ce bien de l'intimidation ? Les scientifiques ont suivi le comportement des primates après les agressions. Dans les vingt minutes suivantes, aucune augmentation des accouplements n'est constatée. Exit, donc, le harcèlement. Les chercheurs ont également observé les femelles après la copulation et guetté les coups. " Nous voulions voir si le phénomène ne s'apparentait pas à une punition, par exemple par un dominant jaloux ", explique Elise Huchard. Là encore, ils n'ont rien vu de notable. " Le mâle attaquera plutôt l'autre mâle ", précise la primatologue. Les -femelles privilégiaient-elles juste les caïds, agressifs en général et pas seulement envers elles ? Non : il apparaît qu'aucun bonus n'est accordé aux mâles bagarreurs.

    L'équipe d'Elise Huchard va poursuivre ses investigations. Comprendre les variations -entre couples (plus ou moins violents), étudier la compétition entre femelles. Et étendre ses recherches à d'autres espèces de mammifères. Les primatologues sont notamment -associées à un projet sur la cœrcition sexuelle au Brésil. Leur objet d'étude : les humains.

    Nathaniel Herzberg

     

     

    N. B. 3 A croissance exponentielle, ennuis imminents

     

     

    Une légende des Indes raconte que le roi Belkib promit une récompense à qui lui proposerait une distraction inédite. Satisfait par le jeu d'échecs présenté par le sage Sissa, le souverain l'interrogea sur ce qu'il souhaitait en échange. Sissa dit au roi de poser un grain de riz sur la première case de l'échiquier, deux sur la deuxième, quatre sur la troisième, et ainsi de suite en doublant le nombre de grains à chaque case, et -réclama l'ensemble des grains déposés sur la 64e et dernière case du jeu. Le roi accorda cette récompense sans se douter que tous les royaumes de la Terre mettraient des siècles à produire la quantité de riz correspondant à la récompense demandée. L'ampleur phénoménale d'une quantité doublée 63 fois de suite avait complètement échappé au souverain. L'humanité est en train de vivre dans le réel les conséquences de la fable du roi -Belkib. Voyons pourquoi.

    De nombreux phénomènes physiques, chimiques ou biologiques mettent en jeu une grandeur dont la variation est proportionnelle à elle-même. En démographie ou en économie, le cœfficient de proportionnalité se nomme " taux de croissance " et s'exprime habituellement sous forme d'un pourcentage : un taux de croissance de 7 % par an signifie que la grandeur est multipliée par 1,07 chaque année. Quelle durée faut-il attendre pour qu'elle soit doublée ? Un petit calcul montre que, si le taux de croissance annuel n'est pas trop grand, disons inférieur à 10 %, la durée de doublement s'obtient grâce à une règle simple : exprimée en années, elle est à peu près égale au quotient de 70 par le taux de croissance. Ainsi la durée de doublement d'une grandeur ayant une croissance annuelle de 7 % est voisine de 70/7 =  10 ans.

    Propriété difficile à saisir

    S'intéresser au doublement d'une grandeur, et à la durée pour le faire, permet de mieux saisir les propriétés d'une croissance régulière. D'abord, comme dans la fable, une -série de doublements conduit à un accroissement gigantesque de la grandeur concernée en quelques durées de doublement. Ensuite, dans une suite de doublement, la dernière valeur est (quasiment) égale à la somme de toutes les valeurs précédentes. Appliquée à la consommation, cette propriété signifie qu'avec un taux de croissance de 7 % par an la consommation des dix dernières années (la durée de doublement) dépasse celle de toutes les décennies qui ont précédé ! Si cela vous semble difficile à croire, votre surprise est identique à celle du roi Belkib : le cerveau humain semble difficilement saisir les propriétés d'une croissance exponentielle.

    C'est même une de nos plus grandes lacunes car la croissance exponentielle de notre consommation des ressources naturelles est au cœur de nos difficultés actuelles. L'humanité est dans la situation d'une colonie de bactéries dont les besoins doublent régulièrement. Initialement insouciantes, elles s'imaginent que tout va pour le mieux sous prétexte qu'elles ne prélèvent qu'une fraction des ressources de leur boîte de culture. En réalité, dès que la colonie occupera la moitié de sa boîte, elle saturera son espace vital en une ultime durée de doublement bien qu'elle dispose encore de l'équivalent de tout ce qu'elle a consommé dans le passé.

    Le rythme d'une croissance exponentielle est tel qu'il n'est nullement nécessaire d'avoir une estimation précise du volume des ressources pour faire une estimation fiable de la durée au bout de laquelle elles -seront épuisées. Du coup, croire que la solution à tous les problèmes passe par une croissance renouvelée en permanence est un leurre qui oublie que la Terre est un système fini, que notre croissance exponentielle épuisera beaucoup plus vite que nous l'imaginons. Il existe des lois qui ne se -votent pas à l'Assemblée, contre lesquelles nul n'aura raison et dont l'ignorance peut conduire à de graves ennuis.

    Roland Lehoucq

    © Le Monde 12/07/17

     

     

    * * * ! ! ! Voir aussi : RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE La Terre sera inhabitable... plus tôt que vous ne le pensez http://www.leprogres.fr/

    Chaleur étouffante, famine, océans acides... Les 8 scénarios catastrophe échafaudés par les scientifiques ont de quoi faire peur. Car, si rien n'est fait, certaines parties de notre planète ne seront plus habitables dès la fin de ce siècle.

    • Le 11/07/2017
  • Tous les rationalistes de service, M. Attali, M. Allègre, etc., jouent les commandants du TITANIC 2 ! FONCENT « TOUJOURS PLUS »

     

    Alors que les icebergs, ne seraient-ils que génétiques, surgissent toujours plus (t. p.), leur seule devise est : Tenons le cap et  t. p. vite !

     

    A           A) Leur état d’esprit

    « Cent milliards  de naissances   Express le 03/09/12 par Jacques Attali »

    « 100 milliards d’êtres humains ont donc vécu jusqu’aujourd’hui. Que leur vie ait été brève ou longue, qu’ils aient été esclaves ou puissants, routiniers ou créatifs, pacifiques ou violents, ils ont tous, d’une façon ou d’une autre, façonné le monde où nous sommes : les scientifiques s’accordent à dire que, en raison des rapports de pouvoir et des progrès techniques, moins de 15% du potentiel de l’humanité a pu être jusqu’aujourd’hui valorisé. » … » L’humanité commence. N’en gaspillons rien. »

    « Claude Allègre veut exploiter les gaz de schiste … Le Point - Publié le 05/07/2012 …On peut exploiter ces gisements en respectant l'environnement. Ne pas le faire serait coupable, affirme Claude Allègre »  

    B        B) Leur aveuglement, tel celui du commandant du Titanic

    Ce sont des surdoués … !

    Ils prennent tous les deux connaissance des avancées de la science au fur et à mesure …

    1) Ils ont ainsi appris, il y a quelques années que la matière blanche, qui enveloppait la matière grise et qui semblait inutile, jouait un rôle fondamental dans le bon fonctionnement de l’ensemble.

    À quoi sert la substance blanche ? Les neuroscientifiques ont longtemps considéré la substance blanche cérébrale comme une infrastructure passive ; on découvre aujourd'hui qu'elle participe à l'apprentissage et serait impliquée dans diverses maladies mentales.

    Douglas Fields  Dans ce numéro Pour la science n°370 août 2008 :

       

    Comment détecter les bases neuronales de l'intelligence ? Comment savoir si certaines caractéristiques du cerveau sont responsables de la schizophrénie ou de la dyslexie ? Une nouvelle technique d'imagerie cérébrale permet aux neuroscientifiques d'observer ce type de données et a révélé le rôle sous-estimé jusqu'à aujourd'hui de la substance blanche dans l'intelligence et différentes maladies mentales.

    La substance – ou matière – grise est le lieu des opérations mentales et du stockage des informations. C'est la couche externe du cerveau ou cortex ; elle est composée d'un grand nombre de corps cellulaires neuronaux – les régions des neurones qui intègrent des informations. Mais en dessous, il existe un socle de substance blanche qui remplit près de la moitié du cerveau humain – une proportion beaucoup plus élevée que dans le cerveau d'autres animaux. Qu'est-ce que la substance blanche ? Ce sont des millions de câbles de communication, chacun contenant un long fil unique, ou axone, entouré d'une substance grasse blanche, nommée myéline. À l'instar des lignes qui connectent les téléphones de différentes villes, ces câbles blancs relient les neurones d'une région du cerveau à une autre. Pendant des décennies, les neuroscientifiques se sont peu intéressés à la substance blanche. Ils considéraient la myéline comme un simple isolant et les axones comme de banales voies de passage passives … !

    2) « Un pas de géant en génétique » est le titre d’un article du Figaro de Martine Perez le 07/09/2012

    [[[Interrogé par l'AFP, Pierre Tambourin, le directeur général du Génopole à Évry, a qualifié cette découverte de très importante car elle montre que l'ADN non codant est essentiel à la vie. «C'est presque aussi important que la publication de la séquence du génome de l'homme», estime-t-il. L'ADN humain est composé de 3,3 milliards de paires de bases. Mais seulement 2 à 3 % de ce matériel sont codants. Le reste du génome, soit 3,25 milliards de paires de base, avait été qualifié au départ «d'ADN poubelle» parce qu'on l'avait jugé inutile]]]

    L'ADN poubelle se rebelle

    14 septembre 2012 14:50, Les mots ont un sens, par Napakatbra

    Array. Array. L'ADN poubelle se rebelle - LMOUS

    L'ADN non codant, représentant 98% du génome humain, serait finalement actif ! La plupart des généticiens estimaient jusque-là qu'il ne servait strictement à rien... c'est (un brin) ballot.

    Dans le domaine de la génétique, la décennie passée aura sans aucun doute été la plus fructueuse. "Fructueuse", ou "désastreuse", c'est selon. Car en fait, les dernières découvertes n'ont fait que réduire à néant (ou presque) toutes les croyances que les généticiens avaient pu placer dans leur "théorie" depuis des lustres. Et ce projet ENCODE qui a redonné ses lettres de noblesses à notre "ADN poubelle" vient simplement retirer une nouvelle brique au mur déjà bien éventé de la génétique classique. Problème : ce sont les briques porteuses qui sont attaquées... et le mur s'effondre.

    Où y a de la gêne (éthique), y a pas de plaisir...

    Pour faire simple, on considérait jusqu'à récemment que les gènes (actifs) codaient pour une protéine, et que les gènes considérés comme inactifs codaient... pour des prunes. Finalement, "on" s'est pris une tarte ! Car il s'avère que l'écrasante majorité de notre génome est utile ; les gènes inactifs serviraient finalement à réguler les autres, reste à savoir comment. Mais continuons... nous savons aussi maintenant qu'un gène peut coder pour une vingtaine de protéines différentes, selon l'emplacement de la cellule, l'âge du capitaine, la qualité de l'alimentation, l'environnement (et l'état de "stress"). Et ces protéines peuvent activer ou désactiver d'autres gènes, codant pour des dizaines d'autres protéines. Etc.

    Le gène tique, et fait des sauts de puces : des gènes "sauteurs" (les transposons) se déplacent très facilement (et très régulièrement pour certains) au sein d'un chromosome. Pour le meilleur ou pour le pire, leur rôle semble très important. Quant aux micro-ARN (ARNmi), ces petits brins d'ADN voyageurs qui activent ou désactivent des gènes en se collant à eux ? On en découvre tous les jours de nouveaux et il se pourrait même que certains des ARNmi de nos aliments préférés s'associent à notre propre génome pour en modifier le fonctionnement. Bon appétit.

    Epi(dé)génétique

    Et, cerise sur le chromosome, ces modifications que nous appelons "épigénétiques" sont tout bonnement transmissibles à nos bambins... sur plusieurs générations. Etonnant, encore, ces gènes de résistance aux antibios qui sautent, dans le sol, de microbes en microbes pour finalement s'incruster dans des pathogènes humains, au petit bonheur la (mal)chance.

    Chauffards, rassurez-vous ! Si vous conduisez mal, ce n'est (peut-être) pas la faute de vos gènes...

    Ceci n'est pas un inventaire. Il s'agit simplement de quelques exemples illustrant la complexité de la chose. Pour paraphraser Bernard Dugué, pendant près d'un siècle, nous avons tout juste confondu le piano et le pianiste (et malheureusement, certains continuent, et pas des moindres, en toute connaissance de cause) : Le génome n'est que l'instrument, sur lequel notre organisme pianote, choisissant les notes et les rythmes.

    (Article publié sur le site "Les mots ont un sens")

    Ces remarques sont intéressantes puisqu’elles confirment que pour qu’un système complexe fonctionne bien il est nécessaire que la partie principale soit entourée d’un grand nombre d’éléments apparemment secondaires mais en fait jouant un rôle indispensable de régulation

    NE CONFIRMENT-ELLES PAS QU’UNE SOCIÉTÉ QUI A DECIDÉ DE VIVRE À « FLUX TENDU » (Pour la rentabilité maximale !) PROGRAMME EN MÊME TEMPS SON SUICIDE ? !

    Of course, cette Société binaire n’est-elle pas à la merci du moindre blocage général (Informatique, logistique, etc.), ne serait-ce que suite à une éruption magnétique solaire plus intense que d’habitude, à un acte de cyber terrorisme, etc.

    Bien sûr, la contestation de ces propos sera aisée !  Sa faiblesse se résume en quelques mots ! Ils ne tiennent pas compte de la théorie des rationalistes : « L’homme est un dieu en devenir » !

    Tout le monde n’est-il pas en train de se rendre t. p. compte que nous améliorons « tout » en bousculant et nous affranchissant t. p. des anciennes lois ou normes de la Nature devenant t. p. obsolètes … ? !

    Et ce n’est pas aux Français(e)s qu’on va apprendre cela : n’ont-ils/elles pas voté en 2007 en toute connaissance de cause pour un Monsieur qui leur a expliqué « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même » ?! C’est-à-dire : Il suffit d’écouter les messages que Dieu noues envoie, donc de suivre son instinct, ses intuitions !

    C. Q. F. D. (Oui / Non ? !)

    Xyzabcd ... !