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maths - Page 2

  • Les mathématiques traditionnelles, scolaires, sont machistes (Inconsciemment) ? !

     

    La Reine de la géométrie euclidienne (Euclide, est un mathématicien de la Grèce antique, souvent désigné comme le « père de la géométrie », Il n’existe aucune source directe sur la vie d’Euclide. Si on admet la chronologie donnée par Proclus, Euclide, vivant entre Platon et Archimède et contemporain de Ptolémée Ier, a vécu vers 300 avant notre ère), est la « droite » linéaire qui fonce, trace sa ligne, se conduit comme un Roi ou Empereur expansionniste voulant croître « toujours plus » (t. p.)  et indéfiniment jusqu’à l’infini !

    Le cercle, plus compliqué, quand il est étudié, à quoi est-il associé ?

    Si la Terre, le soleil, la Lune, etc., fournissent de belles illustrations significatives, les notions de cycle, de périodicité, de caducité, de vie sont-elles retenues en priorité ? !

    La discontinuité n’est-elle pas passée par-dessus bord ou cachée dans un coin, à l’ombre, au profit de son opposée virtuelle : la continuité ? ! Il est vrai que si elle n’existe pas, son utilisation est beaucoup plus simple, surtout avec des enfants !

    L’arithmétique est-elle présentée plus intelligemment ?

    N’incite-elle pas, via les additions, multiplications, proportionnalités, à créer des mondes aussi merveilleux qu’irréels ? !

    *Quand et où  explique-t-on en maths que cette « linéarité » n’est qu’un « truc » aimé par le cerveau des enfants mais totalement inutilisable dans la vie réelle puisque ne correspondant pas aux lois de la vie, donc ne pouvant que provoquer des catastrophes ? ! 

    Si ces évidences étaient enseignées, ce qui supposerait que les enseignant(e)s soient lucides sur ces registres, ce qui n’est pas du tout le cas ( !), est-ce que les élèves, une fois adultes, pratiqueraient volontiers la politique de « La fuite t. p. en avant » et t. p à « flux tendu » ? !

    EN BREF, ce qui est remarquable, n’est-ce pas qu’en l’absence (ou manque !) de réflexions et de méditations, les principes consacrés à l’école : la géométrie euclidienne où la droite croît indéfiniment jusqu’à l’infini, la règle de proportionnalité arithmétique où il suffit de multiplier pour obtenir une production t. p. « positive », se conjuguent aisément dans l’optimisme béat aussi enfantin que cartésien et binaire !

    D’autres, qui se pensent les plus « futés », qui ne sont pas « nés de la dernière pluie », optent en connaisseurs, en historiens aguerris, pour la théorie de la périodicité des modes, des crises, etc., en accord avec celle de  « l’éternel recommencement », au nom de la « continuité » !

    Les lois de l’évolution et de complexification de Darwin ne les intéressent pas puisqu’ils sont convaincus qu’ils sont les meilleurs, que nous sommes (eux compris, of course !) les « chefs-d’œuvre de l’Univers »

    (En passant, Cette linéarité rudimentaire s’imprègne dans nos souvenirs de manière agréable et  ne s’oppose pas mais valorise le principe « t. p. ». Elle devrait trouver un écho dans l’espace de la psychanalyse puisque on n’aborde jamais, lorsqu’on introduit les maths à l’école primaire, la notion de cycle, de phase, de périodicité, de caducité, de discontinuité, etc. On évite pareillement l’image du raisonnement en rond dans un labyrinthe artificiel formant une sorte de cercle non vivant et une  forme idéalisée stérile où on peut s’enliser et se perdre désespérément jusqu’au bout sans s’apercevoir qu’il suffirait de faire un pas de côté pour quitter la boucle !

    *Je viens seulement, par association d’idées, de prendre conscience que, peut-être, la désaffection des filles et des femmes pour les maths (Qui au départ, en 6ième,  sont aussi douées en maths que les garçons) prend sa source dans les situations qui viennent d’être commentées.

    EN CONCLUSION : Loin de nous, l’observation pratique des principes d’équilibre de la vie ! OK !

    En notant qu’un un corps dit humain se sent « bien », est en « équilibre », lorsque sa température interne voisine 37 °, qu’il ne survivrait pas à 50° ou 20°, ses conditions d’existence ou de survie sont-elles compatibles avec les applications du  « T. p. » et/ou « Toujours moins » ? !

    Le suicide d’un ensemble drogué,  par overdose, n’est-il pas programmable ? !

    (Pour les plus curieux/euses, voir sur Internet « Les arbres de l’évolution » de L. Nottale, J. Chaline, P. Grou)

    Xyzabcd…

     

  • Le « manque » nous conduit ! On préfère parler du « plaisir » !

    En 2013, en consultant Internet, on découvre très peu d’articles sur cette sorte de personnage masqué qui nous conduit inéluctablement dans l’inconscience la plupart du temps absolue ..., nous fait sauter dans ce cas quelquefois au dessus des barrières de la raison, jusqu’au crime

    Pourtant !

    1)      N’est-il pas difficile de réfuter que, sans aucun « manque », besoin, il n’y aurait pas de respiration, d’alimentation, de sommeil, de recherche de chaleur, de réactions, d’actions, de mouvements, d’animation, de vie ? 

    Peut-on rejeter le constat que nos comportements divergent selon nos manques ?  

    La moindre cellule vivante ne suit-elle pas le « principe d’homéostasie », ne se contente-telle pas d’essayer de maintenir son état de déséquilibre relatif (v. des manques) au dessus du seuil létal ?

    Les animaux, à partir des reptiles, dotés d’un « cerveau primitif »  dit reptilien, ne sont-ils pas munis d’un instinct de survie, de conservation (dans l’instant) et de reproduction (pour le futur) ?

    Les mammifères, en plus d’un cerveau reptilien, possèdent un cerveau ou d’un réseau neuronal des émotions qui, entre autres activités, (v. Internet), tente de combler, les manques de plaisir du 1er degré ? ! 

    Ne sait-on pas trop que les homo dits sapiens (Sages ! ! !) bénéficient d’un néocortex qu’ils utilisent parfois ? ! ! ! Eventuellement, donc ( !),  ils analysent en imaginant, en anticipant, en comparant, etc., arrivent à  abstraire, symboliser, structurer, se posent « toujours plus » (t. p) de questions, méditent, ne s’arrêtent pas au désir de t. p consommer, jouir, se faire plaisir au 1er degré… !

    En réalité, cette sorte d’excroissance corticale n’est opérationnelle que si elle est entraînée ! Sinon, elle se laisse rapidement bousculée, voire réquisitionnée par le cerveau ou réseau des émotions qui s’occupe du pilotage automatique, des conditionnements, du surmoi, de la quête du plaisir ou bien-être basique, etc..!

    On a esquivé la mesure de sa puissance en procédant a des tests, par ex. les QI …mais les résultats ne concernent que certaines directions de l’intelligence, spécialités …, notamment binaires !

    2)      Ne peut-on pas souligner que, si nous l’avions réellement conceptualisée, l’analyse de l’Histoire des manques aurait contribué à la démystification nos comportements ?

    Le manque de sécurité, la peur de l’insécurité, encore plus de la mort, ne sont-ils pas à l’origine de l’esclavage, des religions, puis du système d’exploitation de l’homo sapiens par l’homo sapiens ? N‘est-ce pas le cerveau reptilien qui gère cette préoccupation ?

     

    En bref, les manques et les déséquilibres ne forment-ils pas à la source des « motivations » qui alimentent le « moteur » de la vie ? !

    Tout ce qui se vit dans le monde vivant n’est-il pas en relation avec des « manques » (Superficiels ou primordiaux) à satisfaire, surmonter ou désamorcer, circonvenir ou assouvir, surpasser, dépasser, etc. ? !

    Si Henri Laborit (Un biologiste célèbre écarté du Nobel parce que insuffisamment normalisé, prix Lasker, philosophe pendant ses heures de loisir, 1914-1995) avait présenté une ébauche du « mode de fonctionnement » du cerveau, plus personne, plus aucun(e) spécialiste en neurologie ne vulgarise simplement ce mode d’emploi qui permettrait pourtant à tout(e) un(e) chacun(e) de mieux s’y retrouver et agir sans se faire piéger ! Mais ces mises en évidences ne seraient-elles pas susceptibles de mettre à nu le ressort qui anime notre société ? !

    (V. par ex. les ouvrages de Laborit « Éloge de la fuite » (En filigrane : fuite des normes), « Biologie et structure »)

    Les violences, agressions, délinquances, révoltes, suicides, etc., ne relèvent-ils pas du même déclic compensatoire ?

    3)      Le moteur de l’épanouissement de la « Société de consommation » , maintenant appelée directement par son addiction : la pulsion « T. p. » n’est-il pas l’exploitation t. p. intelligente, habile (À court terme !), envahissante, des manques et déséquilibres passagers, frustrations, stress, ressentis par le fameux cerveau ou réseau des émotions ? !

    Les effets de  cette  incitation continue, t. p. intense et agaçante, ne ressemblent-ils à s’y méprendre à ceux des drogues qui se développent avant de s’amplifier comme des métastases cancéreuses ? ! Ne sont-ils pas en train de faire sauter toutes les barrières ou interdits ou anciennes normes encore en vigueur ? ! Et n’est-ce pas seulement le début ? ! Tout n’est-il pas en train de commencer à progresser géométriquement ou exponentiellement ? !

    Comme les Services publics (Santé, Justice, Police, Enseignement, Sécurité et Protection sociales, Dignité, etc.) seront t. p. sans crédits suffisants, t. p. débordés, saturés, voire dévalorisés par réaction à des provocations et des excès divers(es), des phénomènes t. p. incontrôlables ne surgiront-ils pas, secrétés instinctivement par des gens n’ayant plus rien à perdre mais tout à gagner (Les raptags) en organisant des « coups » (délits et crimes) uniquement dans le but de vivre « bien » quelques mois avant de recommencer, quitte à se faire tuer par un Police totalement inefficace ? !

    4)    Pourquoi des historien(ne)s, des psychologues, des psychanalystes, des sociologues, des ethnologues, (V. des éthologues puisque notre génome ressemble à celui du chimpanzé à  ~ 1 % près ; du bonobo, à ~ 1,3 % !) n’ont-ils/elles jamais entrepris de livrer le bilan de cette recherche ? ! Ne se seraient-ils/elles jamais penché(e)s sur ces RACINES ? ! ! !

     Les intellectuel(le)s de l’establishment comme les politiciens n’ont-ils/elles pas toujours eu d’autres soucis matériels en tête, surtout les hommes ou les mâles ? !

    *Mais n’obtenons-nous pas les politiciens, la dite élite, que nous méritons ? !

    5)    Les manques sexuels n’ont pas été abordés ici ! N’en parle-t-on pas partout en se gardant bien d’y réfléchir sérieusement ? !

    Si, effectivement, ils sont permanents quoique souvent niés, en fait refoulés parce que, eux aussi, non démystifiés, toujours encadrés par les religions, ils sont, dans une proportion non négligeable (Freud n’a-t-il pas bâti la psychanalyse sur ce terrain ? !) à l’origine du « mode de fonctionnement » inconscient de cette société, presque du même genre ou brutalité ou bestialité que chez les animaux ! Ainsi, en France, en 2013, encore environ 75 000 viols sont déclarés annuellement parmi ~ 190 000 tentatives (Dont 1/3 dans l’entourage proche) ; une femme meurt tous les 2 ou 3 jours suite à des violences conjugales. L’affaire DSK en 2011, la mort de Marie Trintignant en 2003 fournissent d’autres témoignages.

    ***Il vaut mieux ne pas s’aventurer dans le monde musulman où des milliards de femmes sont à la merci des mâles, de la charia, des fatwas, des lapidations, du fouet, etc. si on ne veut pas être égorgé en tant que mécréant ayant offensé Allah ! Mais comme les animaux s’habituent à tout, les femmes après avoir été obligées d’accepter le port de la burqa, du voile intégral ou niqab, l’emprisonnement portable, la soumission soi-disant divine, l’entretien de la maison, la nourriture spécifique et première du maître dans le salon en tant que serveuse avant d’aller manger dans la cuisine, etc., ont fini par intérioriser cette pratique !

    Xyzabcd … !

    Un ajout, probablement inutile, pour éviter des reproches, des imprécisions … : n’aurions-nous pas prouvé récemment que nous étions définitivement fractal(e)s en enterrant le bilan de 2005 : celui sur ce fameux génome ? !)

    L’animal, devant l’obstacle, ne se pose pas beaucoup de questions mais réagit instinctivement.

    Il se défend ou il fuit si c’est possible ou, faute de moyen, ne bouge plus, se fixe en « inhibition ».

    Et nous-mêmes ? ! Ne suivons-nous pas ce genre de schéma comportemental ? !

    Mais à la différence d’eux, le néocortex anticipant et imaginant aidant, n’avons-nous pas tendance, par précaution et prudence,  à vouloir parachever nos démarches en cherchant à les améliorer, voire en cas de tombée en dépendance mentale, à t. p. accumuler idéalement des effets potentiellement « positifs » … ? !

    D’un côté, nous n’ignorons pas la facilité de devenir « accroc » au tabac, à la « bonne bouffe », à l’alcool, au chocolat, etc. !

    De l’autre, en l’absence (ou manque !) de réflexions et de méditations extrascolaires, les principes de la géométrie euclidienne où la droite croît indéfiniment jusqu’à l’infini, de la règle de proportionnalité arithmétique où il suffit d’ajouter, voire de multiplier, pour obtenir un une production t. p. « positive », ne se conjuguent-ils pas aisément dans l’optimisme béat aussi enfantin que cartésien et binaire !

     

    (En passant, Cette linéarité rudimentaire s’imprègne dans nos souvenirs de manière agréable, ne s’oppose pas mais valorise le principe « t. p. », devrait trouver un écho dans l’espace de la psychanalyse, dans le domaine « mâle » en contradiction avec la notion de cycle … Jamais on n’aborde en maths élémentaires la notion de cycle, de phase, de périodicité, de caducité, de discontinuité, etc. On évite l’image du raisonnement en rond dans un labyrinthe artificiel formant une sorte de cercle non vivant et une  forme idéalisée stérile. Peut-être que la désaffection de cette discipline par les femmes, les filles qui, au départ, sont aussi douées en maths que les garçons, s’explique en partie sur ces visions divergentes, sur un machisme sous-jacent …

    Loin de nous, l’observation pratique des principes d’équilibre de la vie ! OK !

    Pourtant si un corps dit humain est en équilibre à la température interne de 37 °, survivrait-il à 50° ou 20° ? ! Son existence ou survie est-elle compatible avec l’idée « Toujours plus » et « Toujours moins » ? ! Et avec l’objectif de faire « Toujours plus » avec « Toujours moins » de crédits, de ressources, de place, etc. ? !

    Le suicide par overdose n’est-il pas programmable ? !

    C. q. f. d. ? ! (Oui / Non ? !)

  • LA VIE, L’AVENIR, LES HOMO SAPIENS, LES HOMMES !

     

    (Le masculin neutre sera de rigueur)


    N. B. La théorie des 3 cerveaux introduite par MacLean vers les années 1970, explicitée largement par Henri Laborit, reprise dans le roman de Koestler « Le Cheval dans la locomotive », a été remise en cause, les localisations étant très  excessives … mais les rôles de ces 3 composantes ou « vecteurs de base » demeurent inchangé(e)s. DSK, Bertrand Cantat, n’ont-ils pas été victimes d’un manque de maîtrises de leurs pulsions ?  Les 75 000 viols déclarés chaque année en France actuellement (Parmi les 190 000 tentatives dont 12/3 dans le milieu proche), le décès d’une femme tous les 3 jours suite à des violences conjugales, ne relèvent-ils pas de la même cause ?


    1) La 1ère remarque est un constat : le refus du cycle !

    Sans doute parce que ce concept est trop abstrait et invisible : le rythme des respirations, de l’alimentation, du sommeil, des heures, jours, saisons, années, étant  absolument imperceptibles, les homo sapiens, même les plus plus plus (admis par Mensa), n’ont pu l’assimiler ou se gardent de réfléchir dessus ! Sinon, la priorité ne serait-elle pas l’aménagement au mieux de chaque phase, notamment de la vieillesse et de la mort ou entrée dans l’après-vie ? ! Un tabou n’aurait-il pas un effet identique ? ? ? !

    *Les dites catastrophes naturelles, que signifient-elles ? !

    **Les écosystèmes avec leurs agents de dégradation ne sont-ils pas les seuls capables de gérer la perpétuation de la vie dans un milieu fermé ? !

    Sinon, par ex., nous serions actuellement approximativement 100 milliards d’individus (V. le blog de Jacques Attali sur slate.fr ou l’Express du 03/09/12) ! !

    Donc qui dit naissance ne dit-il pas aussi mort ? !

    1ière Conséquence : Si la vie ne peut être qu’un CYCLE, cette évidence est niée !

    ***À noter que partout la discontinuité se manifeste, que ce qui semble continu ne l’est pas : voir les molécules, les atomes, les électrons, éléments de base en mouvement ...

    Ces phénomènes microscopiques, invisibles, demeurent cachés !

    2) La seconde concerne notre compréhension : la notion de symétrie !

     Le sens d’un mot exige la présence de sa négation (La lumière n’a de sens qu’accompagnée par l’obscurité). Le « + » implique le « - » ; le bon, le mauvais ; le bien, le mal ; le bonheur, le malheur ; Dieu, le Diable ! Un « principe de symétrie » en découle …

    3) La vie est placée sous le signe du manque, du déséquilibre !

    *Sans eux, c. à d. « sans besoin », il n’y aurait ni respiration, ni alimentation, ni sommeil, ni action, ni réaction, ni mouvement, ni animation, ni vie !

    Le supposé « paradis terrestre » sans manque … ne peut se concevoir … !

    4) Notre cerveau des émotions, plus rapide que le néocortex, est primordial.

    Notre génome se différenciant d’environ 1 % de celui du chimpanzé,  l’homo sapiens a tendance à suivre le « principe de plaisir » au détriment du « principe de réalité » (Cette considération de Freud datant des années 1920 n’est en rien obsolète !)

    Comme il n’analyse pas mais procède (Par analogie) en puisant dans  ses souvenirs agréables et ressentiments désagréables, ses aventures ne se terminent pas forcément positivement !

    Voir l’épanouissement de la « Société de consommation » dont le ressort est l’exploitation toujours plus (t. p.) habile des manques, frustrations, stress, via la proposition de plaisirs compensatoires passant par des achats incitant au renouvellement de l’acte jusqu’à, dans l’idéal, la tombée en dépendance ! (Probablement que l’addiction « T. p » qui est le titre du best-seller de François de Closets en 1982 est à l’origine du changement d’appellation ! Ne pas oublier non plus que la fin d’un drogué survient couramment par overdose, une forme de suicide programmé … !)

    Quant au cerveau primitif ou dit reptilien qui active par réflexe l’instinct de survie et celui de la reproduction, il équipe tous les animaux dès le règne des reptiles.

    À savoir que la moindre cellule vivante suit le « principe d’homéostasie », essaie de maintenir son état de déséquilibre partiel en dehors des seuils létaux.

    Le  cerveau de l’homo sapiens est constitué par une sorte d’empilement des trois composantes décrites précédemment, le néocortex figurant sa spécificité !

    5) De toutes les façons, le néocortex, même s’il était entraîné, ne serait pas sans limite !

     Toutes les personnes qui ont étudié un peu les mathématiques ont démontré qu’un élément vivant dans un espace E de dimension « n » ne peut rester que muet devant un espace F incluant E et de dimension « n+1 » !

    Sachant qu’on ne peut guère revendiquer personnaliser la dimension extrême (V. avant, les 1 % !), si on vit en dimension 5 (Les 3 D, le temps, l’état vivant ou non), impossible de deviner la structure d’un Monde de dimension 6 ou plus … qui forcément existe !

    Les rationalistes « cartésiens » ou binaires ne conçoivent pas la logique de la mécanique quantique qui gère le Monde de l’infiniment petit, donc le Monde du vivant, basés sur le « principe du tiers inclus » et non pas « exclu » !

    6) Depuis 2005, l’homo sapiens a prouvé objectivement qu’il était « fractal », c. à d. caractérisé par la répétitivité en l’absence d’évolution.

    Alors que ce résultat (1 %) aurait dû lui permettre de casser ses chaînes (D’essence religieuse), de grandir en rangeant définitivement l’histoire du Père Noël et semblables dans un tiroir, d’atterrir et de prendre conscience de ce qu’il était véritablement et non pas créé à l’image de Dieu (V. Genèse Ch. 9.6), de se dépasser mentalement et d’envisager l’avenir plus concrètement, toutes les notabilités, de toutes les tendances, ont communié implicitement et décidé à l’unanimité de l’enterrer dans un silence assourdissant ! Inconcevable de rabaisser ce Dieu tout puissant à l’image des dits hommes, voire des bonobos boostés ! Et pour les rationalistes persistant à se prétendre des dieux en devenir, étant les instigateurs sans relâche de la politique de la fuite t. p. en avant, se faire hara-kiri n’était pas supportable !

    7) Arrivé à ce point de blocage, la cohérence des rationalistes se perdant dans une quasi de néo religion et impasse …, l’axiome de base se réduisant à la parabole chrétienne symétrisée, le dualisme se déclinant en le système binaire, il devient clair qu’une autre porte doit être ouverte pour pouvoir avancer, ne pas se mordre la queue en permanence.

    Elle se situe au niveau (C) des manques vitaux !

    Ce sont les « motivations » qui alimentent le « moteur » de la vie dans l’intention de tenter d’annuler ou de désamorcer les manques « essentiels », d’aboutir au bien-être !

    *Aux notions de manque, d’obstacle, d’insatisfaction, de mal-être, d’échec, correspondent celles de « gain », de « victoire », de « réussite », etc. ! c. à d. celles qu’on rencontre dans les « Jeux » !

    8) Il se fait, qu’on l’admette ou non,  que l’application de la « théorie mathématique des jeux » et la distribution de Pareto rendent service !

    Elle est efficace !

    En plus, une loi découverte fin 19ième siècle de manière pragmatique par un économiste, M. Vilfredo Pareto, qui s’était rendu compte que dans beaucoup de  pays occidentaux, une proportion voisine de  20 % de riches cohabitaient avec les 80 autres % ; utilisée maintenant dans le commerce en tant que règle 20/80 et dans les domaines les plus variés (V. Internet) ; vérifiée dans les processus de la physique des fluides et des flux, mathématisée depuis sous le nom de « Distribution de Pareto » ; affine la manipulation de ces opérateurs modernes et apporte une interprétation originale et féconde en intégrant même les spéculations chrétiennes !

    A) Quels sont les ingrédients d’un jeu qui fonctionne bien ?

    -Les quelques gagnants ne résident-ils pas pacifiquement avec la masse des perdants parce que liés par « l’espoir » de « s’en tirer par le haut » ?

    -Si celui-ci vient à trop s’amenuiser, le jeu ne s’effondre-t-il pas de lui-même et un nouveau ne prend-il pas la relève ?

    Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

    -Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur chance.

    -Les résignés et soumis ou les « pas de veine ou bol » se contentent de respirer (ou presque).

    -Les désabusés sont parfois amers.

    Dans tous les cas, quels que soient la situation et le talent ou la force des acteurs en compétition, le grand manège ne peut que tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence globale des participants ! Le rapport (20% / 80%) configure largement notre fameux et mystérieux scénario !

    *Plus synthétiquement, ceux qui ont saisi le système posé par l’éventuel créateur du jeu ne se démarquent-ils pas de ceux qui se précipitent dans l’attente enfantine d’obtenir des récompenses ? !

    ** Pourtant, ces derniers ne constituent-ils pas les éléments indispensables du jeu ? ! N’assurent-ils pas la bonne marche de l’ensemble ? Ne serait-il pas aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil ! (En passant, par associations d’idées, on s’est aperçu récemment que les 80 % de la matière blanche -entourant la matière grise du cerveau- jadis estimés comme secondaires ou inutiles, que les 90 % d’ADN « poubelle » ou « non-codant », servent de «régulateurs », évitent les ruptures ou cassures lorsque des défections matérielles se produisent, garantissent la pérennité de la machine » … ! L’évocation de notre société « à flux t. p. tendu » serait décapante mais est hors-sujet !)

    Il apparaît normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux : c’est la période de la découverte, de l’apprentissage, etc.

    N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cet engouement, voire à imaginer plutôt une suite dans l’après- vie ? !

    En prenant du recul, dans cette axiomatique, peu importerait : tout ce ne serait qu’un jeu ! Et avec une « happy end » dans l’Après-vie ! Mais l’enfer terrestre de la vie (Ou du « jeu de la vie ») dans certaines régions ou/et contextes particuliers serait-il contestable ? !

    C’est ce qu’on peut subodorer mais qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre structure mentale étant trop petites. Nous ne pouvons être les chefs-d’œuvre de l’Univers mais seulement des éléments de l’espèce la plus complexe en 2013 !

    S’il n’était pas cruel d’insister, en se référant à l’expression « La dignité humaine », qui serions-nous ? ! Des hommes ou des homo sapiens ? !

    Fréquemment, les activations prédominantes du cerveau reptilien et du cerveau des émotions qui recherche le plaisir ne bousculent-elles pas les déterminations néocorticales qui se transforment illico en velléités sans poids (comme la domestique d’antan devant son maître ou Seigneur et saigneur) ? ! D’où la question : Où se trouve alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ? !

    B) Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que « chef-d’œuvre » par la richesse, la diversité, la multiplicité de tous les « bons » et « mauvais » rôles ?

    Et ce qui se déroule dans les coulisses a-t-il une incidence sur le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l’actrice ou l’acteur la/le plus doué(e) ?

    C) On peut signaler encore que deux sous- jeux : le « Qui gagne perd » et le « Qui perd gagne » sont installés mais plus qu’incompris !

    Il est déjà souligné dans le recueil de contes et légendes écrit au fil des années par des paysans bergers très intuitifs, voire géniaux (nommé Bible) …! Ils étaient surdoués mais ils n’ont tout de même pas été capables de présager que la parabole de l’homo sapiens ressemblant à Dieu ferait florès pendant des millénaires, que ces dits hommes se métamorphoseraient en adolescents attardés ou chroniques (ou adulescents) ! À moins que, précisément, La métaphore de l’apocalypse traduise la période de transition entre l’adulescence immature et la phase adulte, conformément à la description freudienne, après le meurtre symbolique du Père ou l’affranchissement dans la violence des normes surannées avant l’émancipation et l’entrée en maturité …

    9) Si les homo sapiens entrant peut-être dans le paragraphe 7 étaient un tout petit peu  plus cohérents, ne déduiraient-ils pas que la vie et le corps n’étant plus la propriété de Dieu ( !), le départ du « séjour terrestre » ne devrait-il pas être un droit ? !

    Au nom de quoi peut-on interdire à une personne n’aimant plus la vie (Ou l’ayant trop comprise !) d’accéder au cycle suivant (La mort ou l’après-vie) dans les meilleures conditions, sous anesthésie ? !

    Mais toutes ces « Grosses Têtes » n’ont même pas réussi à « piger » le b.a.-ba : le « cycle » !

    Ce dont-ils n’ont pas l’air non plus de conjecturer, c’est l’attitude de ces futurs jeunes qui se retrouveront démunis puisque les pollutions t. p. comparables à des métastases cancéreuses ruineront tout futur ! On peut déjà les baptiser les « Raptags » (Rien À Perdre, Tout À Gagner » en organisant des coups … etc. !

    Alors que la plupart des gens se défient de Freud, notamment les cartésiens binaires ou ceux qui se croient malins …, « à  l’insu de leur plein gré », ne rejoignent-ils pas, à la moindre colère ou lorsqu’ils sont critiqués, les hypothèses de Freud, à savoir que tout est relié au sexe, à la sexualité ? ! Oui / On ? !

    Ne s’empressent-ils pas de qualifier ces opposants du moment comme des « cons » ? !

    Ce mot n’est-il pas le chef-d’œuvre absolu de condensation qui explicite que l’interlocuteur a recours au cerveau des émotions et non pas au néocortex, est proche de la posture de l'animal énervé ou excité, comme un sexe agissant ? !

    Les homo sapiens ne réagissent-ils pas (En majorité) en fonction de leurs propres intérêts, sans se préoccuper du « prochain » ou des autres ? !

    L’usage du terme « Putain » ou « Putaing » ne s’inscrit-il pas également dans ce créneau ? !

    N’assiste-t-on pas plutôt constamment à des comportements d’enfants  prêts à tout pour arracher des bonbons (V. avant) ? !

    L'appétence de « quantité » ne s’impose-t-elle pas en général sur celle de la « qualité » plus luxueuse, raffinée, abstraite, néocorticale ? !

    Voir aussi l'augmentation de la corpulence, l'obésité désastreuse aux USA ! ! !                                    
    Et inversement, sous l’angle des crédits, des personnels, des budgets, etc., tout ne laisse-t-il pas prévoir que les Services publics, de la Santé, de la Justice (Tribunaux, juges, avocats, prisons, etc.), de l’Education, de la protection sociale, etc., vont se renflouer et enfin devenir « corrects » ? !                

    Ce qui referme la boucle …

    ... ... ...

    « Il ne faut jamais juger les gens sur leurs fréquentations. Tenez, Judas, par exemple, il avait des amis irréprochables. (Paul Verlaine) »

    Cette citation  n’est-elle pas plus bavarde qu’on pourrait croire d’emblée ? !

    Ne pourrait-elle pas se  moquer éventuellement de  la soi-disant « liberté » ou du  « libre-arbitre » des « binaires » ? !

    Quelle que soit l’opinion, Freud a-t-il pu faire fortune sur du vent … comme aiment se gausser les rationalistes ou les pseudo philosophes médiatiques ? !

    Pourquoi, nous connaissant t. p. nous-mêmes et donc t. p. sapiens (sages), fonçons-nous t. p. vite sur le « Titanic 2 » ? !

    Le  dernier mot ne revient-il pas à un héros de saga préfreudien : (Luc, XXIII, 34) Et Jésus disait : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font. »

    N. B. Dans des textes bouddhistes sont consignées des observations telles : « On avance d’échec en échec » ; « Apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir » ; etc..

    On prête à Lao-Tseu  la phrase : « L’homme qui parle ne sait pas, l’homme qui sait ne parle pas » !

    À chacun de conclure comme il le désire … Peu importe au second degré !

    Xyzabcd ...

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